Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 42 J'aime
  • 2 Commentaires

NAT

Chapitre 4

Inceste
Après ce petit déjeuner, Béa nous signala qu’elle devait aller faire quelques courses en vu de la visite de ses parents. Sa fille lui demanda si elle pouvait l’accompagner quand à moi j’avais prévu de mon rendre dans un magasin de bricolage en prévision d’achat pour refaire le cellier.Je me rendis à la salle de bain, je me mis en caleçon et je commençais ma toilette quand je fus rejoins par ma femme (nous avons une double vasque). Ni une ni deux elle se déshabilla entièrement, je la regardais avec gourmandise et lui fis un compliment«Ma chérie tu es très belle ». Elle me remercia en venant me faire un baiser et me dit«Je vois que je te fais de l’effet, montre moi ça un petit peu ».Elle descendit le caleçon qui ne cachait rien de mon envie naissante et se mit à me caresser mes couilles, elle s’arrêta car elle me dit que nous allions être en retard et quand plus il fallait que Nat se prépare. Moi je n’étais pas de cet avis avec ce sexe fièrement dressé. Ma femme alla dans la douche, donc en ce qui me concernait je me mis de la mousse en vu de mon rasage quotidien.Ma fille entra dans la salle de bain sans frapper, je lui signalais qu’elle ne devait pas se gêner et me répondit avec son tact personnel«C’est ce que je fais ». Elle me regarda et se mit à rire, je me sentis grotesque nu devant ma fille la bite à moitié bandé. Elle me dit :«Papa avec cette mousse sur le visage ou dirait le père noël, tu es trop chou », à mon tour je partis dans un fou rire et lui répondis« Tu en a déjà vu des pères noël à poil, bon maintenant laisse moi finir !-A non maintenant que je suis là j’y reste ». Elle retira son maillot de basket qui lui avait servit de pyjama et commença sa toilette devant moi comme si de rien n’était, sa mère toujours en train de se doucher. Nat était à coté de moi penchée sur le lavabo pour se laver les dents. J’avais une vue imprenable sur ses seins et sur sa croupe, comme je la regardais elle me dit :«Qu’est ce que j’ai pour que tu me regardes comme ça ?-Rien je te trouve très belle ma puce c’est tout », elle sourit en me remerciant pour ce compliment. Je me délectais de ce corps à coté de moi qui même si s’était celui de ma fille n’en était pas moins une super belle minette. Nat me dit de me contrôler, inconsciemment j’avais mis ma main sur mon sexe qui était droit mais il avait de la mousse partout, en souriant elle ajouta«Papa je ne savais que tu voulais te raser là aussi ».Elle me prit le sexe en main et enleva la mousse, la coquine en profita pour le caresser et masser mes boules. Elle prenait un plaisir à m’exciter. Elle s’arrêta et m’exhiba sa chatte en me disant«Papa tu ne crois pas qu’il va falloir que je me rase ».Je la regardais de plus belle, elle était entièrement rasée et je lui dis«Je ne vois pas ou ?-Moi non plus, mais en tout cas la prochaine fois, j’aimerais que tu le fasses ».J’étais abasourdi. Cette fois Nat avait repris sa toilette (décidemment cette fille est extraordinaire).Béa sortit de la douche et j’eu juste le temps de couvrir mon sexe sacrément bandé en passant une serviette autour du ventre. Béa vu Nat nue et réprouva immédiatement sa tenue, Nat lui fit le même style de remarque en ajoutant«Décidemment vous vous êtes donné le mot, ça ne sert à rien d’avoir une grande salle de bain si on ne peut pas tous en profiter ».
