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La naissance d'une travestie

Chapitre 2

Travesti / Trans
Suite à cette soirée qui s’est déroulée le mardi, je n’ai plus de nouvelles des filles jusqu’au jeudi midi. Là, je reçois un texto de Marion qui me demande si je suis disponible samedi après-midi. J’avais prévu de rentrer chez mes parents ce week-end-là mais devant la proposition de Marion, je change mes plans et lui répond que oui. Elle me donne rendez-vous à 14h chez moi et je dois même me préparer en mettant une culotte et un collant opaque sous mon habituel jean. Dès le vendredi soir, je ne pense qu’à cette journée avec Marion où j’imagine que nos caresses seront un petit peu plus poussées. Le samedi matin, je fais le ménage à fond dans mon petit appartement puis attend fébrilement l’arrivée de Marion. Celle-ci est en avance d’un quart d’heure et me fait chaleureusement la bise en me demandant des nouvelles. Marion est toujours aussi féminine même si sa tenue du jour est moins sexy que la dernière fois. Elle porte un petit short noir par-dessus un collant semi-opaque noir et ses mêmes bottines que la dernière fois. En haut, elle a un joli pull écru en col v assez décolleté sur sa petite poitrine accompagné d’un manteau marron court.Alors que je l’invite à rentrer, elle refuse net :« -Non, vas-y, prépare toi, je t’emmène faire du shopping !— Faire du shopping ? Mais on va acheter quoi ?— T’inquiètes pas, tu verras en route mais on va t’acheter tout ce que tu as besoin pour devenir une vraie petite femme ! »

Ces mots provoquent une bombe dans ma tête. Les deux copines ont donc pour idée dès le départ de me transformer en fille. Je comprends immédiatement que je n’ai aucune chance de les draguer et de coucher avec elles. D’un autre côté, sa proposition est peut-être ce que j’attends depuis longtemps de manière inconsciente. Sans plus réfléchir, je prends mes affaires et suis Marion dans la rue puis dans sa voiture pour aller dans la plus grande zone commerciale de la périphérie de notre ville.

Toute l’après-midi, je vais me laisser guider par Marion. Elle décide tout d’abord d’aller dans le centre commercial généraliste. Elle m’emmène au rayon soins du corps et me fais acheter pas moins de 4 tubes de crème dépilatoire et d’un rasoir pour que je sois « toute lisse » comme elle dit. Nous sommes ensuite passés au rayon du maquillage. Là, Marion a choisi pour moi deux fonds de teint, 3 rouges à lèvres, du mascara, 2 vernis à ongles, du blush et une palette d’ombre à paupières. Elle rajoute une brosse à cheveux, du démaquillant, du dissolvant et des disques en coton. Le panier est déjà bien rempli mais Marion m’emmène ensuite dans un rayon qui m’attire un peu plus, celui des collants. Là, nous restons un bon moment, Marion me montrant au dos d’une boite le guide des tailles pour choisir la bonne taille des collants et m’explique ce que sont les deniers. Ayant déjà pas mal de collants noirs, Marion m’incite à prendre des bas et nous choisissons une boite de bas noir opaque et une de bas noir fin. A ma demande, on rajoute le même modèle de collant chair que Marion avait au cours de notre dernière soirée.On passe ensuite à la caisse, un nouveau moment intense. Après avoir affronté le regard de la caissière qui se demande bien à qui tout cela est destiné (ou qui a bien compris), je suis un peu étonné du prix qui s’affiche. Il y en a pour près de 150 euros !

