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Nadine, la vengeance d'une maman

Chapitre 4

Inceste
Le jour se lève. A travers les interstices des volets métalliques, le soleil éclabousse la chambre de ses rayons obliques ; ils piquent les murs de douces lueurs fauves. La clarté matinale réveille Nadine. C’est une lumière apaisante, qui la rassure ; pourtant, elle est effondrée.Elle se souvient de tout.Elle ne peut plus faire semblant cette fois, prétendre qu’elle a rêvé ; son imagination avait bon dos.Elle voudrait revenir en arrière mais c’est impossible, il est trop tard pour regretter.
« Je le savais ! »

La veille au soir.

Quelque chose ne tourne pas rond.Nadine comprend que son fils a une idée derrière la tête : elle n’a pas terminé son verre qu’il se précipite pour la resservir.Ce n’est pas qu’il insiste autant qui la dérange, c’est la façon dont il s’y prend : il agit avec une détermination qui lui fait froid dans le dos. Pour en avoir le cœur net, elle lui demande s’il a l’intention de la soûler.Elle ne cherche pas à le provoquer, elle voudrait juste se rassurer.Elle n’est pas surprise par sa réaction – sa crispation soudaine, son regard fuyant, son attitude coupable. Elle s’y attendait.« Oh Mon Dieu non, par pitié, faite que je me trompe ! »Elle essaye de garder son calme, mais elle n’en mène pas large ; elle espère que sa voix chevrotante ne la trahira pas.Pour lui donner le change, elle l’embrasse en quittant la table. Un baiser sonore sur le front, comme jadis, quand son amour maternel lui suffisait.
Nadine le constate jour après jour, le comportement de son fils a changé. Il est différent.Il est souvent prostré, perdu dans ses pensées.Quand elle s’approche de lui, qu’elle engage la conversation, il devient taciturne.
Elle a l’impression qu’elle le réveille au milieu d’un songe merveilleux dont lui seul aurait la clé.Il pique un fard, bredouille une excuse, et disparait dans sa chambre jusqu’au diner. Ils ne communiquent presque plus.
Elle n’est pas naïve, ni stupide, et encore moins dupe en ce qui concerne la nature humaine ; elle connaît la chanson.Elle a beau étouffer ses formes, les comprimer… rien n’y fait.Les hommes ont toujours deviné ce qu’elle dissimule et fondent sur elle comme des mouches sur du miel. Il faut voir comment ils la déshabillent du regard : ils sont aussi discrets que des adolescents gouvernés par leur testostérone.Ils imaginent le cul superbe, les gros nichons à portée de main, et ça les rend cinglés, incapables de raisonner.Elle en fait l’expérience tous les jours. Elle en a pris son parti.
Elle sait qu’elle a un corps qui affole les hommes, des appas pour lesquels ils se damneraient volontiers.Il fut un temps où son mari était l’un d’entre eux.Il n’y a pas si longtemps, elle le rendait fou lui aussi.Il faisait tout ce qui était en son pouvoir pour lui prouver qu’il était l’élu, le seul digne de partager son lit, quitte à se mettre en danger.Et tout ça pour quoi, à l’arrivée ?
Cette séduction involontaire qu’elle exerce sur les mâles l’a toujours dégoutée. Ce pouvoir - la facilité avec laquelle elle pourrait en jouer - la répugne.Elle abhorre cette attraction sexuelle dont elle n’use jamais, surtout depuis qu’elle a réalisé que son fils en était victime à son tour.Son enfant chéri, l’amour de sa vie.Elle est affligée de savoir que son petit garçon, la chair de sa chair, la convoite de la même façon que tous ces animaux en rut. Qu’a-t-elle bien pu faire pour lui inspirer ce désir troublant ?
Quand cela a-t-il commencé ? Comment ? Pourquoi ?

