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notre voyage de noces

Chapitre 3

Avec plusieurs hommes
C’est le silence qui nous réveille ; pas de bruit, pas de vibration, le bateau est à l’arrêt ; il est en effet prévu une sortie 4/4 sur Union ; Béa émerge doucement et brusquement se met à pleurer « j’ai honte de m’être laissée faire par ses deux mecs, je t’ai trompé et je le regrette, pardonne-moi, mais je te jure qu’il n’y a que toi qui compte » il me faut beaucoup de persuasion pour la calmer et je lui assure que je ne lui en veux pas, qu’elle ne m’a pas trompé, puisque c’est moi qui l’ai envoyé ; que je me suis branlé en pensant à elle, que j’ai pris beaucoup de plaisir à gouter sa chatte après et que si au début, j’ai eu l’idée d’être cocu, c’est un cocu consentant et heureux qui la serre dans ses bras ; et que de plus, j’espère que notre premier projet va se réaliser ; et que j’ai toujours envie de la voir jouir dans les bras de ce beau ténébreux ; « c’est vrai, tu me le jures ? Tu ne m’en veux pas ? « Pas du tout bien au contraire et maintenant vas te préparer pour la journée ».
Vite le petit déjeuner et déjà nous sommes conviés à débarquer ; les véhicules nous attendent et par plaisir (cela arrange certains) je prends le volant ; à ce moment, passent devant nous deux jeunes ; Béa me serre la main, le visage tendu ; je comprends qu’il s’agit de ses deux partenaires ; un bisou lui redonne un peu le sourire ; puis l’organisateur nous demande si nous acceptons deux passagers ; avant de répondre, un coup d’œil en retrait ; une dame (un peu plus de 60) et notre personnage grisonnant ; mon regard accroche l’aval de Béa ; nous voilà sur la route ; au fur et à mesure elle se détend ; il faut dire que nos compagnons sont très agréables, la femme petite rigolote pleine d’humour et l’homme se révèle plein de connaissance, un vrai guide embarqué, très courtois, sans aucune allusion à la précédente rencontreC’est à la nuit que nous rentrons (il fait noir à 18h) et pour nous remercier de la conduite et nous pour les remercier de leur compagnie, nous décidons de prendre un verre avant le repas ; fatiguée la femme se retire et nous nous retrouvons tous les trois, un punch à la main ; finalement c’est plusieurs verres que nous sirotons et les effets commencent à se faire sentir chez Béa ; l’alcool l’a rend amoureuse et elle se blottie contre moi, et quand arrive une conversation plus coquine, elle y prend part, jouant parfois avec le feu dans ses réponses ; Jean (c’est son prénom)en profite et nous invite à passer la soirée ensemble, afin de mieux faire connaissance et ‘’ plus si affinités » ; c’est elle qui accepte, lui proposant même de manger à notre table.Le repas me semble interminable ; Béa est très excitée et Jean, toujours aussi galant la couvre de compliments, mais cette fois ne semble pas faire d’appel ‘’du pied’’ ; à la fin du repas, très naturellement, il nous propose de boire une coupe de champagne, au bar ou dans sa cabine ; c’est moi qui réponds « allons chez vous nous y serons plus tranquille »
Je sais que je viens d’accepter une situation qui peut devenir soit dangereuse car Béa bave devant lui, soit ouverte vers d’agréables et désirés moments ; me prenant par le bras, il nous entraine joyeusement, entourant Béa par les épaules. « Je vous rejoins, je vais me changer « il est vrai que nous sommes encore en tenue de baroudeur.Jean en profite pour me sonder, je pense qu’il hésite encore sur ses projets
— Ta petite femme est adorable et je dois dire qu’elle me fait de l’effet — Je l’ai appris hier soir ; elle se souvient de ses danses avec toi — Elle t’a raconté ? La coquine dire ça à son mari ; je ne l’ai pas forcé, mais j’ai apprécié son téton et ses globes bien rebondis. Elle a apprécié ?
