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Nouveau départ pour une nouvelle vie

Chapitre 4

Occasions

Orgie / Partouze
4. Occasions
Le lendemain, le réveil est difficile. Les corps sont douloureux, en particulier au niveau de la verge, fortement sollicitée la veille. Pendant qu’Arnaud achève de se réveiller en prenant une douche, Tristan ne peut s’empêcher de pester tout en se rasant le sexe.– Je préfère vraiment quand ma peau est douce, mais bon sang, qu’est-ce que ça prend du temps, de tout bien faire. Il faut vraiment en avoir envie pour se raser tous les jours. Une épilation serait plus simple. Je t’envie vraiment.– Ah, c’est sûr que c’est plus facile quand ça ne pousse plus.– Je suis bien d’accord. Bon, j’en ai marre, je veux une épilation définitive.– En voilà, une idée, qu’elle est bonne !– Je pense que tu sais où aller ?– Oui, bien sur. Si tu n’as rien de prévu, on peut le faire samedi prochain, si tu veux.– OK, ça me va.– Par contre, il va falloir que tu laisses un peu pousser d’ici là, sinon ça ne sera pas possible. Il faut que le poil dépasse un peu pour pouvoir l’enlever.– D’accord, si c’est pour en être débarrassé ensuite.– Et tant qu’à faire, tu devrais aussi te faire épiler les aisselles.– Vraiment ?
Tristan observe avec attention son ami tandis que celui-ci lève les bras pour lui montrer. En effet, Arnaud n’a pas de poils sous les bras.– C’est vrai que tu n’as pas du tout de poils sur les bras.– Tu n’y avais pas fait attention ?– Si, mais je m’intéresse surtout à ta bite.– Tu vois, je suis intégralement épilé : pubis, sexe, aisselles, torse, bras, fesses, jambes.– Tout ça ?– Oui, mais je ne t’en demande pas autant. Cependant, si tu veux mon avis, les dessous de bras épilés, c’est bien plus esthétique qu’une grosse touffe de poils hirsutes, et ça sera assorti à ton sexe tout lisse.
Tristan lève ses bras et s’observe dans le miroir du meuble de toilette. Ses dessous de bras forment comme deux touffes de poils pubiens de chaque côté de son visage.– Je n’y avais jamais prêté attention, mais tu viens de me convaincre, et en plus, si ça te fait plaisir, c’est une raison de plus. Je vais raser tout ça.
– Attends ! Pas si vite. Tu risques de te couper. Pas la peine de les raser si tu veux les épiler samedi, un coup de tondeuse suffira pour enlever le plus gros.Arnaud sort alors sa tondeuse et s’approche de son ami.– Lève les bras, je vais te le faire, ce sera plus facile.Les bras en l’air, Tristan se laisse faire pendant qu’Arnaud tond les poils qu’il récupère dans le creux de la main. Une minute plus tard, c’est terminé et Tristan peut déjà admirer le changement tout en se caressant les aisselles.– C’est pas mal du tout. J’aurais du le faire depuis longtemps. Je n’y avais jamais pensé. Merci.– Il n’y a pas de quoi. Tu es beaucoup mieux ainsi. Tu seras encore plus attirant, samedi après une bonne épilation intégrale. Je téléphonerai dans la matinée pour prendre rendez-vous.– D’accord.
Le temps s’est écoulé vite, ils restent nus pour prendre leur petit déjeuner, qu’ils ingurgitent en vitesse pour ne pas se mettre plus en retard. Ils n’ont plus qu’à s’habiller et partent directement pour le travail. C’est en arrivant sur place qu’ils réalisent que s’ils arrivent ensemble régulièrement, cela pourrait être rapidement remarqué et interprété, ce qui pourrait trahir leur orientation actuelle.
Cathy, qui arrive peu de temps après eux, vient leur dire bonjour. Les deux garçons remarquent immédiatement un net changement dans sa tenue. Même si elle porte toujours un jean, elle a troqué son sweat habituel pour un genre de marinière, avec des rayures blanches et bleues, et un col en V. C’est une tenue déjà un peu plus féminine, Tristan et Arnaud remarquent immédiatement cette amélioration, même s’ils s’efforcent de rester discrets. Toujours en proie à des problèmes d’animation, elle revient prendre conseil auprès de Tristan, celui-ci étant ravi de pouvoir lui rendre service.
