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NCIS Enquetes Spéciales - Sous couverture

Chapitre 2

Avec plusieurs hommes
— Oh, elle est vraiment magnifique, Jethro ! s’exclama Ducky en découvrant le cadavre d’une si jolie jeune femme.— Elle s’appelle Sophie Ranier. Cette beauté a tué plus de vingt-cinq personnes, répondit Gibbs.— Et son copain ?— C’est son mari, Jean-Paul Ranier. Cittoyens canadiens tous les deux? Métier: tueurs à gages !— Elle a une multitude de blessures très graves, ça prendra un certain temps pour déerminer la cause du décès.— Ils se sont tués dans un accident de voiture il y a deux jours au Koweït devant l’aéroport. Le compte-rendu de l’accident, dit Gibbs en lui tendant le dossier. — Je présume que c’est urgent... J’ai attendu trois mois pour voir Gisèle...— Je suis désolé pour ta petite amie, Ducky, mais je suis obligé de...— Gisèle est un balai, Gibbs ! Il faudrait vraiment que vous sortiez un peu plus de votre cave, dit le directeur Jenny Shepard avec son ton lourd de sous-entendus, qui venait de faire son entrée dans la salle d’autopsie. Il faudra nous donner tous les détails que vous pourrez sur ces deux-là, reprit-elle en se tournant vers le médecin légiste.— Qu’est-ce que le NCIS vient faire là-dedans ?— La police des Marines a trouvé dans leurs bagages deux faux passeports américains et deux billets pour Washington, dit le directeur.— Ils ont réservé l’hôtel Barclay jusqu-au 10 novembre, Ducky, dit Gibbs.— Juste pour le gala des Marines ? demanda le docteur.— Qui se tient au Barclay et qui est présidé par le commandant du corps des Marines, répondit Gibbs.— Tous les plus hauts chefs militaires, membres du congrès et directeurs des agences seront présents. Et moi également, annonça le directeur.— Tony et Ziva sont déjà dans leur chambre réservée à l’hôtel Barclay, dit Gibbs. Ils se font passer pour le couple Ranier... Et ce n’est pas sans danger.— C’est à vous de leur donner les renseignements les plus intimes, disons personnels, concernant ce couple, dit Jenny.— Oh, bien que j’ai la réputation, enfin la manie de discuter avec mes patients, j’avoue que jusqu’à ce jour, aucun d’eux ne m’a fait l’honneur de me répondre, dit Ducky.— Dans l’oreille, suggéra Gibbs avant de s’en aller.Tony et Ziva se trouvaient dans leurs chambre, allongés sur leur lit. Ziva caressait le torse de Tony. Elle était vêtue d’une simple chemise de nuit, tandis que lui était nu, sous la couverture.— Oh, trésor, tu sais ce qui me ferait un plaisir fou? demanda Tony.— Du déodorant ? répondit Ziva en sentant son aisselle.— J’avoue que je pencherais davantage pour un petit massage...— Excellente idée ! tu vas te retourner sur le ventre, mon amour, dit Ziva tandis que son collègue s’exécutait. Alors, elle s’assit sur lui.— Oh.. gémit-il en sentant les mains expertes de Ziva sur sa nuque. Et dire que ma mère trouvait que son fils était trop bien pour toi...
