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Le nouveau Boss

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Après que Frédéric eût pris ma femme devant moi, je me sentais complètement groggy, et ils m’envoyèrent au lit. Le lendemain, en m’éveillant, je me demandais si j’avais rêvé. Lorsque je descendis, Laurence était déjà levée. Elle revint sans honte sur la soirée de la veille, et me dit qu’elle avait pris son pied comme jamais. Je feignis de protester, mais elle me coupa la parole d’un ton sans réplique : « écoutes, Pierre, depuis l’arrivée de Frédéric, tu n’es plus un leader, plus un homme important. Les femmes aiment les gagnants et tu es un perdant. Où est le problème, grâce à Fred, je vais être augmentée, et toi, tu gardes ton boulot, … si tu es sage. De toute façon le sexe avec toi ne me tente plus, et encore moins après ce que j’ai vécu hier ». J’étais désespéré. Je lui demande ce que notre couple allait devenir. « Mais c’est très simple, il n’y a plus de couple. Ou tu fais tes valises, tu es viré de la boîte, et Fred m’aide à racheter la maison, ou tu acceptes bien gentiment de rester bien au chaud ici, de rendre de menus services, et tu fermes les yeux sur ma relation avec mon amant, enfin … tu peux les garder ouverts, car finalement cela n’avait pas l’air de te déplaire de nous regarder, hier » ? . Je ne savais que répondre. Quelques jours passèrent, toujours la même galère au boulot, dans le placard, à la maison, dans la petite chambre du second. Il était évident pour tout le monde au boulot que ma femme était devenue la maîtresse de Frédéric. Ils restaient enfermés ensemble de longs moments, et quand elle en sortait, sa toilette et sa coiffure étaient défaites. Une fois, elle avait même une tache suspecte sur sa robe noire. Certains me regardaient avec pitié, la plupart avec mépris. Frédéric revint une deuxième fois chez moi. Cette fois, ils ne prirent plus la peine de me faire avaler leur drogue. Il me dit simplement : « Pierre, vas donc nous chercher à boire, pendant que je commence à m’occuper de ta femme ». « De son ex-femme », corrigea Laurence, « maintenant, je suis ta chose, mon étalon ». Ils rirent.J’étais à peine remonté de la cave, que déjà, Laurence était à genoux devant lui, sa robe jetée sur le sol, dans toute la splendeur d’une guêpière noire. Elle avait déjà extrait le sexe de son amant de son pantalon et m’invita à l’admirer « avoue qu’il est magnifique, non ? Il est quand même autrement plus gros que le tien ! ». Je voulais m’en aller, rouge de honte, mais ils m’ordonnèrent de rester. Frédéric enfonçait son sexe jusqu’au fond de la gorge de ma femme. Parfois, elle hoquetait, et devait s’arrêter de le sucer pour reprendre son souffle. Il éjacula après dix minutes de ce traitement, se retirant pour faire gicler son sperme sur le visage de Laurence. Celle-ci sortit la langue lècha avec gourmandise la semence collante qui coulait sur son visage. Elle avalait avec ostentation en me regardant. J’ai dû aller chercher des lingettes pour qu’ils se nettoient, puis, ils se mirent à table. Naturellement, j’ai été obligé les servir. Laurence était restée en guêpière et porte-jarretelles. Après avoir mangé, Frédéric recommença à la lutiner. Il avait abaissé les bretelles de son soutien-gorge, et il lui touchait les seins. Elle se tordait de désir, et bientôt lui demanda de la prendre. En effet, Frédéric s’était remis à bander comme un taureau. Il se moquait de moi, et de l’intérêt que suscitait la scène. « Dis-donc, tu as vu comme il nous mate, le cocu » ! « ça t’excite, hein mon gros ». Il s’énerva parce que je ne répondais pas, et me colla une gifle. Laurence se mit à rire aux éclats. Cela l’excitait visiblement beaucoup. « Eh bien, réponds au monsieur » dit-elle d’un ton persifleur. J’aurais voulu rentrer sous terre, mais je répondis « oui, ça m’excite ». Frédéric me fit baisser mon pantalon et m’obligea à me masturber devant eux. Comme j’hésitais, il me frappa une deuxième fois. J’en avais les larmes aux yeux, et je pris ma petite queue en main et commençais à me masturber en regardant les mains de ma femme branler le gros sexe de Frédéric. Elle se mit ensuite à quatre patte devant lui en le suppliant de la sauter, mais lui, se dirigea vers la table et prit la beurière. Il s’enduisit la queue de beurre, et me dit « regarde bien comme elle aime que je la traite ta femme, mon gros cocu ». Il s’agenouilla derrière mon épouse qui cambrait bien ses fesses, et il introduisit sa queue dans son anus. Les premiers mouvements furent difficiles, car elle n’avait pas l’habitude, et son petit trou était encore très serré, mais il fut bientôt entièrement en elle et commença à lui défoncer sauvagement l’anus. Elle hurlait, mais le suppliait de continuerII finit par jouir en elle, et elle s’écroula sur le sol. De mon côté, je fus secoué par un spasme et mon sperme me coula dans la main. Ils m’obligèrent à le lécher, puis décidèrent de sortir en boîte, me laissant seul avec la vaisselle, et ma honte.

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