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Nicole, prête à tout

Chapitre 12

Travesti / Trans
12.Dès le lendemain, je parlai de mon désir de commencer un traitement hormonal. Je racontais ma discussion avec Clarisse sur le sujet. Isabelle et encore plus Charlène approuvèrent mon choix. Lundi matin, Isabelle m’emmena faire une prise de sang et passa un coup de fil. — ca y est, elle est décidée, dit-elle à son interlocuteur au téléphone. Elle raccrocha presqu’aussitôt. On s’arrêta chez un photographe pour des photos d’identité. Soit disant pour que je sois présente dans son portefeuille. Je trouvai l’excuse bidon. Mais venant de cette famille olé-olé, je ne m’étonnais plus de rien.Elle se gara ensuite dans une petite rue et me demanda d’attendre dans la voiture. Elle entra dans un immeuble pour en ressortir à peine cinq minutes plus tard. Nouvel arrêt en ville, nouvelle attente dans la voiture. Lorsqu’Isabelle revint, je remarquai qu’elle sortait da la pharmacie.
On se retrouva dans la cuisine. Isabelle étala les boites sur la table.— ma petite Nicole, tu voulais commencer un traitement hormonal. Et bien voilà, c’est fait ! me dit-elle en poussant les boites vers moi et me tendant l’ordonnance. Tu as encore quelques semaines pour faire marche arrière. Après les effets seront irréversibles. — je n’ai pas envie de faire marche arrière, dis-je avec un frisson d’excitation.
Elle se leva et se tourna vers Rosette. — suis-moi. La cuisinière posa son torchon avec un grand sourire et les yeux brillants. Mais je restai plongé dans mes boites de pilules et de crème que je devais appliquer à un endroit de mon corpsDix minutes passèrent et Rosette ne revint pas. La casserole sur le feu s’excitait. J’arrêtai le gaz et partis à sa recherche. Ce n’est qu’en passant devant la chambre d’Isabelle que je la trouvai enfin. Mais pas dans la position à laquelle je pensais.
En effet, Rosette était sur le lit, son cul en l’air et la tête entre les cuisses de sa patronne. Et à voir le plaisir sur le visage d’Isabelle j’en déduisis que la minette qu’elle lui prodiguait devait être très bonne. — Oh Nicole, qu’est-ce qui t’arrive ? demanda Isabelle— ben, c’est juste que la casserole sur le feu est en train de bouillir— oh mon Dieu, s’exclama Rosette en quittant son ouvrage. — mais j’ai tout arrêté, dis-je. — ah ben, c’est parfait alors, commenta Isabelle. Rosie, reprend là où tu étais. Ça te dit de te faire prendre par Nikki en même temps ? — pourquoi pas ! — allez, au boulot, dit Isabelle.

