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Nadine, la vengeance d'une maman

Chapitre 9

Inceste
Je me réveille en sueur, plus agité qu’à l’accoutumée.Je m’étire dans mon lit, glisse une main entre mes cuisses ; je constate que je bande et, aussitôt, je pense à Maman.Hier encore, j’étais puceau, et je ne le suis plus ce matin. Pourtant je suis toujours le même, je n’ai pas l’impression d’avoir changé.Je me demande ce que ressentent les filles quand elles perdent leur virginité. A part une douleur passagère et un peu de sang, probablement rien de bien différent…
Comment va réagir Maman ?Comment appréhende-t-elle notre avenir, maintenant ?
J’y suis allé un peu fort quand même, je n’ai pas fait semblant.J’ai pratiquement abusé d’elle tellement j’étais excité. J’espère qu’elle ne m’en veut pas trop, que je n’ai pas tout gâché.Elle accusait le coup quand je l’ai quittée ; elle était sonnée, choquée par ce qui venait de se passer.
J’ai du mal à réaliser que c’est arrivé pour de vrai.Pourtant, je ne me sens ni coupable ni honteux ; à vrai dire, je suis comblé.Je voulais que se soit ma mère qui me dépucèle.Plus j’y pense, plus je me dis que je le désirais depuis longtemps.C’était mon vœu le plus cher, tout ce que j’attendais.Mais j’ai aussi des scrupules : je ne lui ai pas laissé le choix.
D’autres que moi ont-ils vécu de semblables situations ?Est-il normal d’éprouver des sentiments contradictoires après avoir fait l’amour avec sa mère ?Bien-sûr que oui !Mais je reste convaincu que, tout comme moi, de nombreux garçons fantasment sur leur maman, et je suis persuadé qu’eux aussi passent un jour à l’action, sans explication, afin d’éprouver cet incomparable frisson.Il n’y a aucune raison pour qu’il en soit autrement.Je suis frustré car je n’ai personne à qui me confier, aucun complice avec qui partager mon scandaleux secret.

Du moins pas pour le moment, pas encore…

Je reste dans ma chambre. Avec le bac qui approche, le retard que j’ai accumulé, j’ai un alibi tout trouvé pour rester cloitré.Je retarde l’inévitable confrontation, je gagne du temps, mais ça me rassure car je n’ai pas envie de croiser Maman maintenant.Ce n’est pas le moment.J’enfile un pyjama, m’installe à mon bureau, ouvre livres et cahiers avec la ferme intention de passer une studieuse matinée.Malgré toute ma bonne volonté, rien n’y fait : je suis incapable de travailler.

