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Le nouveau voisin

Chapitre 1

Hétéro
Le nouveau voisin
   Qui dit nouvelle ville dit nouveau boulot, et surtout nouvel appart. J’ai laissé mon ancienne vie derrière moi pour prendre un nouveau départ. Je discute avec les déménageurs qui viennent de finir de transporter mes cartons, il va me falloir des jours pour tout déballer. Je n’ai pas emmené beaucoup de meubles avec moi, je compte tout acheter dans les jours qui suivent. Ils me donnent leur facture et s’en vont. Il est temps de découvrir mon nouveau chez moi.
  J’habite au troisième étage. Je croise dans le couloir une de mes colocataires pour la première fois. Elle est grosse, énorme, mais avec un visage d’ange de gamine. Les cheveux noirs, elle doit avoir mon âge, dans les vingt-cinq ans. Je la salue histoire de faire bonne figure :
—    Oh, vous êtes le nouveau voisin ? me dit-elle.—    C’est ça. Je m’appelle Jason, fais-je en lui tendant la main. —    Enchantée, je suis Mya. —    Enchanté, Mya.
  Nous faisons un peu connaissance, je lance une vanne pour détendre l’atmosphère, puis je prends congé. Je me dirige vers mon appartement en fermant la porte derrière moi. Aaaaah, ça y est ! Je suis enfin chez moi ! Je suis tellement épuisé que j’ai la flemme de faire du rangement maintenant. Je vais plutôt vers mon lit faire un petit somme. Plus tard, j’entends qu’on sonne. Merde, je suis resté allongé combien de temps ? Mes paupières sont lourdes, on m’a réveillé en plein rêve. Je vais ouvrir, c’est une autre des colocataires. Elle se présente, elle s’appelle Cindy :
—    Enchanté Cindy.
  C’est une grande blonde aux cheveux long à peine plus vieille que moi. Des yeux bleus, un décolleté qui laisse entrevoir sa poitrine généreuse, et des formes top-model :
—    Je vous ai apporté un panier de bienvenue. J’espère qu’il vous plaira, déclare-t-elle en me tendant ce dernier. —    Merci, c’est gentil.
   J’accepte son cadeau, gêné. Plus la conversation se poursuit, plus il est évident qu’elle flirte avec moi. Je sens qu’elle me dévore des yeux, elle me fait des petits sourires en coin comme une adolescente sous le charme. Je joue un peu son jeu, c’est toujours bon pour l’égo de sentir qu’on plait à quelqu’un. Quand je lui avoue que je suis célibataire, elle devient en plus en plus directe. Elle me fait des allusions au sexe, cela me rend dur malgré moi. Elle est chaude, brulante. Elle me fait subtilement comprendre que si je la voulais, je pourrais la prendre là, tout de suite, maintenant. J’ai toujours eu du succès auprès les femmes, je suis un beau brun, grand et bien musclé, mais là, ça va un peu trop vite à mon gout, je ne suis pas ce genre de mec qui s’envoie en l’air avec la première venue. Je vois bien qu’elle est frustrée lorsque je refroidis ses ardeurs, mais nous nous quittons néanmoins en bon terme.
  Les jours suivants, elle me rend régulièrement visite. Elle me demande si tout se passe bien, si je commence à être bien installé, si j’ai besoin de quelque chose. Je ne suis pas dupe, je me rends bien compte que ce sont surtout des excuses pour continuer à me faire de l’œil. Rapidement, ce que je trouvais flatteur au début commence à devenir embarrassant. Je ne sais pas comment lui dire gentiment que je ne suis pas intéressé. Plus je repousse ses avances, plus je sens que la situation se détériore. Derrière nos sourires et nos formules de politesse, je décèle à force une certaine animosité chez elle, comme si elle était vexée que je lui dise non. Je me sens mal, je ne voulais blesser personne. Je vais devoir trouver un moyen de me faire pardonner pour arranger les choses, je n’ai pas envie d’être en mauvais terme avec quiconque.
  Quand je raconte cette histoire à mes vieux potes au téléphone, ils me charrient. Si elle est aussi canon que je le prétends, ils ne comprennent pas que je ne saute pas sur l’occasion. Peut-être qu’ils tueraient pour se taper une fille comme elle, mais moi, j’ai passé l’âge. Je recherche autre chose.