Je me plaçai derrière Rosette, son cul imposant en ligne de mire. Je posai mes mains au niveau des genoux et les fit glisser pour remonter sa jupe sur ses hanches larges. J’observai ses cuisses épaisses et son cul callipyge encore habillé par un collant noir et un tanga de la même couleur. Je bandai fort. Si Isabelle était plutôt fine et avait un corps de déesse, les formes généreuses de Rosette étaient tout aussi excitantes. Peut-être même plus encore. Je descendis son collant et sa culotte d’un seul mouvement. Sa vulve apparut entre ses cuisses collées, son petit trou en évidence. Je me penchai et léchai à mon tour sa chatte humide mais aussi son anus qui s’ouvrit comme une fleur.
Isabelle me lança un préservatif, que j’enfilai avant d’enfiler Rosette. Dieu que sa chatte était accueillante, confortable, chaude. Je caressai ses grosses fesses à la peau étonnamment douce. Un pur régal. Soudain, Rosette passa sa main derrière, attrapa mon sexe et le guida vers son œillet. Après quelques hésitations, j’entrai enfin elle. Le conduit était plus étroit mais tout aussi accueillant pour ma petite queue. Les gémissements de Rosette se mêlèrent aux « oh oui », « c’est bon », « ne t’arrête pas », « continue », « encore » d’Isabelle qui, après quelques coups de langue bien placés, se raidit, signe que je connaissais bien de l’orgasme qui explosait en elle.
Je continuai de pilonner le cul de Rosette qui se laissait à son tour envahir par la jouissance. Je me gardai d’éjaculer tant qu’elle n’était pas à son paroxysme. — oh putain que c’était bon, dit Rosette en s’affalant sur le lit. Je devrais faire ça plus souvent. — Nicole est à ton service tu sais, dit Isabelle. — oui, je sais. Mais j’aimerai que ce soit mon mari plutôt. — et pourquoi ne le fait-il pas ? Il n’aime pas ? — oh que si ! Mais sa queue est trop grosse, même pour mon gros cul. — ton cul n’est pas gros ! dis-je. Moi je le trouve très bien. Et j’ai eu un plaisir immense à te faire l’amour— tu es adorable. — je suis sincère. Tes formes me font bander comme un âne.— et si tu prenais Nicole un soir. Elle t’encule et ton mari encule Nicole. Ce sera un comme si c’était ton mari qui te faisait l’amour. — pas con ! Je lui en parle et je te … vous tiens au courant. — je peux te poser une question ? dis-je à Rosette.— qu’est-ce que tu veux savoir ? — je ne pensais pas que tu aimais les femmes. Tu es lesbienne aussi ? — non pas du tout. Et tu vas me trouver bizarre, les femmes ne m’attirent pas du tout. Pas question que j’en embrasse une ou que je lui touche les seins. Par contre, je deviens complètement folle devant une chatte. J’adore les bouffer, les lécher, boire leur jus, gougnotter le clito. Ça et seulement ça. — en effet, étonnant comme passion. Mais pour ma part, je suis à ton service, quand tu et où tu veux. Je serai très heureuse de te faire l’amour. — merci me dit-elle en me faisant une bise sur la joue. Elle remonta son tanga et son collant en remuant du popotin et repartit en cuisine. — elle te fait tant d’effet que ça ? — j’avoue que oui. Son cul est tout simplement magnifique ! — et pas le mien ? demanda Isabelle, jalouse— si aussi. Vous êtes aussi différentes qu’excitante. En fait c’est le pied total, non ? Tu te rends compte, je peux faire l’amour avec toutes les morphologies possibles, des grosses comme Rosette, des moins grosses comme Nathalie, des fines comme toi. Merci encore de me faire vivre tout ça. Je lui sautai au cou et l’embrassai passionnément. — fais-moi jouir, me dit-elle.
Le lendemain soir, je fis la connaissance de Michel, le mari de Rosette. Un homme proche de la cinquantaine, un peu bedonnant. On discuta pendant le repas, délicieux comme d’habitude. Michel travaillait dans un parc ostréicole ce qui me permit de succomber à peu de frais à mon péché mignon, connu de Rosette : les huîtres. Vin blanc, vin rouge, café, pousse-café. Autant dire que j’avais un coup dans le nez. Bien sûr, Michel connaissait ma vraie nature mais cela ne le dérangeait pas vraiment. Puis Michel nous proposa de passer à la chambre. Je suivis le couple qui s’enlaça pour s’embrasser. Je me posai dans le fauteuil et les regardai faire. Malgré ses rondeurs, Rosette avait mis des bas retenus par des jarretelles. Ce qui me fit bander de plus belle. Je me mis à l’aise à mon tour. Le couple se mit en soixante-neuf et je pus voir le sexe de Michel, un sexe au repos et déjà bien imposant. Je craignais le pire une fois en érection. Si Rosette était douée pour brouter le gazon, visiblement, elle se débrouillait plutôt bien avec une queue dans la bouche. Le sexe de Michel grossit et très vite, Rosette ne put que se contenter du gland. Je compris enfin pourquoi elle ne pouvait pas le laisser passer par la porte de derrière. Si Igor était bien monté, Michel le supplantait en longueur et en largeur. L’expression « monté comme un âne » prenait tout son sens.
Rosette s’allongea sur le dos, écarta ses cuisses épaisses et Michel entra en elle. Si son restait interdit, sa chatte avala la queue sans coup férir. Michel s’active, Rosette ponctuant chaque pénétration par un grognement qui en disait long sur ses sensations. — maintenant ? demanda Michel à sa femme. — oui mon chéri. Maintenant. Il se retira et Rosette m’invita sur le lit conjugal. Elle se mit en position et je restai encore subjuguée par sa croupe.— ta femme en magnifique, dis-je à Michel— je trouve aussi. Allez, prends-la.
Je m’introduisis dans la petite porte et restai en elle le temps que Michel vienne en moi. Il eut quand même quelques difficultés pour faire passer son sexe hors norme. Heureusement qu’Isabelle m’avait préparé avant. Elle m’avait conviée dans la salle SM et m’avait enfilé tous les godes disponible, du plus fin au plus gros. Michel plongea enfin dans mon intestin. — oh que c’est bon ! Oh que c’est bon ! Quel bonheur ! Il commença les va et vient. Je me laissai faire. Ses coups de butoirs me faisaient bouger dans le cul de Rosette. Je n’existais pas, je n’étais qu’un intermédiaire, un genre de réducteur de pine comme on pouvait trouver des réducteur de tuyau (Igor m’en avait montré un à l’occasion d’une fuite d’eau). A travers moi, Michel enculait sa femme. Et il n’y avait pas de méprise sur le sujet. Aucun commentaire, aucun mot doux ne s’adressaient à moi. Ils profitèrent de ma présence pour faire l’amour analement un long moment. Michel éjacula à deux reprises mais était suffisamment excité pour ne pas débander. Quant à moi, même si j’étais tenue à l’écart, je profitai avec délectation du postérieur de ma cuisinière préférée.
Michel me raccompagna au château tard dans la nuit. — merci encore, me dit-il. J’ai pris un pied d’enfer grâce à toi. — De rien Michel. Ton plaisir a été mon plaisir. A bientôt, je pense. Tu vois avec Rosette quand tu voudras recommencer. — tu es un amour. Je claquai la porte en douceur et rentrai me coucher, avec, je devais l’avouer, le cul en feu.
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