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Le nouveau facteur

Chapitre 6

Gay
Le nouveau facteur (6)

Christian et moi nous sommes habitués à la vie commune. Je l’avais définitivement convaincu de vivre nu à la maison, sans aucune gène ou entrave et même à ne plus porter de slip ou de boxer sous son pantalon lorsqu’il partait au travail, ce qui est plus excitant lorsqu’on rencontre un mec attirant. Presque tous les soirs je le baisais et souvent il en redemandait. Par contre, si je lui laissais caresser mon cul ou le lécher, je lui permettais rarement de le doigter et encore plus rarement de me pénétrer, étant surtout actif. Cela devait rester pour lui une récompense rare et précieuse. Parfois nous invitions Hakim ou Désiré à se joindre à nos ébats, ce qui pimentait notre relation. Nous avions décidé de passer une semaine de vacances ensemble fin septembre et je recherchais des occasions sur internet. Désiré m’avait indiqué un site gay qu’il fréquentait assidûment et par l’intermédiaire duquel il avait connu le mec qui l’avait fait venir en France. J’explorais donc ce site et tombais un soir sur une annonce intéressante : un homme d’une soixantaine d’années, propriétaire d’un voilier, recherchait deux compagnons pour une croisière autour de la Sardaigne. Sa photo montrait un homme viril, visage carré, cheveux gris en brosse, torse large et sec, ventre plat et jambes noueuses, au slip bien garni. Je le contactais au numéro de téléphone indiqué pour demander les conditions. Nous tombions rapidement d’accord et prenions rendez-vous au port d’Ajaccio. Au jour convenu, nous montions sur le « Goéland » où nous attendait notre hôte Antoine. Cordial, très à son aise, il nous embrassa et nous présenta son ami Giuliano, un beau Sicilien grand, brun, élancé, aux cheveux mi longs et bouclés. Les deux mecs étaient attirants, le premier mûr, baraqué, sûr de lui, cordial, le second environ 25 ans, sportif, sensuel et très souriant. Le plus jeune nous a conduit jusqu’à notre cabine où il s’est attardé un moment, matant mon Christian, lequel n’était pas insensible à son charme et essayait vainement de le cacher. Après un rapide déjeuner, nous quittions le part d’Ajaccio au moteur, puis mettions à la voile. Antoine et Giuliano nous montraient comment aider à la manœuvre et nous encourageaient du geste et de la voix. Dès que nous fûmes en pleine mer, poussés par un bon vent du nord-ouest, Antoine bloqua la barre et commanda : « Maintenant, tous à poil ». Joignant le geste à la parole, il retira sa chemisette et baissa son short, dévoilant un service trois pièces entouré de poils blancs et des fesses encore bien fermes. Giuliano fit de même. Lui non plus ne portait pas de sous-vêtement et il exhibait avec satisfaction un corps légèrement musclé et uniformément halé comme celui d’Antoine. On voyait que l’un et l’autre pratiquaient le naturisme. Suivant leur exemple, Christian et moi retirions alors nos vêtements pour nous retrouver nus, le cul marqué de blanc sur nos peaux brunies par le soleil d’été. Nos corps ainsi exposés au soleil, aux embruns et au vent nous donnaient un intense sentiment de liberté et de bonheur. Nous nous regardions, les yeux pétillants, un sourire lubrique aux lèvres, imaginant le plaisir que nous allions nous donner réciproquement. En fin d’après-midi nous jetions l’ancre dans une petite crique déserte et accessible uniquement par la mer. Le soleil était encore haut et pour nous rafraîchir nous avons piqué une tête dans l’eau verte et transparente. Christian et moi avons entouré Giuliano, le frôlant de nos corps, le provoquant, l’enlaçant de nos bras ou de nos jambes. Je vis qu’il bandait et je commençais à le masturber pendant que mon jeune ami collait son membre viril à ses fesses. Rigolant, le Sicilien nous échappa et gagna la petite plage où il s’étendit. Nous l’avons rejoint, les bites raides. Je me suis placé sur lui, pour un 69, prenant sa verge dans ma bouche. Et il a commencé à sucer la mienne. Soudain il s’est retourné, m’entraînant dans le mouvement, si bien que je me retrouvais sous lui et lui accroupi au dessus de moi. Cela n’a pas échappé à Christian qui s’est aussitôt attaqué à ses fesses. Manifestement Giuliano était chaud et son cul fut pénétré facilement par le fin pénis blanc de mon amant qui retrouvait avec plaisir son rôle de mâle actif qui lui était si mesuré avec moi. Nous avons jouis tous les trois sur cette plage, observés à la jumelle depuis le voilier par le patron