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Un Noël inoubliable

Chapitre 1

Inceste
Nous étions en plein mois de décembre. La maison était décorée autant à l’extérieur qu’à l’intérieur. Celle-ci reflétait la magie de Noël qui nous rendait tous un peu excités en cette période de fêtes. Ma mère se mettait la pression pour rendre notre réveillon inoubliable, autant par la qualité du repas que pour la fête.
Comme ma petite sœur, Apolline, avait eu vent par ses camarades que le Père Noël n’existait pas, alors ma mère avait insisté auprès de mon père pour lui faire endosser ce rôle. Elle avait, pour cette occasion très spéciale, acheté un déguisement.
Je rentrais des cours, lorsque j’entendis mon père pousser de longs soupirs agacés et des « Aïe !». Je déposais mon cartable dans l’entrée, et je partis en quête d’une croûte à me mettre sous la dent dans la cuisine. Je m’adossais au chambranle de la porte du séjour, en mordant dans mon sandwich au Nutella. Je souris en voyant mon père vêtu du costume fait de velours rouge et de fourrure blanche immaculée qui lui allait comme un gant.
Mon paternel est plutôt bel homme, d’une taille moyenne et au physique entretenu. Ses cheveux châtains clairs ont tendance à s’éclaircir au soleil, offrant ainsi des reflets dorés aux pointes courtes et désordonnées. Ses yeux verts, semblables à des émeraudes, ornait son visage bien dessiné. Ses lèvres fines et pincées témoignaient son mécontentement. Sa peau avait gardé une chaude couleur de miel, vestige de notre séjour en Espagne.
Sa voix chaude et grave retentit dans le silence, comme il s’écriait :— Attention ! Tu vas me planter une aiguille dans le visage !Il étira son cou et lança un regard méfiant à ma mère. Celle-ci, occupée à réajuster le col du costume, tenait des têtes d’épingles entre ses lèvres. Je la compris à demi-mot lorsqu’elle se plaignit :— Arrête un peu de bouger ! Je n’aurais jamais fini avant qu’Apolline ne sorte de l’école !
— Zut, je n’ai pas pris assez de têtes d’épingle avec moi. Il faut que je retourne en chercher, déclara ma mère.— Tu veux bien me rapporter un soda en même temps, s’il te plaît ? demanda mon père.— Oui. Oh tiens ! Noëllina, puisque tu es là, tu vas surveiller ton père. Il ne faut surtout pas qu’il bouge !Je levais un sourcil, me demandant comment est-ce que je pourrais l’en empêcher. Elle avait déjà disparu avant que je n’ai eu le temps de lui poser la question.
Mon père me lança un pauvre air de chien battu, je lui rendis un regard compatissant.— Il te va bien ton costume, lançai-je pour le distraire. Tu as la barbe aussi ?— Bien sûr, dit-il en me désignant l’intéressée d’un hochement de tête sur la table.Je la pris délicatement entre mes doigts et aperçu la perruque blanche. Je les plaçai sur sa tête et ajustai la barbe. Il se laissa faire silencieusement. Je disposais ensuite le bonnet rouge et blanc sur la postiche. Je lui souris, contente de pouvoir le déguiser comme une poupée sans qu’il puisse bouger.
— Ça te va super bien ! déclarai-je en l’observant.Le voir déguisé ainsi me fit un drôle d’effet. Des fantasmes irrationnels firent leur chemin dans mon esprit.
— Oui, c’est ça moques-toi de moi !— Non, je te jure, dis-je en détournant les yeux.Je sentais mes joues s’empourprer de peur qu’il découvre mes pensées, car disait-il je suis un livre ouvert.
— Au fait, tu n’as pas encore fait ta liste de Noël. Si tu profitais de cet instant pour me dire ce que tu veux ; bien que tu ne puisses t’asseoir sur mes genoux, ajouta-t-il en souriant.— Père Noël, si vous saviez ce que je veux là, vous me mettriez sur la liste des enfants pas sages, ris-je.Mon père me lança un regard surprit.— Ah bon ? Dis-moi…Je baissais les yeux, rougissant plus encore. Je sentais une douce chaleur m’envahir et mon cœur s’affoler dans ma poitrine.— A l’oreille alors, dis-je timidement, n’osant pas croiser son regard.Je risquais une lourde punition, mais pour le moment juste le fait de savoir qu’il n’avait pas le droit de bouger me sécurisait.— D’accord, sourit-il.
Je montais sur le petit tabouret que ma mère avait laissé à ses pieds pour être à sa hauteur. Un désir brûlant m’envahit tandis que j’approchais ma joue de la sienne. Je n’ai jamais fantasmé sur mon père avant cela ni sur le Père Noël d’ailleurs. Je n’arrivais donc pas à expliquer cet émoi.— Alors, j’attends, s’impatienta-t-il d’une voix douce.— Euh… j’ai envie de vous… interrompis-je ma phrase, en trouvant que la fin était trop vulgaire.— Quoi ? demanda mon père visiblement choqué, sans me laisser finir.— Je me suis imaginée à genoux à tes pieds en train de te… euh… répondis-je en caressant mes lèvres de la pulpe de l’index.Les yeux de mon père s’arrondirent de surprise, tandis que sa bouche émettait un O silencieux.
