Bonjour, mon nom est Maryse, je fais 1,72m pour 45 kilos j’ai les cheveux bruns et les yeux bleus. Mon histoire se déroule alors que j’avais 16 ans, c’était ma dernière année d’études secondaires.Je vivais avec mon père Serge, 1,90m 90 kilos, ma mère Lucie, 1,75 50 kilos, mon frère Antoine, 1,85m 90 kilos et ma sœur jumelle, Julie 1,72m 45 kilos. Un jour de septembre particulièrement chaud, en rentrant des cours avec Julie nous décidions de nous mettre à l’aise, nous avons retiré tous nos vêtements sans pudeur puisque notre famille n’est pas très pudique. — dis-donc! T’es rendu avec une sacrée paire de nibards! S’exclama Julie— les tiens aussi son pas mal, dis-je en riant.— Je peux les toucher? Pour voir s’ils sont différents des miens, demanda timidement ma sœurette.— Fais comme chez toi! Elle approcha timidement sa mains de mes deux belles mamelles, les soupesa, puis effleura mon mamelon, ce qui eu pour effet de me faire gémir faiblement. Voyant dans quel état me mettaient ses caresses, Julie sourit et approcha son visage du mien : — J’ai envie de toi, me murmura-t-elle.— Embrasse-moi, dis-je incapable de me contrôler. Julie approcha sa bouche de la mienne en continuant de caresser mes seins, dont les pointes se dressaient fièrement. Lorsque ses lèvres entrèrent en contact avec les miennes, une vague de chaleur envahie mon bas ventre. Julie m’embrassa avec effusion délaissant ma poitrine pour aller chatouiller ma fente de ses longs doigts fins. — allons dans notre chambre me dit-elle dans un soupir. Elle me fit étendre sur son lit, puis elle recommença ses caresses en m’embrassant avec la langue. Sa bouche descendit le long de ma gorge pour atterrir su mes mamelons déjà excités. Elle suça lentement mes pointes en caressant ma chatte qui était devenue toute humide. Elle continua sa descente pour arriver la bouche vis-à-vis ma chatte. — Tu veux toujours continuer? Me demanda-t-elle Je ne lui répondis pas, mais appliquai une pression sur sa tête pour forcer sa bouche sur mon antre chaud. Sa langue s’activa en moi avec une telle fougue que je me laissai aller et gémi de plus en plus fort. Julie pivota, et s’installa sur moi en position 69 pour que je puisse lui donner autant de plaisir qu’elle me donnait. Avec deux doigts, j’ouvrai sa petite coquille et léchai sa perle en aspirant tout son jus qui coulait le long de sa fente.
Soudain la porte s’ouvrit à la volée et notre père découvrit tout un spectacle, ses deux petites princesses se donnant du plaisir mutuellement.
— Mais... mais que ce passe-t-il ici? Demanda papa estomaqué. Julie et moi rouges de honte nous redressèrent d’un bloc. — tu vois, papa Maryse et moi faisions l’amour… commença Julie — J’ai vu effectivement…mais pourquoi ne pas faire l’amour avec un garçon?— Tout ça est arrivé si vite...mais papa tu as une érection! M’exclamai-je.— Euh… je … commença papa. Soudain, Julie s’approcha de lui et mis la main sur la bosse qui ornait le short de notre père. — viens par ici dit-elle aguicheuse.— Non Julie, c’est mal, dit papa en la repoussant un peu— Tu n’as pas envie de nous? Dit-elle en faisant la moue.— Si, c’est justement ça le problème.— Laisse-toi aller, dit-elle en massant la queue de papa à travers son short — Petite salope dit papa en fermant les yeux Julie baissa le short de papa et nous découvrions un membre généreux bien dressé, près à l’attaque. — Suce-moi, dit papa en appliquant une pression sur la tête de Julie, et toi ne reste pas plantée là, dit-il en me désignant, viens l’aider! Je m’approchai et me mis à genoux à côté de Julie et nous entreprîmes une fellation à deux sur la bite de notre père. — Bon sang, vous êtes douées! s’exclama papa, je vais venir. Il prit ma tête et enfonça sa bite au plus profond de ma gorge en déchargeant son foutre par saccade. Du sperme dégoulinait de ma bouche et Julie s’empressa de venir le lécher, pour ensuite me rouler une pelle en faisant glisser le foutre de papa dans ma bouche. J’avalai le tout et nettoyai la bite de papa, qui était encore toute dure. Il me fit lever et me prit dans ses bras pour m’installer sur le lit de Julie. — tu es vierge? Me demanda-t-il.— Oui, et je veux que tu sois mon premier, dis-je en l’embrassant fougueusement. Il plaqua sa bouche sur ma petite chatte et saliva abondamment en léchant mon clitoris tout excité. Il se releva ensuite et installa ma sœur à côté de moi. — toi, Julie, es-tu vierge?— Pas du tout déclara ma sœur avec un sourire malicieux. Mon père s’installa sur elle et la pénétra de toutes ses forces. — tu es bonne ma chérie! S’écria mon père incrédule — toi aussi tu es bon! Gémit ma sœur les yeux fermés Après avoir lubrifiée sa bite dans la chatte de ma sœur, mon père s’installa sur moi et entreprit de pénétrer mon petit trou serré. En un coup de bite, ma virginité s’était envolée pour laisser place à la jouissance que me procurait la verge de mon père en moi. Julie s’assit sur mon visage et je léchai avec plaisir sa chatte toute mouillée. — Ah oui! Continue sœurette! J’aime ce que tu me fais!— Et moi j’aime baiser mes petites putes de filles, s’écria mon père en jouissant dans mon vagin. Ce qui eu pour effet de me donner mon premier orgasme à vie. Papa se retira et Julie se précipita pour aspirer tout le foutre qui sortait de ma chatte en feu. — vous m’avez épuisé, petites salopes, déclara papa en se rhabillant, vous ne perdez rien pour attendre, dit-il en nous faisant un clin d’œil.
