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Notre institutrice

Chapitre 2

SM / Fétichisme
pour ne pas hurler son bonheur. 
Chapitre 2

Dans la grange, l’homme se montre particulièrement sadique et mademoiselle ne semble pas détester à l’entendre parfois traiter son bourreau de couille molle. Là, pendant ces moments, l’homme se montre particulièrement violent. Giflant, frappant, fouettant à tour de bras le corps de notre professeur. Cette démonstration dure plus de deux heures et mademoiselle donne des signes évidents de fatigue. L’homme rassemble ses affaires, les remet dans son sac et pose quatre petits boîtiers sur chacune des cordes qui retiennent mademoiselle. 

Une fois la voiture partie. On enfile nos vêtements et allons voir notre institutrice encore attachée. 

« Mon dieu, que faites-vous ici ? »

« Nous, rien, on passait par là. Mais vous, oui vous et vos cours de moral, vous faites quoi ici ? »

« Détachez-moi, et je vous en ferais voir de la moral. » Nous crie mademoiselle.

« T’as vu ces petites boites, Irène, on dirait des petites minuteries. Pour moi, il doit y avoir un mécanisme qui coupe la corde ou la fait exploser. À voir l’heure réglée, on sera au lit déjà, c’est réglé sur minuit. »

« On la délivre ? » me demande Irène. 

« Certainement pas. Dommage que je n’ai pas mon appareil photo. Je me demande ce que la mère supérieur en penserait, vilain, je pense, n’est-ce pas mademoiselle la moralisatrice. »

« Tu crois que sa mouille est aussi bonne que la mienne ? » Me demande Irène

« Faut voir, de toute manière, elle ne va pas dire non, notre professeur et sa morale, n’est-ce pas ? »

« Vous êtes fous. Délivrez-moi ou demain je vous flanque une fessée devant toute le collège ! » Hurla-t-elle.

« Je ne crois pas, Mademoiselle, je vais retirer les petites boites et on verra bien. Goute, mon amour, cela ne doit pas être mauvais après tout. Si elle a ton gout, je vais aussi la boire un peu. » Sûr de mon fait.

Irène se glissa entre les cuisses largement ouverte de notre professeur et commença à la lécher. Mademoiselle ne disait plus rien, la langue d’Irène faisant son petit effet. De plus, comme je retirais délicatement les boîtiers censés couper les cordes, Mademoiselle avait tout intérêt à ne plus manifester de colère. Après les boîtiers, c’est son corps de femme que je caressais, m’attardant sur sa belle poitrine bien ferme. Cette femme n’est âgée que de 24 ans après tout. Elle est tout ce qu’on trouvait sur nos revues. Mademoiselle gémit et de douleur, ses seins la faisait souffrir, son tortionnaire les avait particulièrement massacré avec sa cravache. Je me baissais près du visage d’Irène, lui retirant son pull, sa jupe et sa culotte. Je fis de même. Maintenant, on pouvait continuer, d’égale à égale, on n’avait plus rien à cacher de nos corps. Ma queue était tendue et mademoiselle ne pouvait ne pas la voir. Je me glissais dans son dos, baisant délicatement son corps de rêve, plus développé que celui d’Irène, mon amour. Moi derrière, Irène devant, on lui lécha son intimité en massant son corps de nos mains et en quelque minute de ce traitement, Mademoiselle jouissait avec force. On continua encore, je rêvais de lui faire l’amour, moi le puceau de 18 ans. 

À défaut de prendre la virginité de mon Irène, j’avais une femme qui n’était plus vierge devant moi. Sans lui laisser la moindre chance de nous échapper, on a délivré ses mains pour les mettre plus en avant, courbant son corps à angle droit. Je me suis mis devant son visage et mademoiselle refusa, dans un premier temps. Comme son Maître, je la giflais et durement. Sa bouche s’est ouverte, j’y ai glissé mon sexe tendu et jusqu’au fond de sa bouche. Entre les cuisses de notre prisonnière, Irène était gourmande de sa cyprine. Sentant mon plaisir arrivé, je me suis retiré de cette bouche pour passer derrière. Mademoiselle eut beau protester, vociférer, injurier, nous promettre les pires châtiments, rien n’y fait, je la pénétrais et m’y sentais bien, une fois bien dans son sexe tout humide. J’allais et venais en elle. Irène massait les seins de cette femme prisonnière de ses vices. À vrai dire, je ne sais après combien de temps elle a jouit. Cela fut merveilleux de la voir jouir, de la sentir exploser de bonheur. Je me mis à lui fesser son cul, histoire de jouir plus fort encore. L’effet fut double, Mademoiselle jouit encore et moi avec et en elle. Je restais accrocher à ses hanches un bon moment. Dehors, le soleil déclinait. On finit par délivrer mademoiselle. On lui donna ses vêtements. Elle ne s’habilla pas immédiatement, nous regardant longuement, ne sachant visiblement pas que faire de nous. Et puis, Irène s’est approchée de notre institutrice, elles se sont longuement embrassées. Je m’approchais à mon tour. Mademoiselle me gifla doucement, une caresse plus qu’une baffe. Son baiser sur ma bouche fut merveilleux. Enfin habillé, on s’est séparé, moi et Irène de notre côté et Mademoiselle en direction de son petit appartement. Avant notre séparation, elle nous fit promettre de rien dire. Cela étant, elle n’était pas en position de nous commander quoi que ce soit, nous si. Aussi, on l’invita à venir visiter notre cachette un jour prochain, elle nous promit y venir le mercredi suivant. 

