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Non c'est pas l'inceste!

Chapitre 2

Travesti / Trans
Hier, il s’est passé quelque chose de troublant, Non d’horrible. Marc, le copain de ma sœur, m’a humilié. Il a une vidéo de moi en train de gémir et de jouir sous le coup de ses caresses. Après m’avoir fait jouir en me sodomisant avec son doigt, il a récupéré mon téléphone et il est sorti. Je n’ai pas pu sortir de la chambre, j’ai trop honte. Lorsque Sandra est rentrée, elle est venue me voir dans ma chambre pour me parler de choses et d’autres. J’ai été tenté de lui dire ce qui venait de se passer entre Marc et moi. Dénoncer ce vaut-rien, mais je bloquais à chaque tentative. Peut-être avais-je peur de sa réaction.     J’ai passé le reste de la soirée dans ma chambre, la nuit, j’ai à peine réussi à fermer l’œil. Tout dans ma tête était mitigé, embrouillé. Marc allait-il publier ma sextape sur Internet ? Mais par-dessus tout, pourquoi est-ce que j’ai joui ? Pourquoi me suis-je senti si bien pendant qu’il me traitait comme sa salope ?     Le lendemain matin, Déjà 11h, je ne trouve toujours pas le courage de sortir. Je reste allongé sur le mon lit. A cette heure, ma sœur est déjà allée au boulot. Donc je suis certainement seul avec Marc dans la maison. C’est alors que ma porte s’ouvre et mon bourreau de la veille entre avec un vêtement rose dans sa main droite et mon téléphone dans l’autre. Il me fixe et je sens mon cœur qui bat la chamade. - Alors ma petite pute, On fait la grasse matinée ? me demande-t-il. — Non ! Écoute Marc, je sais qu’on n’a pas toujours été dans de bons termes mais STP oublions ce qui s’est passé. Je te promets de faire des efforts…— Pardon ? En plus d’être une tapette qui aime se faire sodomiser, tu es aussi folle on dirait ! J’étais là ma chérie, je t’ai vu prendre ton pied pendant que je te…— Non ce n’est pas vrai… -Bien sûr que si et tu le sais. Tu as adoré te faire sodomiser, dit-il en levant son doigt, Tu criais, tu hurlais oui c’est vrai, mais c’est de plaisir que tu hurlais. J’ouvre la bouche pour le contredire mais les mots ne sortent pas. Aurait-il raison ? Je ne sais plus où j’en suis. J’ai envie de pleurer.— Écoute Ma chérie, je sais que tu es déroutée, mais tu dois commencer par te dire que ça n’est pas de ta faute et ça n’a rien de dégradant. Tu es comme ça, être soumise à un homme, un vrai qui te protégera, te câlinera et fera de toi sa salope. D’ailleurs je t’ai trouvé un petit nom au lieu de Nathan ce sera Nathalie…— Pardon ! Fis-je avec un air étonné.Il fait une grimace et s’approche de moi, me balance la robe rose qu’il tient entre ses mains en précisant qu’il l’a choisi spécialement pour moi dans les affaires de ma sœur et il me demande de la porter. Je lève les yeux pour croiser son regard, savoir si il est sérieux. Il me prend réellement pour une fille ? On joute du regard quelques instants. J’entends une voix au plus profond de moi qui m’incite à porter cette robe et mon instinct de survie qui me hurle de résister.Je ne résiste pas longtemps et enfile la robe. Elle est moulante sur moi. Suivent des escarpins noirs en cuir et une perruque. Lorsqu’il me tire devant le miroir, je ne me reconnais pas moi-même, Je suis une vraie fille.     Alors que je me contemple devant la glace, j’entends sa voix qui m’ordonne de me mettre en levrette. Je m’exécute, anxieux et hésitant. Je ne comprends pas ce qui se passe. Mon cœur bat la chamade. Soudain : Il me claque les fesses ; Vlaaannn ! Le bruit de sa main sur mes fesses a dû alerter les voisins tellement il a résonne fort. Je pousse un cri de douleur avant de comprendre que je suis en train de recevoir une fessée. -Marc pitié ! Non pas ça.-Ma chérie, me dit-il calmement, les salopes reçoivent la fessée ! Tu es une salope donc tu dois recevoir la fessée. Je veux me relever, mais je ne fais rien. Au contraire, je me cambre bien pour lui offrir ma croûte. Et une autre (claque), une autre… Par moment il me masse les fesses avant de me frapper. La douleur est trop intense, je craque ; Alors je commence à pleurer. Et le pire est que je ne sais même pas si je pleure à cause de la douleur pour sa part, il n’en démord pas, Mes larmes brouillent déjà ma vue, mais je me perçois distinctement dans le miroir en face de moi, dans cette position en train de me faire humilier et j’ai une montée d’excitation qui me traverse tout le corps et me fait déjà bander. — Regarde-toi, Tu bandes. Une petite fiotte efféminée, c’est tout ce que tu es. Et je sais que tu fais semblant d’avoir mal. Tu aimes te faire fesser, comme une salope qu’on démonte. Je ne sais plus quoi faire, afin si, je dois me soumettre. Alors je me résigne à lui donner ce qu’il veut.— D’accord Marc, je suis une salope, Je suis ta salope. Il s’arrête de me martyriser le postérieur et je me dis que c’est fini. Il demande alors :— Alors comme ça tu acceptes être une salope ?— Oui Je l’accepte je suis une salope, ta salope.Vlaannn !! De nouvelles claques sur mes fesses me font à nouveau hurler de douleur.