Antoine. J’appréciais la semence riche et généreuse du bel étalon Sicilien et l’avalais, pendant que celui-ci savourait la mienne et prenait dans le cul celle de Christian. Au dîner, que nous prîmes peu après sur le pont arrière, j’étais assis à côté d’Antoine, en face de Giuliano. J’ai dégusté les spaghettis aux palourdes préparés par le patron du bateau, une cuisse pressée contre la sienne, un genou touchant celui du Sicilien. Celui-ci, tout en recherchant mon contact sous la table, avait sa main gauche très occupée sur le ventre de Christian que je voyais rougir de plus en plus. Moi je m’intéressais de près à mon voisin. Je n’avais jamais couché avec un homme de cet âge et j’avoue que j’en avais envie. Pendant que nous buvions nos cafés, je me risquais à plonger ma main droite dans les poils du pubis d’Antoine et de l’index effleurait la peau douce de sa verge au repos. Tournant la tête vers moi et me regardant dans les yeux, il me répondit par un geste identique, me caressant les couilles. Je me mis à bander et il le sentit, retira sa main, la posa sur la mienne et la fit coulisser sur son pénis qui se gonflait lentement sous l’afflux du sang. Je souris, retirais ma main et portais ma tasse à ma bouche en l’observant avec attention. Un corps entretenu, bien conservé, viril, plutôt poilu et une peau brunie au grand air et au soleil, des yeux vifs, d’un bleu délavé, des lèvres bien ourlées et roses. Très sexy le commandant ! La nuit était douce et étoilée, aussi je m’attardais sur le pont. Antoine était assis sur un coussin du roof, observant le ciel. Je m’assis à ses côtés. Il faisant doux et la brise était légère. Il allongea ses jambes, le sexe bien en évidence et me passa son bras gauche autour des épaules. - Tu sais que tu me plais toi. - Toi aussi tu me plais. En disant cela je me mis à lui caresser la cuisse, tiède, musclée, poilue et penchais mon visage vers le sien. Nous nous sommes embrassés, tranquillement, voluptueusement, nos langues agiles et expérimentées explorant nos bouches.. De ma main gauche je tâtais son sexe encore au repos, tirant sur son long prépuce à la peau de velours, flattant ses couilles couvertes de petits poils souples. - Suces moi. Montres moi ce que tu sais faire. Sans hésiter, je m’agenouillais entre ses cuisses, me penchais et prenais en bouche son prépuce pour le suçoter doucement, puis le faire remonter sur le gland et dégager enfin celui-ci, gros, onctueux, odorant. Je sentais sa verge se gonfler et se dresser lentement sous l’action de ma langue et de mes lèvres, courte mais très épaisse, avec des veines saillantes sous la peau mobile. Antoine me caressait les épaules, le cou et le dos pendant que je m’activais sur son pénis maintenant bien raide. Au bout de dix minutes, il me repoussa, me fit me relever et s’empara à son tour de mon vit dressé, le parcourant de ses lèvres humides tout en faisant rouler à deux mains mes testicules dans l’enveloppe du scrotum. Puis il enfourna ma verge dans sa gorge et commença une baise experte, tout en me massant les fesses avec vigueur. Je ne pus me retenir longtemps et déchargeais tout mon foutre dans sa bouche en quatre giclées. - Viens, mets toi contre le mat et entoure le de tes bras. Se relevant il m’entraîna vers le mat et je le suivis sans discuter. Dans cette position il me caressa un moment les fesses de ses larges mains, introduisit profondément son majeur dans mon anus et le travailla un moment. Puis je sentis son gland parcourir ma raie, appuyer sur mon œillet. Je me crispais, n’aimant pas trop les pénétrations et les pratiquant peu.. Mais avec science, Antoine sollicita mes zones érogènes, faisant remonter en moi le désir. Peu à peu je me suis détendu et sous la pression lente de son gland mon cul s’est progressivement ouvert. J’étais maintenant prêt et d’un geste puissant le commandant introduisit son membre en moi et commença d’amples mouvements de va et vient. Je sentais le plaisir monter en moi. Mon zob était à nouveau bien droit, pressé contre le bois du mat. Je hurlais de plaisir lorsqu’il éjacula, m’inondant l’intérieur de sa semence et l’instant d’après je déchargeais sur le mat, mon ventre et mes jambes un flot de sperme. Je n’avais encore jamais été pris de cette façon et autant jouit dans un rôle de passif. Je me promettais d’essayer plus souvent avec mon petit facteur qui ne demandait que cela. De belles vacances en perspective car la croisière ne faisait que commencer.
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