Le lendemain, au collège, Irène et moi faisions comme d’habitude. Sauf que mon amour me faisait un peu la gueule parce que j’avais joui dans notre professeur. Il me fallait trouver la solution et cette solution ne pouvait nous venir que de mademoiselle. Après la classe, main dans la main, on est resté. Sans prévenir, je lui commandais de nous fournir une boite de préservatif. Elle eut un merveilleux sourire quand de sa main sortant de son sac, elle me tendit une boite neuve de dix capotes.

Tu parles si on était pressée, Irène et moi. On se rendit sans perdre une seconde sous la grange et nue, après le récit d’une histoire vicieuse, je fis de mon aimée, l’égale de mademoiselle, une femme à part entière. Je pris sa fleur et en douceur, je pris son cul tout en douceur et là, dans son petit anus, sans capote. Mademoiselle nous rejoint une bonne après. On l’embrassa, on la coucha et on s’aima à trois. Elle nous fit découvrir bien quelque position pour faire l’amour et faire l’AMOUR. Ensuite, on se sépara quand le soleil assombrit notre cachette. 

Au collège, pendant le cours de philo, quelques jours après, Mademoiselle me montra un billet. Elle ne me le donna pas de la main à la main, non, c’est en rentrant de la pause qu’elle le glissa dans ma veste en prenant soin que je la vois faire. Elle fit de même avec Irène. Le mercredi suivant, nous n’avons pas ramassé les journaux et autres vieux papiers. Nous étions une semaine impaire.
Selon ses instructions, on s’est caché, entièrement nus. Mademoiselle est arrivée en tout début d’après-midi. Soigneusement, elle retira et plia ses vêtements dans un coin de la grange, mon aimée et moi étions cachés près du vieux char, juste derrière. Mademoiselle savait où on se cachait. La voiture est arrivée, l’homme a posé son sac et le jeu pouvait commencer. Durant toute la séance des sévices de mademoiselle, Irène et moi avons faire l’amour. Prenant notre pied jusqu’à ce que je ne puisse plus bander. Pour faire court, nous avons épuisé les six dernières capotes. Alors, de nos bouches, de nos mains, on a continué jusqu’à ce que l’homme se retire du jeu. Mademoiselle était suspendue par sa poitrine et n’avait pas eu d’orgasme. Pas comme son Maître qui avait joui dans sa bouche à plusieurs reprises avant de la suspendre ainsi.

Près de mademoiselle, elle nous supplia de ne pas le décrocher immédiatement. Nous avons doucement écarté ses cuisses et lui avons lessivé son intimité, toute son intimité, oui, même son anus légèrement sale. Nous étions nu, tous les trois. Mademoiselle réussit à prendre son pied à deux reprises avant qu’on ne la délivre délicatement. 

Ces jeux durèrent deux ans et prirent fin l’année de notre examen final. Avec Mademoiselle, nous avions notre billet d’entrée pour l’université. Durant tout ce temps, Mademoiselle subissait son Maître et nous. Elle fit aussi de nous de amants sachant faire jouir l’autre, des pervers, mais aussi des vicieux, son corps servant à nos supplices qu’on lui imposait contre notre silence.
Mademoiselle fut mutée dans une autre école et fut quittée par son Maître sans aucune raison. Irène et moi, on s’est aussi séparé, nos goûts différaient trop, nos études aussi différaient. Elle est partie vers d’autres pays, mais on s’écrit toujours. On se raconte toujours nos aventures, dont celle-ci.

Fin
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