— C’est comme ça que je traite ma salope. Et je vois que tu bandes, ta petite bite d’efféminée aime ça on dirait.En effet, je bandais déjà. La douleur, la position, la robe moulante qui habille tout mon corps, crée une psychologie de soumission dans ma tête, et Je sens mon corps tout entier qui en ressent un immense plaisir. Je commençais à me laisser aller à la honte d’être féminisée mais beaucoup plus, être traité comme une salope par mon beau-frère. Cinq minutes plus tard, il cesse enfin de me frapper mais je continu de pleurer tant la douleur est grande. Allongé là sur le sol, je me sens comme un objet. Je suis amoindri, rabaissé à mon plus simple état, humilié. Et Marc, mon bourreau, prend un malin plaisir à savoir qu’il est l’auteur de ma déchéance, de ma soumission. Moi je ne sais plus s’il me fait du mal ou s’il me fait du bien. Il s’assied sur mon lit, baisse son pantalon et :— Nathalie ! Je me retourne et vois son regard qui me parle, alors je me relève légèrement et me dirige vers lui à quatre pattes. Je saisis sa queue en tremblant et la fixe longtemps, hésitant à franchir ce cap-là. Nos regards se croisent. J’engloutis alors son sexe dans ma bouche d’un trait. Je ne parviens qu’à prendre un peu plus de la moitié et par réflexe ou trop de porno, je commence à le sucer. Je ne l’avais jamais fait, mais je me sens connaître le faire, presque comme si j’avais été programmé pour. Et ça continuait de m’exciter… Non je crois que c’est me savoir à quatre pattes là, en train de sucer un autre homme qui m’excite autant. La bosse qui déforme ma robe en était la preuve. Je fais des vas-et-viens, mordille et parfois je suis étouffé par sa grosse bite, alors je la retire et reprends mon souffle. A un certain moment, je le vois qui sourit en regardant entre mes jambes. C’est alors que je prends conscience que je suis en train de me caresser le sexe. J’ai la bouche dégoulinante de salive mêlé a du pré-sperme ; alors il me relève et me colle contre lui. Dans ses bras, je note alors qu’il est bien plus musclé que je le croyais. — Oh ma salope ! on repart pour un autre round.Il m’allonge alors sur ses jambes et je devine clairement la suite… Une autre fessée… Vlannnn ! Vlan !!! Vlan !!! Je recommence à pleurer et à gémir. Je ne comprends pas pourquoi je bande toujours autant. Je ne suis clairement pas normal. Vlannn encore... Je continue de recevoir la fessée et ma bite est toujours dure en fait elle j’ai l’impression qu’elle durcie encore et encore. Je crie, je hurle, je gémis… Il arrête enfin, prends mon sexe dans sa main et commence à me masturber. Tout mon corps tremble. Je ne sais pas, je crois que je ne le contrôle plus, il a sa propre autonomie. Et peu importe l’endroit où mon beau-frère touche, je frissonne. Sa main continue de caresser ma queue et je perds le contrôle total. Même mes pensées et mon esprit me trahissent. Je m’abandonne complètement.— Oui… Marc continue, ne t’arrête pas. Je jouis finalement, épuisé. Il se lève en souriant, fier de lui, avec un sourire en coin.— Ah Nathalie… tu es bonne. Mais remarque, ça doit être de famille. Ta sœur aussi aime se faire fesser et se livrer totalement à moi. Maintenant que j’y pense, elle m’a toujours parlé d’un fantasme lesbien, je me demande si…. Il se tourne et sort de ma chambre en me disant « à demain ».Ce petit manège dure plus d’une semaine ! Souvent il entre, m’habille et me met la fessée puis ressort sans crier gare. Parfois, il me pénètre le petit trou avec son doigt et je jouis. Je suis devenu sa pute. En cours je n’arrive plus à me concentrer. Tout mon corps craint et attend impatiemment ma fessée. Aujourd’hui c’est mercredi et j’ai cours, Je suis en