  Je recroise Mya de temps en temps dans les couloirs. Nous parlons peu, c’est une personne discrète avec un gros manque de confiance en elle. Un soir, en rentrant du boulot, je la vois se disputer avec un gars devant sa porte. En me voyant arriver, ce dernier se barre, elle éclate en larmes tout de suite après. Je ne devrais sans doute pas me mêler de ce qui ne me regarde pas, mais sans vouloir passer pour un chevalier servant volant au secours d’une demoiselle en détresse, je ne peux pas la laisser comme ça :
—    Hey, Mya ? Ça va ? —    Je... oui oui. Désolée, sanglote-t-elle.—    Qu’est ce qui s’est passé ?—    Rien, c’est stupide. —    Cela n’a pas l’air si stupide que ça à première vue…—    Cela va passer, merci.—    Tu veux passer chez moi prendre un café pour en discuter ? —    Je… je ne sais pas.—    Cela te ferait sans doute du bien de te confier à quelqu’un. Je sais qu’on se connait à peine, mais c’est parfois plus simple de parler à un parfait inconnu. —    D’… d’accord. Juste un café.
  Je la fais entrer dans mon appartement. Ma cuisine est toujours en désordre, mais je fais ce que je peux pour être un bon hôte. Je lui sers une boisson chaude puis j’essaie à la mettre à l’aise. Elle sèche ses larmes et s’arrête de pleurer. Quand je la sens un peu moins fébrile, je lui demande à nouveau ce qui s’est passé :
—    C’est stupide, je vous l’ai dit, je suis désolée. —    Raconte-moi. —    C’est juste que… J’ai rencontré ce garçon il y a quelque temps. On est devenu proche petit à petit, il me plaisait beaucoup. Je pensais que c’était réciproque, sauf que là, je viens d’apprendre qu’il n’est pas du tout intéressé. —    Je comprends, cela n’est jamais agréable de se sentir rejeter, mais ce n’est pas grave, cela arrive. Tu trouveras quelqu’un d’autre, quelqu’un qui te méritera vraiment. —    Non, justement, vous ne pouvez pas comprendre, explose-t-elle comme si j’avais dit une énorme bêtise. Vous êtes un beau garçon, les filles doivent vous courir après, moi je suis moche et repoussante. Vous n’imaginez pas combien c’est difficile de rencontrer quelqu’un. « Un jour, tu feras la connaissance d’une personne qui te mériteras vraiment » cela fait des années qu’on me le dit, je suis pourtant toujours célibataire. Je désespère ! Je suis peut-être grosse, mais je reste une femme. Moi aussi j’ai besoin d’être aimée et de baiser ! Sauf que soyons honnête, qui voudrait de moi ? Qui voudrait me faire l’amour ?
  Il y a un millier de choses que je voudrais lui dire, mais les mots ne viennent pas, par quoi devrais-je commencer ? Elle me regarde en silence, non pas parce qu’elle attend une réponse de ma part, mais parce qu’elle réalise ce qu’elle vient de dire. Elle rougit et détourne le regard :
—    Je suis désolée, je me suis laissée emportée. Je dois vous paraitre idiote comme ça à m’apitoyer sur mon sort, je suis bien consciente que cela ne sert à rien de se morfondre. Ne vous en faites pas, cela va aller. Je… je vais changer, je vais me prendre en main. Il est temps que je fasse régime et que je me mette au sport.—    Non, fais-je pour l’interrompre. Surtout, ne changez rien. Vous êtes belle comme vous êtes. —    Vous êtes gentil de vouloir me remonter le moral, mais ce n’est pas nécessaire. J’ai eu un moment de faiblesse, mais c’est passé, ça va aller. Je vous remercie de m’avoir écoutée. —    Mais je ne dis pas ça juste pour être gentil, je le pense ! Je vous trouve vraiment magnifique. —    Que… Vous le pensez vraiment ?—    Bien sûr ! Ce n’est pas parce qu’on ne voit pas des filles comme vous tout le temps à la télé ou dans des films que cela ne fait pas de vous une femme belle. Vous êtes peut-être « grosse ». Mais en quoi est-ce un mal ? Pourquoi ce mot devrait-il être péjoratif en parlant d’une femme ? Certains hommes aiment les grosses.—    Qui par exemple ? Vous en connaissez-vous ?—    Et bien moi, par exemple.