Une fois, notre achat terminé, nous repartons sur le parking et Marion reconduit un petit kilomètre pour aller devant deux magasins d’une même enseigne, l’un vendant des vêtements, l’autre des chaussures.Nous rentrons tout d’abord dans la boutique de vêtements. Marion me précise que nous n’allons pas acheter grand-chose ici mais que c’est surtout pour connaitre précisément ma taille de vêtements. Marion fait le tour des rayons et me propose quelques robes et jupes. A chaque fois, je me plais à lui dire si j’aime ou j’aime pas. On tombe tous les deux d’accord sur une robe à motifs noir et rouges avec des manches longues noires et arrivant à mi-cuisse et sur une jupe courte noir patineuse qui s’arrête au-dessus du genou et qui se porte en toute occasion. Marion prend chacun des articles en taille 40 et 42 et nous rentrons tous les deux dans la cabine d’essayage la plus grande. Je me déshabille devant elle montrant mes jambes gainées du collant opaque et mon sexe déjà gonflé enfermé dans une culotte grise avec les bords et le devant en dentelle. Marion me fait une remarque sur mon excitation que je ne peux lui cacher puis me passe la première jupe en taille 40. Celle-ci me va parfaitement. Je m’admire un moment dans la glace et le résultat nous plaît à tous les deux. J’enlève mon pull et tee-shirt pour passer ensuite la robe. Rapidement, on se rend compte qu’elle me serre trop au niveau des épaules et de la cage thoracique et nous décidons d’essayer celle en taille 42. Celle-ci me va bien. Marion sort alors son téléphone et décide de me prendre en photo pour l’envoyer par MMS à Céline avant que je me rhabille.

Je vais ensuite reposer les deux articles qui ne sont à ma taille puis vais à la caisse comme Marion me l’avait demandé. Pendant ce temps, elle s’est absenté et me rejoint à la caisse avec dans les mains un soutien-gorge rose fushia accompagné d’un tanga coordonnée. Je vois vite la taille 95B sur l’étiquette du soutien-gorge qui me fait dire que cette lingerie m’est destinée. Elle prend également un collier et un lot de bracelets bas de gamme qui sont en exposition près des caisses. Alors que la caissière passe ces articles et enlève les antivols devant nous, elle pose clairement la question à Marion si c’est bien la bonne taille en voyant le soutien-gorge et si elle ne s’est pas trompée. Marion ne se démonte et lui répond : qu’il n’y a pas de soucis et que c’est bien cette taille qu’elle veut acheter. Moi je suis rouge coquelicot au moment de tendre ma carte bancaire pour payer une facture d’un peu plus de 60 euros.

Une fois cet achat réalisé, nous allons dans le magasin voisin de chaussures. En rentrant, Marion me demande ma pointure. Lorsque je lui réponds que je chausse du 43, elle me fait de grands yeux en me disant qu’on ne va jamais trouver de chaussures à ma taille ici. On fait néanmoins tout le tour du rayon femme en regardant les tailles maximum sur les boites. Nous voyons quelques 42 mais ce n’est qu’au dernier rayon que nous trouvons une paire de ballerines noires en 43. Ce n’est pas vraiment ce que j’aime car il n’y a pas de talons mais Marion insiste pour qu’on les prenne car cela me fera au moins une première paire de chaussures féminine. Elle insiste également pour que je les essaye dans le magasin pour être sûr qu’elles me vont. Je refuse car il y a quelques personnes qui vont et viennent dans le magasin mais elle commence à parler assez fort et je m’exécute pour éviter de se faire remarquer. Je m’assois donc dans un coin, enlève une chaussure et une chaussette pour glisser mon pied encollanté dans la ballerine. Celle-ci est bien de la bonne taille et j’enlève la chaussure assez vite pour la ranger dans sa boite. A ce moment-là, un couple d’une cinquantaine d’années apparait à l’angle du rayon et passe devant nous. La femme ne prête pas attention à nous mais l’homme a tout de suite repéré que je portais un collant au pied et me fixe avec un regard étonné alors que je remets ma chaussette et ma chaussure.

Arrivés à la caisse, nous avons à nouveau droit à un regard étonné de la caissière qui demande à Marion si elle ne s’est pas trompée de taille ce qui parait logique vu sa petite taille. Marion ne se démonte toujours pas et répond cette fois que ce n’est pas pour elle mais pour une amie.

