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Nous deux, Mary et Pierre

Chapitre 2

Inceste
Chapitre deux : le réveil surprise Je me sens flotter, la plénitude m’atteint, je crois rêver. Non je ne rêve pas, j’entrouvre péniblement les yeux, l’esprit encombré de nos galipettes de la veille, je vois maman mettre en pratique sa première leçon. Elle s’occupe de ma bite, bien dure comme tous les matins, elle m’a décalotté le gland en me léchant, me suçant sur toute la longueur. Elle m’avale en totalité, c’est vraiment trop bon que de se faire sucer... J’adore cela, je décide de poser ma main sur son flanc, je la caresse tendrement. Qu’elle est belle ma Mary, s’activant sur mon engin ! Elle stoppe sa superbe fellation, me fixe de son regard mutin et me dit : « monsieur est quand même réveillé ? » je lui souris. « Ma chérie, je suis réveillé depuis un petit moment, mais je profitais du spectacle en silence, de la superbe pipe que tu me fais ». — « Espèce de petit cochon, tu profites en solo, et tu ne t’occupes pas de moi !... » Et elle replonge sur ma queue pour continuer son ouvrage. J’attire sa partie intime vers moi, nous sommes maintenant en 69, je m’occupe de son petit minou.
Je passe mes doigts sur celui-ci, elle mouille déjà énormément, je lèche ses grandes lèvres, les aspire, enfonce ma langue au plus profond de son vagin et la fais tourner. Maman apprécie ce petit traitement, car elle gémit très fort, tandis que moi, le « petit pervers », je profite de la situation pour promener ma langue sur sa petite rondelle. Elle marque un temps d’arrêt, surprise par cette léchouille sûrement inconnue pour « elle ». Je n’insiste pas trop longtemps, chaque chose en son temps, je reprends le léchage de sa belle minette. De son côté, elle me pompe à nouveau comme une furie. J’ai décalotté son clito gonflé de plaisir, je bois son nectar qui coule. « Maman a très bon goût ! » lui dis-je en riant. Je lèche son clito avec frénésie, elle coule de plus en plus, je poursuis mon œuvre, maman arrête ses succions. Elle se cambre et jouit très fort en hurlant son bonheur, et s’exclame : « putain que c’est bon de se faire bouffer la chatte !... ». Après quelques secondes, et malgré l’intensité de son orgasme, maman se remet à l’ouvrage, son corps et son intimité sont encore secoués par des soubresauts, elle me pompe comme une affamée, à croire que sa vie en dépend. Ses joues se creusent tellement elle y met du cœur, je sens la sauce monter, je me retiens, mais cela m’est de plus en plus difficile. Je crie à maman : « je viens ! » Elle n’arrête pas sa besogne pour autant, me gardant toujours en bouche. Mes vannes s’ouvrent en grand, je me liquéfie dans sa bouche en de longues saccades. Maman lâche le morceau et avale tout mon jus. Après avoir repris son souffle, elle me nettoie entièrement. Je lui glisse : « que c’est bon de se faire sucer... »
Mary vient ensuite se blottir contre moi, la tête contre mon épaule, nous reprenons nos esprits tous les deux, tout en nous caressant tendrement. Maman relève la tête et me dit : « tu te rends compte mon chéri, il a fallu que j’aie 40 ans pour tailler une vraie pipe à un mec, qui plus est à mon fils ! Holà, je deviens une vraie dévergondée ! » Je lui réponds alors : et en plus tu as tout avalé !... ». Maman surenchérit : « et même que ce n’est pas dégoûtant, tu as très bon goût mon fils adoré, je reviendrai souvent boire à ta source. » — « Tout ce que tu voudras mon amour ! » lui réponds-je, et nous nous blottissons l’un contre l’autre. Le sommeil nous gagne. Les rayons du soleil passant à travers les persiennes me caressent le visage, je sors lentement de mon sommeil, je regarde Mary toujours blottie contre mon épaule. Elle dort encore, son visage respire la sérénité, la joie, ses lèvres sourient comme « une femme heureuse et amoureuse », je l’aime. Mary est radieuse, elle respire le bonheur, je l’aime... Oui, je me répète. Je lui souffle légèrement sur le visage pour la réveiller, j’insiste, elle fronce le nez comme dérangée, puis finit par ouvrir les yeux, ses yeux de biche qui me font craquer. Elle me sourit. « Bonjour mon amour, bien dormi ? » — « Et toi ma chérie ? » — « Comme un gros bébé, avec dans ma tête l’image d’avoir un gros sucre d’orge dans la bouche ! » Et elle éclate de rire. Nous nous caressons tendrement partout sur le corps, moi bien sûr j’insiste sur ses belles oranges, je titille ses tétons qui réagissent immédiatement, ils deviennent tout durs. Maman me caresse le bas ventre, attrape ma bite, me branle lentement avec douceur. Nous prenons tout notre temps. Maintenant, ma main se perd dans sa toison, je caresse ses lèvres gonflées de plaisir, mon majeur s’égare dans son vagin, en faisant un mouvement de va-et-vient. Un deuxième doigt rejoint le premier, j’augmente légèrement la cadence, Mary commence à ahaner, elle accélère le mouvement sur ma queue, nous sentons le plaisir monter tout doucement. On s’embrasse furieusement, nos langues tournent et retournent, on se mange les lèvres. Le bonheur qui nous entoure devient pharaonique, je me sens flotter tellement je suis bien contre ma chérie. Et en une fraction de seconde, Mary stoppe tout et me dit « prend-moi, j’en ai trop envie ! » je ne vais pas m’en priver, moi aussi j’ai envie de la baiser. On se met dans la position classique du missionnaire, je pénètre son vagin dégoulinant... Après quelques va-et-vient tranquilles, je mets fin à l’exercice.
Mary me regarde stupéfaite et me dit : « déjà fatigué mon chéri ? » — « Non, pas du tout, mais c‘est l’heure de l’exercice numéro deux ! ». Maman se demande à quoi elle va avoir droit. Je lui dis : « maintenant, tu vas avoir droit à une bonne levrette. Mets-toi à quatre pattes, bien cambrée, que ton joli cul remonte à la bonne hauteur. » Elle me regarde et me dit : « tu veux m’enculer, petit cochon ? » — « Non, pas aujourd’hui, il faut que je te prépare correctement pour pouvoir rentrer dans ton petit trou... ».
Je me place derrière elle, la pénètre d’un trait, elle pousse un petit cri de surprise. Là je mets le pistonnage en route, j’ai envie de baiser bien fort, pas de tendresse, de la baise bien hard, du sexe ! Mon excitation est à son comble. J’y vais de plus en plus fort, mes couilles claquent sur son cul, on entend le clapotis de sa mouille à chaque pénétration. Je suis comme fou de prendre maman dans cette position. « Tiens, prend ça, salope ! Tu aimes de faire baiser par ton fils espèce de cochonne ! » Entre deux gémissements elle lâche : « oh oui, c’est trop bon de se faire bourrer comme une salope, tu as réveillé la salope qui était en moi, et maintenant il va falloir assumer mon coco ! Oui, baise-moi bien, je veux encore sentir ta grosse bite dans ma chatte, oui vas-y, encore, encore, et encore... » Je continue mon pilonnage intensif en la tenant par les hanches, maman accompagne le mouvement en venant s’empaler sur ma queue. Elle est complètement ouverte et mouille abondamment. Mais avec cette cadence infernale nous ne tenons pas très longtemps, notre jouissance arrive pratiquement simultanément.
Nous voici foudroyés par son intensité, les gémissements mutuels sont remplacés par un long cri bestial des deux amants que nous sommes désormais. Je me vide abondamment en plusieurs jets sans sa matrice. Foudroyés par l’intensité de notre jouissance, nous tombons tous deux sur le lit. Je suis toujours sur le dos de Mary. Nous reprenons nos esprits, je la couvre de baisers dans le cou, en poussant ses longs cheveux. En plaçant sa main en arrière, maman me caresse affectueusement la tête. La tendresse entre nous est de retour, on se calme doucement, après cette partie de jambes en l’air torride. Je dis à maman : « pardon ! » — « Pardon de quoi mon chéri ? », — « j’ai été très cru dans mes paroles pendant notre petite affaire... » — « Mais moi aussi je n’étais pas en reste non plus, je me suis surprise moi-même. Maintenant retire-toi, tu deviens lourd. » Je me place derrière elle, je la prends dans mes bras pour la câliner, nous parlons de tout et de rien, heureux comme deux ados.

