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Nous deux, Mary et Pierre

Chapitre 3

Inceste
Chapitre 3 : Les courses
Je suis sous la douche, l’eau ruisselle sur mon corps, les yeux fermés je repense à tout ce qui vient de se passer, aucune honte ne m’atteint, au contraire, je suis fier, fier d’être l’amant de Mary. L’homme qui a fait jouir ma mère. Maman me rejoint. Dans cette grande douche italienne, on pourrait facilement se laver à quatre, papy a vu les choses en grand, et peut-être, lui aussi a-t-il « batifolé » avec mamy sous la douche... Oulalah, je m’égare !... Maman se colle contre moi, telle une chatte qui réclame sa caresse, je sens son souffle régulier dans mon cou, ses mains caressent sensuellement mon torse, tout en douceur, je ressens tout l’amour qu’elle me porte. Elle me fait frémir, la chair de poule me gagne. Maintenant, elle joue avec ses ongles finement manucurés sur mon torse, une vraie torture, mais une torture diabolique. Ma virilité bien sûr réagit, une « trique d’enfer » me prend !! Ses mains descendent sur mon ventre, en continuant ses caresses, faisant des ronds dessus. Elle descend lentement vers mon pubis, et là elle sent que je bande, ses doigts entourent ma queue, en me caressant le plus lentement possible. Elle me dit
— eh bien mon cochon, tu es en permanence au garde-à-vous...!! — Que veux-tu, quand une belle femme me caresse aussi tendrement que toi, Popaul réagit !
« Mais tu es insatiable, tu as toujours envie de me sauter, espèce de gros cochon ! » rie-t-elle. Sa masturbation devient plus active. Je lui dis :
— je croyais que l’on devait être sage sous la douche ma chérie !
« Mais de palper ta bite m’a donné encore envie de te sentir dans mon ventre. » Je la retourne, lui plaque le dos contre la paroi de la douche, l’eau coule toujours, nos deux corps brillent... Ses cheveux trempés la rendent plus que désirable, je l’embrasse furieusement, elle me rend ce baiser avec passion. Ma main se perd dans son intimité. Non ce n’est pas de l’eau, mais bien son jus qui coule, mon excitation atteint son paroxysme. Je la veux, je veux pénétrer son antre chaud dégoulinant de plaisir, je me baisse légèrement, lui écarte les jambes, présente ma queue bandée au maximum à l’entrée de sa minette, et la pénètre, lentement, pour faire monter notre plaisir. On s’embrasse toujours, Mary me dévore la bouche. J’accélère le mouvement, je la pilonne de toute ma longueur, nos gémissements commencent à résonner dans la douche, nous interrompons notre baiser pour pouvoir respirer, gémir à notre aise. Je lui relève une jambe, qu’elle passe dans mon dos pour bien l’écarter, je vois sa chatte bien ouverte, remplie par un intrus qui la pistonne furieusement. Mary a enfoui sa tête dans le creux de mon épaule et gémit de plus belle. Je continue mon travail, par un pilonnage au plus profond de son vagin. Je veux l’emmener au ciel, qu’elle ne touche plus terre, au propre comme au figuré. Je passe mes bras sous ses cuisses, à présent toutes deux écartées, et la soulève. Légère comme une plume dans mes bras, elle monte et descend de plus en plus vite sur ma bite. D’elle-même, elle croise ses chevilles dans mon dos. Nous arrivons au bord de l’extase, encore quelques vas et viens, et Mary me hurle dans l’oreille
— Je viens mon amour !
Je ne tarde pas à la rejoindre dans la jouissance, ponctuée de gémissements bien rauques. Mon éjaculation est moins volumineuse que la fois précédente, mais tout aussi délicieuse. Je tiens toujours solidement maman dans mes bras, sa jouissance l’a désarticulée comme un pantin, elle est foudroyée par son plaisir. Délicatement, je la repose à terre, ses jambes flageolent. Nous reprenons nos esprits, maman toujours la tête dans mon épaule. Elle est d’une beauté indescriptible après l’amour, elle lève la tête, et avec son sourire mutin me dit :
— oulalah qu’est-ce que tu viens de me mettre, mon cochon de fils, j’étais sur une autre planète ! — Oh oui maman, c’est vraiment le pied avec toi.

