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Nouvel élan

Chapitre 1

Zoophilie
Je me prénomme Isabelle, 45 ans depuis le 25 août dernier, mariée depuis 25 ans. Mes deux garçons sont maintenant élevés, l’un travail aux États-Unis et l’autre continue ses études de médecine en région parisienne. Mon mari est responsable commercial du quart nord-est de la France dans une entreprise agroalimentaire. Je suis habituée à le voir peu souvent et je pense que de savoir qu’il serait souvent absent, a participé, outre mon amour, à ma décision de l’épouser.
J’aime ressentir une certaine liberté. Non pas que je sois libertine, car depuis mon mariage, nul autre homme que mon mari a partagé mon lit alors que maintes occasions se sont présentées, ce qui n’est pas le cas de mon mari, qui lui, m’a ignoblement trompée, et nul doute, me trompe encore maintenant. Cela fait plus de trois années que j’ai cessé toute relation sexuelle avec lui. Je garde une certaine tendresse pour celui qui est le père de nos deux garçons, mais plus aucun désir physique envers lui.
Mais assez parlé de ce menteur ; nous habitons une grande maison dans un tout petit village (175 âmes au dernier recensement) du centre-est de la France. Je reste vague par souci de discrétion, non pour moi, j’assume ma vie, mais pour mes fils. Notre maison, une ancienne ferme, composée de plusieurs bâtiments, est entourée de plus de 15000 mètres carrés de terrain. Quand les garçons étaient jeunes, nous avons possédé un chien que nous avons gardé jusqu’à sa mort, quinze ans plus tard. Les garçons ayant grandi, la galère à chaque voyage pour trouver un voisin, un ami, qui veuille bien garder le chien, nous décidâmes mon mari et moi-même de ne pas en reprendre un autre.

Au mois de juin 2006, ma meilleure amie, Catherine, me demande de garder son chien, Tom, un labrador de quatre ans, durant ses trois semaines de vacances au mois de juillet. Ce n’est pas la première fois que je le lui garde, mais je ne l’ai jamais eu pour une si longue période. Je suis même contente, car cela me fera un compagnon pour mes longues journées solitaires. Mon travail d’enseignante, me laisse beaucoup de temps de libre et depuis que les garçons ont quitté la maison, je me sens seule par moment. Catherine amène donc Tom le vendredi 7 juillet dans l’après-midi.

Mardi 11 juillet, je me lève vers 8h, un petit déjeuner, une douche, et je reprends le ponçage des poutres dans la remise attenante au corps principal de notre maison. C’est une chaude matinée d’été. Vers midi, contente de moi, je décide de me préparer une salade composée pour déjeuner. Je n’oublie pas les croquettes pour Tom et une fois cette rafraîchissante salade avalée, je me prépare un café et m’installe dans un transat sur la terrasse pour apprécier ma seconde cigarette de la journée. Une le matin après le petit-déjeuner, une le midi après le café et la dernière le soir après dîner. Je laisse refroidir ma tasse car je préfère le café tiède, froid à la limite, au café brûlant.
Allongé au pied du transat, Tom me regarde prendre un morceau de sucre et le mettre dans ma tasse. Je crois lire une certaine envie dans son regard. Je lui tends la cuillère pour qu’il la lèche, il se lève et sa langue nettoie les restes de sucre et café. Je retire ma salopette et m’assois en culotte et soutien-gorge sur le transat. Avantage d’une maison isolée, le voisin le plus proche est à plus de 300 mètres, on peut se balader dans une tenue légère sans choquer qui que ce soit.
Je prends ma tasse, Tom, debout entre la table et le transat, m’oblige à faire un ample mouvement. Dans la manouvre, je renverse un peu de café qui atterrit sur le haut de mes cuisses et sur ma culotte entre les jambes.
Là tout se passe très vite, Tom croyant, je suppose, que je lui offre une nouvelle sucrerie, pose son museau sur ma culotte, la truffe juste sur mon bouton à plaisir et je sens sa langue humide à travers le tissu de ma culotte.
Je reçois 200 000 volts (enfin je ne sais pas, peut-être deux millions), un frisson part de mon sexe, me parcourt le ventre et remonte jusqu’au bout de mes seins. Plus fort que tout, une sensation inouïe. Je reste sans bouger. Tom continue de me lécher, second frisson, un troisième, un quatrième.
Plus rien à lécher pour Tom, qui se retire et me regarde pour en avoir encore. Je n’hésite pas et je reverse du café sur ma culotte, juste sur mon sexe, j’écarte les jambes au maximum qu’autorise ma position assise et j’attends le museau de Tom avec excitation. Nouveaux frissons, mes seins sont tendus, je pose la tasse à côté de moi et dégrafe mon soutien-gorge. Je caresse mes seins, je pince légèrement mes tétons. Tom lèche et mordille ma culotte, son museau appuie sur mon sexe et mon bouton. Il se retire, je pose un pied sur l’assise du transat et j’écarte ma culotte avec une main ; je reprends la tasse et verse le café directement sur mon sexe, c’est une centrale nucléaire qui passe à travers mon ventre lorsque le museau et la langue de Tom entrent en contact avec ma peau.
Dans cette position, mon sexe est ouvert et je sens la langue de Tom sur les lèvres, mon bouton est tendu, je le sens durcir, la truffe de Tom le titille avec rudesse, ce qui déclenche des spasmes de plaisir dans mon ventre. Je ne veux pas que cela cesse, je retire ma culotte et je vide la tasse sur mon sexe.
Avec une main j’essaie de maintenir les lèvres ouvertes, pendant que je calme mes seins avec l’autre. La langue de Tom me procure un plaisir extraordinaire, Je bascule ma jambe posée sur le transat, la langue de Tom lèche entre mes fesses, une nouvelle extase m’envahit en sentant sa langue sur mon anus. Tom se retire, je le prie de continuer :
    * - Allez, Tom, gentil chien, lèche-moi !