Il s’en suivi une explication entre les deux femmes sur la tenue à adopter. Je préférais sortir et les laisser s’étriper, je leur signalai que j’allai faire mes achats.Je revins 2 heures plus tard le compte en banque allégé de plusieurs centaine d’euros (qu’est ce que la vie est devenue chère). A ma surprise les filles n’était toujours pas rentrées, je leur passais un coup de fil mais je n’eu aucune réponse, je me dis que cela servait à rien d’acheter des portables si ils restaient éteints. Dans l’attente de leur retour je mis la table.Béa m’appela pour me signaler qu’elle avaient décider de manger toute les deux en ville et qu’elles rentreraient dans l’après midi, je lui demandai si elle avait eu le temps de faire les courses ou si je devais les faire , elle me dit qu’elles les avaient fait et qu’elles étaient revenues les ranger, avant de raccrocher elle me dit «On t’aime ».J’étais donc seul à la maison pour l’après midi, je ne pouvais pas commencer les travaux du cellier car ils me manquaient des choses. J’allumai donc la télé (même en plein samedi il n’y a pas grand-chose). Je mis donc un DVD (une série B américaine). Dans ce film il y a eu un moment une scène de nu. Tout en regardant ça je me mis en repenser à notre toilette matinale, ma fille me disant que je ressemblais au père noël, a leur corps nue qui bien d’étant différent ne me laissait pas indifférent et puis la proposition de Nat que je m’occupe de son rasage intime, même si s’était ma fille je la désirais de plus en plus. Elle devenait comme un aimant pour moi, plus j’essayais de m’éloigner d’elle, plus elle se collait à moi. Je pris mon téléphone portable et je consultai ma messagerie. Je tombai sur le message que m’avait envoyé Nat dans la voiture, on voyait une photo d’un de ces doigt dans son intimité. Sans était trop pour moi, je baissai mon pantalon et je me masturbai en ayant qu’une seule pensée prendre ma petite salope de fille. J’allai dans la chambre de Nat prendre une de ses culottes et je déchargeai ma semence dedans (je devenais de plus en plus pervers). J’étais repu mais heureux bien que j’aurai préféré le faire dans ma femme ou sur ma fille.J’éteignis le lecteur DVD et passa à la salle de bain pour me rafraichir et me nettoyer.
Les femmes revinrent de leurs emplettes les bras chargés de paquet, je me dis qu’il n’y avait pas que moi qui avais fait chauffer la carte bleue. Béa me sauta au cou et me remercia d’avoir accepté qu’elle puisse se balader, je lui signalai en regardant les paquets qu’elles avaient fait plus que de se balader, Nat pour prendre la défense de sa mère (bizarre d’habitude elle est plutôt contre elle) me dit qu’elles me montreraient plus tard leur achats, Béa me dit « en plus tu verras pour certains choses tu vas craquer ».La sonnette de la porte d’entrée se fit entendre. Béa alla donc ouvrir, s’étaient ses parents mais ils n’étaient pas seuls, il y avait aussi sa petite nièce. Il s’en suivi des embrassades.Nat demanda à sa cousine Véro si elle voulait aller avec elle pour essayer des tenus, les deux cousines partirent directement dans la chambre de Nat. Ma belle mère nous expliqua que les parents de Véro avaient prévu de se faire un restaurant en amoureux et comme ils ne voulaient pas la laissé seule, ils nous ont demandé si on pouvait s’occuper d’elle, donc s’est pourquoi elle est avec nous. Béa signala qu’il n’y avait aucun problème et que s’était un plaisir de pouvoir profité de notre petite nièce.Béa accompagné de sa mère prirent la direction de la cuisine pour discuter et préparer le diner, quant à moi je m’occupais de l’apéritif, tandis que mon beau-père s’était déjà assis dans un canapé. J’appelai les filles pour leur demander si elles souhaitaient prendre un verre avec nous, Nat cria depuis sa chambre « on finit de s’habiller et nous arrivons de suite », les femmes vinrent nous rejoindre également.A leur vu j’eu un choc, Nat avait mis la tenue qu’on lui avait acheté lors des soldes. Elle était diablement sexy, le haut lui mettait ses seins en valeur car elle n’avait pas de sous tifs (comme lui avait suggéré sa mère lors de l’essayage) et la petite jupe du style écolière était très courte. Mais que dire de Véro qui avait mis un petit chemisier noué à la taille boutonné uniquement par deux boutons (je pu me rendre compte qu’elle avait un piercing) et un mini short.Elles étaient tout simplement bandantes on aurait dit deux petites lolitas, d’ailleurs à la vue de ses deux bombes le papy failli s’étouffé. Béa signala seulement à sa fille qu’elles auraient pu choisir une autre tenue et se leva pour aller mettre le plat au four suivi de sa mère. La température venait de grimper de plusieurs degrés et pas à cause du four. Nous vidames nos verres extrêmement vite, alors les deux petites cousines se levèrent pour nous resservir. Quand Nat se penchait tout le monde pouvait voir sa poitrine, son grand père ne se gênait pas de le faire (lors de l’achat nous nous ne sommes pas rendu compte que le décolleté était si profond et qu’il s’accentuait chaque fois qu’elle se baissait, sinon je pense que Béa ne lui aurait jamais acheté ou elle ne lui aurait jamais demandé de le porter sans soutien gorge). Je m’aperçu que Véro ne portait rien sous sa chemise, elle s’exhibait à ma vue en prenant tout son temps pour me verser une bière dans mon verre que je tenais. Je vis que Nat ne portait pas de culotte (elle n’avait pas honte de s’exhiber de la sorte et d’exciter son grand père).Après nous avoir servit et s’être servit elles allèrent s’assoir à coté de leur grand père qui était assit en face de moi.Il était aux anges entres ses deux petites chéris (je le comprenais) et malgré sa position je pus voir qu’il bandait. Il avait posé son verre et il prit les deux filles dans ces bras (j’en aurais fait autant). Le coquin en profitait pour glisser ses mains de temps en temps dans le décolleté de ces deux petites filles, ce qui apparemment n’avait pas l’air de trop les déranger car ni l’une ni l’autre esquissait le moindre geste, bien au contraire elles faisaient tout pour lui faciliter la tache. J’en étais réduit au simple rôle de spectateur tout en sirotant ma boisson. Jean mon beau père était rouge écarlate, il avait de plus en plus de mal à se concentrer sur la conversation et maintenant il était carrément en train de les peloter. Je voyais les bouts de leurs seins érigés à travers leur vêtement. Véro ondulait de plus en plus quant à Nat elle me fit un coup d’œil et écarta légèrement les jambes suffisamment pour que je puisse apercevoir son sexe. J’aurai donné cher pour être à la place de ce veinard, mais je contentais d’un rôle de voyeur.En entendant les femmes revenir, Nat resserra ses jambes quand à Jean il eu plus de mal à arrêter ce qui l’était en train de faire (on peut le comprendre), les deux coquines s’assirent de manière plus convenable.Ma belle mère en voyant son mari si bien accompagné ne put s’empêché de dire « attention les filles vous allez le tuer, allez vous assoir ailleurs », le grand père lui dit son mécontentement et qu’il était bien, Béa lui dit «Tu m’étonne papa !-Tant pis les filles et merci quand même de n’avoir fait passé un bon moment, j’ai bien dit les filles et pas vous les deux rabat-joies, n’est pas ma fille ou mon épouse». Ces paroles déclenchèrent une hilarité générale. Le four nous rappela qu’il fallait passer à table. En passa devant moi ma puce adoré se colla contre moi et me dit à l’oreille «Papa as-tu apprécié, tu n’es pas trop frustré mais ne t’inquiète pas ton tour viendra !-Au vue de ce spectacle il me tarde ma petite chérie !-Ne t’inquiètes pas, en tout cas, je vais mettre une culotte car je dégouline» tout en me parlant elle glissa un doigt dans ma bouche« Tiens une récompense lèches le, il a bon gout n’est-ce pas ? » et dire que je ne l’ai même pas vu se doigter (quelle salope devant toute sa famille).Béa nous interpella « Arrêtez tout les deux avec vos messes basses et allez tout le monde à table ». Nat demanda si elle pouvait aller aux toilettes et appela Véro qui l’a suivi sans discuter. Jean nous demanda pourquoi quand une fille veut aller aux toilette toutes les autres suivent, sa femme Carole lui dit que de toute manière nous les hommes nous ne comprendrons jamais les femmes. Effectivement je ne comprends pas mais je ne cherche pas à comprendre les femmes qui se comportent de la sorte, je les admire.Dès le retour des filles nous priment place à table. J’étais assis à coté de ma belle mère carole, jean était à coté de Béa et en face de moi. Les filles se retrouvaient de chaque