  Elle rougit à nouveau, elle est adorable. Ses joues gonflent lorsqu’elle sourit, elle passe une main dans ses cheveux courts. Elle a un visage de jeune fille qui me fait craquer. Elle est si petite. Elle fait mine de ne pas oser me fixer dans les yeux, mais je la vois tout de même me jeter un regard de temps en temps.
—    Je vous plais ? me demande-t-elle.—    Beaucoup. —    Vous auriez envie de moi ? —    Pas qu’un peu.—    Vous aimez mes seins ?
  Je me sens honteux, elle a dû remarquer que j’ai eu du mal à me détourner de son décolleté. Elle porte un haut avec une large échancrure, on dirait que sa poitrine va exploser. Elle s’est faite belle pour cet autre garçon, finalement, c’est moi qui en profite. Quel idiot de ne pas avoir su réaliser la chance qu’il avait.
—    Vous voulez les voir ? —    Je… avec plaisir.
  J’ai eu un moment d’hésitation parce que je sais que ce n’est pas raisonnable, mais je n’ai pas la force de lui dire non. J’ai envie d’être un mec bien, mais au fond de moi, je VEUX les voir, et ce depuis la première fois ou je l’ai croisée.
***
  Je ne sais pas ce qui me prend, je ne sais plus ce que je dis, je dois être en train de perdre la tête. Je connais à peine cet homme, et pourtant, je lui propose de lui montrer mes seins sans aucune pudeur. Je ne suis pas comme ça en temps normal, je suis plutôt timide et réservée, mais ce soir, je ne suis plus moi-même. Je suis en manque d’amour. J’ai besoin de savoir qu’il pense tout ce qu’il vient de me dire, qu’on puisse m’aimer, qu’on puisse me désirer. S’il me trouve vraiment jolie, je veux qu’il me prouve et qu’il me le fasse sentir. 
  J’enlève sensuellement les bretelles de ma robe et laisse celle-ci descendre pour lui dévoiler mon soutien-gorge. Sa réaction me fait sourire, il n’en croit pas ses yeux. Je passe mes mains derrière le dos pour libérer mes seins de leur prison. Je retire mon vêtement lentement. Il peut d’abord voir mes tétons, puis ma poitrine dans son intégralité. Il en reste bouche bée, il s’exclame en faisant un « waow », je joue un peu avec lui en les pressant l’un contre l’autre avec.
—    Il vous plaise ? —    La vache, oui ! Ils sont vraiment énormes. —    Vous voulez les toucher ?
  J’ai peur de sa réponse, je ne supporterais pas qu’il me dise non, qu’on me rejette encore une fois. Je suis vite rassurée de l’entendre me demander comme un enfant :
—    C’est vrai ? Je peux ?—    Mais oui, allez-y.
  Ses mains s’avancent vers moi. Il prend mes seins entre ses doigts. Il les soupèse, il les pétrit, il a dû mal à croire qu’ils sont réels. Sa façon de faire me flatte.
—    Mama Mya ! plaisante-t-il.
  Je ris à cette blague stupide. C’est la nervosité, ça nous aide à nous détendre. Je gémis de plaisir, cela faisait si longtemps qu’un homme ne m’avait pas touché comme ça, c’est si bon, je frisonne sous ses caresses. Il prend un téton en bouche, il me le suce, il me fait du bien. Si j’avais un doute au début, je commence à le croire sincère, je lui plais, mais jusqu’où est-il prêt à aller ? Moi j’ai besoin de plus, beaucoup plus. J’ai envie de lui, qu’il me prenne, qu’il me baise, de le sentir en moi, d’être saillie. Est-il seulement prêt à faire ce genre de chose avec moi ? Quelle image vais-je lui donner si je le lui avoue ouvertement ?
