Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 82 J'aime
  • 1 Commentaire

Nadine, la vengeance d'une maman

Chapitre 20

Inceste
Mon père a de nombreux torts, mais je lui reconnais pourtant un talent : il sait comment manœuvrer Maman. Il connait sa femme sur le bout des doigts. Il lui a retourné le cerveau si rapidement – il a réussi, comme je l’avais prévu, à faire passer son infidélité pour un dérapage sans importance, un acte sans conséquences - que je suis impressionné par le résultat. Elle est soumise à sa volonté. Elle est redevenue la créature sous influence qu’elle était avant que je ne la prenne en main. Papa a retrouvé son rôle de chef de famille - et sa place dans le lit conjugal - avec une facilité qui force le respect. Je les entends baiser toutes les nuits. Je ronge mon frein…

L’attitude de Maman a changé. Elle m’évite, se dérobe quand je la touche, refuse mes baisers. Elle dit que notre relation est devenue beaucoup trop « malsaine » (c’est le terme qu’elle a employé). Elle voudrait qu’on redevienne « une famille normale » (là encore, c’est la formule qu’elle a utilisé). Je me demande comment elle fait pour tirer un trait sur tout ce que nous avons traversé, comment elle accepte de coucher avec un homme qui l’a trompée sans être dégoutée. Je me console en me disant que sa soumission ne va pas durer, qu’elle va finir par ouvrir les yeux.

Un matin – peut-être dix jours après le retour de mon père - je me suis approché d’elle par derrière pendant qu’elle faisait la vaisselle. Je l’ai enlacée, ai mordillé son épaule, me suis frotté à son derrière. Elle a bondi, s’est exclamée :

— Bon sang, Maxime, il faut que tu arrêtes de m’embrasser tout le temps comme ça… J’en ai assez que tu me touches sans arrêt… Ça ne peut plus durer !

Elle était en chemise de nuit, moi en pyjama. J’ai glissé ma queue entre ses fesses en me trémoussant, malgré nos vêtements qui me gênaient, et je me suis frotté de plus belle dans sa raie. Je lui ai tripoté les nichons, lui ai pincé les tétons. Elle s’est emportée.

— Non, mais c’est pas vrai ! Tu n’as pas entendu ce que je viens de te dire ? Je t’interdits de faire ça. — Mais pourquoi, Maman, pourquoi tu ne veux plus… qu’est-ce que j’ai fait de mal ? Je t’aime moi… Pourquoi tu ne m’aimes plus ?

J’étais dépité, affligé par son refus. Elle me faisait clairement comprendre que je devais passer à autre chose. Je ne voyais pas ce qu’elle me reprochait. Mes yeux se sont remplis de larmes. Comme il fallait s’y attendre, mon désarroi a fait fondre Maman. Elle s’est radoucie.
— Bien-sur que je t’aime, idiot… mais tu es mon fils… Tu es si jeune, tu ne sais rien de la vie…J’ai mal agi… Je veux redevenir une mère pour toi… seulement ta maman.
— Tu dis ça maintenant, mais tu étais bien contente de m’avoir sous la main… à ta disposition. — C’était de la folie, mon chéri, je m’en rends compte aujourd’hui.
— C’est parce ça t’arrange, pas vrai ? Si cet abruti n’était pas revenu…— Ne dis pas de mal de ton père… C’est mon mari… Il m’a humiliée mais je l’aime… je lui ai pardonné.— J’étais là, Maman, j’ai vu comme tu souffrais… Il ne mérite pas ton pardon.— Tu ne dois pas lui en vouloir, tu dois prendre sur toi… Je ne peux plus te donner ce que tu attends de moi. — Ah ouais, vraiment ? Tu t’es régalée toi aussi, pourtant… maintenant que je n’entre plus dans tes plans, tu me jettes comme une vieille chaussette.— Ne le prend pas comme ça…Je reconnais que tout est de ma faute… Je ne savais plus où j’en étais quand il m’a quittée… Tu as été si gentil, si patient avec moi… J’étais faible… j’ai crû bien faire… et tu en as profité … mais c’était une erreur… une horreur. — J’ai pas trouvé ça horrible, moi… j’ai vachement apprécié.— Nous n’aurions jamais dû commencer.— Qu’est-ce qui te permet de dire ça ? — Tu affirmes que tu es amoureux de moi, mais ce que tu prends pour de l’amour… ce n’est que du sexe.— Et ben dis-donc, comme tu y vas… J’adore te baiser, c’est vrai… je prends mon pied avec toi… ça ne veut pas dire que je ne t’aime pas pour autant, au contraire.— Tu confonds tout… Ce n’est pas normal, ce n’est pas bon pour toi… Une mère et son fils… Les gens ne l’acceptent pas, ne l’accepteront jamais.— J’en ai rien à foutre, moi, des gens !— Comme tu es naïf, mon chéri…Tu m’en voudras un jour, tu me reprocheras de t’avoir fait ça.— Mais Maman, c’est entre toi et moi. — Tout fini par se savoir, crois-moi.— Mais putain, tu n’as rien fait de mal… tu n’as pas abusé de moi que je sache ! C’est moi qui l’ai voulu, qui l’ai cherché le premier… Arrête un peu avec ta culpabilité bon marché… Laisse-moi juge de ce qui est bon ou mauvais pour moi !

