Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 94 J'aime
  • 3 Commentaires

Nadine, la vengeance d'une maman

Chapitre 18

Inceste
Les jours suivants, nous ressemblons à deux jeunes mariés en pleine lune de miel ; nous sommes incapables de nous rassasier l’un de l’autre.
Comme il fait une chaleur suffocante, nous ne regagnons la chambre qu’à la nuit tombée, quand l’atmosphère redevient respirable. Pendant des heures, je caresse passionnément le corps de ma mère ; je la prends de toutes les façons, dans toutes les positions. Au petit matin, épuisé et repu, je sors de son lit et retourne dans le mien où je dors d’un sommeil de plomb…
Tous les après-midi, je révise mon bac dans le salon. Un jour, Maman s’approche de moi le regard attendri. Elle s’assied sur mes genoux, me félicite, me câline avec l’affection d’une mère poule fière de son rejeton. J’apprécie particulièrement ces moments de chaste complicité que nous partageons. Il n’y a pas que le sexe dans la vie !
Elle ne porte qu’une fine robe à bretelles, qu’elle a enfilée à même la peau ; son corps avachi pèse sur le mien, il diffuse sa douce chaleur dans mes reins. Je pose ma main sur son genou, la fait glisser entre ses cuisses qu’elle écarte pour me livrer le passage. Je remonte lentement. Elle n’a pas de culotte...
Nos étreintes ne restent jamais platoniques longtemps !
— Oh, Maxime… Tu travailles beaucoup trop … Tu devrais faire une pause, mon chéri !
Malgré nos nuits agitées, elle en redemande. Je ne sais pas quelle mouche l’a piquée, mais je suis tout émoustillé ; je me relève et l’entraine vers sa chambre en la tirant par la main. Elle s’agrippe à mon cou, enfouit son visage dans le creux de mon épaule, comme si elle se sentait trop coupable pour affronter mon regard.
— Dis-moi franchement, Maxime… Sois honnête avec moi… Ces choses que nous faisons tous les deux… ce n’est pas normal, tu ne trouves pas ? Comme tu vas m’en vouloir, plus tard !
Il lui arrive encore, surtout lorsqu’elle est particulièrement excitée, d’éprouver une culpabilité non feinte qui la plonge dans un désarroi total.
— Mais qu’est-ce que tu racontes, tu es folle ou quoi ? Je t’aime, Maman… Je t’aime d’amour, tu ne comprends pas ?
— Oh Mon Dieu… Tu étais sérieux dans la voiture ! Tu es vraiment amoureux de moi ? Mais je suis ta mère, Maxime… Il ne faut pas que tu m’aimes autant… pas de cette façon !
Je prends sa main, la pose sur ma braguette. Ses doigts défont fébrilement les boutons, se faufilent dans mon slip, se referment autour de mon sexe.
— Tu vois l’effet que tu me fais ? Tu sens comme je bande pour toi ? C’est justement parce que tu es ma mère que c’est si bon… parce que c’est défendu que ça me plait autant !

Elle me regarde les yeux écarquillés, mais elle n’arrête pas pour autant d’agiter sa main dans mon pantalon. Jamais, même au plus fort de sa dépression, elle n’a paru aussi vulnérable qu’en ce moment. Je ne lui laisse pas le temps de digérer l’information. Je la déshabille, me déshabille à mon tour. Nus tous les deux, nous tombons sur le lit. Je l’enlace et elle m’étreint. Nous frissonnons, baignons dans nos sueurs mélangées…

Une fois - je la baisais depuis peu - Maman est entrée dans ma chambre à l’improviste, et elle m’a surpris en train de me branler devant des vidéos d’inceste japonaises.Elle avait l’air sidérée ; aucune femme ne supporte qu’on se masturbe encore dès lors qu’elle s’est donnée. Elles s’imaginent toutes, avec ce mélange de candeur et d’arrogance qui les caractérise, qu’offrir leur chatte représente le cadeau ultime dont un homme puisse rêver.Elles ont la prétention de croire que parce qu’elles écartent les cuisses, elles nous engagent pour l’éternité à ne jamais regarder plus loin que leur con.Ce jour là, j’ai voulu lui montrer ce qui m’excitait autant, afin qu’elle comprenne. Elle a vu, sur l’écran, le genre de relation que partagent une mère et son fils dans ces films pornos. Ils s’embrassent avec une perversité inouïe, et ils s’abandonnent l’un à l’autre avec un abandon que je n’ai jamais retrouvé nulle part ailleurs.