train de me préparer quand il entre. J’hésite à lui dire que j’ai cours à dans 30 min. Il m’ordonne de m’habiller comme d’habitude. Je me convaincs que je n’ai pas le choix : Une raison pour ne pas aller en cours. Il me fesse pendant vingt minutes et comme d’habitude, je pleure et je gémis. Déjà habitué à ma condition de soumise, la honte a disparu depuis et j’essaie de retirer le meilleur de tout ça. Même si ça fait mal, je prends déjà un plaisir masochiste à me faire fesser, déshonoré, humilié de la sorte. -Bien c’est bon pour aujourd’hui, me lance-t-il, ma chère Nathalie. Tu vas être gentille avec ton beau-frère et descendre lui faire une petite omelette ! Il se lève et me laisse la allongé sur mon lit. Quelques minutes plus tard, je descends comme il me l’a ordonné mais…— Qu’est-ce que tu fais dans cette tenue ? En effet je m’étais rhabillé. Un short et un polo. Je comprends alors qu’il voulait que je reste dans les vêtements féminins dans lesquels il vient de m’humilier. Je m’excuse rapidement et lui promet de monter instamment les remettre. Mais il ajoute :— Non, ces vêtements la sont souillés. Vas en emprunter dans la garde-robe de ta sœur et surtout soit sexy sinon….Il n’a pas besoin de terminer, je sais déjà ce qu’il compte dire. Angoissé, je monte rapidement dans leur chambre pour accéder à la garde-robe de ma sœur. Là, je choisis une mini-robe blanche fleurie, un soutien-gorge noire et je reviens dans ma chambre prendre la perruque et porter les escarpins de tout à l’heure. Ce n’est pas évident de marcher avec mais par chance, les talons ne sont pas trop hauts. Je descends alors dans le salon. Quand j’entre dans la pièce, Marc, mon beau-frère, est dos tourné. Il fait un demi-tour sur lui-même et je le vois légèrement sursauter. Je vois alors dans ses yeux qu’il est agréablement surpris. Il met quelques secondes à retrouver ses esprits. — Hummm Nathalie, tu es magnifique ! Son compliment résonne dans ma tête et me fait frissonner. Je baisse les yeux, gêné de ressentir de telles sensations à être traité comme une femme. Mais je sens que j’ai de l’effet sur lui dans cette tenue, il ne cesse pas de me fixer, ce n’est plus ce regard sadique de tout à l’heure, Non ! Il veut de moi. Je me retire vers la cuisine et m’affaire à lui préparer son omelette. Je le vois qui guette sans cesse dans ma direction. Soudain il se lève et se dirige vers moi. — Tu es magnifique en fille tu sais !Je bafouille un « Merci » !Je le fixe, il a perdu tout son sadisme, toute sa sournoiserie. Il ressemble plutôt à un amant bienveillant qui tente de gagner les faveurs de sa belle. Je n’arrive toujours pas à croire que c’est moi qui aie un si fort emprise sur lui. Je le remercie du compliment et reviens sans le salon pour poser son couvert. Il me suit du regard. Je reviens ensuite dans la cuisine… Aller et retour pour une cuillère ou un verre. Je commence à me prendre au vicieux jeu de la salope qui cherche à allumer son amant. Les regards en coins, les sourires… Parfois je l’esquive de justesse. Je ne comprends pas pourquoi je réagis comme ça, mais ça me plaît. A sa demande, je l’escorte ensuite à table. Il termine son petit-déj’ et je débarrasse la table. Quand je reviens près de lui, il se lève et me saisit de ses deux mains autour de la taille. Nos regards se croisent. Je sens sa main qui descend vers mes fesses et il me caresse doucement. Je me laisse aller à cette tendresse.— Oh Lord ! Qu’est-ce que vous faites !!! Je reconnaîtrais cette voix entre mille, c’est celle de Sandra, ma sœur… Je me retourne et elle est là, devant la porte, nous sommes pris, la main dans le sac.
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