Il replonge son museau entre mes jambes, je me glisse au pied du transat, les fesses tendues et ouvertes, à quatre pattes, la joue sur le carrelage de la terrasse. Tom se retire à nouveau, me laissant dans un état de frustration insupportable. Je l’incite à revenir entre mes jambes, avec de petites claques sur mes fesses.
Il revient, et repart, revient, repart, c’est insupportable. Je me précipite dans la cuisine et ouvre le placard pour prendre un pot de confiture d’abricot. Tom m’a suivi, il est derrière moi. J’ouvre le pot et avec mon index et mon majeur, je badigeonne mon sexe de confiture, la sensation de mes doigts sur mon sexe me procure de nouveaux frissons.
Debout devant Tom, je prends sa tête et la porte à mon sexe. Il reprend son ouvrage. J’ondule sur sa langue et son museau. Je plonge mes doigts dans la confiture et enduit mes tétons avec. Je m’accroupis pour amener mes seins devant le museau de Tom, il mordille mes tétons, je m’entends râler de plaisir.
Je glisse une main entre mes cuisses, enfonce majeur et annulaire dans mon sexe et me masturbe, Tom lèche mes seins, je me sens partir. Je me retourne et replonge la main dans le pot de confiture, je la dépose entre mes fesses, je me mets à quatre pattes devant Tom qui me lèche l’anus et l’entrejambe. Je me masturbe avec une main, la langue de Tom lèche mon anus. Je pose ma joue sur le carrelage de la cuisine, glisse mon autre main entre mes jambes et titille mon bouton, tout en me masturbant avec l’autre main. Une explosion de jouissance me secoue, cela part de mon entrejambe et remonte à l’intérieur de mon ventre vers mes seins.
Je bave de plaisir sur le carrelage, c’est trop bon. Tom se retire comme s’il avait compris mon besoin de respirer. Je reste dans cette position, à le regarder. Il est beau, avec son pelage brun foncé, ses muscles saillants, ses yeux tendres. Je reprends mes esprits après un long moment. Tom s’est allongé près de moi.
Je m’assois à côté de lui et serre son cou entre mes bras, il se relève et me lèche le visage, je mêle ma langue à la sienne et me relève en embrassant sa truffe.
Plus tard dans la journée, un sentiment de honte m’envahit en repensant à ce qui s’est passé avec Tom. Honte, non pas vis-à-vis mon mari, mais de mes deux garçons. Néanmoins le plaisir ressenti, surpasse et surpassera toujours cette honte. Un plaisir mille fois plus grand que celui ressenti quand je me masturbe. Un plaisir plus fort, plus intense que le souvenir des plaisirs ressentis avec mon mari.
Peut-être est ce dû à ma longue période d’abstinence ? Je ne sais toujours pas, mais j’apprécie ce plaisir, je le recherche, je l’entretiens.
Mon aventure avec Tom ne s’est pas arrêtée là, c’est un amant magnifique et insatiable. Il a éveillé une partie de moi que je ne connaissais pas.
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