Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 79 J'aime
  • 2 Commentaires

Nouveau départ pour une nouvelle vie

Chapitre 3

Débauche

Orgie / Partouze
3. Débauche
De retour au travail, le reste de la journée semble bien long. L’un comme l’autre, ils attendent impatiemment la débauche. Heureusement, le passage de Cathy, vers quinze heures trente va rompre la monotonie et apporter un peu d’animation.
Tristan n’avait pu observer que de façon fugace la jeune femme jusqu’à présent. Cette fois-ci, il peut le faire à loisir, tandis qu’elle lui expose son problème d’animation interactive. Ce qui l’intrigue le plus, c’est sa poitrine, où plutôt l’absence de celle-ci. Quelle que soit la position qu’elle prend, debout, penchée, assise, pas le moindre bout de sein n’est visible. Est-ce son sweat-shirt ample qui masque toute trace de sa poitrine ou bien n’en a-t-elle pas ?
De l’autre côté du bureau, Arnaud, qui a remarqué les efforts de Tristan, esquisse un sourire furtif. Ce n’est que quand Cathy est repartie qu’il prend la parole.– Tu pourrais quand même être plus discret.– Mais je l’étais. Elle regardait l’écran, elle ne s’est même pas rendu compte que je la matais.– Et alors ? Qu’est-ce que tu as vu ?– Rien.Arnaud ne peut s’empêcher de sourire tout en se laissant aller en arrière dans son siège.– Ça ne m’étonne pas. Il n’y a rien à voir.– Je présume que tu as déjà eu le temps de vérifier depuis bien longtemps ?– En fait, elle n’est là que depuis l’automne dernier. Et je l’ai toujours vue habillée en sweat et jean. Ce n’est pas une tenue très sexy. J’espère que cela va changer avec les beaux jours.– Ouais, j’espère aussi.– Dis donc, j’ai l’impression que tu n’as jamais vu une femme.– Si, mais mon ex était tellement jalouse qu’elle n’acceptait pas que je regarde les autres femmes.– Décidément, elle n’avait vraiment que des mauvais côtés.Tristan semble soudain songeur, perdu le futur.– En effet… Mais maintenant, je compte bien me rattraper.– C’est ce que j’ai constaté hier.– Et encore, ce n’est pas fini !– Oui. Vivement ce soir.Les deux garçons s’échangent un sourire complice, savourant d’avance ce qu’ils vont bientôt pouvoir faire ensemble.

Deux heures plus tard, la journée de travail est enfin terminée. Tristan attend d’être sorti dehors pour évoquer le sujet qui les préoccupe depuis midi.– Bon alors, on le fait ce test ?– Il faut aller au centre hospitalier. C’est un peu loin à pied et je ne suis pas garé ici.– Moi si, on n’a qu’à prendre ma voiture.
Tristan, qui est en train de manœuvrer pour sortir de sa place de parking, reprend la conversation.– Tu viens travailler à pied ?– Oui. Mon appart n’est pas très loin.– C’est pratique, ça.– C’est l’avantage des petites villes.
Tandis qu’ils sont en train de cheminer en direction de l’hôpital, Arnaud questionne son ami.– Alors, tu t’intéresses à Cathy ?– Disons que je la trouve mignonne.– Moi aussi. Mais j’ai bien l’impression que nous sommes les seuls.– Tu penses qu’il y a un rapport avec nos penchants ?– Le fait qu’on est aussi attirés par les hommes ?– Oui.– Peut-être. Il faut reconnaître qu’elle n’a pas un physique très féminin.– Et sa façon de s’habiller n’arrange rien.– Je me suis toujours demandé pourquoi elle m’attirait. Ça serait parce que c’est un garçon manqué ?– C’est ce que je pense, enfin… Personnellement. Ou alors c’est à cause de mon ex.– Qu’est-ce qu’elle vient faire là-dedans ?– Elle avait un physique totalement dans la moyenne, y compris au niveau de la poitrine, elle faisait un 95C. Finalement, avec le temps, je crois que j’ai été de plus en plus attiré par les femmes différentes de mon ex.– Et donc les petites poitrines ?– Oui, mais pas seulement. Les deux extrêmes me plaisent. Soit les toutes petites poitrines, soit les gros nichons énormes.– Moi, ça ne m’a jamais branché les gros seins. Chacun son truc.