« Si j’en crois son état après, je pense que oui et moi aussi d’ailleurs » soudain je réalise que je viens de lui faire comprendre que je suis consentant.«Vous avez déjà eu ce genre de relations ?« Non ! » « Cela vous tente ou simplement elle aime se faire draguer sans aller plus loin »Je n’ai pas le temps de répondre, car Béa vient de revenir et je reste sans voix ; elle a revêtu un corsage très transparent, laissant découvrir sa poitrine à travers, d’autant plus que seuls deux boutons sont fermés et qu’à chaque mouvement un sein apparait dans l’échancrure, la pointe étant colorée par du rouge carmin ; ainsi qu’une jupette de tennis croisée sur le devant et sans attache en dehors de celle de la tailleJe dois dire qu’à sa vue, mon sexe prend de l’ampleur ; discrètement je change de position pour cacher le tableau ; Jean n’en perd pas une miette, son regard est brillant de désir ; il l’a fait assoir sur un pouf, ce qui fait écarter le pan de sa jupe ; d’où je suis, je peux voir son entrecuisse, mais j’ignore si elle a mis un string. Le verre à la main, Jean s’est installé à côté de moi, le visage tourné vers elle ; négligemment elle bouge, favorisant l’écart du tissu et bientôt il peut voir sa fente, rosée, vierge de toute toison ; je décide de lancer le combat et me déplaçant derrière elle, je lui caresse les épaules, puis descendant un peu plus bas, c’est un sein que je sors et que je titille ; la bosse chez Jean est bien visible, mais il ne bouge pas ; les derniers boutons cèdent et je la dénude, laissant apparaitre sa fière poitrine ; sa respiration s’est accélérée, ses yeux se sont fermés, docile, elle attend que je la livre ;lui n’a toujours pas bougé, seule sa main caresse le sexe sous le tissu ; la jupe est bientôt dégrafée et lui écartant les jambes je lui offre la vue sur la vulve écartelée d’où coulent des perles de cyprine
« C’est notre voyage de noces et pour son plaisir et le mien, je te l’offre, prends-la, fais-la jouir, sa chatte t’attend depuis hier soir » la prenant par la main je la fais étendre sur le lit et lui écartant les cuisses, je lui fouille la chatte ; mes doigts ressortent pleins de sa jute ; « maintenant elle est à toi » enfin il bouge, passant ses mains sur son corps, des seins jusqu’au bas ventre et se mettant à genoux, il dépose un baiser sur la vulve offerte ; à son contact, elle se cambre, gémit, remonte ses jambes sur ses épaules, laissant à notre vue une chatte béante et luisante de cyprine pour eux je ne compte plus ; sa langue lui titille le clito, puis pénètre dans l’antre offerte ; il la suce, la mordille et sous la caresse buccale, elle se tord de plaisir
« Vas-y suce moi, putain ta langue me fait du bien, mets un doigt dans ma chatte c’est bon..... » je suis surpris qu’elle se livre ainsi ; il la branle, deux doigts dans la chatte, tout en lui suçant le clito ; ses gémissements prouvent son plaisir et les claquements de sa langue traduisent l’humidité de la grotte investie ; j’ai le ventre qui me brule et j’ouvre ma braguette pour libérer mon membre tendu. Il a tôt fait de faire tomber le pantalon et un sexe arqué apparait ; il est bien membré, par très long mais sa grosseur est démesurée, un vrai pilon ; elle lui retire sa chemise et quand il se penche sur elle, ses lèvres se posent sur les siennes pour un baiser passionné ; à nouveau la pointe de jalousie, mais j’essaie de me maitriser, je lui ai offerte et je dois l’assumer.C’est elle qui prenant son sexe à pleine main le présente contre sa chatte, et d’un coup de rein elle le fait pénétrer entre ses lèvres ; mais le calibre est gros et quand à son tour, il s’enfonce, elle ne peut retenir un oh de surprise ; les parois s’ouvrent sous la poussée et elle vibre sous le joug « chéri, il est gros, il me déchire le ventre,...... sa bite me remplit... putain c’est bon » ; il la lime doucement, mais sa queue s’enfonce jusqu’aux couilles à chaque fois ; sa possession est totale, puissante, il la remplit de tout son sexe ; Béa gémit et porte sa main sur son pubis ; ses doigts entourent la bite qui la possède tout en caressant son clito ; lui l’embrasse tendrement sur les seins, dans le cou, sur les lèvres ; assis sur le pouf, je crève de jalousie, ma Béa possédée, mais surtout se livrant passionnément à son amant ; je les regarde, hébété, quand soudain elle me tend la main « vient près de nous, c’est pour nous qu’il me possède, sa queue me défonce pour mon plaisir, mais je veux que tu participes » et me prenant la queue, elle l’enfourne ; sa sucette est divine et j’oublie mes angoisses ; Jean continue à la prendre, lui parlant tendrement, des mots doux, parfois crus, mais jamais agressifs.