  Il passe d’un sein à l’autre, puis il relève la tête pour m’embrasser. Je fonds… littéralement, j’ai la chatte qui coule. Sa langue va à la rencontre de la mienne. Depuis combien de temps ne m’avait-on pas embrassée de cette façon ?
  Je me détends, je m’abandonne à lui. Il devient de plus en plus fougueux. Il se colle contre moi. Je passe une main un peu trop curieuse vers son entrejambe. Mon dieu ! Je ne rêve pas ! Il est tout dur ! Il a l’air d’avoir un sacré morceau en plus, j’ai plus que jamais envie.
—    Tu bandes pour moi ? lui fais-je.—    Rien que pour toi. —    C’est vrai ? Tu as envie ?—    Beaucoup. J’ai envie de te faire l’amour, Mya. —    Alors fais-moi l’amour, Jason.
  Nous reprenons notre baiser, il me dévore. Ses caresses se font plus oppressantes, je peux sentir qu’il ne plaisante pas, qu’il me désire vraiment, je ne sais plus où je suis, je deviens folle. Je défais sa braguette et en extirpe son sexe de son pantalon. J’avais raison ! Il est d’une belle grosseur ! Je le branle doucement, il me laisse faire, mieux encore, il gémit. Je n’arrive pas à en croire ma chance. C’est un si bel homme, il pourrait être en train de se taper la chaudasse du quatrième s’il le voulait, je sais qu’elle n’a pas arrêté de lui tourner autour depuis qu’il est arrivé, au lieu de ça, il est avec moi, et c’est moi qui ai sa verge gorgée de désir entre les doigts.
  Je ne résiste plus, je craque. Je m’agenouille devant lui, il comprend tout de suite ce que je m’apprête à faire. Je décalotte son gland et le couvre de baisers. Il est réel, il est à moi, une vraie bite d’homme. J’ai hâte de la sentir en moi, mais pour le moment, j’ai surtout envie de jouer avec. Je lèche son champignon avant de le prendre entre mes lèvres. Je l’astique de plus en plus fort, puis je fais glisser le reste au fond de ma gorge, il râle de bonheur. Je lui fais une fellation, je m’applique comme je ne me suis jamais appliquée. Je veux l’exciter, lui donner du plaisir. Il me caresse tendrement les cheveux, cela me fait me détendre.
  C’est la première fois que je suce un homme que je connais à peine, son gout et son odeur me monte à la tête. J’ai toujours aimé la sensation d’avoir un sexe en bouche, je pourrais le pomper pendant des heures, je pourrais même le faire fondre dans ma gorge ; mais pas ce soir, ou du moins pas maintenant. Je m’arrête et le regarde avec des yeux suppliants qu’il me prenne. Il saisit le message, il en a envie lui-aussi. Nous nous dirigeons vers sa chambre. Je m’allonge sur son lit, il vient me rejoindre. Il retire ma jupe avant de s’attaquer à ma culotte. Je frémis en lui dévoilant ma fente déjà dégoulinante de mouille. J’écarte mes cuisses pour la lui offrir, il peut en faire ce qu’il veut.
—    Hmm, Mya, fait-il.—    Elle te plait ?—    Hmm, elle me fait de ses envies… —    Elle te veut…
   Il est patient, il prend son temps. Il pourrait me pénétrer maintenant, mais au lieu de cela, il me caresse les lèvres de mon vagin. Il joue avec moi, il me fait languir. Je n’en peux plus ! Je suis chaude et prête à être prise. Il enfonce deux doigts sans me prévenir, je gémis en m’arquant de plaisir. Il les fait entrer et sortir lentement, trop lentement à mon gout. J’ai une première décharge électrique lorsqu’il frôle mon clitoris. Je pense au début qu’il ne l’a pas fait exprès, puis il me prouve que j’ai tort en recommençant. Il se met enfin à le titiller franchement, cela fait couler ma chatte, elle déborde de plaisir sur ses draps. Des sons de clapotis se font entendre tandis qu’il augmente son rythme, je suis au comble du bonheur.