Moins de dix minutes plus tard, ils arrivent au centre hospitalier. Par chance, le centre de dépistage, qui ferme assez tard, leur permet de disposer de résultats préliminaires le jour même, moyennant une heure d’attente.
Alors qu’ils sont en train de patienter dans le hall d’accueil, Tristan parcourt la notice explicative du test de dépistage.– Si j’ai bien compris, les résultats préliminaires ne sont pas fiables à 100% si l’on a eu des rapports à risque moins de 6 semaines avant.– Oui, c’est ça.– Je n’ai pas grand-chose à craindre. Avec mon ex, cela faisait déjà six mois que l’on ne faisait plus rien ensemble.– Et moi, ça fait deux mois que je suis séparé. Et comme la branlette n’est pas un comportement à risque.– Ah, si j’avais pu me branler. Ça aussi, elle ne le supportait pas.– Tu n’avais pas le droit de te branler ?– Non. Elle trouvait que c’était mal.– Tu le faisais en cachette alors ?– Ce n’est pas si simple que ça. Faire ça dans les WC ou la salle de bains, ça ne me branchait pas vraiment. J’avais l’impression de retourner en adolescence.– Tu veux dire que tu n’as pas éjaculé depuis six mois ?– Oui. C’est ça.– Je comprends mieux pourquoi tu as joui si vite hier.– Et encore, je m’étais déjà masturbé à l’hôtel.– il faut que tu reprennes un rythme normal, et tout rentrera dans l’ordre.– Je sens que tu vas m’aider.– Avec plaisir. J’ai hâte que tu me remplisses la bouche. Je voudrais bien goûter à ton sperme.– Moi aussi.
Finalement, les résultats des tests HIV s’avèrent, pour leur plus grande joie, négatifs. Ils décident donc, sans plus attendre, d’en profiter pour passer la soirée ensemble, et fêter cela à leur manière. Tristan repasse d’abord par son hôtel pour récupérer ses affaires et régler la note, puis ils reprennent la direction du centre-ville, l’appartement d’Arnaud étant situé en périphérie du bassin à flot. Pas très grand, mais bien agencé, il est composé d’une pièce principale, dotée d’une cuisine à l’américaine, d’une chambre et d’une salle de bains.
Les deux garçons s’asseyent alors sur le canapé et commencent à parler de Rochefort et de l’appartement. Après quelques minutes, Arnaud se lève et va chercher deux bières. Tandis qu’il se rassied, il oriente la conversation vers le sujet qui les préoccupe depuis midi.– Et si tu m’expliquais comment un gars, qui vient juste de se séparer de son ex, peut se retrouver à sucer le premier venu sur la plage ?– Oh, mais tu n’es pas le premier venu. Ton corps intégralement épilé et bronzé m’a beaucoup plu. Et comme tu t’es mis à bander quand je t’essuyais, je me suis dit que cela devait te plaire. C’était pour moi l’occasion de satisfaire un vieux fantasme.– C’est vrai que tu m’as déjà dit que tu n’avais jamais sucé d’autre homme auparavant. Mais cette envie de me sucer n’est quand même pas venue comme cela.– En fait, quand j’étais à la fac, j’avais déjà eu une expérience, mais on était allés moins loin.– Tu me racontes ?
Tristan laisse alors remonter les souvenirs dans son esprit.– Si tu veux. En fait, j’avais décidé de fréquenter la salle de sport du campus pour perdre un peu de poids après les vacances. Les douches étaient collectives, et cela me posait un problème, parce que pendant les vacances, j’avais pris l’habitude de me raser le sexe, et en regardant les autres, l’avais l’impression d’être le seul à le faire. Du coup, je me suis dit que je risquais de passer pour un mec bizarre. Alors, j’ai décidé d’y aller le plus tard possible pour pouvoir prendre ma douche tout seul.– Tu avais peur qu’on te prenne pour un gay ?– Un peu, oui. Mais j’ai vite remarqué qu’un autre étudiant faisait pareil que moi. Il partait, lui aussi, juste avant la fermeture. Il avait l’air un peu réservé, j’ai donc supposé qu’il devait être assez pudique. Comme on s’arrangeait pour ne pas finir en même temps, on ne s’était jamais croisé sous la douche. Jusqu’à un soir où, en arrivant dans le vestiaire, j’ai réalisé que j’avais oublié mon gel douche. J’y suis retourné sans prendre ma serviette et je suis tombé face à lui. Il venait juste de se déshabiller. Ce que j’ai remarqué en premier, c’est que lui aussi se rasait le sexe. Nous sommes restés figés ainsi, certainement à cause de la surprise, mais aussi à cause d’une curiosité malsaine, en train de nous mater mutuellement nos sexes tous lisses. Soudainement, je me sentais moins seul, et je pense que c’est aussi ce qu’il a ressenti. Oui, c’est ça, nous nous sommes instantanément sentis plus proches.
