Alors que la neige tombe abondamment et recouvre de son blanc manteau la montagne environnante et le chalet, à l’intérieur un feu crépite doucement entourant de sa douce chaleur le corps des deux amants nus étendus serrés l’un contre l’autre. La large main d’Olivier glissa doucement vers le sein de sa compagne. Le souffle chaud dans sa nuque lui faisait un million de petites décharges électriques. Anne l’entendait respirer calmement ! Elle sourit heureuse de le sentir contre elle, l’enveloppant de sa force ! Un léger mouvement de son bassin contre le sien commença à réveiller son sceptre ardant. Avec un sourire malicieux, elle continua et accentua son déhanchement jusqu’à une invitation voluptueuse. Le gémissement qui s’échappait de sa bouche lui indiqua que son Viking commençait à se réveiller et à venir la rejoindre dans le monde des sens. Sa main se fît plus ferme autour de son sein, son bras ramena son corps au plus près du sien ! Son autre main glissa vers sa caverne chaude et humide déjà bien visitée depuis ces dernières heures ! Très vite, Olivier se mit à lui caresser son petit bouton et à jouer avec ces lèvres. Anne ne pouvait le voir, mais elle savait qu’il souriait dans sa barbe de son geste et de la réaction que cela allait lui faire. Elle ne pouvait se tortillait et gémir de plaisir. Maintenant Anne voulait se défaire de son étreinte pour pouvoir aller plus loin, mais lui avait décidé de jouer. On ne le réveillait pas aussi impunément même si c’était pour goûter encore à ce nectar qu’il sentait couler le long de ces doigts au fur et à mesure qu’il jouait. Doucement Olivier se mit à lui mordiller le lobe de l’oreille ajoutant encore à ce déferlement de sensation qu’elle avait ! Anne se mouvait comme un serpent le long de son corps provocant chez lui aussi, un profond plaisir ! Alors qu’Olivier accentua sa pression sur son petit bouton, elle offrit sans le vouloir l’accès direct à sa fleur vierge ! Alors que rien n’avait été préparé sur le sujet, Olivier l’a pénétra de toute sa force amoureuse. Il l’a senti, se raidir un peu devant cette intrusion imprévue, mais oh combien délicieuse. Il se fit plus présent sur son intimité et sur ces baisers. Peu à peu, Olivier sentit ce doux sanctuaire se détendre et se remettre à gémir. Malgré la douleur de cette venue soudaine, elle devait bien admettre que cela lui faisait plaisir de se sentir ainsi totalement prise par son vigoureux Viking. Ainsi elle lui appartenait entièrement et elle aimait le savoir. Doucement, elle se remit à onduler. Anne pouvait le sentir en elle avec une joie non dissimulée. Leurs deux corps imbriqués l’un dans l’autre prirent le même rythme et continuèrent à se faire monter cette douce pression ! Elle se sentait se détendre complètement, son corps avait accepté ce pénis aventureux qui lui rendait bien ! Jamais elle n’aurait cru éprouver du désir et du plaisir de la sorte ! Anne était heureuse et cela s’en ressentait, car elle s’ouvrait encore plus ! Son corps était devenu complètement réceptif au plaisir charnel ! Les respirations devenaient de plus en plus haletantes, les corps de plus en plus brûlants ! Les ondulations de plus en plus rapides, les gémissements de plus en plus forts, la pression des mains, des corps de plus en plus intenses ! Il était là, il arrivait, conquérant ! L’orgasme fut libérateur de toute cette pression, les soubresauts de son corps étaient révélateurs de la puissance qu’il avait été ! Anne demandait grâce, mais il était un orgasme à venir encore ! Olivier avait satisfait son envie de lui faire plaisir, il n’en avait pas pour autant fini avec sa maîtresse ! Il emprisonna ces hanches rondes dans ces mains et commença à lui pilonner son arrière-train avec force. Malgré la douleur de l’acte vue que c’était sa première fois, celle-ci s’était évaporée, submergée par le plaisir qu’Anne éprouvait à le sentir l’envahir ainsi ! Elle le sentait palpiter, ces mains se crispèrent et Olivier explosa dans ces entrailles !
