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Nicole, prête à tout

Chapitre 2

Travesti / Trans
En fin d’après-midi, Igor me demanda de le suivre. Il me fit entrer dans la maison dont je ne connaissais que le vestibule et les cuisines. Cette fois, je découvris un petit salon où Isabelle de Veragne lisait un magazine. A mon arrivée, elle m’invita à m’asseoir dans un fauteuil.— bien, dit-elle en posant sa revue. Igor et moi vous avons observé pendant ces quelques jours. Si on savait déjà qu’il ne fallait pas compter sur vous pour capacités intellectuelles, mais on ne veut pas dire que vous êtres idiot, juste que votre niveau scolaire est limité. Mais d’après ce qu’on a vu, coté manuel, ce n’est pas mieux non plus. Alors on se demandait, Igor, mon mari et moi, si vous n’êtes pas assis sur vos compétences. — je ne comprends pas osé-je dire. — le contraire m’aurait étonné, dit Isabelle à voix basse. En fait, reprit-elle normalement, on se demandait si vous êtes plus doué avec le sexe.
Je m’attendais à beaucoup de choses, mais certainement pas à ce qu’on me parle de cul. Surtout venant d’une femme aussi belle, distinguée et sexy qu’était Isabelle. Et même en pantalon, elle était vraiment bandante. — j’aimerai bien tester vos talents dans ce domaine, continua-t-elle en se levant. Igor, tu l’emmène prendre une douche et le préparer ? J’étais sur le cul, et pas seulement parce que j’étais assis dans un fauteuil confortable. Le retour à mes bancs publics allait être difficile.
Igor m’entraina à l’étage et me fit entrer dans une salle de bains immense. — à poil, ordonna-t-il. J’obéis et me glissai sous la douche. Puis une fois séché, il me prit par les cheveux et me força à m’agenouiller. Je ne savais pas comment il se débrouillait mais je ne pouvais pas me débattre. — reste calme. Plus tu bougeras, et plus ça sera douloureux. Je m’attendais à subir les derniers outrages, mais il n’en fut rien. Je sentis un tuyau s’insinuer dans mon fondement et un liquide tiède remplir mes entrailles.— tu as intérêt à te retenir et ne pas en mettre partout, m’intima Igor. Alors je me retins. Il me sembla que mon ventre allait éclater. Il retira la canule, me demanda d’aller me vider et recommença l’opération encore plusieurs fois. — parfait, dit-il enfin.
Il me prit par le bras et me conduisit un peu plus loin dans le couloir. On entra dans une chambre. Isabelle était assise sur le bord du lit, les jambes croisées. Elle avait quitté son tailleur pantalon pour rester en guêpière crème retenant des bas de couleur chair. Des escarpins à talons aiguille habillaient ses pieds. Totalement nu devant elle, je ne pus contenir un début d’érection. — je te fais de l’effet, dit-elle, amusée. C’est un bon début. Elle décroisa ses jambes pour se lever et je découvris avec stupeur un pénis en latex accrocher à sa taille. Les derniers outrages que j’avais redoutés quelques instants plus allaient finalement me tomber dessus, mais sous les traits de cette femme fatale. — mets-toi à genoux, m’ordonna-t-elle. Je suppose que tu as compris ce qui t’attends. Tu n’es pas obligé d’accepter et tu peux partir sur le champ. Mais si tel est ton choix, il sera irrévocable. Pas de deuxième chance.
Ma situation ne m’offrait qu’une seule alternative : me laisser faire. J’étais à poil et je n’excellais pas non plus en course à pied. Et puis l’idée d’affronter le froide de l’hier à venir ne m’enchantait guère. Faire la manche ou faire la pute, quelle différence finalement ?
Je trouvai ma place sur le tapis épais et attendis. Isabelle passa devant moi, ses mollets gainées de nylon à quelques centimètres à peine de mon visage. L’odeur du cuir de ses escarpins et son parfum capiteux m’excitèrent un instant mais la perspective de ce qui allait se passer me fit tressaillir.
Elle s’installa derrière moi et commença à jouer avec mon cul. Les caresses et les fessées se mélangeaient. Elle titillait mon petit trou avec l’ongle long de son index. Au début, il ne faisait que passer, pour finir par s’arrêter et tenter d’entrer. — ne résiste pas, dit-elle. De toute façon je vais entrer. Alors laisse-toi faire si tu ne veux pas avoir mal. Isabelle fit couler un liquide froid et miraculeusement, l’index entra tout seul. Elle continua un long moment, habituant ma rosette à accueillir le futur intrus. L’index d’abord, puis accompagné du majeur, je restais passif, sans vraiment apprécier ce qui m’arrivait. Il ne me tardait qu’une chose : qu’elle en finisse et qu’elle me laisse partir retrouver ma vie d’oisif itinérant. Parce que faire la pute, ben non.
Mon vœu s’exauçait. Isabelle retira ses doigts et positionna son sexe factice à l’entrée. Elle m’attrapa par les hanches et poussa doucement. Mon conduit encore serré ne se laissait pas faire. Mais à force de lubrifiant, la queue en latex passa la barrière de mon sphincter. Sans me demander mon avis ou mes états d’âmes, Isabelle me besogna un long moment.