Toujours aussi attentif à ce genre de détails discrets, Tristan parvient à deviner par moments le bout de ses seins à travers l’étoffe, pourtant épaisse. La douce caresse du tissu de coton doit certainement les faire pointer plus que d’habitude. D’ailleurs, il ne peut s’empêcher d’imaginer les agréables sensations qu’elle peut ressentir en ce moment. De plus en plus émoustillé, il espère avec impatience pouvoir en voir plus.
Pour son plus grand bonheur, ceci se produit soudain lorsque Cathy se penche en avant, dévoilant soudain le contenu de son décolleté. Rien ne cache ses seins. Pas de soutien-gorge, ni même un simple débardeur, rien ne vient barrer le regard indiscret de Tristan. Il peut enfin profiter à loisir de cette vue très agréable, car Cathy prend tout son temps, restant dans cette position pour lui faire un croquis. Mais il ne regarde pas le dessin, son regard est totalement captivé par le spectacle qui est offert à ses yeux : une vue plongeante sur la poitrine de sa collègue. En fait, non, pas vraiment, car elle n’a pas de poitrine, même pas un petit peu, elle n’en a pas du tout. Aussi plate qu’un homme, bien qu’elle soit penchée en avant, seuls ses tétons turgescents sont le signe apparent de sa féminité.
Totalement subjugué par cette vision si rare, il ne parvient pas à se concentrer et peine à répondre à ses questions. Il demeure rêveur tandis que Cathy a déjà quitté le bureau depuis quelque temps. C’est finalement Arnaud qui le tire de ses pensées.– Décidément, elle te fait de l’effet.– Tu t’en es rendu compte ?– Je ne voyais que cela. Tu n’as pas arrêté de mater son décolleté.– Oui, j’ai tout vu.– Je m’en doute bien, vu ta tête. Alors, c’était comment ?– Elle ne porte pas de soutien-gorge. Mais ça ne lui servirait à rien. Elle n’a pas de poitrine.– Il me semblait bien qu’elle n’en avait pas beaucoup.– En fait, elle n’en a pas du tout.– Vraiment ?– Oui. C’est assez incroyable. Juste des gros tétons. J’avais envie de les sucer et aussi de les prendre entre mes doigts pour jouer avec.Arnaud ne peut s’empêcher d’adresse un sourire complice à son ami tout en lui répondant.– J’imagine bien. Dis donc, j’ai comme l’impression qu’elle s’intéresse à toi.– Non ? Tu rigoles ?– Je t’assure. C’est la première fois que je la vois s’habiller de manière un peu plus féminine que d’habitude.– C’est qu’il commence à faire beau, c’est tout.– Il y aussi que tu es arrivé hier. À mon avis, ce n’est pas qu’une coïncidence.
Tristan ne se donne pas la peine de répondre à cela. Malgré tout, Cathy revient les voir plusieurs fois dans la matinée. C’est à chaque fois Tristan qu’elle vient voir, et à chaque fois, elle se penche vers lui, lui dévoilant pour son plus grand plaisir sa poitrine toute plate. Finalement, et si ce n’était pas vraiment une coïncidence ?
L’heure du repas approche lorsque Arnaud réalise qu’il n’a pas encore pris rendez-vous pour l’épilation. Il appelle alors immédiatement en s’efforçant d’être le plus discret possible.– Bonjour, j’aurais voulu avoir le service esthétique… Merci… Allô, oui, j’aurais voulu prendre rendez-vous… Oui, un forfait homme… Le maillot intégral, et puis les aisselles aussi… Samedi… D’accord… Merci. Au revoir.Il s’adresse alors à Tristan.– Ça y est, c’est fait. Le rendez-vous est à dix heures. C’est assez long, alors ils le feront en deux fois, une séance de dix à douze, et une autre de quatorze à seize. Entre temps, on peut rester pour manger sur place.– Il y a aussi un restaurant ?– Et pas que ça. Tu verras, il y a plein d’activités. Piscine, sauna. C’est très sympa, surtout en hiver, quand on ne peut pas aller à la plage.– À propos de plage, on y retourne dimanche ?– Où ça ? Sur l’île, plage des Saumonards ?– C’est là qu’on était ?
Ils s’interrompent soudain, car Cathy, comme à son habitude, passe les voir juste avant le repas. Il semble bien qu’elle ait entendu la fin de la conversation. Même si elle fait semblant de rien, elle semble néanmoins légèrement troublée, et elle ne se souvient plus de la raison de sa venue. Tristan en profite pour reprendre opportunément la main.– Ça te reviendra. De toute façon nous partions manger. Est-ce que tu veux venir avec nous ?– Oui, je veux bien. Je passe prendre mes affaires et on se retrouve dehors ?– D’accord. À tout de suite.Tandis qu’elle vient de sortir, Tristan s’adresse à voix basse à son ami.– Comme ça, j’espère que l’on saura ce qu’elle a derrière la tête.– Bien vu !
