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Nadine, la vengeance d'une maman

Chapitre 19

Inceste
En quittant l’appartement, je fulmine intérieurement. Je vois d’ici les arguments que mon père va mettre en avant. Il va raconter à ma mère qu’il traversait une mauvaise passe, lui dire qu’il regrette, la convaincre qu’il est revenu et que rien n’est perdu. Il va la harceler jusqu’à ce qu’il obtienne son pardon. Il la manipule, la domine depuis qu’ils sont mariés. Il sait y faire avec elle.
Ce que je comprends moins, c’est la réaction de Maman.
Elle se trompe si elle s’imagine que j’ai l’intention d’entrer en compétition, de me disputer ses faveurs avec lui. Quand il a débarqué la gueule enfarinée, il nous a presque surpris en flagrant délit. J’ai paniqué sur le moment : j’étais à cran.Pourtant, il est impossible qu’il ait des soupçons.Maman n’a rien à craindre, elle peut compter sur ma discrétion. Ce qui se passe entre nous ne regarde qu’elle et moi. C’est notre secret...

Il fait nuit quand je rentre à la maison. Il n’y a pas de lumière, pas de télévision, aucun signe de vie.Serait-il parti ? J’avance dans le noir, me faufile vers le couloir. Je m’approche de la (leur) chambre sans faire de bruit ; la porte est fermée. Le message est on ne peut plus clair : ils me font savoir qu’ils ne veulent pas être dérangés.Je tends l’oreille, à l’affut du premier bruit suspect. Je n’entends pas le grincement particulier qui vient du ventre du sommier, ce tempo obsédant qui rythme nos ébats quand je me vautre sur Maman pour la saccager. Pas un murmure, pas le moindre soupir.
Je suis rassuré : il n’est pas en train de la baiser !
Un souvenir qui date de l’époque où nous formions une famille unie me revient à la mémoire, une anecdote que j’ai déjà évoquée en restant à la surface. Tous les vendredis soirs, mes parents prenaient l’apéro. Je buvais des sodas, me gavais de cacahuètes en observant leur manège. J’étais jaloux de la complicité qu’ils partageaient, de leur connivence. Après quelques verres, ils me faussaient compagnie en pouffant comme des adolescents et retournaient dans leur chambre pour faire leurs cochonneries de couple marié.
J’aimais ma mère de façon exclusive, mais avec les exigences d’un enfant gâté. Je voulais probablement « tuer » mon père – au sens où les psychanalystes l’entendent - mais je n’avais pas encore réalisé que je désirais VRAIMENT prendre sa place. Papa n’était pas encore devenu un rival.Mes sentiments étaient en gestation, mon désir en suspens.
En retour, seule Maman avait des droits sur moi, sur l’enfant-roi. Tous les soirs, elle surveillait mes devoirs. Elle me forçait à me couvrir avant de sortir pour ne pas prendre froid. A table, elle se montrait intraitable : « mange ta soupe, reprends des petits pois, des courgettes, finis donc ta salade ».
Qu’est-ce qu’elle pouvait m’emmerder avec ses légumes verts !
Nous occupions chacun notre place dans l’organigramme familial, mais quand mon père nous a quittés, les repères ont explosé.
Tout à coup, Maman n’a plus représenté l’autorité qu’elle incarnait à mes yeux, ni même une présence quotidienne rassurante.Un matin, je l’ai vue à moitié nue, et j’ai ressenti le plus gros choc de ma vie.Du jour au lendemain, elle n’était plus seulement ma mère, mais elle est devenue une femme qui avait un corps (et surtout un cul) qui m’obsédait.
Je l’ai baisée. J’ai saisi l’opportunité et j’ai foncé tête baissée. C’est arrivé.
Mais qu’en est-il de ses raisons à elle ?
Je pense qu’elle a dû être terrifiée quand elle a compris ce que j’attendais d’elle, dans la mesure où elle ne me refuse jamais rien longtemps.Comme elle voulait humilier son mari, elle a sans doute imaginé que l’atteindre à travers moi lui offrirait une occasion rêvée de se justifier. Ainsi, non seulement elle se vengeait de l’affront qu’il lui faisait, mais elle avait un alibi tout trouvé pour céder à mes exigences. Elle faisait d’une pierre deux coups.
Elle avait la possibilité de mettre son plan à exécution, encore aurait-il fallu mettre mon père au courant. Mais Maman ne l’a pas piégé. Elle s’est débinée. Elle ne l’a pas convoqué pour une raison bidon à la maison, afin qu’il nous surprenne au lit en pleine action.C’est probablement ce qu’elle souhaitait au départ, en tant qu’épouse bafouée, mère abandonnée, mais j’imagine qu’elle a très vite été dépassée par la tournure des événements.Parce que malgré le plaisir évident qu’elle y prend, une mère ne baise pas impunément avec son fils. Ce n’est pas rien. C’est défendu par la morale, par les institutions. C’est interdit.Il y a des séquelles, des effets secondaires. Alors en informer le père !Où avait-elle la tête ?Car qu’en retire-t-elle finalement, sinon un sentiment de culpabilité qui va croissant ?
Et le retour de Papa ne va rien arranger à notre affaire. Il va employer les grands moyens pour la reconquérir, et elle s’en voudra d’autant plus. Il va tout foutre en l’air.Mais je n’ai pas dit mon dernier mot…

