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Noémie jeune soumise de 29 ans

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Promenade érotique
J’invite aujourd’hui ma Soumise à une promenade en FIAT 500 par une journée ensoleillée. La journée idéale pour porter des vêtements fluides et légers et propices à un érotisme libéré : je lui demande donc, comme chaque fois que je la vois, de porter des vêtements que j’ ai choisis : ce sera pour cette fois-ci une minijupe sans culotte, des bas résilles, un corsage décolleté. Je lui demande de s’attacher les cheveux, pour avoir le cou dégagé, un maquillage très prononcé avec un rouge à lèvres rouge intense et des ongles rouges, c’est comme ça que je l’imagine, et qu’elle m’excite…….
Noémie est en beauté, quand je la vois descendre de sa voiture sur le parking d’une usine désaffectée, c’est une bonne idée, cette minijupe par cette journée ensoleillée et légèrement venteuse car on devine les courbes de son corps et on voit l’air s’engouffrait entre ses jambes. Elle a, à peine claqué la porte du véhicule que je démarre en trombe pour nous rendre au plus vite sur le site, tandis que Noémie tente d’effleurer mes doigts, je la sens gorgée de désir. Je reste impassible et ne lui adresse pas un mot. Je veux lui faire comprendre sa situation de Soumise ( c’est moi qui décide de tout…Noémie est mon objet sexuel … et je fais d’elle ce que je veux ).Noémie sait qu’elle ne doit pas croiser mon regard elle a donc les yeux baissés.Après avoir roulé un petit moment, elle me demande de s’arrêter sur le bord de la route, je m’exécute et elle s’adresse à moi : " Maître voici " elle me tend un morceau de tissu légèrement humide. Je comprends qu’il s’agit de sa culotte que je lui demande à chacune de nos rencontres de me donner, signe de sa soumission sexuelle. Je prends le morceau de tissu et le hume de manière rapide pour m’assurer qu’il s’agit de sa mouille.J’acquiesce .et elle rajoute : " Maître pourriez-vous me mettre mon collier et ma laisse car je suis une chienne en chaleur et je veux être dressée" je lui ai dit de me demander cela comme rituel chaque fois que l’on se rencontre. Noémie commence à être bien obéissante et cela me plaît. J’ouvre donc ma mallette et en sorti un collier de couleur violette portant un anneau et une laisse avec une chaîne assez lourde. Je lui installe le collier autour de son cou dégagé, j’adore les cous nus de femmes, cela m’excite, puis l’odeur de sa peau mêlé à son parfum me donne une érection.Nous redémarrons et au bout de quelques minutes je lui demande de soulever sa minijupe et de poser ses fesses sur le cuir moite du véhicule, elle s’exécute en me disant " Oui Maître ".Mes mains deviennent baladeuses et je sens des vibrations qui parcourent son corps ; son excitation commence à envahir tout son être et sa respiration se fait de plus en plus insistante.Je lui lance : " Petite salope, aujourd’hui je prends le contrôle de toi, je domine tes désirs, ta jouissance et l’ensemble de tes orifices"Elle répond de manière affirmée : " Merci Maître, je suis une Belle Salope et je ferai tout pour satisfaire vos moindres désirs, vos moindres pulsions sexuelles, et plus vous serez pervers avec moi plus cela m’excitera ».Satisfait de cette dévotion, je lui caressai le visage…avec attention pour suivre les traits de son visage qui me plaisaient. Après avoir roulé plus d’une heure en rase campagne, l’envie d’abuser d’elle était de plus en plus forte.Je stationnai donc la voiture sur le bas côté et je décidai d’entreprendre ma Soumise. Ma main droite commence à la caresser au travers de ses vêtements, parcourt sa peau et insistent sur ses seins et sa chatte humide et gorgée d’envies. Je lui chuchote alors à l’oreille : " tu aimes ce que je te fais n’est ce pas ?"Elle me répondit : "Oui Maître je suis totalement à vous corps et âmes, vous pouvez abuser de moi ».Je sens son souffle haletant et sa respiration s’accélérer….je sens le bout de ses seins se durcir sous la pression de mes mains, je sens cette jouissance montée lentement dans son corps de femme. Je glisse alors ma main dans son entre cuisse et passe de manière furtive sur son clitoris saillant puis avec deux autres doigts lui pénètre son vagin humide, ce qui a pour effet de lui couper le souffle.Et je lui lance : « c’en est assez petite salope, tu ne crois pas que je vais te faire jouir tout de suite, je vais te faire languir, la journée va être très longue pour toi ».Je redémarre la voiture et roule quelques longues minutes pour regagner l’autoroute et décide de m’arrêter à la première aire, avec une idée bien précise en tête. A cette heure matinale l’aire est très peu fréquentée, seulement par quelques routiers garés en épi qui sont en train de faire leur toilettes aux WC collectifs. Je me gare face aux WC collectifs à une distance raisonnable et demande à Noémie d’ouvrir sa portière, de relever complètement sa minijupe et de se masturber devant cette dizaine d’hommes. Elle s’exécute après m’avoir lancé un : " tout ce que vous voudrez Maître, vos désirs sont des ordres ".Elle sentait bien que la situation m’excitait et elle prenait un malin plaisir à accentuer et à rajouter de l’érotisme à ses gestes. Elle se mit en position, écarta de manière exagérée ses jambes, suça deux de ses doigts qu’elle passa sur ses lèvres et commença à caresser son clitoris. Ma main touchait son sexe, je pouvais sentir les battements de coeur sur son clitoris. Elle faisait des allers-retours de ses lèvres à son clitoris. Je pouvais me rendre compte de son excitation à son souffle, et à sa manière de se tortiller sur le siège, telle une danseuse. De la mouillure commençait à se répandre sur le siège de cuir noir et à le maculer. Elle tapotait son clitoris, je sentais qu’elle n’était pas loin de l’orgasme car ses muscles étaient de plus en plus contractés et secouées par des spasmes. Les hommes s’étaient rapprochés et certains avaient sorti leur sexe pour se masturber. Je décidai alors de tout arrêter, je ne voulais pas que Noémie jouisse. Je lui dis : « Maintenant, tu vas nettoyer ta mouille sur le siège, et la lécher car tu as sali le siège ». Elle s’exécuta après avoir lancé un habituel "oui Maître ». En quelques coups de langue elle y parvint et reprit place dans le véhicule et nous repartîmes non sans avoir essuyé quelques insultes de la part du groupe d’hommes sans doute frustrés de n’avoir pas pu abuser sexuellement de ma soumise.
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