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La nouvelle bonne

Chapitre 5

Erotique
LES CONFIDENCES DE LISETTE
Elodie sort de la cuisine en portant une tasse de café. Lisette en jeans la suit avec une tasse d’infusion. Son chemisier flotte sur ses seins. — Viens t’asseoir. Elle fait signe à la jeune fille de s’installer à ses cotés sur le canapé. — Raconte-moi un peu ta vie. Tu as des parents? — Oui. — Ils vivent ensemble? — Non, ils ont divorcé quand j’avais douze ans. — Cela n’a pas été trop pénible pour toi? — Non, ils ne faisaient que de se disputer. — Avec qui as-tu vécu? Avec ton père ou ta mère? — Avec ma mère. Je suis sûre que mon père a été soulagé de ne plus m’avoir dans les jambes. Normalement, je devais passer un mois avec lui pendant les vacances scolaires d’été. Il s’empressait de me confier à ses parents. Je ne le voyais que le premier jour quand il venait me chercher et le dernier quand il me ramenait chez ma mère. Elodie prend la tasse de Lisette et la pose sur la table. Elle regarde la jeune fille dans les yeux. Elle rapproche sa bouche. Lisette ne se dérobe pas. Ses lèvres sont entrouvertes lorsque la langue d’Elodie se fraye un passage. Profitant des facilités vestimentaires, Elodie entoure de sa paume un sein dont elle agace le téton. — Tu as parlé d’un beau père. Ta mère s’est remariée? Lisette se ferme. Le sujet ne lui plaît guère. — Oui. — Tu avais quel âge? — Treize ans et demi. Elodie regarde la jeune fille. Ses traits se sont durcis. — Tu ne veux pas m’en parler? — Non, s’il vous plaît… — Tu sais, il est souvent bon de se confier. Surtout si cela concerne des mauvais souvenirs. — Vous croyez? — J’en suis sûre.
Lisette réfléchit. — Je vous promets de vous en parler, mais pas tout de suite… je vous en prie. Elodie regarde la jeune fille. Elle est soucieuse. — Laissons ce sujet puisqu’il te gêne. Embrasse-moi! Lisette ne se fait pas prier. De baisers en caresses, les deux femmes se déshabillent mutuellement... Dans la chambre d’Elodie les deux femmes se retrouvent allongée tête bêche. La jeune femme est fière de son élève qui s’ingénie à reproduire ses caresses et qui prend même l’initiative d’introduire un index fureteur dans l’anus de sa maîtresse, geste immédiatement imité à leur grande satisfaction… Calmée, Elodie se relève. Elle ramasse ses affaires. — Viens prendre une douche. — Avec vous? — Cela te gêne? — Non, pas du tout. A son tour Lisette rassemble ses vêtements et suit Elodie…
Quelques jours plus tard, lors d’un moment de détente, après le travail et les caresses, Lisette et Elodie se réconfortent d’une tasse de thé. La jeune fille semble soucieuse. Elle semble avoir pris une décision. Elodie attend patiemment. — Dites Elodie… — Oui, Lisette? — Vous savez, mon beau-père…La jeune fille s’arrête. Elodie patiente, elle sent que Lisette a besoin de se confier. Son attente n’est pas de longue durée. — …Je l’aimais bien au début. — Tu veux en parler? — Oui. — Tu es sûre? — Oui. J’ai bien réfléchi à ce que vous m’avez dit, qu’il ne faut pas que je m’enferme dans mes mauvais souvenirs. Cela ne vous dérange pas si je vous raconte? — Pas du tout! Viens contre moi. Elodie attire Lisette. Sa main pend négligemment sur le sein de la jeune fille. — Ma mère s’est remariée. J’avais treize ans et demi. — Tu me l’as déjà dit. — Au début tout allait bien. Je m’entendais mieux avec mon beau père qu’avec ma mère. Depuis son divorce elle me reprochait sans cesse la faillite de son mariage. C’était la première fois que quelqu’un était prévenant, gentil avec moi. Il m’écoutait, me donnait des conseils. C’était la seule personne pour qui j’avais l’impression d’exister. Lisette soupire. Elodie caresse le sein que la jeune fille laisse à sa disposition. — C’est lui qui m’a obtenu mon premier rendez-vous avec le planning familial. Ma mère s’en fichait. — Quel âge avais-tu? — Quatorze ans. — Il ne tentait