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Nadine, la vengeance d'une maman

Chapitre 10

Inceste
J’empoigne Maman par les hanches, admire son dos gracile,émerveillé par le contraste saisissant entre sa taille étroite et ses hanches larges.
Elle se cambre, soulève le cul, comme si elle me donnait tacitement le feu vert.Je me tiens la queue d’une main, la guide en direction de la fente, vers la cible rouge ; au passage, ses poils chatouillent mon gland.A l’entrée du vagin, j’ai un aperçu de l’exquise moiteur, de la délicieuse touffeur qui m’attend une fois dedans.Je la tiens par la taille et l’enfile d’un coup de reins.Je m’enfonce jusqu’aux couilles. Surprise par ma persévérance elle pousse un petit cri, comme si ma détermination l’étonnait.
- Mais enfin Maxime, est-ce que tu te rends compte ? Je suis ta mère, voyons… tu devrais avoir honte !
Plus elle me dit qu’elle est ma mère, plus elle insiste sur le côté sacrilège de notre relation, et plus ça me fait bander.Si bien que je me demande si elle ne le fait pas exprès, comme si elle avait réalisé que c’est précisément cet aspect qui m’excite le plusQu’est-ce qu’elle est vicieuse, quand même !Elle ne cesse de me surprendre, jour après jour.
Je la pilonne et elle recule son derrière pour bien se faire emmancher.J’envoie mes mains sous son buste afin de lui attraper les nichons, les fais jaillir du décolleté en tâtonnant, joue avec les bouts érigés.
Maman gémit bruyamment, pousse une longue plainte qui monte en s’intensifiant.
Elle fait partie de ces femmes qui ont le plaisir démonstratif, alors qu’elles sont introverties le reste du temps.Elle a envie de prendre son pied et elle se lâche, oublie ses problèmes et son mari infidèle.Elle jouit. Elle se laisse choir lourdement sur le bureau le buste en avant, le visage dans les mains.
Elle sanglote, de bonheur peut-être, à moins qu’elle n’ait des regrets, ou un zeste de culpabilité.Sans doute pour ces multiples raisons mélangées.Je jouis à mon tour. Je gicle à l’intérieur de Maman. Je crie.Une fois que j’ai éjaculé, je m’affale sur elle hors d’haleine.Elle se dégage en effectuant plusieurs reptations sur place. Elle m’expulse de son vagin alors que je m’y sens bien et que je bande encore, se démène, se relève et sors de ma chambre en se rajustant.L’esprit libre, les couilles vidées, je suis en mesure de travailler sans arrière-pensées ; j’y passe le reste de la journée…


En début de soirée je la retrouve dans la cuisine, affairée à préparer notre diner.Elle porte la même robe de chambre informe que d’habitude, les mêmes mules d’intérieur aux pieds ; rien n’a vraiment changé.Elle ressemble à ma Maman d’avant, pas à la nouvelle.Nous ne nous parlons pas, incapables de mettre des mots sur ce que nous traversons.C’est la seule différence, la seule tension palpable qui existe entre nous.Nous mangeons le nez dans notre assiette, sans nous regarder.Nous nous installons devant la télé, elle assise comme un piquet sur le canapé, moi dans le fauteuil de Papa.Après, nous regagnons chacun notre chambre dans un silence pesant.Je ne sais pas à quoi elle pense, mais je me dis pour me rassurer qu’une bonne nuit de sommeil nous permettra d’y voir un peu plus clair…



Le jours s’est levé. Je devine une présence. Je me réveille en sursaut. Je n’ai rien entendu, pourtant Maman est affalée sur mon lit.Elle porte une jolie petite nuisette du plus bel effet. Son corps n’est que rondeurs naturelles, courbes lascives.Je ne me lasserai jamais de la regarder. Je la trouve de plus en plus belle.