Maman me demande : « dis-moi, quelles sont tes tenues préférées pour les femmes, et bien sûr pour les sous-vêtements ? » — « Déjà, la tenue que tu avais quand je suis arrivé. C’était très mignon et sexy, tes robes comme au resto. Je sais que tu mets des tailleurs pour bosser, tu fais très femme classe et en plus avec des escarpins, tu me fais un effet terrible. J’ai souvent fantasmé, de te prendre dans cette tenue, en remontant simplement ta jupe. » — « Eh bien mon cochon, tu en as de drôles d’idées dans la tête, mais j’essayerai volontiers ! Et les sous-vêtements mon chéri ? » — « Alors là mon amour... » Je marque un temps d’arrêt, elle trépigne d’impatience pour savoir. Je reprends : « tout en dentelle, strings, tangas, porte-jarretelles, et bien sûr des bas, surtout très sexy, et de toutes les couleurs, mais ma préférence va au blanc et au noir. » Maman est estomaquée par ma description. Et d’un coup elle se lève. « Douche, puis direction la ville ! » — « Mais pourquoi aller en ville, il fait une chaleur pas possible, et puis on bien là tous les deux ! » — « Je sais mon chéri, mais il faut que je renouvelle ma garde-robe de sous-vêtements si je veux plaire à mon homme !... ». Je suis fier des paroles de Mary, maintenant je suis SON homme, quel changement en l’espace d’une soirée et une nuit !... Je suis aux anges.
— File sous la douche, j’arrive, mais avant j’aère la chambre, ça sent le cul... Et on ne fait pas de cochonneries tous les deux sous la douche...
A suivre...
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