rien alors? Pas de gestes équivoques? — C’est la question que m’a posée la responsable quand elle a su que mon beau père m’accompagnait. Je me souviens de mon étonnement et je l’assurais que tout allait bien de ce coté. Nos relations étaient celles que j’aurais aimé avoir avec mon père. Je le prenais comme confident, de préférence à ma mère qui me laissait seule. Il me blaguait sur mes petits flirts. Je me souviens, un soir en rentrant de l’école, je lui racontais qu’en cours d’éducation sexuelle on nous avait parlé des préservatifs et que les garçons avaient raconté des blagues. Il m’a dit que c’était très sérieux, qu’il valait mieux être prudent et que si je voulais, il me montrerait. — Il t’a fait mettre une capote sur son sexe? — Oui, il me disait que cela me servirait avec les garçons. Lisette étouffe un petit rire. — Nous avons eu une sacrée partie de rigolade lors de nos essais…
« Le beau père de Lisette l’interpelle lors de son retour du lycée. » « - Tu veux toujours que je te montre. » « - Montrer quoi? » « - Ben pour le préservatif. » « - Ah! J’avais oublié. Oui je veux bien. » « - Allons dans ta chambre. » « Lisette le suit. Son beau père sort de sa poche un préservatif dans son emballage. » « - Tu vois, il faut l’ouvrir comme ça. » « - Je peux faire? » « - Je t’en donne un autre. Essaye… Non, attention, tu vas le déchirer… Oui comme ça, c’est bien. » « Lisette regarde le petit rond de latex d’un air perplexe. » « - J’en fais quoi? » « - Une minute je te montre. » « Son beau père ouvre sa braguette et sort son engin du slip. » « - Pose-le sur le bout de mon sexe… Non, pas comme ça… Pince le caoutchouc pour former un petit réservoir… Oui. Pose le maintenant… pardon pas tout de suite. » « Le beau père rétablit la raideur du sexe de quelques coups de poignet. » « - Qu’est –ce que tu fais? » « - Il faut que le sexe soit bien raide pour pouvoir placer le préservatif. Je te montre, tu essayeras ensuite… Je pince le bout… je le pose sur le sommet de mon sexe et je déroule le caoutchouc autour de la tige… Tu as compris? » « - Je crois. » « - A toi maintenant. » « Il lui tend un préservatif sous emballage. Lisette s’applique à le libérer de son emballage. Elle veut le poser sur le sexe mais celui-ci a perdu sa raideur. » « - Comment je fais? » « - Tu n’as qu’à faire comme moi tout à l’heure avec ta main… Oui… Ssssh!… Oui… Tu vois ça devient plus dur… Tu… Mmmh!… Tu peux y aller maintenant. »« Lisette déroule le latex. » « - Non, pas comme ça, tu as oublié de pincer pour former un petit réservoir. Recommence. » « La jeune fille s’applique et réussi à placer correctement la protection. » « - C’est bien. Maintenant exerce-toi à le faire sans regarder. » « - Pourquoi? » « - Euh… Fais-moi confiance, ça te sera utile plus tard. » « Lisette docile ne pose pas de question. Ce fut plus dur et plus long. Plusieurs fois la jeune fille du s’interrompre car son beau père et elle étaient pris de fou rire. Cela nuisait à la raideur nécessaire que la jeune fille s’empressait de rétablir. A un moment, il s’est éclipsé aux toilettes. Quand il est revenu, il avait resserré sa ceinture. » « - Ça suffit pour aujourd’hui. Je pense que tu en sais suffisamment pour ne pas être prise de court quand tu en auras besoin. » « Lisette aurait bien continué. De tenir cette chose dure et douce à la fois, lui plaisait, mais son beau père ne fait pas mine de la ressortir. Ils quittent la chambre… »
— Ce n’était pas un peu osé et équivoque comme geste? interroge Elodie. La question surprend la jeune fille. Elle ne se l’était jamais posée. Il lui faut un instant de réflexion avant de répondre. — Maintenant je dis oui, mais sur le coup je n’y voyais aucun mal. Elodie regarde sa montre. — Tu continueras à me raconter plus tard. Il est temps de préparer le déjeuner. — Tout de suite. Lisette se lève et se dirige vers la cuisine sous le regard protecteur d’Elodie.