   Soudain, il arrête tout. Il m’abandonne, me laissant haletante, pour glisser son visage entre mes jambes. Je sens sa langue commencer à me lécher, il me broute le minou comme un animal assoiffé. Il me boit, littéralement. Je me détends complétement, je ferme les yeux pour me laisser aller. Je passe mes mains naturellement dans ses cheveux pour l’encourager à me faire du bien. Depuis combien de temps un homme n’avait pas pris soin de moi de cette façon ?
  Son index et son majeur repartent à l’assaut au fond de moi tandis que sa bouche s’active sur mon bouton d’or. J’ai ce réflexe de resserrer l’étreinte autour de son cou tant ce qu’il me fait ressentir est intense. Lorsqu’il m’abandonne pour la seconde fois, je le maudis de tous les noms dans ma tête. Je le pardonne uniquement parce qu’il est enfin prêt à passer aux choses sérieuses.
—    J’ai envie de toi, Mya.—    Vas-y, prends-moi.
  Il se redresse en prenant son sexe musclé en main. Je me repositionne pour lui faciliter la tâche. Nous y sommes enfin. Je sens son gland sur les lèvres de mon vagin, j’ai l’impression que le temps s’est arrêté. Il me pénètre lentement, avec douceur. Je me régale de cette invasion tant attendue. Il se loge au fond de moi, puis il prend du recul afin de recommencer.
—    Aaah ! Mya ! geint-il.—    Jason…
  Il me fait l’amour, et vu de l’expression de son visage, il y prend beaucoup de plaisir. Pour quelqu’un ayant si peu d’assurance que moi, c’est flatteur. Je le sens à moi, rien qu’à moi. C’est ça que je voulais, qu’on me prenne, qu’on me fasse sentir belle, désirable. Il se penche sur moi pour m’embrasser, ses mains parcourent mon corps avec avidité, il savoure mes formes généreuses. Cela doit lui plaire, car il en augmente son rythme. Je passe mes bras autour de ses épaules pour le maintenir contre moi, il me lèche le cou, je chavire :
—    Baise-moi, fais-je à son oreille.
  Il me lime avec vigueur. Il me fait sentir combien son pieu a faim de mon vagin. Cela tombe bien, il est affamé, il a été au régime depuis bien trop longtemps. Il y a eu des jours où j’ai même eu peur de ne plus jamais connaître cette sensation.
  Il m’empoigne les seins, les pétrit, les masse. Manifestement, il les adore. Il me suce les tétons, puis il me les mordille, je gémis pour lui montrer mon appréciation. Je ferme les yeux, je me perds dans mon plaisir, je suis sa petite poupée de chair. Il pourrait me demander ce qu’il veut, je serais incapable de lui dire non. N’importe quoi, pourvu qu’il me baise ! Je suis tellement en manque que je serais prête à m’offrir à n’importe quelle queue, sauf que lui, il a une façon de me caresser qui ne me laisse aucun doute que je lui plais. Il n‘est pas là juste pour se faire jouir dans une chatte, il veut la mienne, et le savoir m’enivre.
  Je suis déjà au bord de l’orgasme, j’ai honte, mais son gros engin qui me laboure me rend folle. Je n’ai pas envie de me retenir, je me laisse aller. Je suis à deux doigts de venir, quand soudain, tout s’arrête. L’espace d’une seconde, j’ai peur de m’être réveillée, tout ceci devait être trop beau pour être vrai. Je rouvre les yeux, la respiration courte. Non, tout ceci est bien réel, il est bien là toujours devant moi. L’idée me traverse alors qu’il s’est peut-être foutu de moi, qu’il ne voulait pas me faire jouir, mais juste me torturer. —    Viens, Mya, me dit-il, chevauche-moi.
  Je me sens soulagée. Je suis si idiote, cela n’avait pas de sens : qui pourrait aller jusque là juste pour humilier quelqu’un ? J’ai si peu confiance en les hommes que je m’imagine parfois les pires scénarios. Non, tout va bien, je n’ai pas à avoir peur. Je me sens un peu gênée cependant : j’ai toujours été plutôt du genre « soumise » pendant l’amour, monter un garçon que je connais à peine, comme ça, cela me met mal à l’aise. Pourtant, cela m’excite aussi.