Alors que le souvenir de ce que nous avons fait colonise mon temps de cerveau disponible, voilà justement qu’elle frappe à ma porte.
— C’est moi… c’est Maman… je peux entrer ?
Soulagé qu’elle se manifeste la première, je l’invite à me rejoindre volontiers.
— Mais dis-donc, tu t’es mis au travail ? Oh là là, tu ne peux pas savoir comme ça me fait plaisir… je suis fière de toi, mon chéri !
Elle me félicite de sa voix sucrée, avec son ton de mère comblée par son rejeton, comme quand nous étions inséparables tous les deux.Mais nous n’étions pas aussi proches alors, pas de cette façon.Elle n’est pas affolée, ne semble pas embarrassée, en dépit de ce qui s’est passé. Je m’attendais à tout, mais pas à ça.Sa réaction me prend au dépourvu.Quelle comédienne, quand même !Je suis impressionné.J’ai la gorge sèche, les mains moites ; je n’ose même pas la regarder.Tout en approuvant à haute voix mes bonnes résolutions, elle s’approche de moi. Elle pose sa main sur ma nuque, m’ébouriffe les cheveux.Je tourne furtivement la tête dans sa direction.Elle a remis sa robe de la veille, et s’obstine à ne pas porter de soutien-gorge.
Je frissonne en sentant son corps qui ploie contre mon bras.Elle a cette odeur fade, un peu acre ; le parfum caractéristique d’une personne qui se réveille.
— Tu révises quoi ? Ta philo ? Mais c’était ma matière préférée quand j’avais ton âge, mon poussin ! Pousse toi un peu, laisse moi regarder…
Elle se penche, comme si elle était soudain prodigieusement intéressée par le contenu de mon cahier.Elle s’appuie carrément sur moi, de tout son poids. Sous le tissu vaporeux, je sens la rondeur tiède et moelleuse de son sein qu’elle écrase sur mon épaule.Elle souligne de son ongle verni le texte, le déclame à haute voix.
Je ne sais pas si j’interprète comme il se doit les signaux qu’elle m’envoie, si je me fais de fausses idées, mais son attitude m’invite à je ne sais quoi.J’égare mon bras vers le bas, pose ma main sur son mollet, comme par inadvertance. Elle est épilée : sa peau est lisse.
Je remonte dans le creux du genou, là où la peau est encore plus douce.Ma main poursuit son ascension, sous la robe maintenant.Je flatte l’arrière de la cuisse, caresse la chair moite, et toujours pas de réaction, pas le moindre reproche.Je m’excite tout seul, respire de plus en plus fort.Ma main est en haut maintenant, tout en haut, et je découvre qu’elle n’a pas de culotte.Elle est venue dans ma chambre cul nu.Quelle salope ! Je n’en reviens pas.
A-t-elle une idée derrière la tête ?Difficile de prétendre le contraire !
Maman regarde droit devant, les yeux ronds. Elle est immobile, dans une posture de femelle soumise qui attend la saillie du mâle.
On dirait qu’elle a apprécié bien plus que je ne l’imaginais notre séance nocturne de la veille, et qu’elle en redemande.
Tout est chamboulé dans ma vie, et dans la sienne aussi je parie.
Je suis stupéfait qu’elle me laisse lui palper le cul aussi passivement.
Je lui pétris les fesses, les malaxe, passe compulsivement de l’une à l’autre.Elle se laisse tripoter, en émettant parfois un murmure étouffé.Puis elle retient son souffle, et moi aussi.
— Tu vois comme tu es, Maxime… tu n’es pas raisonnable ! Je viens te dire bonjour et toi tu… tu en profites pour…
Je lui empaume la motte par dessous, la main à plat, dans la fourche de ses cuisses.Elle dégouline. Son sexe est trempé, ses poils sont mouillés.Elle écarte les jambes, fait crisser ses sandales sur le parquet. Elle creuse les reins afin que je la fouille encore plus loin.
— Tu n’es pas sérieux, enfin… je suis ta mère, bon-sang… on ne traite pas sa maman de cette façon, voyons !
Mais elle ne se soustrait pas à ma caresse, bien au contraire.Elle pose les mains sur le rebord du bureau, les bras tendus, le buste droit, dans une posture de chienne en chaleur qui attend l’accouplement. Je réalise qu’elle se donne à moi alors que je ne lui demande rien, qu’elle s’offre spontanément. Sans concessions.Rien n’est plus stimulant que cette transgression sur le point d’être partagée.Rien n’est plus excitant que l’interdit que nous nous apprêtons à commettre une fois de plus, conscients des valeurs que nous bafouons.
Nous éprouvons l’un pour l’autre un désir animal constant, une attraction qui fait voler en éclats les justifications qu’un psychologue bon marché en déduirait.Nous méritons mieux que les conclusions hâtives de professionnels dépassés par ceux qu’ils jugent sans les connaitre ni les comprendre.Des avis définitifs qu’ils rendent du fond de leurs nids douillets, cabinets d’experts en faillite de sentiments…

Je rabats mon pantalon de pyjama.Ma queue, libérée, bondit comme un diable hors de sa boite.Mon sexe est raide, comme un morceau de bois. Je m’installe derrière Maman, soulève sa robe par l’ourlet, la remonte sur son dos jusqu’aux omoplates.Quel délicieux spectacle, que de merveilles dévoilées.

— Oh, Maman… ma petite Maman chérie… ma jolie Maman rien qu’à moi…
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