coté de la table, Véro se trouvant du coté des hommes. Béa choisit cette disposition pour des questions de commodité, mais surtout pour que sa mère se lève car elle voulait aider sa fille.Les mets étaient succulents (ma petite femme est un fin cordon bleu) et le vin coulait à flots. Carole s’inquiéta de voir ses petites filles boire également, Béa lui dit de ne pas s’en faire qu’elles sont grandes, Carole signala que Véronique n’avait pas encore l’âge boire. Véro dit« Mamie dans trois mois j’aurais 18 ans et de plus j’ai déjà bu avec mes copines ». Pour couper court à cette discussion Béa rajouta qu’elles étaient grandes et qu’il n’y avait pas de problème du temps qu’elles restaient raisonnable.Quant à Jean ce n’était pas la discussion qui l’intéressait mais bien plus la bouteille, en effet il n’attendait pas qu’on le resserve il s’en chargeait seul. Il ne devait pas être le seul à boire car je venais d’ouvrir la quatrième bouteille. Les discussions allaient bon train, Jusqu’au moment ou les petites posèrent des questions à propos des élections et pour qui il fallait voter (c’était normal qu’elle s’intéresse à un sujet d’actualité) mais connaissant les idées bien arrêtées de jean je me suis dit que la elles avaient fait une boulette. Effectivement jean s’emporta, il faisait des grands gestes et criait pratiquement, sa femme essaya de le calmer mais lui était partit dans un discours digne des plus grand politicien Jusqu’au moment ou dans un excès de démonstration sa main heurta son verre de vin ce qui fit tomber le contenu sur ma femme Béa. Comme par magie il s’arrêta, il était gêné, il regardait sa fille couverte de vin, Béa avait beau dire que ce n’était pas grave, il ne l’acceptait pas.Carole lui dit alors«Mais tu vois il y a des points positifs ; Premièrement on n’a arrêté de parler de politique, deuxièmement voila un verre qui ne finira pas dans ton estomac et troisièmement pendant que ta fille va se changer je vais en profiter pour aller faire pipi », ces paroles nous firent tous rire.Nous étions en train de parler des études avec les filles quand les femmes revinrent. Jean fut le premier de la tablée à voir sa fille et ne put s’empêcher de dire qu’il avait fait une très belle fille, je me retournais et effectivement elle était belle mais le mot sexy aurait été plus adapté. A ses dires Béa se retourna comme un mannequin pour mieux faire voir sa tenue. Elle avait revêtit une robe avec un décolleté vertigineux, je dois dire que le dos était à l’unisson car il ouvert jusqu’à la naissance des fesses et elle était coupée de chaque coté laissant apparaitre le haut de ses jambes à chaque pas qu’elle faisait. Béa nous signala qu’elle avait acheté en vue d’une soirée que nous aurions du passer et qui avait été annulé au dernier moment. Nat dit à sa grand-mère «Tout à l’heure tu nous as dit que l’on a failli tuer papy par contre je crois que la il va mourir ». Nous nous retournions tous vers Jean, il était scotché la bouche ouverte le verre à la main, nous avons éclatés de rire ce qui le sorti de ses rêveries.Je le comprenais, il avait à coté de lui deux filles en tenue de lolita ultra légère et une femme en tenue de femme fatale, je dois dire que moi aussi j’en salivais.  Béa dit « la récré est finie, passez à table je vais chercher la salade et toi chéri ressert nous à peu de ton délicieux nectar», je servis tout et même Jean me tendis le verre bien qu’il l’avait fait depuis l’accident.Je voyais que Jean ne savait pas ou donner des yeux entre les décolletés de Béa et celui de sa petite fille, je m’aperçu qu’il reluquait principalement ma femme. Il buvait toujours autant mais maintenant une main avait disparu de dessus la table. Béa me demanda si je pouvais aller chercher le fromage et autre bouteille car elle en avait un peu marre de se lever. J’acceptai en déclinant l’aide de carole.En me dirigeant vers la cuisine, je vis que mon beau père avait la main sur la cuisse de sa fille (j’eu envie de les étrangler mais je ne fis rien pour ne pas faire un drame).Je fus rejoins par ma fille Nat dans la cuisine et à la vue de ma tête elle me demandait ce qui n’allait pas, je lui répondis que tout allait bien et je me remis à mettre le fromage sur un plateau, un dialogue s’instaura entre nous« Mais si papa, Tu es tout bizarre depuis que maman a changé de tenu. Il y a quelque chose qui cloche !