Le nouveau facteur (2) Je n’ai pas revu mon jeune facteur pendant plusieurs semaines et je ne pensais presque plus à lui, car ma vie sexuelle était fournie, grâce aux sites internet et à la drague sur les rives du canal qui traversait ma ville.Un soir de semaine, alors que je parcourais le chemin de halage, à l’ombre des platanes, en quête d’un jeune mâle disponible pour la nuit, j’apercevais mon petit facteur, assis sur un banc, en train de mater les rares passants. Sans hésitation, j’allais m’asseoir à ses côtés, le saluant d’un sourire et d’un bref « Salut ». Il était vêtu d’un jean serré et d’un pull moulant, à même la peau. Moi, comme d’habitude, j’étais nu sous mon survêtement de coton.« Que fais-tu là ? »« Je me ballade». Sa réponse est hésitante et visiblement gênée. Il se tient raide sur son siège, regardant ses pieds, les mains croisées sur son entre jambe. Je me fais direct, écarte ses mains et pose les miennes sur la bosse de son jean en disant : « Tu sais que j’ai souvent pensé à toi et que tu me plais. Si tu es libre, accompagne moi ce soir ».Il se dégage alors, se lève et part en criant presque : « Laisse moi tranquille. Je ne veux pas recommencer. Je ne suis pas une fiotte». Mais me levant à mon tour, je le suis, le rejoins et le prend par la taille. Puis je l’embrasse sur la bouche, longuement, sans qu’il se défende. Au contraire il ouvre les lèvres et accepte l’introduction de ma langue. Une fois de plus, mon corps viril collé contre le sien le paralyse, coincé qu’il est entre peur et désir.Je baissais alors mon pantalon de survêtement, exhibant mon sexe bandé et pressant sur ses épaules, je l’agenouillais devant moi, le visage près de mon gland turgescent. « Suce moi mon petit facteur. Je sais que tu aimes cela. Tu y as déjà goûté ». Sans conviction, li essayait de reculer sa tête mais je prenais à pleines mains ses cheveux bouclés pour amener ses lèvres sur mon zob. Il commença alors à sucer douce ment mon gland, puis avala mon membre et se mit à le faire coulisser dans sa bouche, de plus en plus avidement. Une fois de plus il était conquis et prenait du plaisir à gober mon pénis bien chaud et raide. Je le laissais s’activer un long moment, ses mains agrippées sur mes fesses, jetant parfois des regards angoissés autour de lui, de peur d’être surpris dans cette position par un passant. Il avait fait des progrès depuis la dernière fois et suçait presque comme un pro. Excité au plus haut point, je sentais le plaisir monter en moi et éjaculais brusquement dans sa bouche en trois grands jets de sperme. Il eut encore un réflexe de recul et reçu une partie de ma semence en plein visage. Doucement je léchais ces traces de ma liqueur d’amour sur son visage, pendant qu’il avalait le plus gros resté dans sa bouche.Remontant mon pantalon, je me promettais de séduire ce jeune hétéro si gracieux et timide et d’en faire mon esclave sexuel. Le prenant par les épaules, je l’entraînais vers ma demeure en lui promettant une nuit d’amour inoubliable. Parvenus à mon immeuble, je l’ai poussé dans l’un des trois ascenseurs et dès la porte refermée je me suis dévêtu.« Fous toi à poil mon chou. Il est plus de minuit et nous ne serons pas dérangés » dis-je en appuyant sur le bouton du 10ème étage. Le voyant gêné et hésitant, Je l’aidais à retirer son pull, défaire sa ceinture et retirer son jean. Surprise ! Il ne portait pas de sous-vêtement ce soir et son sexe était en érection, droit, rose et bien dur. Je le caressais lentement, tirait le prépuce pour dégager le gland, tout en lui faisant une pelle profonde et enfin l’étreignait. Comme sa peau était blanche, douce et sentait le savon ! Ses mains posées sur mes fesses, les palpaient avec feu.Enfin il s’abandonna dans mes bras, m’embrassant dans le cou, sur le visage et enfin la bouche. Il était devenu ardent mon petit jeune homme et ses principes écartés, il se livrait à ses désirs. « J’aime ton corps, ta force, ton odeur virile, ta salive et surtout ce sexe de mâle si beau et si vivant ». Il devenait bavard mon mignon. Nous étions arrivés au 10ème et les portes s’ouvrirent. Il n’y avait heureusement personne sur le palier et j’appuyais cette fois sur le bouton du rez-de-chaussée pour repartir.J’admirais le physique de ce jeune mec, pas très grand, mais fin et bien dessiné, à la peau ornée de fines toisons de poils blonds. Mon pénis était en train de gonfler et de grandir à cette vue. « Comme tu es beau. J’ai une furieuse envie de toi. Cette fois je te veux tout entier, pile et face, mon membre en toi et le tien en moi » soufflais-je en le masturbant lentement. Je sentis l’une de ses mains s’emparer de mon pénis et débuter un mouvement de va et vient Après un moment consacré à cette exercice excitant je m’accroupissais et prenais son vit en bouche.. Il était doux, tiède, palpitant, un peu salé et il en émanait une légère odeur de mâle. Un régal ! Tout en le suçant avec vigueur, j’enfonçais mon majeur droit dans sa rondelle, le tournant doucement. Le sphincter était un peu résistant, mais je le sentais