— Je suis ton père ! s’écria-t-il dans un murmure.— Là, je vois juste le Père Noël, moi, m’excusai-je.Il ôta alors le bonnet, la postiche et la barbe d’un geste brusque.— Tu ne devais pas bouger, Maman va être furieuse ! déclarai-je.— On s’en fout là ! Ça t’arrive souvent de fantasmer sur moi ?— Jamais. C’est le déguisement… C’est pas de ma faute si j’ai eu envie de sucer le Père Noël !— Ça t’arrive souvent ce genre d’envie ? demanda-t-il d’un air mi amusé mi sérieux.Je surpris son regard glisser dans mon décolleté et revenir lentement jusqu’à mes yeux.
— Seulement quand je suis avec mon copain d’habitude. Tu pourrais peut-être lui prêter le déguisement.— Oh ça non alors ! Je ne pourrais plus jamais le mettre sans imaginer ce que vous aurez fait avec !— Ah, dis-je déçue.— Tu veux que ça comme cadeau de Noël ? demanda-t-il d’une voix douce.— Je sais pas si on peut appeler ça un cadeau de Noël, ris-je.— Pour le Père Noël, oui, sourit-il. Ne t’inquiète pas, je ne le dirai pas à ta mère que tu m’as fait des avances.Je sentis mes joues s’enflammer.
— Est-ce que ça veut dire que tu ne vas pas me punir ?— Non, je ne le ferai pas. Mais je comprends mieux pourquoi ta mère a insisté pour qu’on mette une boîte de préservatifs dans l’armoire à pharmacie de la salle de bain.Cette révélation me surprit.— Tu sais je te vois grandir, ton corps prendre de très jolies courbes, mais… Enfin, ça a été dur pour moi d’apprendre que ton petit ami et toi vous vous donniez du plaisir, alors que j’étais le premier homme de ta vie. Même si étant ton père, je n’ai pas droit à cette considération. Mon devoir est de te protéger, et je veux te voir heureuse.
Je ne comprenais pas trop son raisonnement, mais son regard était plein d’amour. Je devais célébrer mes 17 ans à Noël, ce qui explique pourquoi je m’appelle Noëllina. J’étais avec mon petit ami depuis 6 mois déjà. Cependant, nous n’étions jamais allés plus loin que des caresses buccales. Un jour, ma petite sœur nous a surpris nous faire des attouchements, et elle leur a tout répété. Depuis, leur regard sur moi a changé.
— Je t’aime Papa, dis-je en jetant mes bras à son cou.— Je t’aime aussi, répondit-il en m’enlaçant tendrement.Mes lèvres rencontrèrent les siennes alors que j’allais embrasser sa joue. Nos regards surpris se rencontrèrent tandis que nos bouches se déliaient lentement. Puis, elles s’unirent délicatement attirées l’une par l’autre. J’appréciais le doux contact de ses lèvres. Je les ai caressées de la pointe de ma langue. La sienne chaude et sensuelle est venue à sa rencontre. Ses bras me serrèrent plus fort contre lui. Notre baiser est devenu passionné, enflammant mes sens. Sa langue entraînait la mienne dans une rotation à une cadence infernale. Mon string s’humidifia rapidement lorsque je l’ai imaginée tournoyer ainsi autour de mon clito et me faire vibrer de plaisir. Ses lèvres se séparèrent lentement des miennes.
— Oh Papa ; tu es tout dur ! gémis-je.— Oui et c’est ta mère qui va en profiter, chuchota-t-il.— La chance… elle va sucer le Père Noël avant moi.— Ça ne risque pas, elle en a peur depuis qu’elle est toute petite, rit-il. Tu es sûre que tu n’as jamais eu envie de moi avant ça ?— Oui, il ne faut rien dire à Maman.— Promis, jura-t-il en passant sa main dans mes cheveux.J’embrassais tendrement ses lèvres. J’aimais ce goût d’interdit.
De nouveaux fantasmes envahissaient mon esprit en effervescence.— Il y a quelque chose qui me ferait plaisir… J’aime beaucoup vous écouter faire l’amour Maman et toi, continuais-je devant son regard interrogateur, mais vous le faites toujours dans le noir. J’aimerais bien pouvoir vous regarder un jour.— Qu’est-ce que tu fais en nous écoutant ? demanda-t-il surprit.— Je me caresse des fois, répondis-je timidement.— Oooh ! (Il m’embrassa.) Je sais pas encore, c’est un peu gênant. (Un autre baiser) Je laisserai peut-être la lumière allumée ce soir… si ta mère a envie.— Merci, murmurai-je entre ses lèvres.— Le Père Noël a envie de se faire sucer, déclara-t-il en me plaquant contre lui.Sa main empoigna ma fesse droite et son sexe bien dur s’enfonça dans la tendresse de mon ventre, me faisant gémir.
— J’entends ta mère qui revient, me prévint-il en détachant ses bras de moi.— Je vais aller me caresser dans ma chambre alors, chuchotai-je.Les yeux brillants de désir, mon père se lécha les lèvres. Mon clito dressé frémit contre la dentelle de mon string lorsque je descendis du tabouret.
Nous reprîmes une expression neutre lorsque les pas de ma mère se sont rapprochés.— T’as pas bougé au moins ? lui demanda-t-elle.— Non, il a été sage comme une image.Je jetais un coup d’œil à son entrejambe, seule celle-ci aurait pu le trahir, mais elle était cachée par le long manteau rouge et blanc du costume. La vision de son sexe tendu et découvert, coulissant profondément dans ma bouche, s’imposa de nouveau à moi. Nos regards brûlants se croisèrent, puis je m’éclipsai dans ma chambre.
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