J’embrasse ma mère la bouche ouverte ; nos salives se mélangent. Nos langues se lèchent avidement, avec la même fougue et la même passion que dans les films en question. Je m’installe entre ses cuisses, guide mon sexe d’une main, promène mon gland dans ses poils. Elle est trempée, s’ouvre sous la poussée, mais elle me repousse au dernier moment.
— Attend mon chéri, pas tout de suite… je veux te prendre dans ma bouche d’abord…
Elle est vraiment d’humeur salope aujourd’hui, aucune trace de remord ne subsiste sur ses traits, alors j’ai une autre idée.
— D’accord… Mais alors moi aussi… Tous les deux…
Elle n’a pas l’air de comprendre tout de suite, et puis elle se renfrogne quand elle réalise. Chaque fois que je lui propose une nouveauté, elle s’empourpre, elle joue les vierges effarouchées.
Je m’allonge sur le dos, la queue raide, le gland violacé.
— Viens sur moi, Maman … Voilà, comme ça… à l’envers… dans le sens contraire…
Je la guide, l’encourage pendant qu’elle s’installe tête-bêche. Le sexe oral n’a plus de secret pour nous, pourtant nous ne nous sommes encore jamais sucés de cette façon : tous les deux en même temps.
Elle cueille mon sexe entre ses lèvres, sa langue onctueuse s’enroule autour de mon gland, et elle écrase, inexorablement, sa vulve sur ma bouche qui l’attend.
Je la lèche, lui triture les fesses, le nez enfoncé dans son anus.Même quand je la sodomise, je n’éprouve pas une telle complicité avec son cul adoré. Elle se soulève régulièrement, pour me permettre de reprendre mon souffle, et puis elle redescend sur mon visage. Je la tète longtemps, goulument, pendant qu’elle me suce voracement…
Chacun de nous est si attentif à donner du plaisir à l’autre que nous n’entendons pas le bruit que fait la clé dans la serrure. Quand la porte d’entrée claque, il est presque déjà trop tard.
— Il y a quelqu’un ? Nadia ! Tu es là ?
Une petite parenthèse :Ma mère s’appelle Nadine.Mais pour mon père - et pour la plupart des gens - c’est Nadia.Sauf pour moi.Pour moi, ce n’est ni Nadine ni Nadia, pour moi, c’est Maman. Et ce n’est pas prêt de changer, encore moins maintenant. Car rien n’est plus excitant que d’appeler sa mère « Maman » quand on la baise en même temps…
Elle réagit la première, avec un sang-froid impressionnant.
— Seigneur, Maxime, c’est ton père ! Ramasse tes affaires et file dans ta chambre … surtout ne te fais pas voir !
Elle chuchote en enfilant sa robe.A poil et encore en érection, mes fringues sous le bras, je jette un œil dans le couloir. Rassuré, je retourne dans ma chambre sur la pointe des pieds. Je ne peux pas m’empêcher de ricaner intérieurement. J’ai l’impression de jouer dans un mauvais vaudeville où j’aurais endossé le rôle de l’amant.Tout s’est passé si vite, je n’en reviens pas. Je tends l’oreille en m’habillant.
— On peut savoir ce que tu fais ici ? Qu’est-ce qui te prend de revenir sans prévenir ? C’est ta petite copine… elle t’a largué, pas vrai ?
Je n’ai jamais entendu ma mère parler sur ce ton à mon père. Je ne peux pas la voir, mais je devine la scène.Il a failli nous surprendre, pourtant elle a quand même l’aplomb de lui rentrer dedans pour garder le contrôle de la situation. Quelle comédienne tout de même ! Elle m’épate. Elle ne hurle pas, ne l’insulte pas, mais c’est presque pire. Elle s’adresse à lui avec une rage froide, une colère qui vient du ventre.
— Ecoute, Nadia, on ne va pas se disputer… Laisse-moi t’expliquer… Nous pouvons nous comporter comme des adultes, tu ne penses pas ? Tu es ravissante dans cette robe, ma chérie !
« Ma chérie ? ». Non mais pour qui se prend-il, ce connard !
Sinon il a raison : elle est ravissante… et elle n’a pas de culotte sous sa robe… Comment je le sais ? Parce que c’est moi qui la baise maintenant, ce n’est plus lui !
Et il revient la gueule enfarinée, il essaye déjà de l’embobiner, il cherche à me la reprendre. La tête pleine de vilaines pensées, je décide qu’il est temps pour moi de me montrer.
— Ah ! Tu es là toi aussi ? Comment vas-tu ? Ça me fait plaisir de te voir…
On dirait qu’il est parti en voyage la semaine dernière, et qu’il revient les bras chargés de cadeaux. Ce culot qu’il a, quand même, le salaud ! Je ne lui réponds pas, me contente de le toiser de haut.
— Tu veux bien aller faire un tour, Maxime ? Il faut que je parle à ta mère…
— Qu’est-ce que tu as à lui dire ? Tu ne crois pas que tu lui as assez pourri la vie comme ça ?
Maman me regarde les yeux implorants. Des yeux qui me disent que j’ai le comportement d’un amant jaloux, pas celui d’un fils aimant. Et si elle l’a ressenti, il est fort probable que l’autre abruti ait des soupçons aussi. Il a toujours été jaloux de notre relation de toute façon. S’il savait !
— Ecoute Maxime, je t’expliquerai à toi aussi, mais sois gentil mon garçon… Laisse-nous entre adultes maintenant…
— Oui, mon chéri, ton père a raison… Sois gentil, s’il te plait… laisse-nous entre grandes personnes…
Voilà qu’elle me parle comme si j’avais dix ans !Elle avait ma queue dans la bouche il n’y a pas dix minutes, et elle se permet de jouer à la maman qui raisonne son petit garçon arrogant.Je suis suffoqué par la rapidité avec laquelle elle retombe sur ses pieds. Elle entre dans la peau de l’épouse et de la mère avec une aisance stupéfiante.

On dirait bien que la récréation est terminée. Cet enfoiré est revenu avec la ferme intention de retrouver sa place.Mais qu’il ne compte pas sur moi pour s’en tirer à si bon compte.A partir de maintenant, tous les coups sont permis…
Diffuse en direct !
Regarder son live