Après quelques minutes, Mary me dit
— maintenant, une vraie douche, et on file en ville
Nous nous lavons mutuellement, en restant calmes, seulement quelques bisous. Il nous faut faire vite, le lent savonnage du corps de maman me procurant trop de... sensations. Après cette bien coquine douche, nous filons dans nos chambres, pour nous habiller. J’enfile un bermuda léger, un tee-shirt, et j’attends maman au salon. Elle arrive un bon moment après moi. Ah les femmes, pour se préparer !... Tenue décontractée, une robe d’été légère, au-dessus du genou, échancrée dans le dos, des petites sandalettes, sa queue de cheval tressée avec délicatesse, les cheveux encore humides. Tout cela là rend sublime. Bien sûr elle n’a pas mis de soutif, je vois ses deux grosses oranges se balader quand elle marche. Quelle coquine ma Mary !
— Allez, en route mon chéri, je sais, tu n’aimes pas faire les magasins, mais c’est pour toi, pour te plaire.
« Mais maman, tu me plais comme tu es. » Je me lève sans trop de conviction, elle m’a lancé les clefs de sa voiture.
— Maintenant tu es mon chauffeur !...
Direction le centre-ville, maman me caresse tendrement la cuisse pendant le trajet, j’essaye de rester concentré sur ma conduite, car ses caresses me font de l’effet. Nous déambulons devant les vitrines des magasins, maman m’a pris la main, nos doigts s’entrelacent, un vrai couple d’amoureux.
— Mary, on pourrait nous reconnaître !
Et la réponse fuse, sur un ton sec :
— je m’en fous, je suis tellement bien avec toi mon amour !
Alors, vaille que vaille !!... Dans le premier magasin, achats de tenues, on va dire classiques : mini shorts, minijupes, débardeurs. Direction la cabine d’essayage. Cela dure un bon moment. Passant seulement la tête par le rideau, elle me fait signe de venir, et là, le CHOC ! J’ai devant moi une vraie bombe, on dirait une midinette de 20 ans, un short à ras du cul, le tee-shirt remontant au nombril, à cause de son imposante poitrine, je suis subjugué par sa beauté.
— Maman, si tu sors comme cela tu vas déclencher une émeute !!...
« Du calme mon chéri, c’est pour toi à la maison, tu pourras te rincer l’œil gratuitement. » Elle me dit cela avec un grand sourire et éclate de rire. Je sors de la cabine d’essayage. Passage en caisse, plusieurs cornets de fringues, que je porte, bien naturellement, elle me prend le bras, elle est toute guillerette du bon coup qu’elle m’a joué, je ne reconnais plus maman, c’est l’eau et le vin, je la sens fière et heureuse d’être avec moi. Notre complicité et notre amour grandissent d’heure en heure. En arrivant devant un magasin de lingerie, Mary stoppe net devant l’entrée.
— Mon chéri, passons aux choses sérieuses.
On rentre, plusieurs clients et clientes et deux vendeuses, une jeune à peu près de mon âge, et l’autre la cinquantaine, maquillée à outrance, et perchée sur des échasses. Nous ne passons pas inaperçus tous les deux dans ce monde de lingerie fine. Maman déambule dans les rayons, je la suis sans trop savoir quoi faire. Elle choisit plusieurs tenues de belle facture et dans mes couleurs préférées, et une vert émeraude. J’en salive d’avance de la voir dans ces tenues coquines. Maman a récupéré un panier où elle dépose toutes ses emplettes. Un homme d’une soixantaine d’années nous observe d’un air envieux, surtout en matant Mary, s’il savait le vieux que c’est ma mère et qu’en plus, je la baise... Plusieurs nuisettes ont rejoint le panier, maman se dirige vers les cabines d’essayage, je l’attends devant, je ne sais quoi faire, je sens des regards sur moi, en un mot je me sens con. Mary entrouvre la porte de la cabine pour me faire entrer, afin d’avoir mon avis. En découvrant le premier ensemble, je pense « putain qu’elle est désirable ! », et ainsi de suite pour les autres ensembles. Je suis resté dans la cabine, j’admire les essayages et les déshabillages, assis sur un tabouret. Holà, je sens l’excitation me gagner. Le dernier, c’est l’ensemble vert émeraude qui la pare comme une reine de beauté. Mes yeux ne savent plus où regarder tellement elle est magnifique, le soutien-gorge tout en dentelle lui habille ses gros seins comme une seconde peau, un string qui ne cache pas grand-chose, et qui laisse deviner sa petite chatte finement taillée. Pivotant sur elle-même, elle me présente son adorable côté pile. On ne peut pas dire que ses merveilleuses fesses soient moulées par le string, car elles se trouvent totalement à « l’air libre », la culotte ne « couvrant » qu’un minuscule triangle de peau, avec au-dessous une ficelle disparaissant entre les deux globes... Et que dire du porte-jarretelles maintenant des bas verts !... Une grosse bosse apparaît dans mon bermuda.