Nous remontons ensuite en voiture et Marion me dit alors qu’il nous reste un dernier achat mais sans m’en dire plus. Nous roulons cette fois-ci une demi-heure pour aller de l’autre côté de la ville. Je ne sais pas trop à quoi m’attendre et imagine pendant un moment que Marion m’emmène dans un sex-shop pour acheter un quelconque accessoire coquin. En réalité, ce n’est pas le cas. Nous nous retrouvons dans un grand magasin de fêtes et déguisement pour y acheter une perruque. Le choix est vaste même si la qualité des perruques laisse à redire. Nous échangeons longuement sur le sujet, Marion souhaitant que je porte une perruque courte au carré et moi voulant une à cheveux longs. Finalement, nous en achetons une mi-longue arrivant jusqu’aux épaules de couleur châtains foncé.
Une fois tous ces achats terminés et mon compte bancaire bien plus vide, nous rentrons à mon appartement les mains chargés de sacs. Il est déjà 17h mais cela nous laisse encore un bon moment pour nous amuser. Marion n’est en fait pas de cet avis. En effet, elle me plante tout seul chez moi car il faut qu’elle rejoigne son copain qui l’attend pour la soirée. Là, tout mon petit film s’écroule. La belle petite aux cheveux rouges sur laquelle je fantasme depuis quelques jours est en fait en couple. Malgré cela, elle profite de toute une après-midi pour faire du shopping avec moi et je ne comprends vraiment pas ce qu’elle attend de moi.

Je déprime donc seul chez moi un bon moment jusqu’au repas. Une fois celui-ci terminé, je revois les différents sacs que j’ai laissés par terre et qui prenne une grande place de mon petit studio. Je décide donc de faire du rangement et déballe tout. La vue des tenues commence à légèrement m’exciter et après avoir rangé tout mon maquillage dans la salle de bains, je décide d’utiliser la crème épilatoire.Je mets presqu’une heure et un tube et demi pour enlever la totalité de mes poils sur les jambes, les fesses, le sexe, le torse et les aisselles. Le résultat d’une peau toute lisse me plait assez. Alors qu’il est temps d’aller me coucher, je décide de mettre une culotte noire de Céline, un collant opaque noir et un tee-shirt et passe la nuit ainsi vêtu.
Le lendemain, je me lève vers 10h et n’ai rien de prévu à part glander au cours de ce dimanche. Je me retrouve deux secondes étonné de ma tenue au réveil avant de me souvenir de la veille. Je reste finalement habillé comme ça le temps de prendre mon petit-déjeuner. Quel bonheur de sentir le tissu du collant sur mes jambes totalement épilées. Je traîne ainsi jusqu’à 11h puis décide d’aller acheter du pain. Je prends rapidement une douche et au moment de me rhabiller, je décide de mettre mon nouveau tanga rose fuschia acheté la veille sous mon jean. En voyant l’ensemble, je décide aussi de porter le soutien-gorge qui ne se verra pas sous ma veste et mon gros pull. Je me promène donc une quinzaine de minutes dehors. C’est fou la sensation que cela me fait de sentir ce tanga me rentrer dans mes fesses et ce soutien-gorge contre ma poitrine.

De retour chez moi, trop excité, je décide de faire ma transformation complète. En lingerie, je garde ce que j’ai sur moi mais je rajoute ma robe, un collant noir fin de Céline et mes ballerines. Je vais ensuite dans la salle de bains mettre la perruque et me maquiller sans oublier de mettre mes bijoux. Je prends mon temps pour me maquiller mais le résultat ne me plait pas du tout. Je me démaquille donc complètement et vais sur internet où il y a un nombre important de site et tutoriels sur le maquillage. J’en choisis un destiné aux travestis et essaye de le suivre au maximum. Le résultat me plaît assez et il est déjà 13h quand je choisis de passer seul à table. Après le repas, je prends le temps de me mettre du vernis à ongles sur les mains alors que je ne l’avais pas encore fait. C’est la première fois que j’ai le total look féminin et j’avoue ne m’être jamais senti aussi « heureuse ». Je passe le début de l’après-midi à faire des tas de photos et selfie puis me met à réviser mes cours. C’est fou comme je suis plus studieuse en fille !Vers 18h, je me décide même à envoyer une petite photo de moi à Céline et Marion. Céline me répond dans l’instant en me complimentant tout comme Marion qui le fera vers 21h.Finalement, je ne me démaquillerais qu’à 22h et dormirais à nouveau en culotte et collant.
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