Cette introduction suscite la curiosité d’Arnaud, qui semble soudain gagné par une certaine excitation.– Et alors ? Qu’est-ce que vous avez fait ?– Sur le coup, rien de spécial. Mais on a pris l’habitude de prendre notre douche ensemble. On se voyait ainsi trois fois par semaine. On a fait connaissance en discutant pendant qu’on se lavait, ce qui est plutôt inhabituel, mais pas pour lui, car il était naturiste. En fait, il n’avait pas de problème de pudeur, mais il ne voulait pas que des copains de fac voient qu’il se rasait le sexe, il avait déjà dû subir des ragots au lycée et il ne voulait pas que ça recommence. Il m’a parlé des clubs naturistes, où il allait avec ses parents depuis qu’il était tout petit. Les douches y sont toujours collectives et l’on n’hésite pas à se savonner mutuellement le dos, même entre garçons. Alors, c’est ce que nous avons fait, et tout a été très vite. Nous nous sommes rapidement retrouvés face à face et nous avons continué à nous savonner mutuellement le torse, mus par un désir trouble, puis nos mains sont descendues plus bas, et nous nous sommes caressés le sexe. Malgré la sensation de faire un truc malsain, et malgré le risque de se faire surprendre, je me sentais bien, et lui aussi. Nous nous regardions tout en échangeant de légers sourires, et tout en nous masturbant mutuellement. C’était si bon de le faire ensemble, nous avons continué jusqu’à notre jouissance, chacun envoyant sans retenue ses giclées de sperme sur l’autre.
Arnaud, qui commence à se masturber à travers son pantalon est de plus en plus curieux de connaître la suite.– Et vous avez recommencé ?– Quelquefois, mais pas systématiquement. Il y avait toujours le risque de se faire surprendre. La plupart du temps, nous prenions juste une douche tout en discutant. C’est comme ça qu’il m’a dit que pour lui aussi, c’était la première fois. Il me racontait aussi ses déboires amoureux. C’est ainsi que j’ai appris qu’il avait fini par nouer une relation durable, et même si l’on continuait à se doucher ensemble, il préférait qu’on ne se masturbe plus, car il avait la sensation, à juste titre, de tromper sa copine.– Les meilleures choses ont une fin.
Tristan conclut alors son récit.– D’autant plus que j’avais fini par culpabiliser. Je me suis dit que j’allais finir pédé. J’étais en proie à des sentiments contradictoires. J’étais quand même attiré par les filles depuis des années. C’est comme ça que, pendant une soirée organisée par des potes, j’ai rencontré celle avec qui j’allais rester pendant cinq ans.– Donc tu t’es mis avec ton ex pour ne pas risquer devenir gay ?– Quand même pas. Je t’ai dit que ça avait été un coup de foudre, et c’est vrai.– Et maintenant, tu l’as quittée, et tu risques à nouveau de devenir homo.Tristan semble abattu, suite à cette constatation inopinée.– C’est à croire que c’est mon destin.Arnaud réalise soudain que son ami semble encore assez fragile, il s’efforce alors de le rassurer.– Pas forcément. D’ailleurs, jusqu’à ce que mon ex m’incite à avoir des rapports avec d’autres hommes, je n’avais aucun penchant gay. Je vais peut-être me trouver une nouvelle copine très bientôt.– De toute façon, on peut très bien avoir des rapports avec les deux sexes.– Tout à fait. Dans ce cas, on est bisexuel.– Alors, je pense que je suis bisexuel. C’est pratique, ça m’évite d’avoir à choisir.– Oui, c’est plus varié ! On profite du meilleur des deux sexes. J’aime tout autant lécher une belle fente toute lisse qu’une bonne grosse bite bien juteuse.- Ou des gros nichons !- C’est toi qui vois. Je préfère les petits.