-Je te dis que non !— C’est maman qui te fait craquer dans cette tenue, elle te donne envie ?— Ce n’est pas ça » je ne voulais pas lui dire ce que je venais de voir !— Et moi je te fais envie » elle m’attrapa et m’embrassa fougueusement« Qu’as tu fais ?-J’en avais envie c’est tout ».A mon tour je l’embrassai et je me mis à lui peloter les seins et lui caresser son sexe à travers la culotte. Elle se recula en me disant « j’espère que tu ça t’as aidé à retrouver le moral » je l’embrassai cette fois sur la joue et lui dis«Oui ça va mieux et merci encore ».Nous retournâmes à table, elle avec le plateau de fromage et moi avec une bouteille de vin.Ma femme Béa avait le visage empourpré et cela ne devait pas être du qu’a l’alcool car son père avait toujours une main sous la table. Les filles nous demandèrent si elles pouvaient sortir de table ne désirant pas de dessert, Béa eu beaucoup de mal pour répondre. Moi je proposais donc de débarrasser les assiettes mais cette fois en acceptant l’aide de ma belle maman. Le temps de ranger tous les couverts dans le lave-vaisselle. Carole proposa le dessert mais personne n’en voulu. Elle prépara donc le café en me disant «Thomas retournes à table j’arrive ».Jean et Béa n’ont pas du m’entendre arriver car je fus stupéfaits par ce que je vis. Il lui léchait les seins pendant d’une de ses main besognait son sexe et Béa masturbait son père. A pas de loup se retournais à la cuisine, je dis à carole«Comme il n’y a plus d’eau à table je suis venu en chercher !-Ce n’est pas grave, le café est prêt. Je l’amène ». Je dis en criant pratiquement«Le café est prêt, nous arrivons de suite !-Mais Thomas, pourquoi parles-tu si fort ?-Désolé, je ne me suis pas rendu compte !-En tout cas mes tympans s’en sont aperçus».Une fois à table je fus soulager de voir qu’ils n’avaient entendu, certes ils étaient rouge écarlate mais au moins carole n’avait rien vu.Papy était déjà fortement alcoolisé et carole passablement fatiguée, Béa leur proposa de rester dormir. Je me dis et bien voyons. Quand Véro apprit la nouvelle elle fût ravit et me fit un bisou pour me remercier, je fus surpris car j’étais le seul à y avoir droit. Béa alla préparer la chambre d’ami pendant que Carole se préparait dans la salle de bain. Jean me demanda « maintenant que je part pas on le bois ce digestif ». On se servit un petit armagnac. Nous étions assis sur le canapé quand Carole vint nous dire bonsoir en nuisette. J’eu un beau spectacle au moment ou carole se pencha pour m’embrasser (elle est encore très belle malgré ses soixante ans et ses seins on l’air d’être encore ferme), quant elle embrassa son mari ce dernier ne put s’empêcher de l’attirer vers lui pour l’a caressé ce qui dévoila le bas (belle paire de fesse) mais il ne se contenta pas de lui caresser les seins, il lui posa la main sur sa chatte velue. Carole se recula immédiatement et en me regardant elle eu un petit sourire. Elle signala à son mari que s’était un gougeât.Béa vint nous rejoindre, elle avait gardé se robe. Elle alluma la télé et se mis entre nous deux. Nous regardions les infos et pour seule lumière il y avait que celle fournit par la télé.Béa mit sa main sur mon entrejambe, je posai ma main sur ma cuisse et commença une caresse, elle entreprit de déboutonner ma braguette.Je remontai le long de sa cuisse jusqu’à sa culotte (surprise elle l’avait retirée) pour m’aider elle avait écarté les jambes. Son clito était trempé, je l’a masturbai en alternant des sollicitations du clito et des pénétrations de son vagin.Je m’arrêtai net quand je senti la main de Jean à coté de la mienne, Béa me supplia de continuer ce que refusas de faire. En me levant je vis que ma femme avait le sexe de son père dans sa main et une partie de sa robe dévoilait un sein. J’allai partir quand je l’entendis gémir, son père m’avait remplacé. Je me penchai donc pour l’embrasser lorsqu’elle me dit«Oh oui, oh oui je t’aime mon amour !-Moi aussi je t’aime, amuses toi bien ». Elle me remercia, elle se pencha alors sur son père, lui dit « Papa il y a longtemps » et mit son sexe dans sa bouche.Je partis direction ma chambre en disant que je connaissais très mal ma femme.
Diffuse en direct !
Regarder son live