  La sensation de vide qui me démange entre les jambes à raison de mes appréhensions. Il s’est allongé sur le lit, je viens le rejoindre en l’enjambant doucement pour le surplomber. J’agrippe délicatement sa belle verge en l’enroulant avec mes doigts. Si droite, si fière, si grosse… elle me donne de ses envies ! Je me relève juste assez pour la pointer vers ma fente dégoulinante de mouille, avant de me laisser retomber lentement. Je soupire en la sentant me pénétrer à nouveau. Mes instincts de femme resurgissent et je commence à rebondir dessus. Dieu que c’est le pied de sentir une bonne bite au fond de soi !
  Mes mains sur son torse, je donne la cadence. Je vais de plus en plus vite, mes seins de se balancent dans tous les sens, il a du mal à détourner son regard de ce spectacle. Au bout d’un moment, il perd sa timidité et vient me les caresser, j’adore. Il gémit de plaisir sous mes roulements de bassin. Il se redresse pour m’embrasser, nous échangeons un baiser torride. Il me serre contre lui comme s’il avait peur que je m’échappe. Il m’accompagne en me donnant des coups de reins. Nous nous emboitons parfaitement, nous ne sommes plus qu’un, je n’ai jamais rien vécu d’aussi intense. Il me fait sentir belle, désirable, bonne…
   Je sens mon plaisir croitre, je ne suis plus très loin de la jouissance. Je l’attends, je la veux, je n’en peux plus. Je pousse un petit cri à chaque fois que je sens son dard cogner au fond de mon vagin.
—    Jason… je vais jouir… —    Oh oui, vas-y Mya.
  Il devient plus vigoureux. Il veut m’achever ? Vraiment ? Il fait ça rien que pour moi ? Il est adorable. Je me laisse aller, je n’arrive plus à réfléchir, à penser. Il presse ma chair plus fort contre la sienne, je n’entends que le son du claquement de ses couilles et de ses soupirs rauques. Je vais mourir, c’est une torture ! Je ferme les yeux une seconde, jurant que la fin du monde est arrivée, pour les rouvrir brusquement en poussant un cri de délivrance :
—    Ouiiiiiiiiiiiii ! Aaaaaaaaaaaaaaah !
 Le salaud ! Le salaud ! Il m’a eue, il m’a conquise, je jouie comme jamais. Après toutes ces années de frustration à n’avoir rien d’autres que des petits orgasmes avec mes doigts ou mes jouets, j’en ai enfin un vrai comme seule la bite d’un homme peut en procurer.
  Je perds la notion du temps, je ne sais plus où je suis, je suis perdue dans un monde de pur bonheur. Quand je reviens à moi, je me réveille allongée sur lui, un sourire béat aux lèvres. Je suis essoufflée, étourdie. Ses mains parcourent mon corps affectueusement, je crois que je suis en train de tomber amoureuse. C’est idiot, mais je réalise seulement maintenant qu’il n’a pas joui.
—    J’ai encore envie me dit-il.—    Moi aussi.
  J’en veux plus ! Beaucoup plus ! Je voudrais qu’il me prenne toute la nuit ! Il me demande si j’ai une nouvelle position à lui suggérer, sans plus attendre, je me mets à quatre pattes, les fesses devant lui.
—    Comme ça, ça te va ?
  Il ne me répond pas, mais je l’entends s’affairer derrière pour se mettre en position. Je devrais avoir honte de m’offrir ainsi, mais j’ai perdu toute notion de pudeur. J’en ai marre d’être une fille bien. Je suis tellement excitée que j’ai cessé d’être une humaine. Je veux être une chienne, sa chienne.
  Il m’enfile et se met à me limer en me tenant par les hanches. Je perds la tête.  Ma chatte lubrifie son sexe comme une invitation à me prendre plus fort. Il me possède bien comme il faut. Il me donne des coups secs et bruyants. Il me fait sentir combien sa queue a faim de mon vagin. Il est devenu aussi animal que moi. Ce n’est plus un homme, c’est une bête.
—    Oui ! Vas-y ! Défonce-moi bien.
  Il augmente son rythme sous mes encouragements. Je prends un plaisir monstrueux, je sens que mon prochain orgasme n’est déjà plus très loin, et qu’il risque d’être encore plus violent que le précédent.