Tout en disant cela, Arnaud, qui n’a cessé de se caresser à travers son pantalon, s’approche de Tristan et commence à lui caresser le sexe à son tour. Les deux garçons, mus par un désir sensuel, se lèvent simultanément et retirent rapidement leurs vêtements. Leurs sexes, déjà en érection, déforment honteusement leurs caleçons. Ils se redressent soudainement lorsqu’ils achèvent de se dénuder.
Arnaud reprend la parole. Ses mots sont crus et directs, dictés par la pulsion qui vient de lui traverser l’esprit.– J’ai envie de te sucer !La réponse de Tristan est immédiate. Le même désir est certainement en train de l’animer.– Moi aussi !– On prend une petite douche,d’abord ?– Oui, ce sera mieux.
Ils se ruent donc dans la salle de bains sans plus attendre. L’eau tiède coule sur leurs corps nus. Tristan se remémore son expérience passée tandis qu’ils sont en train de se savonner mutuellement les épaules, le torse et le sexe.– C’est dingue, j’ai l’impression d’être dans les douches de la fac.– J’espère que nous n’allons pas nous limiter à une simple masturbation.Tristan acquiesce tandis que son ami lui passe une serviette.– Certainement pas. J’ai bien l’intention de te prendre en bouche, comme sur la plage.– Moi aussi !
Les deux garçons vont alors dans la chambre et se placent immédiatement en position de 69. Chacun se met à caresser, lécher et sucer le sexe de l’autre sans plus attendre. La verge, les couilles, le gland, tout y passe méthodiquement. La bouche pleine, Arnaud laisse néanmoins échapper un simple mot, qui en dit long sur cette attente, qui a duré une bonne partie de la journée.– Enfin !De son côté Tristan ne peut s’empêcher d’admirer encore la qualité de l’épilation de son ami.– Quel plaisir de lécher un sexe aussi doux. C’est vraiment un régal. J’adore cela.– Moi aussi, j’adore ce que tu me fais.– Je voudrais bien être épilé comme toi.– Ça peut se faire. Je t’en reparlerai plus tard. Pour l’instant, je préfère te sucer.– Tu as raison. Continue, c’est trop bon, ce que tu me fais.
Tristan est le premier à sentir la jouissance venir. Il prévient immédiatement son ami, mais comme il s’y attendait, celui-ci continue de le pomper avec ardeur, heureux de se faire remplir la bouche par le jus crémeux de son ami. Visiblement satisfait, Arnaud termine d’avaler le sperme qu’il a reçu jusqu’au fond de la gorge, puis il reprend la parole.– À toi, maintenant, de me faire jouir.– Avec plaisir.Tristan reprend sa fellation, qu’il avait abandonnée pour mieux profiter de sa jouissance. Léchant et suçant son copain du mieux qu’il peut, il ne tarde pas à être récompensé de ses efforts. Arnaud le prévient qu’il ne va pas tarder à jouir, mais Tristan, bien décidé à tout recevoir en lui, continue de sucer avec application cette belle bite, si douce et bien raide, qui lui plaît tant. Quelques instants plus tard, un léger tressautement annonce l’arrivée d’une première giclée qui s’écoule jusqu’au fond de sa gorge, deux autres suivent rapidement, lui remplissant copieusement la bouche de sperme. Quand il se relève, il a encore du mal à tout avaler et il en a même un peu qui ressort. Arnaud, qui s’en rend immédiatement compte, s’approche de lui pour lécher, sans hésitation, la divine liqueur qui s’écoule à la commissure des lèvres de son partenaire.
Leurs bouches sont proches. Ils se regardent, perplexes. Après tout, pourquoi ne pas essayer ? Les deux garçons, n’hésitent pas un instant de plus. Leurs lèvres se rapprochent. Leurs bouches s’entrouvrent. Ils s’embrassent sans honte, ni gêne, mélangeant leurs langues et leurs spermes avec gourmandise tout en se caressant la poitrine, le ventre et le sexe encore gluant de leurs spermes. Leur désir est plus fort que tous leurs préjugés.
Haletants, ils restent allongés sur le lit une bonne dizaine de minutes avant de se décider à aller prendre à nouveau une douche. L’occasion pour eux de recommencer à se savonner et se caresser mutuellement. Une fois secs, ils quittent de la salle de bains sans même se donner la peine de se rhabiller, il fait assez chaud dans l’appartement.
