Pendant quelques jours, nous n’avons pas eu droit à d’autres cours, nous avions mis en pratique le premier plusieurs fois par jour ma sœur et moi, elle prenait beaucoup de plaisir en se masturbant pendant que je lui suçais les tétons. La voir jouir m’excitait terriblement, et je jouissais moi aussi bien plus intensément. Le soir venu, tous devant la télévision comme souvent, ma mère brisa le silence : — Je pensais vous donner un nouveau cours... Sans la laisser terminer j’éteignais la télévision, répondant oui, oui, oui ! — Une petite seconde dit-elle, avant de passer à autre chose, il faut qu’on vérifie que vous avez bien compris la dernière leçon. Vous allez, tous les deux, chacun votre tour, me caresser les seins pour que je constate votre dextérité.— Moi aussi ? dis ma sœur— Si tu veux bien oui, nous pensons que si on vous instruit sur le sexe, il faut que ce soit aussi bien le sexe hétérosexuel, qu’homosexuel, expliqua mon père— Ca veut dire que l’on fera aussi des choses tous les deux ? l’interrogeais-je— Oui, si tu es d’accord bien sûr, mais comme on vous l’a toujours appris, avant de décider ce qu’on aime, et ce que l’on n’aime pas, il faut essayer, ajouta ma mère. J’acquiesçais, sans grande conviction. Elle se tourna vers moi en tendant la poitrine et m’invita donc à la caresser, je m’exécutais, en m’appliquant autant que possible. Le souffle de ma mère s’accéléra alors que j’aspirais ses tétons. Elle me repoussa gentiment, et fis signe à ma sœur de prendre ma place. Ce spectacle me fit bander à m’en faire mal, mais je ne touchais pas mon sexe, trop absorbé par cette scène. Une fois satisfaite, ma mère déclara : - Je pense que vous avez bien compris, avant de continuer, je pense que nous pourrions tous les trois, chacun notre tour, nous occuper de ta poitrine ma chérie. Joignant le geste à la parole elle avait déjà commencé à masser les seins de ma sœur. Je fus le suivant à m’occuper de ces jolis petits seins, avant de céder la place à mon père, quand il lui mordilla les tétons, elle ne put s’empêcher de glisser sa main entre ses cuisses et jouis en quelques secondes. - Et si nous commencions la deuxième leçon, que diriez-vous de vous faire jouir mutuellement avec vos mains, nous demanda mon père. Ma sœur dévorait ma bite du regard. Moi j’allais enfin pouvoir toucher le fruit défendu, cette petite chatte que j’avais vu jouir de nombreuses fois maintenant. - Je pense qu’on va commencer par ces messieurs, dis ma mère en empoignant le sexe de mon père. Le truc avec les hommes, c’est de pas serrer trop fort, et de faire aller et venir ta main sur la verge, avec la deuxième tu peux tout doucement masser les testicules, voire même caresser gentiment l’anus, elle joignait les gestes à ses paroles. En accélérant son mouvement, elle précise - L’important, quand on caresse quelqu’un d’autre, c’est de s’adapter aux réactions, et aux demandes de son partenaire, vous voyez, le corps de votre père se tend, il respire de plus en plus fort, du coup j’accélère mon mouvement, en surveillant que je ne lui fais pas mal.— Continue je vais jouir, dis mon père haletant.