Encore endormi, je m’aperçois qu’elle a rejeté les draps à mes pieds et qu’elle me mate ouvertement. Embarrassé, je cherche le moyen de me couvrir, mais je n’ai rien sous la main pour me dissimuler.
— Relax, mon chéri… tu crois qu’il n’y a que toi qui peux venir dans ma chambre pour me regarder dormir toute nue ?
Elle bascule sur le côté.Elle me sourit d’un air complice, comme si nous partagions le même petit vice secret, et elle s’installe en appui sur un coude, en se tenant la joue et le menton dans la main.
— Tu sais, j’ai beaucoup réfléchi cette nuit… je voudrais que tu saches que je suis reconnaissante pour ce que tu as fait pour moi depuis que ton père est parti… tu es un gentil garçon Maxime… le fils attentionné dont toute maman rêve, confesse-t-elle avec une réelle émotion, mais sans quitter ma queue des yeux.
Le décalage entre la reconnaissance maternelle qu’elle me témoigne d’une part, et l’insistance avec laquelle elle fixe mon sexe de l’autre me déstabilise complètement.Consciente d’avoir capté mon attention, elle poursuit.
— Je t’avoue que l’attirance malsaine que je t’inspire est perturbante… mais ce n’est plus ton problème… je suis d’accord, si tu le veux vraiment… j’en ai pris mon parti…
Je suis sidéré par sa franchise. Sa proposition me laisse sans voix. Je baisse les yeux, penaud, comme un petit enfant pris en défaut.
— Ne t’inquiète pas mon trésor, tout va bien… maman va s’occuper de toi maintenant…
Ses sous-entendus crapuleux me donnent des frissons.Mon sang pulse, bouillonne ; il gorge les tissus spongieux des corps caverneux de ma queue. Maman constate, enchantée, que sa confession a provoqué sur moi l’effet escompté.Elle pose délicatement une main sur ma cuisse, remonte timidement, prend mon sexe entre ses doigts.
Elle m’effleure, me décalotte doucement, commence à me masturber avec une surprenante tendresse qui paraît déplacée.
— Tu es sûr que c’est vraiment ce que tu veux, mon chéri ?
C’est comme si elle demandait à un drogué s’il veut renifler le rail de cocaïne qui se trouve sous son nez, ou s’il ne préfère pas plutôt y renoncer et rendre gentiment la paille qui lui brûle les doigts.
C’est fou ce qu’elle est drôle, n’est-ce pas ? J’avais déjà réalisé qu’elle est vicieuse selon les circonstances, mais je n’en reviens pas qu’elle puisse se montrer aussi perverse.

Maman rampe sur mon lit, s’installe en position.
Elle pose sur ma queue un regard affamé. Gloutonne. Elle a les yeux écarquillés, l’air possédée...




L’été précédant, je suis sorti avec une fille, Caroline, qui passait pour une salope dans la cour du lycée.Une petite blonde avec un visage ravissant, assez boulotte, mais dotée d’une spectaculaire paire de gros nichons qui rendaient fous tous les garçons.La première fois qu’elle m’a emmené dans sa chambre, elle s’est montrée peu farouche, justifiant sa réputation, et nous nous sommes rapidement retrouvés nus sur son lit.Elle avait vraiment des seins magnifiques, lourds et attachés très hauts ; une poitrine naturelle avec deux bourgeons éclos. Elle avait aussi une jolie petite chatte totalement glabre, ainsi que les canons de la beauté formatée l’imposent aux femmes d’aujourd’hui.Très vite, nous nous sommes enhardis, et, alors que je la doigtais, elle m’a branlé avec cette frénésie propre aux actrices porno. Comme elle était brutale et me faisait mal, je lui ai demandée de me sucer, et elle s’est exécutée pleine de bonne volonté.Mais pour cette activité non plus elle n’était pas très douée.Elle me pompait la queue comme une hystérique, la mâchoire distendue, toutes dents dehors, si bien que j’ai eu peur qu’elle ne me blesse avec l’ardeur qu’elle y mettait.Lorsque ses dents ont dérapé sur mon frein, je lui ai ordonné de s’arrêter et me suis fini entre ses gros seins. Quand j’ai éjaculé, elle a poussé des petits grognements satisfaits alors que j’arrosais son menton, visiblement enchantée par sa performance.Elle a recueilli mon sperme sur ses doigts, avant de les lécher un après l’autre avec conviction.Elle avait l’air si heureuse de sa prouesse, si fière d’elle-même, que je m’en suis voulu de ne pas partager son enthousiasme.Par une incroyable aberration dont j’ignore l’origine, Caroline était vierge et tenait à le rester. Elle n’était ni musulmane ni d’une autre obédience, ce n’est pas la religion qui la freinait.Pourtant, elle ne refusait aucune fantaisie à ses nombreux amants : elle leur offrait même son cul en compensation !J’ai décliné l’invitation la fois suivante, puis celle d’après, et nous avons rompu.Je garde cependant un excellent souvenir de Caroline. C’était une fille généreuse, prompte à satisfaire les garçons qui lui plaisaient. Ses gros nichons étaient doux et moelleux. On retournait dans leur sillon profond avec volupté, en terrain conquis, avec la promesse renouvelée de n’être jamais déçu, de toujours y trouver ce qu’on était venu y chercher…