L’heure du dîner approche et leur activité sexuelle les a mis en appétit, le sperme qu’ils ont avalé n’était qu’un amuse-bouche. Arnaud fouille dans son congélateur et en sort des steaks hachés et une poche de poêlée de légumes. Quant à Tristan, il ne peut résister au désir de caresser son ami pendant que celui-ci fait la cuisine, ses mains parcourent son dos et ses hanches, puis passent de l’autre côté pour caresser sa poitrine, son ventre et son sexe. Tandis que la bite de son copain est en train de gonfler dans sa main, Tristan continue en l’embrassant dans le cou. Arnaud semble apprécier ce traitement, sa respiration s’accélère et son sexe se durcit encore un peu plus. Il se retourne alors, laissant Tristan continuer à l’embrasser dans le cou, puis sur les seins, qu’il suce délicatement, puis il descend encore plus bas, jusqu’au sexe fièrement dressé de son ami, qu’il lèche consciencieusement sur toute la longueur. C’est ensuite Arnaud qui rend à Tristan les mêmes caresses buccales. Visiblement déchaînés, les deux garçons continuent à se caresser langoureusement jusqu’à ce que leur repas soit prêt.
Tandis qu’ils sont en train de manger, toujours nus, Arnaud oriente à nouveau la discussion vers le sexe.– Franchement, si tu ne m’avais pas raconté ta vie en couple, j’aurais été persuadé que tu étais un gay pur et dur.– Vraiment ?– Tu mets tellement de sensualité dans tes caresses. Tu m’as si bien sucé. Tu ne l’avais jamais fait avant ?– Non, c’était la première fois.– Tu es très doué.– Je me suis de faire comme j’aimerais qu’on me fasse.– Et tu as avalé tout mon sperme avec gourmandise. Nous avons même été jusqu’à nous embrasser. Sais-tu que je ne l’avais jamais fait avec un autre homme, jusqu’à présent ?– Moi non plus. Il y a un début à tout.– Et tu arrives à t’intéresser aux femmes aussi ? Tu as dû en profiter, quand tu étais sur la plage, pour mater tout ce qui passait. Hommes comme femmes.– En fait, pas tant que ça. Je suis arrivé tôt, il n’y avait pas grand monde, et puis je me suis endormi. Et je n’étais pas très à l’aise. C’était la première fois que je me mettais nu sur une plage. Et toi, ça fait longtemps ?– Dès que j’ai pu partir seul en vacances, sans mes parents. L’année d’avant, je m’étais acheté un magazine de naturisme pour me palucher sur les photos. C’était le numéro d’été et il y avait un guide des plages naturistes. Je l’ai conservé et il m’a servi les années suivantes pour choisir les plages où aller. Au début, je me contentais de mater les femmes en train de bronzer. Par la suite j’ai réalisé que sur certaines plages, il se passait des choses intéressantes dans les dunes et j’ai pris l’habitude d’aller y voir les couples qui s’exhibent. J’en profitais pour me masturber en les regardant faire. C’est ainsi que j’ai pu voir pour la première fois des homosexuels en train de se sucer. Au début ça m’a choqué, mais par la suite, j’ai fini par trouver cela plutôt intéressant, il m’est même arrivé de me masturber en les regardant faire. Quelques années plus tard, c’est avec mon ex que nous étions dans les dunes, à faire l’amour devant les autres.
Tristan est en train d’imaginer la scène.– En fait, c’est à peu près ce que nous avons fait hier.– Tout à fait. J’aime bien ce genre de situation. Et encore, il n’y avait personne pour nous regarder, c’est dommage, car c’est encore meilleur quand on a du public.– C’est vrai ?– Oui ! C’est plus excitant.– Et tu crois qu’il y aurait des voyeurs ?– C’est bien possible. Dès qu’il y a quelque chose d’intéressant à mater, il y en a toujours qui arrivent, et quelquefois ils se masturbent en regardant. En plus, si l’on a l’occasion de recommencer, on pourra s’éjaculer dans la bouche devant tout le monde ! T’imagines ?