Les mains sur les hanches, elle tourne sur elle-même en me décochant un sourire ravageur. Son regard se pose sur ma bosse.
— C’est moi qui te fait cet effet ?
Passant ses bras derrière mon cou, elle m’embrasse tendrement, et sa main vient se balader sur ma bosse, me caresse langoureusement. L’effet est immédiat, je bande encore plus fort, une envie bestiale s’empare de moi, j’ai envie de la baiser, là, tout de suite, dans cette cabine. Mary calme mes ardeurs :
— tout doux jeune homme, je me change, on rentre et on reprend nos petites affaires, maintenant sors.
Je descends mon tee-shirt le plus possible pour cacher mon érection. Maman se change vitesse grand V, sûrement pressée de reprendre nos petites affaires. A la caisse, la vendeuse range tous les achats de Maman, et me tend le sac avec un grand sourire,
— Monsieur va bien se régaler avec ces belles parures sur Madame !
Je me sens rougir, mais je m’en tape, seul notre plaisir et notre amour compte pour nous. De retour à la maison, nous prenons un rafraîchissement, et tel un ressort maman se lève.
— Je vais essayer mes achats, et je te fais un défilé rien que pour toi mon cœur. Tu mets tes fesses dans le canapé et tu restes sage, même très sage, petit coquin...
Je file dans ma chambre me changer, j’enfile juste un short de sport sans rien en-dessous et reste torse nu, tellement il fait chaud. Je m’installe sur le canapé, maman arrive avec la première tenue, le short très très court, à ras du cul. On devine le début de ses fesses, il lui moule parfaitement son joli popotin. Un débardeur qui ne cache pas grand-chose de sa magnifique poitrine, les seins débordant de partout. Elle est pieds nus, les ongles manucurés, avec un vernis rouge carmin brillant, le top. Maman me fait un défilé, prenant des poses suggestives.
— Oh, se rappelle-t-elle soudain. Hier j’ai acheté une robe, attends, je vais te la montrer, tu vas être surpris
Elle revient quelques instants plus tard, vêtue d’une robe blanche ornée de grandes fleurs roses. Très jolie, certes, mais... longue, jusqu’aux chevilles, et quasiment pas décolletée. Voyant ma moue dubitative, maman s’empresse d’ajouter
— ne fais pas cette tête-là, regarde mieux !
Et voilà qu’elle se place face à la baie vitrée, en contre-jour. Et là... elle est nue !! toutes les courbes de son merveilleux corps se dessinent en ombre chinoise, tant la robe est diaphane, une aile de libellule !... Mary revient dans la lumière, devant moi. En observant mieux, je vois sans peine par transparence son soutien-gorge et sa petite culotte, dont je distingue même les motifs... C’est tout Mary, çà. Sage en apparence, coquine en réalité.
— Mais maman, ta robe est très belle, mais on voit ton soutif et ton slip !
« Eh bien dans ce cas, je la mettrai... sans rien dessous ! » Ah, la vilaine fille !... Puis elle retourne se changer pour la suite du défilé de mode. Toutes les tenues y passent, je suis aux anges, un vrai « rêve éveillé !! » Le top du top arrive, les sous-vêtements, tous plus affriolants les uns que les autres. Elle s’est perchée sur des escarpins assortis à la couleur de la tenue. Mary rayonne du spectacle qu’elle me donne, elle prend un malin plaisir à me provoquer, m’aguicher, mon excitation atteint son paroxysme, je bande tellement fort que cela devient douloureux. Je suis persuadé qu’elle est autant excitée que moi, je le vois dans son regard, ses tétons pointent furieusement, déformant son soutif. Elle me dit
— une petite dernière, ce sera le dessert, mon petit coco.
