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Nadine, la vengeance d'une maman

Chapitre 11

Inceste
Maman remonte, elle se contorsionne.Quand mon visage est à hauteur du sien, elle le prend dans ses mains.Elle m’embrasse. Ses lèvres sont salées, sa langue poisseuse ; sa bouche a le gout de mon sperme.C’est la première fois que nous nous embrassons vraiment, comme deux amants.Je m’y attendais si peu que j’en ai les larmes aux yeux.
— Pourquoi pleures-tu, mon chéri ? Oh mon Dieu, c’est à cause de moi, n’est-ce pas ? Je suis tellement désolée, si tu savais !
Mais elle fait fausse route, elle se méprend sur les raisons de ma vive émotion. Ce baiser est la confirmation qui scelle notre union.Nous avons franchi un cap, une étape cruciale dans notre relation.Mes larmes sont des larmes de joie…
Mes mains courent sur ses hanches, s’égarent sur ses fesses. Je la touche.Elle me caresse le ventre, me lèche les lèvres avec dévotion.Comme il fallait s’y attendre, je bande.
— Bon-sang, Maxime… comment est-ce possible ? Comment peux-tu être encore excité ? Tu es incroyable, mon fils !
Elle referme ses doigts autour de ma queue, tire sur la peau du prépuce, libère le gland.Elle me décalotte et commence à me branler doucement, en me regardant tendrement. J’empaume sa motte et elle ouvre tout de suite les cuisses en grand, pour que je la masturbe moi aussi.Ses yeux trahissent un sentiment d’irréalité, comme si nos mains ne nous appartenaient plus, comme si elles étaient devenues autonomes.

Elle me regarde, avec une expression qui m’indique qu’elle n’arrive pas à croire elle-même à ce que nous faisons.

Je vrille deux doigts dans sa chatte, entame un lent va-et-vient.Son vagin est si élastique, tellement profond que je pourrais y enfoncer la main.Maman se raidit, sa respiration s’accélère et la mienne aussi…
Rassasiés, nous nous allongeons avant de nous endormir dans les bras l’un de l’autre…