Cette fois-ci, ils se rendent dans un restaurant de grillades situé dans les environs. La conversation est bien plus sage que la veille. Au fil de celle-ci, Cathy, très bavarde, se met à parler d’elle.– En fait, je suis originaire de la région. J’ai de la famille un peu partout dans les environs. C’est pour ça que je connais bien le coin. Et vous ?Arnaud répond le premier.– Moi, je viens de Poitiers, mais ça fait des années que j’habite dans les environs.Puis c’est à Tristan de prendre la parole.– Quant à moi, je viens de Paris. Mais en fait, je suis originaire de Meurthe-et-Moselle. Je suis resté cinq ans à Paris, à cause de mon ex. Mais maintenant, je compte bien rester dans la région.– Tu t’es séparé avant d’arriver ici ?– Oui, c’est très récent. Encore plus récent qu’Arnaud.Cathy se tourne alors vers Arnaud.– Je ne savais même pas que tu t’étais séparé. Je te croyais toujours en couple.– Je n’allais quand même pas le crier sur les toits !– Et ça fait longtemps ?– Deux mois, déjà.– Je suis désolée pour toi. Je ne le savais pas. Je pense que ça a dû être une épreuve pénible.– C’est surtout avant que ça commençait à être pénible. Cette séparation m’a fait le plus grand bien. Maintenant je vais beaucoup mieux.– Tu aurais dû te confier. Ça fait du bien de parler. Bon, évidemment, ce n’est pas avec mon expérience personnelle que j’aurais pu te conseiller. La vie en couple, je ne sais pas vraiment ce que c’est.Cathy marque un bref temps d’arrêt, le temps d’avaler sa salive et de préparer sa phrase suivante.– Nous sommes donc tous les trois célibataires. On pourrait se faire des sorties ensemble !
Arnaud manque de s’étouffer en entendant cela. Il a soudain l’impression que Cathy était attirée par lui depuis des mois, mais qu’elle n’en disait rien. Son comportement bizarre devient soudain cohérent, comment avait-il fait pour ne pas s’en rendre compte auparavant ? Peut-être que les rapports compliqués qu’il entretenait avec son ex l’empêchaient de réaliser ce qui se passait autour de lui. Il aura suffi que Tristan lui propose de venir manger avec eux pour que tout s’éclaircisse soudain dans son esprit.
Le repas se termine tranquillement tandis qu’ils discutent de sujets plus légers. Il est temps de retourner au travail. On parle peu. Tous semblent assez absorbés par leurs pensées, certainement axées sur la conservation passée.
L’après-midi étant assez chargée, ce n’est qu’une fois débauchés, alors qu’ils sont en train de faire route vers l’hôpital pour disposer des résultats définitifs de leurs tests HIV, qu’Arnaud reparle avec Tristan du sujet qui commence à les obséder.– Dis-moi, est-ce que tu as compris la même chose que moi à midi ? Cathy aurait voulu sortir avec moi ?– J’en ai bien l’impression. Mais ça devient compliqué, depuis hier elle me fait des avances. Je ne sais pas ce qu’elle a en tête.– Oui, mais elle ne savait pas que j’étais libre.– Tu crois qu’elle préférerait sortir avec toi maintenant ?– Peut-être… En fait, je pense qu’elle recherche un mec, que ce soit toi ou moi.– Ou les deux à la fois ?– Hé, hé, c’est malin ! Pourquoi pas…– On verra bien.– En tout cas, j’aurais dû lui proposer d’aller manger depuis longtemps, mais j’étais encore enfermé dans ma séparation et je ne voyais pas ceux qui m’entouraient.– D’autant plus qu’elle pensait que tu étais toujours en couple. Elle ne risquait pas de te proposer des sorties.– Exact !
Arrivés à l’hôpital, ils constatent avec satisfaction que leurs tests définitifs sont également négatifs. Ils retournent immédiatement à l’appartement, bien décidés à en profiter sans plus attendre. Arrivés en sueur à cause de la chaleur et de leur empressement, ils commencent par prendre une petite douche pour se rafraîchir. Arnaud y passe le premier, puis il cède sa place à son ami pendant qu’il se sèche.