Après le repas, Elodie invite Lisette à s’asseoir à ses cotés. — Vous voulez toujours que je vous raconte comment ça s’est passé avec mon beau-père? — Si tu en as envie, oui. La jeune fille se blottit contre Elodie qui passe la main sur son épaule. — Pour mon quinzième anniversaire, j’ai reçu une trousse à maquillage. Quelle joie! Ma mère m’a bien fait comprendre que si cela n’avait tenu qu’à elle je n’aurais rien eu mais que mon beau père avait insisté. Je lui en étais reconnaissante. Le soir il a prétexté une migraine pour refuser d’accompagner ma mère au cinéma. Je n’ai pas été surprise en le voyant entrer dans ma chambre au moment où je m’apprêtais à me mettre au lit. Je me rends compte maintenant que j’étais amoureuse de lui et qu’inconsciemment je l’attendais…
« Lisette regarde sans bouger la porte s’ouvrir. Son beau père entre, revêtu d’une robe de chambre. Il referme soigneusement derrière lui et s’approche de la jeune fille immobile au milieu de la pièce. Il se place dans son dos. Ses mains parcourent la poitrine et le ventre de la jeune fille en une douce caresse sans insister sur un endroit précis. Puis il la fait pivoter et la serre contre lui, tripotant son corps, l’embrassant dans le cou. » « - Il y a longtemps, tellement longtemps que j’ai envie de t’embrasser. Tu ne peux pas savoir combien je le désirais, combien j’étais impatient… »
— Ses caresses, nouvelles pour moi étaient très agréables, poursuit Lisette. Je l’ai laissé faire. Je pensais pourquoi a-t-il attendu s’il en avait tant envie? Ce n’est que plus tard que j’ai compris. — Compris quoi? — A quinze ans, il risquait moins si jamais j’avais eu l’idée de me plaindre à ma mère ou à une assistante sociale. Mais ce n’était pas le cas…
« Il défait les premiers boutons du haut, découvrant les épaules qu’il couvre de baisers au fur et à mesure que la peau apparaît… »
— J’ai cru défaillir quand il a déboutonné mon pyjama et que j’ai senti ses mains sur ma peau. Il m’a transporté sur le lit. J’ai compris qu’il allait me faire l’amour. — Tu as eu peur? — Non, à ce moment là j’étais heureuse que ce soit lui le premier…
« Lisette se laisse étendre sur la couverture. Elle gît les bras serrés contre la poitrine, un peu inquiète mais sans se dérober. Il écarte les mains qui couvrent les seins. Elles glissent vers le ventre comme pour le protéger. Il continue de déboutonner le pyjama caressant du doigt entre les mamelons sans les découvrir. Arrivé au pantalon du pyjama, il dénoue le lacet. Lisette soupire les yeux fermés. Ses mains tombent sur le coté en signe d’abandon total. Il fait glisser le pantalon sur les fesses et les cuisses et elle n’oppose aucune résistance quand il lui sépare les genoux. Le lit qui gémit lui fait ouvrir les paupières. Son beau-père, robe de chambre ouverte s’installe entre ses cuisses écartées… »
— Ce n’est que lorsqu’il s’est avancé entre mes jambes que je me suis aperçu qu’il était nu sous la robe de chambre. — Cela s’est bien passé? — Oui, il m’en reste un bon souvenir. Il était prévenant et doux. Comme je voulais lui faire plaisir, je n’ai pas résisté et je n’ai pas eu trop mal…
« Il pointe devant lui son sexe recouvert d’un préservatif. Cela la fait sourire, lui remémorant leurs essais. Il se couche sur la jeune fille. Une contraction crispe les traits de celle-ci au moment de la pénétration, mais cela ne dure pas. Quand il se met à aller et venir dans son ventre, elle subit sans broncher. Cette sensation nouvelle, entachée d’un peu de douleur est agréable, pense-t-elle. Les mouvements de son initiateur commencent à l’émouvoir et elle est toute étonnée de le sentir mollir lorsqu’il cesse ses coups de reins. Elle le berce contre elle pendant qu’il reprend son souffle… »
Lisette se tait, prise par ses souvenirs. Elodie la cajole. Sa main glisse à la rencontre d’un sein dont elle titille le téton. La jeune fille tend les lèvres. Un doux baiser les unit. — A partir de ce soir là, il m’entraînait dans ma chambre dès que ma mère nous laissait seuls. Il ne prenait pas la peine de me déshabiller, ôtant simplement ma culotte, me pénétrant sitôt que nous avions atteint le lit. Au début cela me gênait. De sentir sa queue s’introduire en moi était agréable mais sans plus et j’aurais préféré souvent qu’il me laisse tranquille. Puis j’ai découvert le plaisir. — C’était un bon professeur alors. Il faisait bien l’amour? — Je crois, enfin mieux que les garçons que j’ai connus par la suite… Après un petit silence Lisette ajoute: — …Mais moins bien que Luc quand même. Ensuite c’est moi qui étais aussi impatiente que lui. Je me souviens d’un après-midi où ma mère, après avoir reçu un coup de téléphone, nous a laissés seuls…