se détendre peu à peu.Mais nous étions arrivés au niveau zéro et les portes de l’ascenseur s’ouvrirent sur un hall désert. Je les refermais et renvoyait notre ascenseur vers le haut. Mon petit mec, désinhibé, me palpait tout le corps avec frénésie, écartait mes globes fessiers, m’enfonçait ses doigts dans le cul, me mordillait les tétons.N’y tenant plus, j’arrêtais l’ascenseur au 8ème, ramassais nos vêtements épars sur le sol et l’invitais à me suivre, le tirant par la main. Le couloir était vide et devant ma porte je cherchais un moment ma clé dans la poche de mon survêtement, pendant que mon facteur déchaîné, me triturait les boules. Situation combien excitante, tous deux nus dans ce corridor éclairé, nos sexes en érection, moi essayant de retrouver mes clés, lui les mains sur mes couilles.Une fois dans mon appartement, j’ai jeté nos habits dans l’entrée et l’ai tiré au salon. M’asseyant sur mon canapé, les jambes écartées et la verge bien droite et dure, je l’attirais vers moi et le faisais s’accroupir au niveau de mon sexe, disant : « Suce encore mon gars, je sais que tu aimes la bite. Profites-en ». Comme un peu plus tôt, le garçon posait ses lèvres chaudes sur mon gland, pointant sa langue sur le méat, puis ouvrant grande sa bouche absorbait tout mon pénis jusqu’au fond de sa gorge. Il commençait une fellation endiablée, tandis que je coinçais ses hanches entre mes genoux et caressais sa nuque, ses épaules et son dos. Je le sentais vibrer entre mes mains, accélérant sa succion et caressant mes couilles de ses doigts fins et habiles. Excité au plus haut point, je le repoussais brusquement et le retournant je me mis à lui lécher les fesses, ma langue s’attardant dans sa raie garnie de poils soyeux, salivant et cherchant son anus. Après quelques minutes de préparation, je pointais mon zob vers son petit trou et de mes deux mains pressant sur son ventre je le conduisis à s’empaler sur mon membre viril. Je sentais son cul descendre sur mon vit et l’engloutir peu à peu, glissant dans l’antre humide. Bien embroché, son sphincter bien serré sur ma verge, mon petit facteur a débuté un mouvement de va et vient de rapidité croissante, jetant des petits cris de satisfaction. Mes mains quittaient alors son ventre pour se poser sur son sexe bandé et le masturber. Nous avons fini par jouir ensemble en plusieurs jets brûlants. Ma verge toujours bandée, nichée dans son rectum, ma main gauche faisant rouler ses testicules, de la droite j’étendais son sperme sur son ventre et sa poitrine en une lente caresse.Nous sommes demeurés un long moment ainsi, tendrement unis, avant que le garçon ne se relève et s’assoie sur mes genoux, m’enlaçant par les épaules, son visage contre le mien. Timidement, il me demanda enfin s’il pouvait rester chez moi pour le reste de la nuit. Ravi de cette réaction pleine de promesses, je lui répondis affirmativement et le conduisis dans ma chambre. Le lit une fois défait, nous nous sommes étendus l’un à côté de l’autre. Ce corps masculin et juvénile près du mien me faisait à nouveau bander. Moi qui suis essentiellement actif, j’avais soudain envie de me faire prendre par ce mec, de lui livrer mon cul, de sentir en moi ce sexe rigide, fin, droit et long. Me retournant sur le ventre je posais ma main gauche sur son pénis et recommençais une experte masturbation, tout en dandinant des fesses.« Tu as envie que je te baise ? » interrogea-t-il en se soulevant à demi et en portant une main sur mon cul frémissant. « Mais je n’ai aucune expérience » ajouta-t-il avec une nuance d’inquiétude.« Ne crains rien. Tu as déjà fais l’amour avec des fille. Comporte toi de la même façon. Tu traites mon anus comme un vagin et tout ira bien » En lui faisant cette réponse d’un ton calme, j’accélérais le mouvement de ma main sur sa verge maintenant dure comme du bois. « Viens sur moi et enfile moi. J’ai très envie de toi » murmurais-je encore.En un mouvement souple, mon petit facteur se coucha sur mon dos, la bite tendue entre mes jambes écartées et colla son gland humide sur mon œillet. Puis d’un mouvement brusque il me pénétra de toute sa verge en un seul coup, venant buter contre ma prostate. Vigoureusement il commença à me ramoner, faisant rapidement monter le plaisir en moi comme en lui. Il explosa dans mon cul en criant, m’inondant de son sperme chaud et abondant, tandis que je déchargeais dans les draps, maculant ceux-ci et mon ventre. Pendant plusieurs minutes je m’efforçais de garder son vit en moi, faisant des mouvements du cul et serrant mon muscle anal pour le maintenir en forme. La jeunesse de mon partenaire fit alors merveille. Je le sentis à nouveau en proie au désir et reprendre ses mouvements de va et vient, tout en m’embrassant le cou et les épaules. Haletant, en sueur, gémissant de plaisir, il s’activait avec une force étonnante chez un si jeune mec et finit par lâcher à nouveau sa purée dans mon intimité en s’effondrant sur moi. Nous nous sommes endormis ainsi, les membres emmêlés, pleins de foutre, épuisés, mais satisfaits. Patrocle