Le changement est radical, elle arrive en nuisette complètement transparente, au ras des fesses, perchée sur des mules à talons hauts. Sous ce voile léger, elle est complètement nue, si le paradis a un nom, ce nom est « MARY ». Elle dénoue sa queue de cheval, secoue ses cheveux, passe les mains dedans comme pour les recoiffer, ce qui fait ressortir ses gros nichons. Je vais exploser, tellement mon excitation est grande. Elle avance à pas de loup en se déhanchant avec sensualité, se baisse, me claque un baiser sur les lèvres. Ni une ni deux, elle descend mon short. Mary se passe la langue sur les lèvres, en me disant
— je vais bien me régaler, vue la gaule que tu as mon salaud !...
En me chevauchant, elle se débarrasse de sa nuisette qui vole dans le salon, on s’embrasse furieusement, je sens son jus me couler sur les cuisses, je caresse tout son corps, aussi doux que de la soie. Maman chope ma queue d’une main ferme, et la place à l’entrée du fruit de tous ses plaisirs. Elle s’empale tout en douceur en tortillant du cul, et commence son va-et-vient, je place mes mains sous ses fesses pour imprimer la cadence, et là, fuse la remarque
— c’est moi qui mène le bal, occupe-toi plutôt de mes lolos, tu vas voir comme je vais être une salope de première, tu ne vas plus me reconnaître, je vais te baiser comme la dernière des putains. Je vais te vider les couilles jusqu’à la dernière goutte !!!!...
Elle impose une cadence de sénateur pour commencer, en tournant ses hanches, contractant son vagin. Ma bite est prisonnière de ce merveilleux endroit. Je lui dévore carrément les seins, aspire, mordille les tétons.
— Oh oui continue, c’est trop bon mon fils !...
Maintenant elle pose ses pieds à plat sur le canapé, elle monte très haut et redescend avec force. A cette cadence, je ne vais pas tenir longtemps. Nous nous embrassons comme deux amants en pleine ébullition, ma salope de mère s’active de plus en plus vite sur ma tige de plus en plus tendue. Je la vois complètement ouverte, quand ma bite rentre au plus profond de son ventre.
— Tu aimes mon coco, que ta maman chérie te baise de cette façon ? hein que tu aimes çà !
Je lui fais un signe de la tête pour lui dire entre deux gémissements
— oui, tu es quand même la plus belle des salopes !
Le feu d’artifice arrive pour moi, je n’en peux plus de ce traitement, je me vide en plusieurs jets dans sa matrice en hurlant
— MAMAN JE T’AIME !!!!
Sa jouissance arrive après moi, elle continue ses va et viens, me vide complètement les burnes.
— Piiiieeerrrre, je jouiiiiis !!...
Nous reprenons notre souffle difficilement après ce rodéo de champion. Mary est toujours empalée sur ma virilité, les contractions de son vagin compressent ma tige, un vrai délice pour moi, on s’embrasse tendrement. Elle me susurre à l’oreille
— ta salope de maman a-t-elle été à la hauteur mon chéri ? — Oh que oui, mais tu me surprends avec ton langage bien cru. — Tu sais, quand j’ai ta grosse bite dans la chatte, je ne me contrôle plus, il va falloir t’habituer mon fils...
Je sens nos liquides couler sur mes cuisses, ma tige perd doucement de sa virilité, et sort de la chatte de maman en faisant un petit « flop ». Nous restons blottis l’un contre l’autre, nous nous remettons de nos émotions, caresses, tendresse, tout en douceur, après le feu d’artifice que nous venons de vivre. Nous nous susurrons des mots d’amour, nous sommes apaisés, profitant de notre amour mutuel. Et là, maman me demande
— c’est quand tes résultats ? — c’est mardi, maman. — Alors pour fêter ton diplôme, on va partir en voyage mon chéri ! — Mais maman, j’ai pas encore les résultats !! — J’ai confiance en toi, tu seras reçu. — On va partir loin d’ici, peut-être, à la Réunion ou aux Antilles, je veux que l’on profite de notre amour sans se cacher. Lundi, à ma pause de midi, j’irai me renseigner, il y a une agence de voyages à côté de mon boulot.
A suivre...
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