Ma mère accéléra encore un peu son mouvement, après avoir craché dans sa main. — C’est important de lubrifier un peu sa main, la salive est un bon lubrifiant, la cyprine aussi, le liquide pré séminal qui s’écoule du gland ou alors simplement un lubrifiant vendu dans le commerce marchent très bien. Alors qu’elle expliquait en accélérant son mouvement, le corps de mon père se raidi, et il jouit un premier long jet de sperme, puis deux autre moins fort. Après s’être laver les mains, ma mère revint s’assoir près de mon père et ouvrit largement ses cuisses. Mon père entreprit alors de nous expliquer comment il caresse une femme : - Avec une femme, c’est important de faire monter le désir. On peut évidemment se jeter sur le clitoris, mais ce n’est pas toujours la meilleure solution. Je préfère commencer par caresser l’intérieur des cuisses, le mont de venus, passer doucement mes doigts sur les grandes lèvres. Alors que mon père s’amusait à la chauffer, ma mère ondulait du bassin, comme pour amener les doigts de mon père plus près de sa vulve. Vous voyez, le corps de votre mère parle pour elle, et je ne vais pas la torturer plus longtemps. Le clitoris est très important, mais il ne faut pas négliger le reste. Comme pour l’homme, c’est important de bien lubrifié vos doigts, en caressant l’entrée du vagin vous pouvez récupérer de la cyprine, et la ramener tout doucement vers le clitoris, en faisant de petit cercle autour de celui-ci vous faites monter le plaisir. Ma mère gémissait maintenant bruyamment. En soit ça peut déjà être suffisant en adaptant le rythme aux réactions de votre partenaire. Mais vous pouvez aussi insérer un doigt ou plusieurs dans le vagin. Ma mère ouvrit grand la bouche alors que l’index et le majeur de mon père coulissaient dans son vagin, pendant que son autre main continuait à masser son clitoris. Et bien sûr, si votre partenaire apprécie ce genre de gestes, vous pouvez aussi lui caresser l’anus, son index couvert de cyprine commença à masser l’anus de ma mère, avant de s’introduire doucement dans celui-ci.C’en fut trop pour ma mère qui fut traversé par un orgasme secouant tout son corps. Laissant ma mère savourer son plaisir, mon père partit se laver les mains. Nous trépignions d’impatience à l’idée de passer au travaux pratiques. Après avoir repris ses esprits ma mère s’adressa à moi. - Avant de commencer tu vas expliquer à ta sœur ce que tu aimes et n’aimes pas. J’expliquais donc que j’aimais prendre mon temps, et masser mes testicules, mais que je n’appréciais pas particulièrement les caresses anales. Sous le regard bienveillant de mes parents, ma sœur pris mon sexe en mains et récupérant le liquide pré séminal que j’avais produit abondamment, fis coulisser ses mains le long de ma tige. C’était fantastique, c’était la première fois que quelqu’un d’autre touchait mon sexe, et je sentais bien que je n’allais pas tenir bien longtemps. Lorsque ma sœur entreprit de masser délicatement mes testicules, je lui annonçais à bout de souffle que j’allais jouir avant de lui couvrir les mains, et les avant-bras, de sperme. J’avais l’impression de flotter sur un nuage. Ma sœur regarda ses mains amusée, et visiblement fière du résultat, elle passa sa langue sur ses doigts, appréciant visiblement le gout de ma semence, avant de partir se laver les mains. - A mon tour, dit-elle revenant s’asseoir en sautillant Suivant les conseils de mon père je commençais par glisser mes doigts tout autour de son sexe, mais bien vite, je cédais à la tentation de caresser de mes doigts son clitoris et le reste de sa vulve, elle gémit vite très bruyamment, et je compris rapidement que son orgasme était proche. Au moment où je fis coulisser mon majeur à l’entrée de son vagin elle me demanda de ne pas aller plus loin, car elle avait peur d’avoir mal. Elle prit mon doigt et le déposa sur son anus, sans trop réfléchir je massais celui-ci avec la pulpe de mon doigt trempée de cyprine. Au moment où j’insérais le bout de celui-ci dans son anus, elle explosa, son corps fut secoué dans tous les sens, et elle perdit conscience quelques centième de seconde. Avant de la libérée je passais mon index tout le long de sa fente, avant de le porter à ma bouche pour goûter ce liquide gluant. - Un peu salé, mais pas mauvais. Dis-je en souriant Quand je revins de mon lavage de main, ma sœur reprenait ses esprits tout doucement. - C’est la première fois que je jouis aussi fort, dit-elle, ça n’a rien à voir avec les fois où je le fais seule. - C’est normal répondit ma mère, l’excitation est bien plus forte. - N’oubliez pas les enfants, maintenant vous pouvez si vous êtes tous les deux d’accord, vous faire plaisir mutuellement, mais rien de plus. - Oui papa, dis ma sœur. On reverra cette leçon-là avec vous avant le prochain cours ? - C’est une bonne idée, dis ma mère, c’est tout pour ce soir, une douche et au dodo mes deux petits cochons.