« La mère de Lisette enfile son pardessus. » « - Je peux te laisser seule? » « - Mais oui maman, je ne suis plus un bébé. Tu peux partir sans crainte. Il ne m’arrivera rien. Pour te rassurer je refermerai à clé derrière toi. » « - Pourquoi cries-tu comme ça? Je ne suis pas sourde. » « La jeune fille ne peut lui avouer qu’elle élève la voix pour avertir son beau-père qui travaille dans son bureau, de la nouvelle opportunité. Elle claque la porte. Elle soupire d’aise lorsque juchée sur la pointe des pieds pour atteindre le verrou supérieur, elle sent deux mains s’appliquer sur ses seins. Elle ne l’a pas entendu venir et se laisse aller contre son amant. Une main descend sur la jupe jusqu’à atteindre le genou et remonter sous le tissu. Lisette tremble d’excitation et a des difficultés à accrocher la chaîne de sécurité. Déjà la main se glisse sous la culotte l’entraînant vers le bas, lui faisant franchir l’obstacle des fesses. Lisette sitôt la chaîne en place s’empresse d’ôter le sous-vêtement superflu. Elle se retourne vers son beau-père, dégrafe la ceinture et extrait une queue frémissante qu’elle cajole doucement avant de la placer entre ses cuisses. Enlacés, ils se dirigent vers le canapé du salon où ils s’affalent au moment de la pénétration. Il entame la danse d’amour pendant qu’elle le serre contre elle… »
Lisette s’arrête. Elodie respecte son silence en la caressant. La jeune fille la regarde les yeux pleins de larmes. — Embrassez-moi. Elodie sourit et tend ses lèvres que Lisette attrape goulûment. De réveiller ses souvenirs, attise le désir de la jeune fille. Elle glisse la main dans le corsage d’Elodie pour empoigner un sein. Elle est émue la petite, pense la jeune femme. C’est la première fois qu’elle prend l’initiative. Les deux femmes se caressent un moment, puis Lisette s’écarte avec un soupir. — Cela n’a pas duré. Il est devenu tyrannique. J’ai eu le malheur de lui raconter qu’un garçon m’avait embrassé. Je voulais lui dire que j’avais été déçue, qu’avec lui c’était beaucoup mieux, je n’en ai pas eu le temps. Il s’est mis en colère et m’a interdit de fréquenter ces galopins comme il disait. Il a eu le culot de déclarer devant ma mère que je n’avais pas l’âge de telles fréquentations! — Tu n’as rien dit à ta mère? — Oh, elle! J’avais compris depuis longtemps qu’elle ne m’écouterait pas et m’accuserait de vouloir faire capoter son mariage comme le premier. Et puis, mon beau père m’avait menacé. — Menacé? — Oui, il aurait déclaré que je m’étais jetée à son cou. Ce n’était pas vrai bien sûr, mais comme j’étais consentante je n’ai rien osé dire. A la longue, il se rendait compte de son emprise sur moi et est devenu de plus en plus désagréable. Au bout d’un an, je pris la ferme résolution de réfréner mon plaisir. Ce fut dur! — Dur? — Oui, dur. J’avais beaucoup de mal à ne pas montrer ma jouissance, car c’est vrai, il me faisait jouir. Chaque soir en rentrant du lycée, je me promettais de me refuser à lui, mais quand il posait ses mains sur moi, mes résolutions fondaient. Tout ce que j’arrivais à faire, c’était de rester impassible…
« La jeune fille rentre du Lycée. Elle suspend son anorak. » « - C’est toi Lisette? demande sa mère. » « - Oui maman. Je vais dans ma chambre terminer mes devoirs. » « Son beau père se précipite, entre avec elle et l’enlace par derrière dès la porte refermée. » « - Laisse moi. » « Il n’en fait rien et farfouille sous la jupe. » « - Arrête ou j’appelle maman. « « - Chiche! » « Il sait qu’elle n’en fera rien et en profite. Il la pousse contre le bureau sur lequel elle s’appuie. Il soulève la jupe, termine d’ôter la culotte. Lisette ne l’aide pas mais ne résiste pas non plus. Il ouvre sa braguette, sort son sexe et l’enfonce dans le vagin. La jeune fille serre les lèvres pour étouffer le gémissement de