Quand je me réveille, j’ai l’impression que j’émerge d’un songe prégnant, alors que j’ai à peine somnolé.Je m’assieds dans mon lit, cligne des yeux, un peu désorienté. J’éprouve une sorte de béatitude, le genre de sentiment de plénitude propre à tout homme qui constate que la femme qu’il désire partage encore la couche.
Pour me convaincre que je ne rêve pas, je me pince les joues.Il s’agit bien de ma mère qui repose sur le dos, telle une belle au bois dormant délurée, une princesse déchue à moitié nue.
Je rampe avec précaution sur le matelas, me déplace aussi silencieux qu’un chat.
Je m’installe le visage entre ses cuisses, et j’observe sa chatte avec une attention passionnée.Je ressens la même excitation malsaine que quand je venais la voir dans sa chambre la nuit, pour la regarder à son insu. Mon cœur bat si fort que je l’entends résonner dans mes tempes.Comme Maman a les cuisses écartées, je vois tout : la fente entrouverte sous les poils, les lèvres humides, le repli rose des muqueuses à l’intérieur ; je vois absolument tout !Dans ces conditions, n’importe quel sexe de femme ferait l’affaire et suffirait à mon bonheur. Mais c’est de la vulve de ma mère dont il s’agit, le lieu sacré dont je suis issu !Et c’est ce qui fait toute la différence, la raison pour laquelle je suis aussi perturbé.
« Je viens de là… je suis sorti par ce trou… oh putain !
Je suis pétrifié sur place, ébahi par ma promiscuité avec son intimité. Je m’approche plus prés. Ses poils me chatouillent le bout du nez. Je la renifle. Elle a une bonne odeur de femelle disponible. C’est ma mère !J’ouvre la bouche. Je tire la langue.Je lèche comme un gros chien vicieux la large fente offerte, fouille en lapant la chair gluante au gout de viande crue. Oh Mon Dieu, c’est vraiment délicieux !
Maman se réveille.Affolée, elle comprend aussitôt de quoi il s’agit.Elle plaque instinctivement ses deux mains sur son sexe, pour se protéger de cet assaut.
— Non, Maxime, pas ça… je t’en supplie, ne fais pas ça !
Elle n’a pas le ton qu’elle affectionne et qu’elle utilise parfois par jeu vicieux ; elle panique vraiment.On dirait qu’elle refuse pour de bon, alors je n’insiste pas et j’arrête de la lécher.
Je remonte d’entre ses cuisses et lui grimpe dessus, me débarrasse de sa nuisette au passage, pour qu’elle soit nue sous moi. Ventre sous ventre. Chair sous chair.J’essaye de la pénétrer, mais je suis tellement impatient que je ne trouve pas l’entrée. Je m’acharne sans succès. Elle vient à mon secours, me guide d’une main jusqu’à ce que mon gland ouvre sa chair, que ma queue glisse au fond de son vagin.Je m’installe, me trémousse pour trouver la meilleure position et je la pilonne à grands coups de reins furieux. Elle remonte les genoux, écarte les cuisses, s’ouvre.
— Bon-sang, Maxime, tu n’es pas raisonnable, mon fils ! Tu ne devrais pas faire ça ! Ce n’est pas bien… c’est très mal, enfin !
Elle a repris son ton crapuleux qui me rend fou.Elle réfute ma conduite, mais je sais maintenant quand elle fait semblant ou pas.
Elle chuchote à mon oreille, se plaint de sa voix basse aux inflexions capricieuses.
J’adore quand elle minaude de cette façon, quand elle me dit qu’elle est ma mère et que ce que nous faisons est déplacé, alors qu’elle est la première à ne pas y croire.Je suis aux anges quand elle me fait de faux reproches plus vrais que nature. Elle joue le jeu à la perfection.
Quelle salope !Mais quelle salope !
Je m’enfonce dans sa chair ouverte, dans les muqueuses brulantes.
Comme j’ai déjà joui deux fois, je suis capable de me retenir longtemps ; j’en profite pour me concentrer sur son plaisir à elle.Chaque fois qu’elle approche de l’orgasme, elle me griffe les épaules, me laboure le dos, se démène sous moi pour mieux m’engloutir, et elle pousse son fameux cri qui m’indique qu’elle vient de jouir.Mais comme je suis encore dur, je ne m’arrête pas, je continue ; je la pénètre avec une cadence de métronome.Alors elle repart de plus belle. Elle bouge, remue, s’ouvre pour mieux m’accueillir. Elle pousse des petits gémissements d’encouragement qui décuplent ma volonté de la combler, et je continue à la saccager.
J’éprouve un sentiment de triomphe, une immense fierté.
J’éjacule enfin.Je sanglote de soulagement.Je lui mords l’épaule jusqu’au sang.Je reste longtemps avachi sur elle, le visage dans son cou. Nous baignons dans nos sueurs, dans nos jus mélangés.
— Oh Maman, c’était merveilleux ! Tu as aimé, pas vrai… tu as pris ton pied, toi aussi, non ? Qu’est-ce que ça me plait de faire des cochonneries avec toi ! Dis-moi que nous recommencerons, que nous n’arrêterons jamais…
Elle est hagarde, en nage, les yeux révulsés. Elle tremble de la tête aux pieds.Elle me sert dans ses bras, envoie ses jambes autour de mes reins.
— Oh, Maxime, mon chéri, mon fils adoré ! C’est de la folie… ce que nous faisons est insensé… tu vas me rendre folle, tu sais…

Avec ma mère, nous avons retrouvé notre complicité d’antan, à ceci près que nos rapports ne sont plus aussi innocents que par le passé, lorsqu’elle n’était pour moi qu’une Maman.
Elle a posé deux semaines d’arrêt maladie de plus.La journée, quand je suis au lycée, elle efface Papa avec une froide détermination, une rage maitrisée. Elle le raye de notre vie, de notre appartement ; elle supprime les traces, les vestiges de notre passé. Elle transforme notre univers familial en un lieu qui n’appartient qu’à nous deux.
Après, elle prépare le diner, et elle attend sagement mon retour.
Quand je rentre, il suffit que je m’approche, que je la frôle, que mes mains se fassent baladeuses. Une simple étincelle suffit à l’embraser, pourtant nous préférons rester patients, nous avons le temps.
Nous mangeons, plus tard nous regardons la télé.Nous nous excitons mutuellement à distance, à l’aide de stimulus qui nous sont propres, d’attitudes équivoques qui font monter la pression. Quand nous sommes chauffés à blanc, nous regagnons sa chambre où je la baise toute la nuit.
C’est un rituel bien rodé qui nous occupe à plein temps.Nous apprenons à nous connaître, de plus en plus intimement maintenant…

