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Nadine, la vengeance d'une maman

Chapitre 13

Inceste
Le week-end suivant, profitant des conditions climatiques exceptionnelles pour la saison, je convaincs ma mère de nous rendre sur la plage la plus proche.
Notre huis-clos devenant parfois étouffant, il est temps de casser la routine sexuelle dans laquelle nous sommes installés. Rien de tel qu’un peu d’imprévu pour nous fouetter les idées.
La veille, nous avons fait nos courses dans un hyper, et j’en ai profité pour acheter à Maman un maillot de bain – son premier depuis une éternité !
Avec sa regrettable pudeur maladive qu’elle endosse comme une seconde peau dès que nous quittons notre bulle, elle a spontanément arrêté son choix sur le modèle le plus convenable et le moins provoquant.Mais à force d’insister, je l’ai aiguillée vers un article bien plus intéressant dans lequel je l’imagine en salivant d’avance.
Arrivés à destination, nous nous installons dans un endroit encore épargné par la foule.
Le soleil et la chaleur ont attiré sur la plage beaucoup de touristes ainsi que de nombreux autochtones.
Maman retire sa robe en jetant des regards inquiets tous azimuts, rougit plus que de raison, comme si c’était pour elle un véritable calvaire d’exhiber son corps en public.
Elle se trémousse mal à l’aise, observe les gens à la dérobée, s’imagine que tout le monde la regarde.Je la rassure du mieux que je peux, mais je m’aperçois rapidement qu’elle a pourtant raison : elle attire vraiment l’attention.
Sa peau d’albâtre, ses formes généreuses font des ravages sur notre entourage.
Je suis émerveillé par l’effet qu’elle provoque sur les mâles, ainsi que sur les femelles aussi présentes.Ils la dévorent des yeux avec envie ou jalousie, et le résultat est immédiat : je commence à bander.
Je m’allonge en vitesse sur le ventre, afin de dissimuler mon érection.Je suis dans le même état qu’un prédateur qui a gagné les faveurs de la femelle de son choix après avoir éliminé tous ses rivaux.
Si j’écoutais mon instinct, là, tout de suite, je me comporterais comme un animal ; je pisserais autour de Maman afin de marquer mon territoire ; je délimiterais les contours d’une frontière naturelle.Je ne suis pas une bête, pourtant je suis en mal de reconnaissance.J’aimerais que les gens présents sachent qu’elle n’appartient qu’à moi maintenant.Mais comme je n’en ai pas le droit, je ne savoure pas comme il se doit ma victoire.C’est pourquoi mon triomphe est amer…


Le malaise qu’éprouve Maman, à moitié nue, est palpable ; pour mettre fin à son supplice, je lui propose d’aller prendre un bain.Je la relève et nous nous dirigeons vers les flots.Nous avançons dans l’eau, en nous tenant par la main.

Elle est sublime dans son maillot : son cul admirablement moulé pourrait déclencher une émeute à lui tout seul.Les gens se posent surement des questions. Je suis persuadé qu’ils se demandent si nous couchons ensemble, malgré la différence d’âge qui n’échappe à personne. Sans parler du fait que nous nous ressemblons d’une façon si troublante que ça doit jaser !Nous sommes au centre des conversations, des spéculations ; tous les regards sont braqués sur nous. Je jubile intérieurement, contrairement à Maman qui donne l’impression d’avoir envie de disparaître afin de ne plus attirer l’attention…

Nous nous éloignons du rivage et je réalise vite, mais pourtant un peu tard, que Maman ne sait pas vraiment nager : elle panique dès qu’elle n’a plus pied.Elle se maintient à la surface en se débattant de façon désordonnée, m’appelle à la rescousse en buvant la tasse.

Je fonce dans sa direction et l’attrape fermement en la tenant sous les seins, mon bras replié autour de son buste. Je lui maintiens la tête hors de l’eau et l’implore de se calmer, de ne plus se débattre ; c’est la peur qui fait se noyer les gens, bien plus qu’on ne le pense.Elle ne lutte plus, son corps se ramollit ; elle me fait confiance. Nous dérivons lentement. Nous échouons dans une petite crique surplombée par une grande maison toute blanche aux larges baies vitrées, à l’écart de la plage.

Il doit s’agir d’un endroit privé, mais l’important est que nous sommes derrière les rochers, seuls tous les deux, et surtout à l’abri des regards indiscrets.Maman est hors d’haleine, cette expérience l’a traumatisée. Elle a eu tellement peur, la pauvre : ce n’est pas tous les jours qu’on est sauvée par son fils de la noyade.Ce n’est pas rien !Elle me presse contre son corps, écrase ses gros nichons mouillés sur mon torse frêle avec un abandon si total que j’en frissonne d’une volupté inattendue. Mon Dieu, Seigneur Jésus et tous les saints du paradis, comment se fait-il que je la trouve aussi bandante, alors qu’elle est ma mère ?Elle est reconnaissante, abandonnée dans mes bras. Alanguie. Elle est toute molleMa queue durcit dans mon maillot de bain.J’ai honte de vouloir la baiser à un moment pareil, d’utiliser son désarroi à des fins personnelles, mais j’ai aussi envie de profiter de la situation.Je la relève en la maintenant contre moi, aspire ses lèvres, enfonce ma langue dans sa bouche. Elle me regarde les yeux ronds.
— Mais enfin, Maxime, es-tu devenu fou ? Nous ne sommes pas à la maison, voyons ! Quelqu’un pourrait nous voir… qu’est-ce qui te prend ?
Je ne réfléchis pas. Je suis dans un état second.J’écarte son slip sur le côté.Comme elle est plus petite que moi, je suis obligé de fléchir les genoux pour l’enfiler d’un seul coup, et elle est obligée de soulever les talons pour bien se faire emmancher à fond.C’est la première fois que nous baisons dans un endroit public, et le danger de nous faire surprendre est le plus stimulant des aphrodisiaques.Jamais je n’ai autant voulu la démonter qu’à ce moment, la faire crier, la faire mienne, alors qu’elle me regarde avec des yeux affolés qui m’implorent.Pourtant, malgré ses dénégations, elle se hausse sur la pointe des pieds pour me permettre d’investir sa chatte jusqu’aux couilles.Et elle pousse sa plainte rauque à chaque fois que ma queue lui décolle les pieds du sol.
Je pilonne avec une rage dont je ne me savais pas capable.
Je jouis. J’envoie plusieurs giclées de mon sperme dans la matrice maternelle.
Malgré l’effroi que j’éprouve à l’idée d’engrosser Maman, je ne peux pas me retenir de me rependre dans son ventre ; c’est tellement bon de la baiser, d’entrer jusqu’au fond et de lâcher la purée !
Après, nous nous dirigeons vers la plage, moi devant et elle maugréant derrière.


Je ne sais pas comment, sans doute un bruit, un mouvement qui a attiré mon attention… Quelqu’un nous a observé depuis la maison d’en haut, à l’abri, dissimulé derrière les fourrés.Il n’a rien perdu du spectacle, et il a fait en sorte de ne pas se faire remarquer pendant que nous quittions les lieux.
Mais moi je l’ai vu…
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