C’est alors qu’il entend frapper à la porte d’entrée. Il noue rapidement une serviette autour de sa taille et va ouvrir. C’est sa voisine, une petite brunette un peu ronde, vêtue d’une jupe et d’un t-shirt, qui vient lui demander de l’aide. Même si elle semble surprise au premier abord de la tenue minimaliste d’Arnaud, elle s’adresse à lui tout naturellement tout en profitant discrètement du physique agréable du jeune homme.– Bonjour. Excuse-moi, je ne voulais pas te déranger.– Il n’y a pas de mal.– Je voulais te demander si tu pouvais venir regarder ma télévision. Elle ne marche plus.– Comme tu vois, ça ne va pas être possible.– Tu peux passer plus tard, si tu veux.– Je ne suis pas un spécialiste de télé. Qu’est-ce qu’elle a ?– Elle affiche "pas de signal".– Ta prise d’antenne est branchée ?– Oui.Arnaud allume sa télévision. L’image s’affiche.– Essaye de refaire une recherche des chaînes.– C’est tout ? Tu ne voudrais pas passer pour me montrer ?– Écoute, je n’ai pas vraiment le temps.– Tu n’as pas cinq minutes pour m’aider ? C’est que je n’y connais rien.
Arnaud commence à réaliser qu’il va avoir du mal à se dépêtrer d’elle. Comment faire ? C’est à ce moment que Tristan, qui sort de la salle de bain tout en parlant à voix haute, pénètre nu dans la pièce.– Je suis prêt ! J’ai hâte de te sucer. Ça va me détendre, et toi aussi !C’est alors qu’il réalise que Tristan n’est pas seul. Il se pétrifie soudain devant la jeune femme, qui le dévisage de la tête aux pieds, tout en se mordillant les lèvres. Arnaud, qui ne semble guère plus à l’aise, ne sait que dire. C’est finalement la voisine qui reprend la parole.– Apparemment, vous m’avez l’air plutôt intimes. Je ne vais pas vous embêter plus longtemps, je devrais réussir à régler ma télé toute seule.
Elle repart alors aussi soudainement qu’elle est arrivée. À nouveau seuls, Tristan reprend la parole.– Il n’aurait pas fallu qu’elle reste plus longtemps. Je sentais une érection arriver.– Tu as vraiment un côté exhibitionniste.– C’est bien possible. En plus, je ne pouvais pas m’empêcher de mater ses gros nichons. Ses tétons pointaient à travers son t-shirt, pourtant je suis certain qu’elle portait un soutif. Ça commençait à m’exciter.– Chacun son truc, je n’aime pas les grosses.– Elle n’est pas grosse. Juste un peu enveloppée. Moi, j’aime bien quand il y a un peu de chair.– Tu t’intéresses vraiment aux qu’aux extrêmes. Entre Cathy et ma voisine, il n’y a pas vraiment de point commun.– Les deux me plaisent, c’est vrai. Je ne sais pas pourquoi.– Quitte à choisir, je préférerais que tu t’intéresses à ma voisine. Personnellement, je préfère Cathy. En plus, si j’avais pu deviner plus tôt qu’elle avait des vues sur moi.– Tu ne remarques vraiment rien, toi. Ta voisine, aussi, s’intéresse à toi !– Ça, je m’en doutais un peu, figure-toi ! Elle me harcèle régulièrement pour des prétextes futiles depuis deux mois que j’habite ici. Mais elle ne m’intéresse pas. Ce n’est pas mon genre.– Et c’est quoi, ton genre de femme, alors ?– Plutôt grande et mince.– En effet, c’est plutôt le physique de Cathy. C’est con, elle s’intéresse à moi.Arnaud s’emporte alors.– Pas qu’à toi. Elle a proposé qu’on fasse des sorties ensemble. Tous les trois.– Ne t’inquiète pas. Je disais ça pour te taquiner. Je ne sais même pas si elle a vraiment envie de sortir avec moi. Sinon, je pourrai toujours faire connaissance avec ta voisine. Au fait comment s’appelle-t-elle ?– Sandrine. La prochaine fois, je te laisserai ouvrir la porte.
Les deux garçons se rapprochent alors. Arnaud laisse tomber sa serviette au sol. Son sexe est déjà tout raide. Tristan le prend dans sa main et commence à le masturber. Arnaud fait de même et les deux garçons se retrouvent rapidement en érection. Tout en se branlant d’une main, ils se caressent mutuellement de l’autre. Leur désir montant très vite, ils se précipitent vers le lit et s’allongent tête-bêche pour se sucer et se lécher mutuellement. Visiblement surexcités, ils ne tardent pas à jouir, presque simultanément, chacun déchargeant abondamment dans la bouche de l’autre. Enfin apaisés, ils se replacent côte à côte et achèvent leur étreinte en s’embrassant langoureusement pour se partager le sperme qu’ils n’ont pas encore avalé.