Elle décide, une fois n’est pas coutume, de ne pas prendre ses cachets ; elle a l’intention de rester réveillée, de conserver toute sa lucidité.De toute façon, il est temps qu’elle arrête de prendre les pilules dont elle abuse tous les soirs. Ces drogues provoquent certes l’abrutissement profond qu’elle recherche, un sommeil sans rêves, mais restent actives le lendemain, et toute la journée.Elle doit se reprendre en main, redevenir la mère responsable qu’elle était, une maman concernée.Elle s’est trop laissée aller, s’est trop reposée sur lui. Leur promiscuité n’est pas saine. C’est de sa faute après tout s’il éprouve cette attirance déplacée : ne fait-elle pas tout pour qu’il se comporte comme un homme, et plus comme son fils ?
« Il va venir dans ma chambre ! Mon Dieu, faite que je me trompe… »
Elle lutte contre l’envie de fermer les yeux, passe l’heure suivante à regarder les minutes défiler sur son radio réveil, puis se détend peu à peu, rassurée.Et si elle s’inquiétait pour rien ?Elle savoure la délicieuse glissade vers le premier sommeil, cette impression de plonger qu’on éprouve quand on s’y vautre corps et âme, avec cet abandon, cette sécurité propre aux ivrognes.

Tout de suite, elle sait qu’il est là, au pied du lit, et qu’il la regarde sans bouger. Elle a envie de pleurer.Elle n’est pas si folle que ça finalement, il cherchait bien à la soûler.Une idée chassant l’autre, elle a la confirmation que ce n’est pas la première fois qu’il s’introduit dans sa chambre.Elle se demande de quelle façon il en a profité lorsqu’elle dormait vraiment, la (les) fois précédentes.
Elle a envie de hurler, de se redresser pour l’humilier, le confronter, mais elle se ravise et fait semblant de dormir.Afin de savoir jusqu’où il est capable d’aller avant qu’elle ne le confonde, elle va lui montrer ce qu’il est venu voir.Il sera temps de faire marche arrière quand le moment sera venu.
Elle s’installe sur le dos en soupirant, écarte imperceptiblement les cuisses, le surveille entre ses cils.Il n’en perd pas une, le petit salopard !
« Mais je suis sa mère ! Comment ose-t-il ? »
Elle est horrifiée, scandalisée quand elle s’aperçoit qu’il la fouille avidement du regard. Ses yeux sont semblables à deux petits insectes répugnants.On dirait qu’ils cherchent à s’introduire à l’intérieur de son vagin comme s’ils voulaient s’en nourrir voracement. Elle essaye de minimiser les faits en se disant que sa réaction, vu le contexte, est justifiée.Après tout, tous les garçons de son âge ne pensent qu’au sexe.C’est un fait établi, un axiome qui n’a besoin d’aucune contrepartie.Elle se dit qu’il la regarde comme une femme, et non plus comme sa mère, qu’il est dépassé par ce qu’il découvre.Pourtant elle est outrée, scandalisée par son manque de scrupules, son manque de respect.
Quand il lui empoigne les seins à deux mains, elle est sur le point de tout stopper, mais elle se rétracte au dernier moment.Elle a l’intuition que si elle se manifeste maintenant, dans une telle situation, elle ne fera qu’aggraver les choses.(Mais est-ce vraiment la raison ?)Il la touche, elle sent ses mains qui courent sur sa peau.Il lui manipule les seins avec tendresse, presque pudiquement. Il y a longtemps qu’on ne l’a pas caressée avec autant de désir. Mais il y a tellement de pudeur aussi, dans ces attouchements maladroits. Ses tétons durcissent. Tout va trop loin.
Elle s’aperçoit alors, horrifiée, qu’elle est excitée.
Une main quitte ses seins, descend inexorablement, pendant que l’autre les pétrit encore.Il la caresse timidement, effleure du bout des doigts la pilosité fournie. Il empaume la motte, introduit deux doigt dans son vagin, puis trois, dans la chair visqueuse.Il la caresse, elle se laisse faire. Il tripote le petit bouton de chair sensible, le triture ; il enfonce ses doigts maladroits dans le vagin bouillant, tellement gluant.Il la branle carrément.
« Mais c’est mon fils ! »
Elle n’en revient pas. Elle le laisse faire. Elle voudrait soulever son bassin, jeter ses reins vers sa main. Elle mouille. Elle panique.
Soudain, par miracle, il ne la touche plus.Il la regarde de ses yeux fous.Il se branle, il éjacule. « C’est fou, j’ai du sperme partout ! »Il est contrarié, pourquoi ?Elle se crispe.Il s’en va.Elle est seule, anéantie, elle a honte.
« Mon Dieu, mais qu’est-ce que j’ai fais ? »
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