Un matin, je ne retourne pas au lycée, je reste à la maison avec Maman.Je ne la quitte pas d’une semelle, lui trotte derrière, la tripote sans arrêt.
— Du balai Maxime… fiche-moi un peu la paix… qu’est-ce que tu peux être collant, bon-sang … laisse-moi un peu respirer !
Elle me repousse, avec les mêmes gestes impatients que si j’étais un insecte nuisible qui lui faisait perdre son temps.
Excédée, elle sort se réfugier sur la terrasse. Elle s’allonge dans la chaise longue, allume une cigarette, déploie ses jambes en aspirant une longue bouffée.
— Oh, Maman, regarde un peu tes ongles ! Tu as vu comme ils sont abimés ? Ils sont tout écaillés ! Et si je te mettais du verni… tu veux bien ?
— Voyons, Maxime, qu’est qui te prend ? C’est quoi encore, cette nouveauté ?
— Allez, Maman, sois gentille… je ferai attention…
— Seigneur, Maxime, qu’est-ce que tu a encore inventé ? Tu es vraiment tordu, mon garçon !
— S’il te plait, Maman, je ne déborderai pas… c’est promis !
— Tu es impossible… tu es gâté-pourri, mon fils ! Je ne sais pas te dire non… qu’est-ce que je vais faire de toi ?
En dépit de ce qui se passe entre nous, elle change d’attitude à la demande, avec un aplomb stupéfiant.Alors qu’elle me suce la queue tous les jours, elle est encore capable de se comporter comme une vraie maman, une mère qui s’inquiète de l’avenir de son rejeton.Elle passe d’un personnage à l’autre en claquant des doigts.Je suis sidéré par sa duplicité.

Agenouillé à ses pieds, j’attrape son talon dans la paume de ma main.Je lui peins les ongles un par un, avec une prudence excessive qui la fait rire aux éclats. Elle a de jolis pieds délicats, des chevilles fines, les mollets épilés…
Le soir même, je lui offre une réplique des célèbres sandales d’un chausseur reconnu (je n’ai pas les moyens de lui payer les originales, à 700€ !), en cuir noir et doré, avec bout ouvert, fermeture à nouer et talons aiguilles de quinze centimètres.
— Mon Dieu, mon chéri, mais tu es fou ! Elles sont ra - vi - ssantes ! Mais je n’ai jamais porté des chaussures pareilles… je ne tiendrais jamais en équilibre là dessus ! s’exclame-t-elle en battant des mains comme une fillette survoltée.
Est-il nécessaire que je lui explique que c’est justement le but recherché : je ne veux pas qu’elle reste stable une fois chaussée.
Il faut imaginer ma mère, avec cette paire de chaussures aux pieds.
J’en ai le souffle coupé.
Chaque fois qu’elle pose un pied devant l’autre, sa chair tremble, ses formes sont secouées.Même quand sa démarche se fait plus assurée, elle ondule, dans un déhanchement lascif accentué par la cambrure provoquée par les talons démesurés.
— Alors, sale petit vicieux, qu’en dis-tu ? Ça le fait, hein… je te plais comme ça, pas vrai ? Tu me trouves à ton gout, n’est-ce pas ?
Elle me regarde avec malice, me fait un clin d’œil complice.
— Putain, Maman, qu’est-ce que tu es belle, c’est incroyable comme tu es canon… je ne te quitterai jamais… je resterai toujours avec toi…
Chaque fois que je manifeste avec une ferveur excessive l’amour tordu que je lui voue, elle paraît surprise, déstabilisée.
Elle est contrariée, une ombre voile son regard, mais elle se reprend vite.
Elle s’approche, me chuchote à l’oreille de sa voix crapuleuse qui me donne la chair de poule.
— Merci, mon chéri…tu es un gentil garçon, tu sais… vraiment très gentil quand tu veux… mais tu es vilain aussi des fois… très vilain avec ta maman…
Elle s’accroupit sur ses échasses, les jambes amplement écartées.Elle perd l’équilibre mais se rétablit in-extremis en faisant des moulinets et en gloussant. Elle baisse mon slip, attrape ma queue entre ses doigts.
Elle pouffe comme une écervelée.Elle ouvre la bouche…
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