Pendant toute la conversation, j’étais resté collé dans son dos, la queue entre ses fesses. J’avais nonchalamment caressé son corps à travers ses vêtements ; les seins, le ventre, la chatte ; ballet de mains incessant qui montaient, qui descendaient. Je lui avais couvert les épaules et le cou de tendres baisers, et, malgré son discours qui affirmait le contraire, elle s’était laissée faire, curieusement détachée.
— Allez Maman, sois gentille, quoi… j’ai envie, moi …encore une fois… une dernière fois, s’il te plait…Tu ne peux pas me le refuser.
Je l’ai coincée contre l’évier. J’ai remonté sa nuisette sur ses reins d’une main, lui ai baissé sa culotte de l’autre ; elle s’en est débarrassée en se déhanchant, en soulevant les pieds.
— Tu n’es pas raisonnable, mon chéri… Nous ne pouvons pas faire ça… pas ici… pas comme ça… ton père est là !
Mon père n’est pas le seul à connaître sa femme sur le bout des doigts. Je la connais par cœur moi aussi. Ma mère n’a plus aucun secret pour moi. Je sais qu’elle est incapable de résister quand on commence à l’exciter. Elle devient quelqu’un d’autre. Une femme différente. Elle a besoin d’un mâle pour la combler – et c’est moi qui tenais ce rôle, jusqu’à présent. C’est pourquoi elle a cherché à gagner du temps, une excuse en évoquant Papa.
— Voyons, Maman, tu sais bien qu’il reste longtemps dans la salle de bain, et il vient juste d’y entrer… On a tout notre temps.
J’ai soulevé sa chemise de nuit, la lui ai ôtée en lui faisant lever les bras au ciel. J’étais émerveillé de la voir (l’avoir) à poil devant moi. Qu’est-ce que ça m’avait manqué. Je n’arrivais plus à me contrôler. Je lui ai demandé d’écarter les jambes, puis de se pencher ; j’ai sorti ma queue que j’ai lentement promenée dans sa raie, de bas en haut, de haut en bas, et j’ai murmuré à son oreille :
— Je ne te forcerai jamais, Maman…Si tu veux vraiment qu’on arrête, je respecterais ton souhait… mais si c’est la dernière fois que je dois te baiser, alors laisse-moi t’enculer… Il m’obsède, ton cul… J’y pense tout le temps… le jour, la nuit, il me rend fou… C’est parce que j’ai vu ton cul que j’ai eu envie de toi la première fois… Alors laisse-moi en profiter une dernière fois… Je l’aime tellement ton cul, Maman. Tu le sais. J’ai envie. Laisse-toi faire.

Je lui avais fait mon laïus – en mentionnant son cul plus que de raison - avec des trémolos dans la voix. Je n’avais rien prémédité, mais j’avais une idée derrière la tête.Je voulais la punir. Elle avait quand même osé dire que je ne l’aimais pas. Comment avait-elle pu affirmer une chose pareille ?Comment pouvait-elle croire qu’il n’y avait que du sexe entre nous ? Je me suis demandé si elle le pensait vraiment.S’imaginait-elle, réellement, que je ne voyais en elle qu’un objet sexuel ?Je n’en savais rien, mais si tel était le cas, et bien ma fois, elle allait être servie.
Et pas qu’un peu…
Diffuse en direct !
Regarder son live