Rassasiés, ils s’assoupissent rapidement, collés l’un à l’autre. Ce n’est que vers vingt heures qu’ils se réveillent soudain. La faim commence à se faire sentir, même si un curieux arrière-goût leur imprègne la bouche. Il fait assez chaud, pas la peine de se rhabiller. Ils restent donc nus pour préparer le repas et le consommer, puis pour regarder la télévision.
La soirée s’est écoulée. Alors qu’ils sont en train de se laver les dents, Tristan s’adresse à son ami.– J’ai repensé à ta proposition d’hier soir.– Oui ?– C’est vrai que se sucer, ça commence à être un peu répétitif. On pourrait peut-être passer à autre chose.– C’est vrai ? Tu es d’accord ?– Oui, et dans les deux sens.– J’en suis ravi. J’attendais cela avec impatience.– Je préférerais mettre des capotes pour commencer, tu en as ?– Bien sûr.Et joignant le geste à la parole, Arnaud en sort une boîte de l’armoire de toilette, ainsi qu’un tube de lubrifiant.– Et ça aussi, ça pourrait servir. Surtout pour toi. Tu ne t’es jamais pris de bite dans le cul ?– Non, pas encore, ce sera la première fois.– Je vais donc avoir l’honneur de ravir ta virginité anale !– C’est bien dit, mais ça reste quand même une sodomie.– Ou une enculade !– Là, c’est vraiment moins classe !
Ils retournent alors dans la chambre. Arnaud, qui se réjouit d’avance de se faire pénétrer par son ami, s’est déjà placé à quatre pattes sur le lit, prêt à se faire mettre pour son plus grand plaisir. Tristan vient d’abord se placer face à lui, pour se faire sucer jusqu’à être en érection. Lorsqu’il a sa verge bien raide, il déroule une capote dessus, va se placer derrière son amant et lui enduit l’anus de crème, puis il se présente, le sexe dressé, face au fondement d’Arnaud. Celui-ci, qui est habitué à ce genre de pratique, se détend immédiatement, ce qui facilite grandement la tâche de Tristan, qui peut s’enfoncer au plus profond de son copain sans grande difficulté. Il commence alors à effectuer des allers-retours, assez lents au début, puis de plus en plus rapides, au fur et à mesure de la montée de son plaisir. Seules quelques minutes se sont écoulées, et il laboure déjà sans retenue le cul de son compagnon, tout en le tenant par les hanches. De son côté Arnaud ne cesse de gémir sous l’effet de cette pénétration bienfaisante. Il ne peut s’empêcher de commenter ce qu’il ressent.– Ah, que c’est bon ! J’aime me faire prendre bien profondément. Prends possession de moi ! Nique-moi ! Défonce-moi le cul ! Baise-moi !– Tu as l’air d’aimer ?– Oui. Et le meilleur, c’est de sucer un autre mec en même temps. Pris par-derrière et dans la bouche simultanément.– Désolé, je ne peux pas être des deux côtés à la fois.– Ce n’est pas grave, continue de m’enculer !– Plus pour très longtemps. Je vais jouir.– Tu préfères te terminer dans mon cul ou dans ma bouche ?– C’est comme tu préfères.– Alors viens me gicler dans la bouche. Sinon, avec la capote, je ne sentirai pas grand-chose.– J’arrive ! Tu vas voir ce que tu vas prendre !
Tristan fait rapidement le tour du lit, juste à temps pour inonder la gorge de son amant, de sperme tiède et gluant à souhait. Lui aussi commence à prendre du plaisir à ce jeu pervers et il se surprend à insulter crûment son ami.– Tu aimes ça. T’es vraiment qu’un gros pédé !– Oh oui. C’est vrai, je le mérite. Mais maintenant, ça va être à ton tour. Embrasse-moi d’abord.Sans hésiter, Tristan colle ses lèvres à celles de son amant, avalant ainsi une partie de son propre sperme.
Fermement décidé à se faire dépuceler le fion, il se met ensuite à sucer son amant pour rendre sa bite bien raide. Des idées curieuses lui traversent alors l’esprit.– Ça me fait bizarre, de commencer par honorer l’instrument de mon supplice.– Ne t’inquiète pas, je serai doux.