Si je repense à Caroline à ce moment précis, c’est parce que ma mère me la rappelle étrangement.Un frisson d’appréhension me glace l’échine quand Maman se penche sur moi en ouvrant la bouche en grand.Elle a le même regard absent, la même détermination avant d’entamer sa fellation. Elle semble aussi dérangée que Caroline, aussi cinglée, aussi pressée de s’empiffrer.Comme je n’ai aucune expérience en la matière, comme ma première pipe s’est soldée par un échec presque traumatisant, je suis effrayé à l’idée qu’elle soit incapable de se contrôler, qu’elle plante ses crocs dans mon gland et me mutile accidentellement.Mais je réalise très vite que contrairement à Caroline, Maman sait parfaitement ce qu’elle fait. Il y a, entre ma jeune partenaire d’alors et ma mère, la même différence de compétences qu’entre une amatrice et une professionnelle aguerrie.Rassuré, je ferme les yeux.Je prends la mesure de son talent. Je m’abandonne à ses lèvres chaudes, à sa bouche d’une infinie profondeur.Elle m’enveloppe tout entier, m’abrite dans son humidité. C’est un nuage, de la rosée, un défi à la réalité, une parenthèse enchantée.Ma queue est au fond de son gosier – comment peut-elle ne pas s’étouffer, suffoquer en m’avalant de la sorte ? – et Maman la laisse glisser hors de sa bouche, de la racine jusqu’au gland. Elle la pince entre ses lèvres vissées. Sa langue lèche mon frein, s’enroule autour de mon gland.Elle m’engloutit à nouveau, renouvelle l’opération. C’est divin.Comme elle doit avoir honte que je la regarde, elle laisse ses cheveux ruisseler en cascade sur mon ventre, afin qu’ils m’empêchent de voir ce qu’elle me fait.L’épais rideau de sa crinière masque sa bouche en action.Maman suce tellement bien, elle maitrise si parfaitement son art que je suis incapable de me retenir. J’éjacule dans sa bouche. Un flot de sperme lui fouette le palais. Une première fois. Je suis agité par des spasmes de plaisir incontrôlables, à chaque nouvelle giclée.Quand c’est fini, elle fait mine de se lever pour aller recracher mon sperme dans le lavabo, mais je me redresse et la retiens en la tenant par les cheveux.
— Non Maman ! Avale ! Avale tout, s’il te plait.
Elle me regarde de ses grands yeux étonnés mais déglutit malgré elle ma semence, en grimaçant involontairement quand mon sperme envahit sa gorge.Et alors que je ne lui demande rien, elle ouvre la bouche en grand, me tire la langue.Elle fait « ah » comme chez le docteur, pour me prouver qu’elle a tout avalé, qu’il ne reste rien.Je suis ahuri par son obéissance.Quelle salope !

Et dire que nous n’en sommes qu’au début…
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