Ziva serra si fort sa nuque que Tony gémit, de douleur cette foi-ci. ---Alors qu’une personne les observait à leur insu à l’aide de micros et caméra à rayon laser depuis l’immeuble d’en face, une deuxième entra dans cette petite pièce. — Qu’est-ce que j’ai manqué ? demanda l’homme.— Un record sexuel, répondit la femme en soupirant.— Ils ont eu des contacts avec quelqu’un ?— Rien qu’entre eux... Et à de nombreuses reprises.— Oui, ça t’as fait quoi ?La femme soupira et, resserant le casque sur ses oreilles, dis:— Attends, je pense qu’on cogne à la porte."- Qu’est-ce que c’est ? entendit-on Ziva demander au travers du casque de la femme.— Service d’étage", répondit McGee.— Le garçon d’étage, dit la femme.--- — Le Barclay vous présente ses compliments, annonça McGee en entrant dans la chambre avec son chariot, habillé en groom. Ziva ferma les rideaux.— Gibbs veu que je vérifie s-il y a des micros, et que j’en place quelques uns à nous, il veut te parler, chuchota McGee à Tony tandis que celui-ci metait une oreillette.— Posez tout ça là, merci, dit Ziva.— Tout de suite, Madame. — Hum, s’il vous plaît ? Je voudrai des serviettes de toilette en plus, demanda Ziva.— Je vous les apporte. Je vois si tout marche bien et je vous laisse, dit McGee en promenant un détécteur de micro dans la pièce. Je dis à la femme de chambre de venir refaire le lit, oui ?— Oh, ce ne sera pas nécessaire, dit Tony.— Oui, et vous voulez bien voir le minibar ? Ils nous faudrait d’autres boissons aux gingembre.— Très bien. Vous n’allez pas pouvoir dormir, madame.— Exactement, dis Ziva avec un sourire coquin.Soudain McGee leur fit signe qu’il venait de trouver un micro sur une table. Il posa alors la cloche du plateau qu’il apportait dessus.— Si vous voulez bien accepter ce plateau de fromage avec les compliments de l’hôtel, dit-il.--- — Qu’y a-til ? demanda l’homme, dans l’immeuble d’en face.— Le garçon a posé son plateau sur notre micro, répondit la femme.— Les conclusions qui s’imposent ?— On est repérés.— Pas du tout ! Tu veux jouer les femmes de chambre, Maya ?Cette dernière fit la moue et ne prit pas la peine de répondre.---— Si tu murmures ça sera parfait, chuchota McGee à l’oreille de Tony.— La vie est belle, DiNozzo ? demanda la voix de Gibbs dans l’oreillette de Tony.— Ca va, oui, j’y travaille. Pourquoi cette question ?— Je vous signale qu’on vous regarde, agent DiNozzo. On voit tout de vous, dit le directeur Shepard, un peu émoustillée de voir un sexe aussi beau.Ziva eu un rictus moqueur. Le bouchon de la bouteille de champagne que tenait DiNozzo sauta, et celui-ci réalisa soudain de quelle manière ses supérieurs pouvaient le voir. Il referma przécipitamment son peignoir.— Navré, euh, j’oubliais que...— DiNozzo, qu’est-ce que vous fichez ? tonna Gibbs. Vous remplacez des tueurs à gage, pas des tourtereaux en pleine pavoison !— En fait c’était l’idée de Ziva patron !Le téléphone de la chambre sonna soudain et Tony murmura:— On nous appelle.— Dites lui de décrocher, ordonna Jenny Shepard.— Dis chérie, dit-il en se tournant vers Ziva, ça t’ennuie de répondre au téléphone pendant que je nous sers un peu de ce doux brevage ? Merci, chérie, dit-il en la voyant se diriger vers le téléphone.— J’écoute, dit-elle.— Il y a un téléphone portable dans la bible près de votre lit, dit une voix masculine. Ziva regarda et trouva le téléphone.— Je l’ai. — Gardez le toujoujours a portée de main. Vous avez une table réservée au restaurant de l’hôtel à 21 heure, ne soyez pas en retard, dit l’homme avant de raccrocher.— Le concierge, dit Ziva en se tournant vers Tony. Il a fait des miracles, il a réussi à nous trouver une table, chéri. Tu auras la joie de me re-déshabiller après le diner ! ajouta-t-elle avec son famaux sourire coquin plein de sous-entendus. Alors Tony fit un clin d’oeil à McGee qui le regardait d’un air jaloux. Au MTAC, la salle de conférence vidéo depuis laquelle Gibbs et le directeur Shepard observaient la scène depuis le début, Gibbs dit:— Ce n’était pas le concierge, c’était leur contact.