Arnaud enfile alors une capote à son tour, pendant que son ami se met en place sur le lit, attendant patiemment de se faire enculer à son tour. Il enduit ensuite copieusement la rosette de Tristan, n’hésitant pas à y introduire progressivement tout d’abord un doigt, puis deux, puis trois, pour le préparer à la pénétration. Constatant avec satisfaction que celui-ci semble enfin prêt à l’accueillir, il présente sans plus attendre son gland devant le délicat petit trou de son copain. Prudent, il le pénètre avec tendresse, très progressivement. Le visage de Tristan, qui était crispé au début, se détend peu à peu, tandis qu’il sent la bite de son ami l’envahir. Arnaud s’enquiert alors du confort de son partenaire.– Alors ? Ça va ?– Oui. Tout va bien.– Bon. Alors je vais continuer tout en douceur.
En effet, Arnaud commence ses allers-retours avec une extrême lenteur, le temps d’habituer son amant à la pénétration. Puis progressivement, il se met à accélérer. Au bout que quelques minutes, il atteint un rythme régulier tandis que Tristan commence à gémir sous l’effet de l’excitation. Quelques minutes plus tard, Arnaud sent la jouissance arriver.– Je vais jouir. Qu’est-ce que tu préfères ?– Viens te répandre dans ma bouche. Moi aussi, je ne suis qu’un gros pédé.– Je viens !
Arnaud ne se fait pas prier. Il se place face à son ami et envoie de copieux jets de sperme jusqu’au fond de sa gorge. Tristan, qui ne parvient pas à tout conserver dans la bouche, en laisse couler à la commissure de ses lèvres. Arnaud s’approche alors de lui et ils recommencent à s’embrasser goulûment tout en se caressant. Il s’adresse ensuite à son amant, tout en le regardant langoureusement.– Tu as aimé ça, espèce d’enculé ?– Oh oui. J’ai aimé me sentir possédé par toi. Accepter cette pénétration, tu sais… Comment dire… Je pense que c’était pour moi comme une grande preuve d’amitié.– Moi aussi, j’ai aimé m’offrir à toi de cette façon.– Finalement, c’est sympa, la sodomie. On pourra recommencer, mais pas tout de suite, il faut que mon cul s’en remette.– On pourrait aussi le faire sans capote. C’est meilleur quand l’on sent le sperme se remplir les tripes.– Pourquoi pas… Il va falloir que j’y réfléchisse…
Le silence s’installe momentanément. Les deux garçons profitent paisiblement du temps présent, tandis que leurs mains parcourent tendrement leurs corps encore couverts de sueur. La nuit tombe et Arnaud brise soudain le silence.– On est bien ensemble.– Oui. Tu sais à quoi je pense ?Les deux garçons se regardent avec tendresse.– Je m’en doute un peu.– Je ne sais pas comment te le dire.– Ne t’inquiète pas, c’est réciproque. Reste simple, ce sera plus facile.– Je t’aime.– Moi aussi.
Ils continuent encore à s’embrasser passionnément tout en se caressant pendant de longues minutes. Perdu dans ses pensées, Tristan réagit soudain.– Zut alors. Ça, c’est embêtant.– Quoi donc ?– Toi, Cathy et Sandrine. Je suis tenaillé entre trois désirs.– Rassure-toi. Je ne suis pas jaloux.– C’est quand même une situation cornélienne. Que faire ?– Profite !– Tu as raison. Je vais laisser aller les choses comme elles viennent et je profiterai de tout. Il y a si longtemps que j’attendais cela.
C’est sur ce message d’espoir et d’amour que se termine cette soirée torride, les deux garçons plongeant rapidement dans un sommeil profond.
Durant le reste de la semaine, Tristan demeure très perturbé par la situation dans laquelle il s’est retrouvé plongé. Tiraillé entre son attrait pour les physiques hors normes de Cathy et Sandrine d’une part, et sa liaison charnelle et quasi amoureuse avec Arnaud d’autre part. Pour l’instant, il ne sait guère vers quel bord pencher, le doute l’envahit insidieusement.
Quant à Cathy, elle continue de venir les voir régulièrement. Toujours vêtue d’un jean, elle s’efforce de diversifier toujours plus le haut de sa tenue : chemisier, pull léger, ou t-shirt. Ce qui est certain, c’est qu’elle ne porte jamais de soutien-gorge, Tristan et Arnaud ayant souvent l’occasion de plonger dans son décolleté pour de le vérifier.
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