Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 8 J'aime
  • 0 Commentaire

nos retrouvailles à la gare

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Il y a de ça 4 ans j’étais en couple avec mon première amour. Nous étions en effet ensemble depuis un peu plus d’un an et la passion était aussi intense qu’au premier jour et comme nous avions découvert le plaisir du sexe ensemble on peut clairement dire que « nous baisions » constamment. Parfois ça pouvait aller jusqu’à 10, 15 fois dans la journée.
Hélas, nous vivions une histoire longue distance malgré nous. Lorsqu’on se retrouvait on se sautait dessus : baisers, caresses, allusions sexuelles. En privé comme en publique nos retrouvailles étaient toujours très intenses et érotiques.

Nous devions nous retrouver à la gare du Creusot pour passer une semaine ensemble à Montpellier, chez mes parents.Comme toujours il arriva en avance et moi je fis mon apparition peu de temps après avec la navette militaire de mon lycée.A peine descendu du car je lui saute dans les bras et l’on s’embrasse goulûment, avec passion et désir.Mes camarades de lycée me charrient en m’informant que l’on évite les scènes interdites au -18 ans devant la gare. Rien n’y fait on a tous les deux besoin de ce type de démonstrations pour se montrer notre amour.Après un bon quart d’heure à s’embrasser mon homme me sort un joli paquet violet.-« Tient c’est pour toi ma princesse… »Son sourire en dit long et ses yeux pétillent, quelle surprise a-t-il pu me dénicher ?J’ouvre délicatement le paquet car le connaissant ça peut être un cendrier comme un sextoy… je vois un petit bout de tissu et devine que mon homme m’a offert de la lingerie.-« Merci chéri. »Puis je l’embrassai pour le remercier du présent.-« Tu ne l’essaies pas, me répliqua-t-il tout triste.— Si mais ce soir une fois qu’on sera chez moi.-Non maintenant.-Mon ange non ce n’est ni le lieu, ni l’heure. »Suite à ça il me fit ses yeux de cocker pour que je craque…et comme toujours il arrivât à ses fins. -« Ok, je vais aux toilettes j’en ai pour 5 min top chrono.-Non, non ma belle je t’accompagne.-Je ne veux pas qu’on nous voit entrer aux toilettes ensemble. Il y a la moitié de mon lycée ici présent.-Pas de soucis j’ai une autre solution. On va derrière le bâtiment en face de la gare et tu te changes là. »Ceci étant dit on part en direction du bâtiment main dans la main. Une fois derrière celui-ci j’enlève ma culotte pour enfiler la nouvelle. En la prenant dans les mains pour la mettre je me rends compte qu’elle a une fente sur le sexe et qu’en réalité ce n’est pas une culotte mais un body.
Suite à ma découverte je le regarde et constate qu’il jubile à l’idée que je sois obligée d’entièrement me déshabiller.Je n’ai qu’une envie : le tuer. Mais comme je lui ai promis je m’exécute. A peine ai-je eu le temps de retirer mon haut que mon copain se jette sur moi.
Il commence à m’embrasser le coup ce qui me frissonner. Malgré mon excitation je le repousse. Il me regarde et d’une simple contemplation il comprend que j’en avais autant envie que lui. La valse des baisers reprend. Sa bouche glisse le long de mon coup, mes joues pour finir sur ma bouche. Nos langues mènent la danse avec frénésie. Il quitte ma bouche pour me mordiller le lobe des oreilles, je ne peux plus résister et me laisse aller.Il me plaque à moitié nue contre le bâtiment, ce qui me laisse comprendre que c’est un bâtiment vitré.Je reprends vite mes esprits.« -Stop, stop, stop !!! L’immeuble est en verre…-Oui et ? me répond-il entre deux étreintes sur le haut de mon décolleté.-S’il on nous observe pendant nos ébats ? »Il s’arrête quelque seconde pour prendre mon visage dans ses mains immenses. Ses yeux noirs intenses me fixent maintenant.« -Nous avons fait l’amour dans un supermarché, au restaurant, dans des cabines d’essayages, dans un bus, et j’en passe les meilleures et maintenant tu joues la pudique mon cœur ?-Tu as raison…-Oui à la base je suis le timide et pudique et toi la dévergondée…. »Pour seule réponse je lui enlevai son tee shirt et commençât à lui dévorer le torse de baisers, mordillements. Plus je descendais et plus je sentais son sexe durcir contre mon corps. Son jean est prêt à exploser.Du bout du doigt, il me fait remonter à sa bouche, par le dessous de mon menton.Il m’enlace tendrement et me fait un petit croche patte pour que je tombe au sol, retenu par ses bras.Je suis maintenant sur le dos, dans l’herbe et mon homme et torse nu sur moi. La scène ne pourrait pas être plus érotique… mais sens sont aux aguets de ses moindres caresses que je lui rends au centuple. Mon amant en a décidé autrement et prend sa ceinture pour m’attacher les mains.« -Je m’occupe uniquement de ton plaisir trésor. -Mais…-Il n’y a pas de « mais » qui tiennent. Je ne veux que ta jouissance. »Il quitta à nouveaux mes lèvres pour descendre sur a poitrine. Ma poitrine n’étant pas mon organe le plus sensible il la pétrie avec énergie pour que je ressente du plaisir. Il alterne ce traitement avec des griffures et des morsures. Je subis avec délectation mais j’en veux plus. Je me tortille pour qu’il comprenne mes envies. Quelques déhanchements de ma part eurent l’effet escompté puisqu’il est en train de retirer ce fameux body avec ses dents. Il entrouvre brusquement mes jambes et se jette sur mon sexe. Sa langue passe à l’action. Il début en faisant des petits huit du bout de son organe. Puis il cessa pour faire de petits cercles ayant pour centre mon clitoris. Les cercles rétrécissent et grandissent pour me mener au bord de l’orgasme avant de refaire tomber la pression. Je suis en extase. Au paradis. Mes gémissements et tortillement l’attestent et comme preuve ultime des quantités gargantuesques de mouille sorte de mon vagin. Il me donne le coup de grâce et je jouis. Pendant que je jouis un jet de mouille éclabousse son visage mais il continue ce cunni pour que mes tremblements dû à l’orgasme se prolongent.
Quelques secondes plus tard il se relève et m’embrasse goulûment avec son visage suintant de mes sécrétions pour me faire partager leur goût.
« -On se rhabille trésor me susurrât-il avec un sourire radieux.— Et toi ?— Quoi moi ?— Tu n’as eu aucun remerciement pour cet orgasme…— Tu me remercieras dans le train ma chérie.— Pourquoi ? Je ne comprends pas.— Je n’ai pas osé te le dire mais depuis que je t’ai plaqué contre le bâtiment j’ai vu qu’un homme nous matte à l’intérieur… et je n’ai pas envie qu’il regarde ma queue.— Sérieux ?— Oui, oui lève-toi et colle ton visage à la vitre.— Salop !— A charge de revanche pour la fois où tu m’as sucé alors que je téléphonais à ma mère.— Tu vas me le payer dans le train ça.— On verra petite coquine.

Voilà dîtes-moi si vous voulez la suite qui s’est déroulée dans le tgv.
Diffuse en direct !
Regarder son live