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Nous étions beaux, nous étions jeunes...

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Nous étions beaux, nous étions jeunes... nous dévorions la vie avec passion et sans aucunes limites... nous nous aimions à la folie, à l’excès... quitte à ce que tout se consume trop vite !
Elle avait 21 ans et moi quatre de plus... Céline était une belle grande blonde qui mesurait presque ma taille, à deux centimètres près... ses jambes interminables remontaient jusqu’à de superbes fesses qui frisaient la perfection... ses seins, qu’elle trouvait trop petits, étaient pourtant magnifiques et je pouvais les prendre, les caresser... un dans chacune de mes énormes mains d’alpiniste. Ils étaient vraiment trop beaux... elle était vraiment trop belle ! Elle était encore étudiante sur Grenoble...Quant à moi, vous l’aurez compris et même si je terminais en parallèle ma formation d’éducateur spécialisé, ma vie était en montagne... puisqu’à l’époque, je préparais le diplôme de guide et enchainais les grandes voies difficiles aux quatre coins des Alpes. Enfin, beaucoup moins depuis quelques mois et ma rencontre avec Céline, au grand désarroi de mes compagnons de cordée !
Céline, non plus, n’avait pas une grande assiduité à suivre ses cours car, en ce printemps 97, nous étions toujours ensemble, de façon fusionnelle... à baiser farouchement dès que nous en avions l’envie, presque partout du moment où cela nous en prenait l’idée. Il y avait même une certaine forme d’excitation à faire l’amour dans des lieux publics les plus insolites possibles, avec le risque de se faire surprendre !

Ce soir-là de juin, nous étions partis de chez Céline avec en tête d’escalader les grilles d’entrée du fort RABOT et de baiser au sommet des fortifications en dominant toute la ville, pour que tout Grenoble entende notre jouissance, notre amour... Seulement, nous n’arrivâmes jamais jusqu’aux fameuses grilles !
Le temps était au grand beau et la journée particulièrement chaude... la température était encore étouffante en ce début de soirée dans la cuvette grenobloise. Céline n’était donc vêtue que d’une robe légère et relativement courte, avec rien en-dessous pour me provoquer encore un peu plus, pour que je puisse la prendre dès que nous en aurions envie. Elle avait aussi une paire de tennis blanches, car les talons hauts n’étaient pas l’idéal pour l’escalade.
Mon grand jeu, dans la traversée des rues animées du vieux Grenoble, fut de soulever la robe de ma belle et donc de découvrir son sublime cul et sa non moins jolie petite chatte à la vue des badauds. Quel bonheur, que de voir tous ces regards interloqués, mais aussi gourmands, voire même envieux... se tourner dans notre direction, à notre passage. Céline riait tout ce qu’elle pouvait de cette situation, de l’excitation qu’elle provoquait chez les hommes, mais également chez les femmes que nous croisions. Elle en redemandait, marchant de façon indécente et s’arrêtant parfois pour se baisser comme si elle voulait relacer ses chaussures.
"Je suis toute mouillée... j’ai envie de sentir ta queue en moi, Manu.— Là, tout de suite... en plein centre-ville ?
Elle hésita un moment, regarda autour d’elle, bien consciente d’être l’objet de convoitise d’un certain nombre de passants. Je me disais qu’elle ne le ferait pas, peut-être parce que je n’aurais pour ma part jamais osé... mais, au fond de moi, je rêvais qu’elle ait cette audace, ce culot qui me manquaient parfois. Je bandais d’ailleurs comme un taureau, mon bermuda déformé par ma violente érection.
— Manu, je veux que tu me baises sur un banc du Jardin de Ville ! Tu es prêt ?!— Mais, ce n’est pas là où tu me disais que tous les amoureux de Grenoble allaient ?— Et bien, comme ça, nous ne ferons pas tâche... tu m’aimes, Manu ?— Bien sûr que oui, à la folie !— Alors, le premier arrivé au jardin suce l’autre...
Et, sur ces mots, elle détala comme un lièvre, sa robe au vent ne cachant pas grand-chose de son intimité... Elle avait d’ailleurs bien calculé son coup car, en sandales, la course n’était pas aisée et il devenait évident que j’allais me retrouver la bite à l’air d’ici peu...
J’arrivai donc au Jardin de Ville quelques mètres derrière Céline, mais malgré tout complètement en sueur. Devant le regard incrédule de passants, elle riait encore mais, surtout, parlait à haute voix comme si nous étions seuls.
— Je te suce... je te suce ! C’est moi qui ai gagné... je te suce !— Attends, Céline... Peut-être pas ici, quand même !?— Oui, mademoiselle... vous êtes indécente... que Dieu vous pardonne !— Mais, de quoi je me mêle, vieille peau !... Hein, Manu... pour qui elle se prend, cette conne ?!— Laisse tomber, mon amour... son mari doit en avoir une toute petite et elle est mal-baisée ! Hein, cocotte... t’aimerais au moins une fois dans ta vie, en avoir une comme celle-là à te mettre en bouche ?! Si tu veux, quand ma copine aura fini de me sucer, tu auras le droit de passer une langue pour voir quel goût a le bonheur ?!
Je venais de sortir ma queue au sommet de sa forme et la tenait de façon obscène en direction de notre interlocutrice.
— Mais, Gérard, réagis ! Appelle la police ! Vite... ils vont s’échapper ! Gérard, fais quelque-chose !
Le Gérard en question, un petit gros à moustaches, avec la mine couperosée du parfait amateur de vin, ne moufta pas mot. Il semblait plutôt bloqué en mode "voyeur pervers" sur les cuisses luisantes de Céline, la langue pendante d’envie de voir le morceau d’étoffe se lever avec un courant d’air. D’ailleurs, pour lui éviter une rupture d’anévrisme au niveau du nerf optique, Céline prit les devants.
— Allez, viens mon amour... nous allons aller baiser plus près du ciel et loin des cons ! Regarde-moi ces culs coincés... ils seraient capables de nous foutre en tôle pour délit d’amour !...— T’as raison... ça ne mérite même pas de toucher au bonheur ! Qu’ils restent dans leur misère sexuelle !...
Je rangeai donc mon attirail bien au chaud dans mon slip et mon bermuda, puis nous partîmes du Jardin de Ville, non sans regrets mais pour éviter de se faire chopper par la patrouille... Pour autant, aucun de nous deux n’était refroidi par l’anicroche, bien au contraire. Ce n’était donc que partie remise pour le banc du Jardin de Ville et, en attendant, direction le jardin des Dauphins avec, juste au-dessus, le fort RABOT.
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