Pourtant, seul dans le noir, je n’en mène pas large derrière sa porte.Comment ose-t-elle me faire une chose pareille ?Comment peut-elle accepter qu’il réintègre nos vies après ce qu’il lui a fait ? Où est passée sa dignité ?Mon père, ce héros au sourire si faux réapparait comme par magie, et il lui suffit de claquer des doigts pour retrouver sa place dans le lit conjugal. Mais pour qui se prend-il ? J’ai envie de rentrer dans la chambre et tout lui avouer, rien que pour avoir le plaisir de savourer l’effroi que ma révélation ne manquera pas de lui procurer.Et puis je redescends sur terre. Je n’ai pas le droit d’être aussi mesquin. Je ne peux pas impliquer Maman dans la vendetta à couteaux tirés qui m’oppose à mon père.Par contre, je sais que jamais elle n’agira avec la volonté délibérée de me nuire ou de me blesser.L’amour inconditionnel qu’elle me voue est son point faible, ce qui la rend vulnérable, aussi est-ce ma seule chance.Car si j’arrive à faire vibrer cette corde sensible, je conserverai l’avantage.En attendant, écœuré par sa docilité et son manque de combativité, je retourne dans ma chambre et m’effondre sur mon lit, anéanti…

Maman ne s’attendait pas à me trouver dans la cuisine. Son visage se ferme quand elle me voit. Elle essaye de se donner une contenance mais n’y parvient pas. Elle est blême. Je lui rentre dedans sans prendre de gants.
— Putain, Maman, tu me dégoutes…
Malgré l’heure matinale elle est déjà sur son trente-et-un, comme si elle s’apprêtait à s’éclipser.En a-t-elle l’intention, et pourquoi ?Elle a enfilé une petite robe d’été juvénile, noire et constellée de motifs colorés, qui lui arrive à mi-cuisses. Les fines bretelles lui laissent les épaules nues. Elle porte un soutien-gorge - ce qui n’est pas commun ces derniers temps - mais ses gros seins, comprimés dans l’échancrure, débordent du décolleté. Elle est plus ravissante que jamais.
— Oh non, mon chéri… S’il te plait, ne le prends pas comme ça !
— Alors dis-moi pourquoi tu laisses ce clown dormir avec toi, après tout ce qu’il t’a fait ?
— Voyons Maxime, c’est mon mari quand même… Essaye un peu de me comprendre !
— Il t’a bien baisée au moins, cet enculé ?
— Mais enfin, qu’est-ce qui te prend ? C’est de ton père dont tu parles !
Elle voudrait me faire croire qu’elle est redevenue ma maman d’avant, mais le cœur n’y est pas. Elle ne sait plus faire semblant. Je vois bien qu’elle est sur le point de craquer, de fondre en larmes.
— Je ne veux plus qu’il te touche, Maman, je ne le supporte pas… Je veux qu’il parte… Je veux rester avec toi… rien que tous les deux…
— Oh mon bébé, mon petit amour, mon gâté… Je te promets qu’il ne m’a rien fait !
Je m’en sors bien mieux que je ne l’avais imaginé. Je savais qu’il fallait que je joue cette carte, mais j’en ai la confirmation. Son désarroi est sincère. Elle est d’une franchise désarmante. Je me jette sur elle et la prends dans mes bras, l’enlace, la serre contre moi.
— Je t’aime Maman ! Je t’aimerai toujours…
J’en rajoute un peu, mais je suis tellement dans mon rôle que j’en ai les larmes aux yeux, presque malgré moi.
— Je sais, mon poussin… je suis désolée… mais il m’a demandé pardon ! Je ne sais plus quoi faire…
Elle m’embrasse dans le cou, m’étreint, et l’odeur des petits cheveux collés sur sa nuque envahit mes narines de son délicieux parfum. Une douce torpeur m’envahit. Je passe mes mains sous sa robe, lui palpe le ventre, les cuisses, lui empoigne la chatte à travers sa culotte comme un affamé.
— Voyons Maxime, calme toi, tu es fou ou quoi ? Ton père !— Il prend sa douche, Maman, détend toi… Tu n’entends pas l’eau qui coule ?
Sa respiration s’accélère, elle se colle à moi, se dresse sur la pointe des pieds pour frotter son pubis au mien.Je glisse mes mains dans sa culotte.Je parcours avec volupté la chair tiède et élastique de ses fesses charnues.Qu’est ce que j’aime la toucher !Je pourrais lui caresser le cul toute la journée sans jamais m’en lasser.
Quand je pense que mon père est juste à coté, et qu’il ne se doute de rien…
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