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Le nouveau Boss

Chapitre 3

SM / Fétichisme
Frédéric finit par venir s’installer carrément chez moi, enfin, chez ma femme. J’étais devenu la boniche et le témoin de leurs ébats. Mon épouse était vraiment devenue une pute, qui se pliait à tous les désirs de son amant. Souvent, je devais l’aider à se préparer pour les séances de sexe. Il me fallait lui apporter ses sous-vêtements, l’aider à fixer ses bas au porte jarretelles, à mettre ses escarpins, et même à lubrifier ses parties intimes. C’étaient les seuls moments où j’étais autorisé à la toucher. J’adorais glisser ses bas le long de ses jambes. Puis Frédéric arrivait, et il n’y en avait plus que pour lui. J’étais autorisé à me placer près d’eux, à genoux, en slip. Je devais me tripoter le sexe pendant que Frédéric enfonçait son dard dans tous les orifices de Laurence. Car il la sodomisait régulièrement, et lui arrachait à ces occasions des gémissements encore plus forts que d’habitude. Elle se laissait manipuler comme un objet, tendant les fesses, cambrant la taille, ouvrant la bouche, baissant la tête, écartant les fesses pour offrir son anus lubrifié par mes soins. Elle aimait me regarder d’un air vicieux quand elle goûtait à la queue de Frédéric. Avec le temps, elle était finalement devenue plus dure que lui avec moi. Elle n’était plus que mépris et méchanceté. Un beau jour, après que Frédéric eut vidé ses couilles dans sa chatte, elle me fit lécher le sperme qui en dégoulinait. Je goûtais pour la première fois la saveur âcre de la semence d’un autre homme. Je m’acquittais de ma tâche avec tellement de zèle, qu’elle jouit une nouvelle fois sous ma langue. Ceci la mit en appétit pour de nouvelles humiliations. Un soir, Frédéric la lutinait comme d’habitude, mais elle lui dit « pas ce soir, chéri, je suis indisposée et fatiguée ». J’étais surpris, et Frédéric le fut aussi, il exprima sa mauvaise humeur. « Que dirais-tu de te taper la bonne ? » ajouta-t-elle ? Ils rigolèrent tous les deux. Je ne comprenais pas. Ces deux pervers me firent mettre les bas noirs de Laurence, et un petit tablier blanc qui masquait mon sexe. Laurence me maquilla. Ensuite, je dus m’agenouiller devant mon maître et prendre sa queue en bouche. J’ai honte de dire que cela m’excitait beaucoup. Frédéric se donna longuement du plaisir dans ma bouche servile. Il alternait les petites tapes du bout de sa queue contre mes lèvres avec de grandes et profondes pénétrations jusqu’à ma glotte, qui me faisaient presque étouffer. Je lui dis que j’allais vomir, mais il continua, et en quelques mouvements rapides et profonds, il m’envoya un jet chaud dans la gorge. Quand il se retira, je n’ai eu que le temps de courir aux toilettes. Je croyais en avoir terminé, mais Frédéric avec la capacité de rebander rapidement. Laurence, toute excitée par la scène, lui avait servi à boire et avait commencé à le branler. Au bout de dix minutes, il était à nouveau assez érigé. Je fus rappelé, et j’ai dû me mettre à quatre pattes. Je n’en revenais pas, Laurence me mit du savon de douche entre les fesses, et Frédéric se plaça derrière moi. J’étais terrorisé, je me trouvais à quatre pattes, dans mon propre salon, vêtu de bas résille et d’un tablier en dentelle, et je tendais mon cul à l’amant de ma femme. Frédéric appuya le bout de son gland contre mon anus, et poussa. Je poussais un cri, car cela faisait terriblement mal, mais Laurence l’aidait à m’immobiliser, et je ne pouvais me dérober. En quelques coups de reins, il avait complètement ouvert ma rosette, et je sentais les 20 cm de sa queue prendre possession de moi. Progressivement, je me relâchais, et sentais la chaleur de sa queue irradier mes entrailles. Je criais et gémissais, mais il continuait impitoyablement à me pilonner. Sa queue allait de plus en plus vite et de plus en plus loin. Je me rendis compte avec stupéfaction que j’aimais cela. Frédéric était un amant merveilleux, dur et endurant. Je me suis donné à lui avec délice. Finalement, je n’en pouvais plus et criais « vas-y, baise, moi, je t’en supplie, baise-moi, j’aime ça, c’est bon, encule-moi ». Même Laurence était surprise de ma réaction. Mon maître me combla en me pilonnant encore pendant dix minutes, puis, il lâcha un jet qui m’envahit le rectum et je jouis en même temps que lui. J’étais devenu sa pute soumise, et j’aimais sa brutale domination.
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