—    Tire-moi les cheveux !—    Quoi ? fait-il en ayant peur d’avoir mal entendu.—    Tire-moi les cheveux ! —    Tu es sûre ?—    Oui, j’aime ça.
 Je veux qu’il me fasse sentir sienne. Il s’exécute, il me fait relever la tête. Il est tellement gonflé à bloc qu’il enchaine sur une petite fessée, je frémis. Je suis à moitié consciente, c’est juste trop bon. J’ai envie de me faire sauter comme la dernière des cochonnes.
—    Mya ! Mya ! geint-il au bord du désespoir.
  Lui aussi semble bien s’éclater ! Lorsqu’il relâche son étreinte, je m’affale le torse écrasé, la tête dans l’oreiller. Il m’utilise comme son petit trou pour se faire du bien, et je ne demande que ça. Je me sens salope, vraiment salope.
  Il change de position en prenant de l’appui sur la pointe des pieds. Il me monte, ou plutôt, il me démonte.
—    Aah, Mya, je n’en peux plus. J’ai envie de jouir.—    Oui, vas-y. Tu peux jouir dans ma chatte.—    C’est vrai ? Je peux ?—    Oui. Quand tu veux. Ne te retiens pas, tu l’as bien mérité.
  Je mouille tellement que ma chatte fait des clapotis à chacun de ses allers-retours. Je n’arrive plus à parler. Je veux qu’il me finisse, qu’il SE finisse. Ses assauts sont de plus en plus violents, tout mon corps vibre sous ses coups ; il doit être à l’agonie. Je me régale de ses soupirs saccadés, quand tout à coup, je l’entends grogner comme un ours. Il se fige tout au fond de ma chatte, je sens ensuite son liquide chaud me remplir. Me rendre compte qu’un homme éjacule pour moi, et que j’ai le vagin qui se remplit de sperme a raison de moi, je crie à nouveau en le rejoignant dans son monde de pure extase. Nous vivons ce moment magique en diapason. Il continue à déverser en moi toute sa semence, je sens ses giclées éclater en soubresauts. Lui non plus ne doit pas avoir baisé depuis un bon moment, on dirait. Je me demande comment c’est possible, un beau mec comme lui.
  Une fois fini, il s’écroule à côté de moi, son sexe toujours dans ma fente. Nous sommes épuisés, incapable de bouger, bien, heureux. Son foutre s’échappe de ma chatte lorsqu’il débande. Vu la quantité, je crois que je l’ai vidé, je suis fière de moi. À moitié sonnés, nous restons ainsi tous les deux sens rien dire. Il se serre contre moi et me caresse tendrement. Je me sens toute légère.
  Hélas, toutes les bonnes choses ont une fin. Nous finissons par reprendre nos esprits et par nous rhabiller. Nous parlons peu, nous échangeons par contre de nombreux sourires et des regards. Ils nous disent que nous avons tout deux passés un très bon moment et que nous sommes heureux. J’ai une pointe au cœur lorsque je m’en vais.
   Sur le moment, j’ai pensé qu’il ne s’agissait juste que d’un coup d’un soir, qu’il voulait simplement me réconforter et me faire sentir bien. Je croyais qu’il m’ignorerait à nouveau dès le lendemain, comme si rien ne s’était passé ; mais non, je me trompais. Peu après, il est venu m’inviter à sortir avec lui. Malgré ce qui s’était passé, il s’est comporté comme un vrai gentleman pour notre premier rancard, il ne voulait pas brûler d’étapes, sauf que moi, j’avais envie d’un sauvage. Je l’ai chauffé toute la soirée jusqu’à ce qu’il me saute à nouveau, c’était merveilleux. Nous avons passé la nuit ensemble cette fois-là.
  Ce fut le début d’une longue histoire. Aujourd’hui, nous sommes mariés et avons deux enfants. Je suis une femme comblée. Grâce lui, je n’ai plus jamais douté qu’on pouvait être grosse et belle, et il sait me le faire sentir, tous les soirs, dans notre lit conjugal, et ce toujours malgré toutes ces années passées ensemble.
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