Toujours pensif, Tristan s’interroge sur son comportement passé.– C’est fréquent, les mecs qui avalent ?– Pas tant que ça, en fait, si j’en crois mon expérience. Déjà, les hommes invités par mon ex n’ont pas tous accepté de me sucer, loin de là. Ensuite… Je dirais, même pas un sur dix, de ceux qui m’ont sucé, ont été jusqu’à avaler mon sperme. Par contre dans le sens inverse, rares sont ceux qui n’acceptaient pas que je les suce et que je les avale. Après j’embrassais mon ex, elle adorait cela.– Elle était vraiment très perverse.– Plus que moi. Je ne sais pas où ça se serait arrêté, si je n’avais pas mis le holà. Après la zoo, le SM peut-être ? Je préfère ne pas savoir. Maintenant, j’ai retrouvé une vie plus saine, même si les rapports homo ne constituent pas vraiment la norme.– Tu te trouveras peut-être bientôt une nouvelle copine ?– L’idéal, ce serait qu’elle accepte que je continue d’avoir des rapports avec toi. J’aime bien te sucer aussi.– Moi aussi. Ça ne doit pas être facile de trouver une femme ayant autant d’ouverture d’esprit.– Et encore plus difficile d’en trouver deux.– Oui. Ce serait une sacrée coïncidence.– Remarque, on n’est plus à ça près, parce que, franchement, se sucer mutuellement sur la plage, puis se retrouver collègues le lendemain, il faut le faire.– C’est vrai ! Il faut s’attendre à tout !
Arnaud se lève alors pour aller chercher des yaourts dans le frigo. Il continue la conversation lorsqu’il revient à table.– Maintenant que tu n’as plus de chambre d’hôtel, tu peux rester ici aussi longtemps que tu veux. Le lit est assez grand, trop grand même quand on est seul. Je m’étais habitué à dormir à deux.– Tu es vraiment accueillant à tous points de vue.– Je serais même ravi de t’accueillir au plus profond de moi.Tristan réfléchit alors aux implications de cette proposition.– C’est tentant. Mais, je me devrais de te proposer la réciproque.– Je ne t’y oblige pas. Ça me ferait juste plaisir que tu m’encules, c’est tout.– Bien sur, je comprends, mais je serais tenté d’essayer aussi. Je voudrais bien te sentir en moi. Mais je ne suis pas encore certain d’être prêt.– Je te laisse y réfléchir.
Le repas terminé, les deux garçons ne résistent pas longtemps à l’envie de recommencer. Arnaud s’allonge sur le confortable canapé du salon, et Tristan vient se placer sur lui, en position de 69. Impatients, ils se mettent à se sucer sans plus attendre. Cette fois-ci, Tristan parvient à tenir plus longtemps et c’est presque simultanément qu’ils se remplissent mutuellement la bouche et la gorge. Satisfaits, ils s’asseyent côte à côte sur le canapé tout en continuant à se caresser mutuellement le corps. Ce faisant, ils ne résistent pas à l’envie de se partager la bonne crème qu’ils ont dans la bouche et sur la langue en s’embrassant tendrement.
Repus de sexe, ils demeurent assis sur le canapé à regarder la télé que vient d’allumer Arnaud. Le sexe encore collant, la bouche parfumée par une odeur persistante de sperme, ils restent affalés devant l’écran durant tout le reste de la soirée tout en se caressant lascivement.
La soirée est terminée, c’est l’heure de se coucher. Ils vont dormir ensemble pour la première fois. Ils disposent tous les deux d’un pyjama, mais ils préfèrent se coucher nus, il fait assez chaud. Allongés dans le lit, leurs corps se rapprochent rapidement. Leurs mains parcourent leur corps. Ils ne s’endormiront pas si facilement que cela. En tout cas, pas avant une dernière étreinte.
Toujours mus par leurs pulsions indécentes, ils repoussent rapidement les draps et reprennent une position de 69 pour se sucer à nouveau. Leurs bites ont encore un arrière-goût de sperme. Cela surprend un peu, mais c’est finalement assez agréable, on a le goût dès le début plutôt que de ne l’avoir qu’à la fin. Leur jouissance, la troisième de cette fin de journée, est plus longue à venir, mais leur volonté est merveilleusement récompensée lorsqu’ils sentent le doux nectar de leur partenaire envahir leurs bouches accueillantes.
Tandis que les deux jeunes hommes s’embrassent tendrement, leur exquise crème, douce et abondante, s’écoule lentement le long de leurs lèvres. Elle se répand sur leurs corps, et ils se l’étalent tout en se caressant affectueusement. Vidés, satisfaits, heureux, ils s’endorment rapidement, malgré la capiteuse odeur de sperme qui enveloppe leurs corps et envahit leurs bouches.
Diffuse en direct !
Regarder son live