— J’avait deviné Jethro, Merci ! dit Jenny en lui faisant face. Tu sais, voir DiNozzo nu m’a rendue toute chose, dit-elle avec assurance. Elle l’embrassa alors tendrement, et appela les deux techniciens qui travaillaient sur de ordinateurs à côté:— Et si, tous les trois, vous me prouviez que je ne suis pas si vieille et repoussante que j’ai tendance à le croire ? demanda-t-elle en retirant sa veste, qu’elle posa sur les sièges. Elle sorti son chemisier de se jupe, en défit les boutons un à un, avant de la poser à son tour sur la chaise, puis son soutien-gorge, dévoilan sa somptueuse poitrine qui devait tailler aux alentours du bonnet D. Elle se retrouvait alors en jupe seulement devant son "ancien" amant qui était désormais sous ses ordres, ainsi que devant deux techniciens dont elle ignorait même les noms. Elle s’agenouilla et défit les boutons du pantalon de Gibbs afin de découvrir à nouveau ce sexe qui lui manquait tant. Les deux techniciens se déshabillèrent intégralement. Le directeur porta à la bouche le sexe de Gibbs, qui était bien gros, plus impressionant que celui de DiNozzo, mais elle se promit quand même de goûter à celui-ci aussi dès que possible. Puis elle passa à celui d’un technicien, puis au deuxième, alternant bisous sur le gland, léchage du sexe complet, cravate du notaire, branlette espagnole, gorge profonde, et sans oublier les bifles qu’elle recevait de chaque homme. Elle n’oubliait évidemment pas les testicules de ses trois collègues, qu’elle malaxait et embrassait. Un des technicien défit sa coiffure, et ses cheveux tombèrent sur ses épaules. Il frotta son sexe sur son visage, le passa dans ses cheveux, sur ses seins... Jenny adorait ça. Ca faisait longtemps qu’elle était inactive sexuellement, même si elle se masturbait tous les jours. Au bout de vingt minutes, elle se releva, embrassa chacun leur tour les trois hommes, leur tourna le dos et, se penchant en avant, défi la fermeture éclair de sa jupe, dévoilant des fesses à croquer et un string noir, qu’elle ôta en suivant. Un des technicien passa ses mains sur ses fesses, et mit sans plus attendre un doigt dans on petit trou. Jenny le repoussa doucement en lui disant:— Pas tout de suite, chéri !Elle se retourna et ils l’admirèrent, blanche, avec ses cheveux roux, ses seins qui tombaient juste un peu, son pubis totalement épilé (son abstinence ne l’empechait pas de prendre soin de son corps)... Gibbs la prit par la taille et l’embrassa, puis la saisit en dessous des fesses, la souleva. Jenny referma ses jambes derrière lui et positionna son gros sexe contre son vagin, et Gibbs entra d’un coup. Il la faisait monter et descendre sur son sexe de plus en plus rapidement, et, n’y tenant plus, le technicien qui voulait passer par derrière revint à la charge. Elle tenta de le repousser mais le second technicien lui attrapa les mains et les attacha derrière la nuque de Gibbs avec des menottes. Celui-ci ralentit la cadence afin de permettre au technicien et lécher l’anus du directeur pour préparer le terrain. Jenny adorait être soumise, totalement à la merci de ces trois hommes qui étaient bien en-dessous d’elle d’un point de vue hiérarchique. Elle était perdue dans le bonheur qu’elle éprouvait grâce à l’engin de Gibbs, et sursauta quand elle sentit le technicien entrer en elle par derrière.Elle se rapprochait de plus en plus de l’orgasme, criait à gorge déployée. Le second technicient approcha une chaise, monta dessus eu enfonça son sexe dans la bouche de Jenny alors que celle-ci avait les yeux fermés, de ce fait elle fallit s’étouffer. Elle jouit quelques secondes après, avec un sexe "d’inconnu" dans la bouche, un sexe "d’inconnu" dans l’anus et le sexe de l’homme qu’elle aimait dans le vagin. Tous trois se retirèrent, Gibbs la reposa par terre et aussitôt, d’elle-même, elle s’agenouilla et recommença comme au début, branlette espagnole, gorge profonde, bisous.. Enfin, un technicien jouit partout sur son visage, dans ses cheveux, mais elle garda la bouche fermée, ainsi que pour le second technicien. Gibbs fut le dernier, cette fois-ci, elle prit son sexe en bouche et ne le lacha qu’une fois qu’il eût joui, avala ainsi l’intégralité de son sperme. Elle se releva alors, embrassa de nouveux les trois hommes, prit ses affaires dans les bras, sse dirigea, nue, vers la sortie, et la main sur la poignée de porte, se retourna et leur dit:— Inutile de préciser que si vous répétez ce qu’il vient de se passer, vous aurez à faire à moi. En revanche, si vous vous taisez...Elle leur fit un clin d’oeil coquin, et sorti, totalement nue, ses vêtements dans les bras, et se dirigea vers son bureau. Les trois hommes se rhabillèrent et, sans un mot, retournèrent travailler.
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