Une de ses mains a quitté le corps de Béa et il me tripote les couilles, pendant qu’elle me suce ; à son contact, j’essaie de me dégager mais finalement je frémis à ce toucher ; je me laisse branler devant elle, qui me regarde amoureusement ; son rythme s’est accéléré et à grand coup de matraque il la pistonne, accroché à ses hanches, sa queue lui défonce la chatte et elle feule de plaisir ; à nouveau elle est à lui et jouit sous sa verge ; enfin il se cabre, et il est parcouru de soubresauts ; il éjacule, bruyamment la tête renversée ; accrochée à ses bras, elle s’offre un peu plus « tu me remplis le ventre, tu me fais jouir, je pars, oh c’est bon encore, enfonce-toi encore, possède-moi, remplis-moi ». Repus, il se retire et s’allonge sur le lit « à toi maintenant, fais la jouir à ton tour » d’une seule poussée, je la possède, ma queue coulisse dans sa chatte remplie de sécrétions de son amant ; mes coups sont violents et mes couilles lui frappent les fesses, je la défonce brutalement, mes doigts lui tiraillent les seins, lui déclenchant des cris de douleur « vas-y fais-moi mal, punie moi de la jouissance que je lui ai donnée » je ne peux retenir ma jouissance et me retirant, je lui jute sur le visage
Allongés à côté d’elle chacun de notre côté, nous la caressons, lui laissant reprendre ses esprits ; bizarrement, ma jalousie a disparu et je traduis mon plaisir à Béa lui prend connaissance de notre plaisir
— Tu as aimé voir ta femme se faire prendre, — Je dois reconnaitre que oui, la voir jouir sous ta queue au début m’a rendu jaloux, puis ensuite, j’ai aimé te voir la faire jouir.— Et toi Béa, tu aimes te faire prendre par un autre mec, je suppose que c’est la première fois.
Béa ne répond pas, le souvenir de la dernière nuit lui revient, et elle se ferme. « Je regrette ma question, j’ai été maladroit » « ce n’est pas ta faute, je pensais à autre chose » jean est surpris par la tournure des événements et quittant le lit, il nous propose courtoisement d’en rester là ; Béa le rattrape par la main et après lui avoir déposer un baiser sur les lèvres, elle lui raconte son aventure, alors qu’au départ elle devait le rejoindre dans sa chambre ; surpris puis intéressé, il l’écoute, sans l’interrompe ; nous bandons à nouveau, mais nous ne bougeons pas ; quand elle termine son récit, elle ferme ses yeux, sans doute un peu honteuse, à tort d’ailleurs.C’est lui qui rompt le silence et en s’adressant à moi « tu lui en veux ? » « Pas du tout au contraire, et j’espère bien qu’il y en aura d’autre » »« et toi Béa, tu regrettes » un long silence puis me regardant droit dans les yeux « pas du tout et je suis à nouveau prête à être une salope pour le plaisir de mon homme ; ils m’ont fait jouir et je me suis donnée à eux comme je viens de me donner à toi, simplement pour notre couple ». Réjouit, Jean nous tend une coupe de champagne « je vous invite à coucher là et si vous êtes encore d’accord, je vous propose de partager votre voyage et je suis sûr qu’ensemble nous allons découvrir d’autres plaisir et il ne se trompait pas.
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