plaisir que l’introduction lui arrache. Ses phalanges blanchissent de serrer les bords du bureau. Elle résiste aux poussées de son beau père qui la soulève sur la pointe des pieds à chaque coup de rein. Il éjacule dans un grognement et s’appuie contre son dos, anesthésié un instant par le plaisir. Au bout de quelques secondes, il se retire, essuie son sexe avec un mouchoir et quitte la chambre. Au moment de passer le seuil, il se retourne. Lisette n’a pas bougé. La jupe coincée dans la ceinture, dévoile ses fesses. » « - T’as beau te contrôler je sais que je te fais jouir. Tu ne peux pas te passer de moi. Ce soir je reviendrai quand ta mère dormira. » « La jeune fille serre les lèvres pour ne pas lui crier de rester… »
— Tu l’avais dans la peau? interroge Elodie— Comment, dans la… Ah oui! On peut le dire ! J’étais furieuse contre moi, mais rien n’y faisait. A dix sept ans, quand j’ai passé un mois chez mon père, je me suis vengé en faisant l’amour avec le plus de garçons que je rencontrais. — Cela te plaisait? — Pas trop. Je dois avouer que mon salaud de beau père baisait pas mal. Pas si bien que Luc, mais mieux que les gamins de rencontre. A mon retour, je lui ai jeté mes incartades à la figure, pour lui faire mal. Il a piqué une colère mémorable, m’accusant de dévergondage. Il se vantait que je lui reviendrais toujours car il n’y avait que lui qui sache me faire jouir! Dire que je le croyais! Il a fallu que je vienne ici pour que Luc me montre que mon beau père n’est pas le surhomme que je m’imaginais. Il n’empêche, à ma majorité, j’ai tout abandonné, études, foyer, pour quitter la maison. Il a essayé de me convaincre de revenir. Je crois qu’il m’aimait sincèrement. Mais en dehors de la maison, le charme n’agissait plus et j’ai eu la force de résister. — Ta mère ne t’a pas demandé de rester? — Pas de risque, elle était trop contente de me voir partir. Je suis sûre qu’elle se doutait de ce qui se passait sous son toit, mais elle ne disait rien pour ne pas perdre son mari. Je ne suis plus revenue. — Depuis, tu fais les ménages. — Je fais les ménages. Au début ce fut dur. — Dur de faire les ménages? — Oh non, pas ça! J’avais l’habitude à la maison. Ce qui a été dur c’est de me passer de faire l’amour avec mon beau père, mais j’ai tenu bon. — Tu n’as pas eu de compensations? — Les copines du foyer m’ont enseigné les douces caresses entre fille. Puis… Lisette étouffe un petit rire. — Qu’as-tu? — Je me souviens à ma deuxième place, il y avait un garçon de mon âge. Son père me courait après mais je ne me laissais pas faire. Le garçon m’a surprise un soir où le souvenir de mon beau père était obsédant…
« Le jeune homme guette le passage de Lisette, caché derrière un rideau. Enfin elle se présente portant un plateau avec des tasses. Il sourit. C’est l’occasion unique, la bonne n’osera pas se défendre de peur de casser la vaisselle. Dès qu’elle le dépasse, il se jette sur elle. » « - Oh! » « Il la bâillonne d’une main pendant que de l’autre il farfouille sous la jupe plissée. Sa maladresse fait sourire Lisette qui pose le plateau sur une commode sans le lâcher. Son assaillant a besoin des deux mains pour écarter jupe et culotte et sortir son sexe sans se rendre compte que la jeune fille l’aide discrètement. Il parvient à enfoncer sa verge. Trois coups de rein plus tard il se retire, confus de sa piètre performance et s’enfuit… »
- Je ne lui ai pas résisté. Il s’est jeté sur moi et… Pout, pout, pout! C’était fini! — Aussi rapide qu’un lapin? — Exactement. J’avais à peine réalisé ce qu’il m’arrivait que, pfft! Il s’est enfui la queue basse. — C’est le mot juste. — Le mot? Ah! Ah! La queue basse! Oui! Le pauvre il avait peur que je me plaigne à sa mère. — Tu l’as fait? — Pensez-vous! Il n’en valait pas la peine. D’ailleurs j’ai tout de suite quitté cette place. Lisette s’abîme dans ses pensées. Tous ces souvenirs la rendent mélancolique. Elodie regarde sa montre: — Secoue toi! Luc va bientôt rentrer. — Je cours mettre ma jupe… sans la culotte bien entendu! — Bien entendu… Elodie la regarde en souriant escalader les marches. Elle est vraiment mignonne cette petite, pense-t-elle. Ils ont de la chance d’être tombé sur elle…
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