Igor avait quitté la chambre quelques minutes plus tôt pour revenir nu comme un ver. Il s’assit sur le lit, devant moi. Son sexe au repos, mais déjà d’un fort beau gabarit, pendait entre ses jambes écartées, totalement épilées, tout comme le reste de son corps. Isabelle continuait de me sodomiser tout en me poussant vers Igor. Il secoua son sexe sous mon nez et je compris où ils voulaient en venir. Me faire enculer était une chose. Mais sucer une bite, non ! Mais Isabelle me poussait toujours. Le sexe touchait mes lèvres fermées. Igor profita lâchement que je reprenne ma respiration pour le mettre enfin dans ma bouche. Trop tard. Ce qui restait de ma dignité vola en éclat. J’étais SDF, enculé et suceur de bite.
Je suçai le majordome, ou je sais quelle fonction il avait. Bien que totalement inexpérimenté, je ne devais pas trop mal faire car sa queue durcissait dans ma bouche. Une queue énorme, du moins selon mes critères. Isabelle se retira enfin. Mon cul brûlait un peu. Elle vint s’assoir à côté d’Igor qui poussait encore son sexe entre mes lèvres. Elle ôta son harnachement et poussa Igor pour prendre sa place. Elle offrit à ma vue son sexe surmonté d’un carré de poils courts. Je n’étais pas sûr que ce fût une bonne idée mais je m’approchais et tendis la langue vers cette intimité. Isabelle ne dit rien et se contenta d’écarter les lèvres pour dégager son bouton. Igor tentait de son coté de mettre son sexe en moi. Sans succès. Isabelle mouillait. Je n’étais pas un expert en cunnilingus mais j’appréciai son jus. — assez, dit-elle soudain. Baise-moi ! Elle me tendit un préservatif et s’allongea sur le lit. J’avais l’impression d’être dans un rêve ou dans un mauvais film porno tellement la scène était surréaliste. Moi le SDF allait baiser la bourgeoise.
Malgré tout j’entrai en elle sans aucune difficulté. Surement qu’elle profitait de la queue de son majordome et vu l’engin, pas étonnant que mon sexe sans prétention entre comme dans du beurre. Je lui fis l’amour à peine quelques minutes et je finis par jouir dans la capote. Isabelle ne fit aucun commentaire, même désagréable. Je me retirai et Igor m’accompagna vers la salle de bains où il me laissa seul. Quelques secondes plus tard, les gémissements d’Isabelle me firent comprendre qu’il prenait de prendre la place que je venais de libérer.
Je me douchai, m’habillai et redescendis dans le vestibule. J’attendis la maîtresse de maison pour la remercier et prendre congé définitivement.
— donc voilà, dit-elle en s’installant dans le fauteuil du petit salon. Comme je le disais, à part le cul, il n’y a pas grand-chose à attendre de vous. Non pas que vous soyez idiot ou autre, c’est juste que vous n’avez pas envie de vous prendre la tête. — c’est bien résumé, dis-je. — j’en ai parlé avec mon mari et Igor et on a une proposition à vous faire. Bon, Igor n’est pas d’accord, mais on est deux à l’être. — si ça ne tenait qu’à moi, grogna le balafré, je t’aurai déjà mis dehors coups de pieds aux fesses.Je savais désormais à quoi m’en tenir. — donc, continua Isabelle, la proposition est celle-ci : on vous garde avec pour fonction d’assurer nos caprices sexuels quand bon nous semblera. Le nous inclus toutes les personnes présentes dans cette maison et les invités quand il y en aura. Vous serez amené à coucher avec des femmes et des hommes. Vous serez surtout passif, parfois actif, selon les désirs de chacun ou chacune. Qu’en dites-vous ? — euh … Isabelle esquissa un sourire. — en contrepartie, vous serez nourri, logé et payé. Au pas des cent et des milles, juste le minimum syndical. Ce qui est déjà pas mal car n’ayant aucun frais, ce sera de l’argent de poche. — en effet, la proposition est tentante. Si je comprends bien, ce qu’on a fait ce matin n’était qu’un aperçu de mes fonctions. — vous avez très bien compris ! C’est exactement ce qu’on attend de vous. — je suis obligé de vous donner ma réponse maintenant ?— non. Vous avez quinze jours pour réfléchir. — tout ça ? — oui. C’est le minimum. Car il y a une contrainte. Igor la regarda étrangement. Visiblement, il ne s’attendait pas à ce coup de théâtre. — oh, oh, dis-je bêtement— oui, une contrainte. Vous devrez exécuter votre tâche en tant que femme. — vous voulez que je change de sexe ? dis-je estomaqué— non, au contraire. Je tiens à ce que vous gardiez votre service trois pièces mais je veux aussi que votre apparence soit féminine, très féminine. — que je devienne travelo quoi. — je ne l’aurai pas dit comme ça, mais c’est l’idée. — alors, toi aussi, tu veux ta Clarisse, commenta Igor. — tout à fait, dit Isabelle. Nathalie à Clarisse, pourquoi je n’aurai pas ma Nicole ? Igor haussa les épaules. Quant à moi, j’avais décroché de la conversation.— je vous laisse deux semaines à réfléchir à cette proposition. Je vais vous donner des DVD, des bouquins sur le travestissement et tout ce qui peux vous donner une idée de ce qui vous attend. On est là pour répondre à toutes les questions, même idiotes. Isabelle prononça ces derniers mots avec un petit rictus moqueur.— Je veux, continua-t-elle, qu’à l’issue de ces quinze jours, quelle que soit la décision que vous prendrez, cette décision sera mûrement pensée et réfléchie et que vous ne regrettiez rien. Car une fois le portail franchi, il n’y aura toujours pas de deuxième chance. — et si je me décide avant ?— non. Vous prendrez l’intégralité de ces deux semaines. Car vous allez surement changer d’avis plusieurs fois.— bien, bien, bien, … dis-je pour meubler le silence. — parfait. Igor va vous raccompagner à votre chambre.
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