Elle l’entendit gémir et la serrer fort contre lui ! La surprise était tellement intense qu’aucun son ne sortit de sa bouche. Anne était partie ! Son corps ne lui appartenait plus ! Elle flottait ! Du revers de sa main Olivier lui caressa la joue et tourna son visage vers lui ! Leurs bouches se joignirent avec douceur dans un baiser tendre et fort ! Il se retira délicatement, Anne se retourna vers lui et vient enfouir son visage dans la toison dorée de sa poitrine. Elle voulait rester ainsi encore un moment avant de reprendre pied. Il lui enserra la taille et la câlina un moment. Les deux amants s’endormirent sans s’en apercevoir. Ce fut le craquement du bois dans le foyer de la cheminée qui extirpa Olivier de son sommeil ! Il regarde Anne avec son sourire charmeur ! Malgré sa barbe, il était difficile de ne pas le voir ! Discrètement Olivier se leva et alla prendre une bonne douche ! À demi endormie, Anne l’observa alors qu’il allait à la salle de bains ! Il n’avait pas un corps parfait, peu importe ! Pour elle, il l’était ! Elle admirait son cul ! Mais ce cul qui lui donnait envie de le malaxer ! Ces épaules puissantes qui inspirent la force et la douceur ! Anne s’étira langoureusement devant le feu, et à son tour se leva ! Un peu plus difficilement ! Son derrière était légèrement douloureux ! Mais c’était pour la bonne cause, pensa telle avec un léger sourire. Nue, elle alla dehors ! Le vent frais la fit frémir ! Dehors la nuit avait englouti le chalet et la montagne, la neige continuait de tombait, c’était magnifique ! Soudainement, elle se sentit soulevée de terre ! Tout à ces pensées, elle n’avait pas entendu Olivier sortir de la douche et venir la rejoindre sous le porche du chalet ! Il l’a déposa délicatement et ensemble ils admirèrent la neige tomber. Elle se dégagea et fila à son tour vers la salle de bains se réchauffer. Pendant qu’Anne prenait sa douche, Olivier s’affaira en cuisine et leur prépara à manger. Il installa devant la cheminée sur la table basse, deux assiettes, déboucha une bonne bouteille de vin et attendit sa déesse ! Loin d’être dans son habitude, elle sortit nue comme un ver et s’approcha de lui, comme une plume, elle déposa sa main sur son épaule et la caressa pendant qu’elle faisait le tour du canapé pour venir le rejoindre. Il lui tendit son verre de vin. Au fur et à mesure du dîner, elle sentait le désir montait au fond d’elle à force de regarder son beau viking. Elle ne pouvait s’empêcher de le dévorer des yeux. Elle gravait son image au fond de son cœur comme un tableau. Elle se pencha vers Olivier et déposa un baiser sans trêve sur ces lèvres. Les mains d’Olivier dessinaient du bout de ces doigts le corps d’Anne ! Elle se sentait possédée par cet amour invisible et pourtant si présent dans chaque mouvement, souffle, caresse, enlacement. Anne sans l’ombre d’une hésitation enfourcha sa monture ! Tout juste sorti de son fourreau, il fût englouti par cette brûlante caverne qui aime se cacher et se faire désirer ! Anne le chevauchait sur le canapé avec toute la puissance dont elle pouvait faire preuve, elle avait envie et se montrait chienne ! Olivier le compris très vite et sans l’ombre d’une hésitation, là renversa sur le canapé et décida de répondre à sa force par la sienne. Elle aimait de se sentir soumise et lui conquérant. Dans le silence de la montagne enneigée, ce n’est plus les cris des animaux nocturnes, mais les hurlements de plaisirs des amants. Fin
