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ma nouvelle collegue de bureau

Chapitre 2

Hétéro
Elle met un double tour de clé sans plus attendre. Je suis sur ma chaise pivotante,tourné vers elle, et elle vient sur moi, sa robe relevée sans rien dessous. Je sensune chaleur moite envahir mon sexe à travers mon pantalon.— Il ne faut pas t’en promettre salope, sans assurer. Tu vas me tremper le froc avecta choune qui dégouline. Relève toi que je me défringue.Elle se soulève, juste ce qu’il faut pour que je libère mon manche. Elle s’en empareet le glisse entre ses lèvres torrides. Elle monte et descend sur ma colonne, me baisepresque malgré moi. Je trique à nouveau.— Hummmm, c’est bon votre grosse bite. Matin, midi et soir, vous aviez raison, vousêtes un bon étalon. Elle vous plait votre jument?— Ohhhh, ouiiii, salope, tu es trop bonne. Mais tu seras encore meilleure quand jet’enculerai. Tu me l’offres quand ton petit trou?Elle me confie alors qu’elle est vierge analement, et que son mari ne s’intéresse pasà son cul. Elle me dit aussi que mon insistance à vouloir lui fouiller l’anus latente, mais qu’elle ne se sent pas encore prête. Je lui propose alors de tenter undoigtage quotidien, jusqu’au jour ou elle m’acceptera.Elle continue à me chevaucher tout en discutant, et j’ai la queue douloureusetellement elle me fait bander. Elle va me faire encore jouir, et je la préviens. Ellese redresse avec un énorme sslluuuppp de ventouse qui se décolle, puis s’agenouillepour me prendre en bouche. Je m’abandonne à sa pipe talentueuse, et lui offre quelquesgouttes de sperme dont elle semble très gentiment se satisfaire, même si je saisqu’elle aurait aimé davantage.
On continue notre relation au quotidien, une, deux ou trois baises par jour selon sesdésirs, mais aussi ma capacité à la satisfaire. Mais elle a le don pour me mettre en
forme, et c’est plus souvent trois séances qu’une, même si je ne jouis pas à chaquefois. On alterne les positions et les lieux pour ne pas tomber dans la routine. Jetente toujours son petit trou, jusqu’à ce jour tant attendu:On est aux toilettes pour la séance cuni. Elle m’offre tous les matins une pipegourmande, et je la remercie vers onze heures par un broutage vorace de minou. J’ai magueule enfouie entre ses cuisses ouvertes, et me vautre sur sa chatte offerte. Commetous les jours je la caresse en la dévorant, caresse son cul, tente sa raie. Elle serefuse régulièrement, mais cette fois elle ne réagit pas et me laisse faire. Jecaresse sa raie, creuse son sillon, tâte sa rondelle: pas de réaction.J’enfile mon majeur sans oser y croire, et je l’entends gémir plus fort. Je retire mondoigt, le suce pour le lubrifier, avec d’autres doigts, et repars fouiller son trouréceptif. Elle me laisse faire, et miaule de plaisir. Je me décolle de sa chatte:— c’est une idée, ou tu es prête à m’offrir ton petit trou?— oui, je suis prête, mais dépêchez vous avant que je change d’avis.— tu ne vas me faire ça salope. Tournes toi et écartes tes fesses, je vais te lepréparer ton putain de fion.Elle pose son gode sur le réservoir, et se retourne en reposant son pied dessus, lescuisses bien ouvertes. Ses mains s’emparent de ses miches et les écartent au maximum.J’ai sa raie bien dégagée devant moi, et son œillet offert. Je fourre ma gueule dansson sublime sillon et la broute sans retenue.— Mais qu’est ce vous faites?— Ca ne se voit pas? Je te bouffe le cul ,salope. Oses me dire que ça ne te plait pas?— Vous êtes un gros cochon, mais c’est vrai que c’est bon.Je la lèche, la doigte, fourre ma langue pour me délecter de sa paroi anale. Elle n’ajamais rien pris dans son cul, et je lui propose de commencer par son gode. Elle nerépond pas à ma proposition, mais ses gémissements valent un oui massif. Je glisse sonjoujou dans sa chatte pour bien le mouiller, puis le retire et l’enfile délicatementdans son cul. Elle pousse des petits cris, gémis, couine, et m’encourage à continuer.J’ai son jouet entier en elle, le fais aller et venir, pour son plus grand plaisir:— Tu aimes ça salope? Et ma bite, tu l’aimerais, tu me fais trop bander putain.— Oui, enculez moi, défoncez moi tant que je suis prête.— Avec plaisir salope, je ne pense qu’à ça depuis le premier jour que je t’ai vue. Ilest trop beau ton cul.Je me lève, pose un pied sur la cuvette, et bien me coller contre elle, en elle. Sarondelle est super élastique, et je la pénètre sans difficulté. Je reste quelquessecondes sans bouger, pour m’assurer que tout va bien, et elle m’encourage à la limer.Je me mets en action, coulisse dans son cul accueillant, mais la position n’est pasidéale, bien que très agréable. Je me retire, et la fait mettre debout, devant lacuvette, penchée en avant. Je la reprends, et la bourre sans ménagement, puisqu’ellem’y encourage encore.Je lui fous une sévère ramonée, mais son cul étroit va avoir raison de moi, je vaisjouir. Je la préviens, veux savoir où elle me veux, mais elle est hésitante. En faitelle me voudrait dans sa bouche et entre ses reins. Je lui propose une solutionqu’elle accepte, en me traitant de vieux porc, trop heureuse de cette idée qu’elleavait sans doute déjà imaginée.Je décharge dans son cul, à grands coups de reins, inonde son conduit tout neuf. Jereste en elle jusqu’au dernier soubresaut de ma queue ravie. Je me retire, et elle sesoumet de bonne grâce à mon scénario. Elle s’accroupit pour me sucer, remercier lemanche qui l’a honorée, le nettoyer de toute souillure, puis elle place sa main audessous de son fion. La crème dont je l’ai remplie dégouline au creux de sa main, etelle la porte à sa bouche: ssllupp, sllupp, sslup; sslluupp, la pute, la chienne, ellebouffe tout jusqu’à la dernière goutte et repart en chercher dans son sac à foutre.Elle a bien nettoyé mon sexe, vidé son cul, et je vais fignolé son nettoyage, elle l’abien mérité. Elle se relève, se tourne, se penche en avant. Je plaque ma bouche entreses fesses qu’elle écarte, et je bouffe son cul, l’aspire, le gobe, pour récupérer monsperme restant, et le savourer.Elle est toute propre, moi aussi, et on se rhabille. Elle me traite de vieux et groscochon, comme pour se disculper de cette fin de séance dont je suis sûr elle avaitenvie.On se rhabille en discutant, et elle me confie sa pleine satisfaction pour sa premièresodomie. On repart chacun dans son bureau, et on programme déjà notre séancehabituelle de 15H.Je suis plongé dans mon boulot lorsqu’elle débarque dans mon bureau, à 14h10.— Vous êtes disponible?— Euuhhh, oui, mais c’est de bonne heure, non!— Je n’en peux plus, j’ai trop chaud.— Tu veux que je te prenne la température?— Ohhh, ouiii, avec le même thermomètre que ce matin.— Ok, salope, va dans ton bureau, je te suis.A peine la porte fermée je me fous à poil, mais je tiens à ce qu’elle garde sa minirobe noire, sans rien dessous, sa robe de baise. Je veux me frotter contre elle, quesa légère tenue s’imprègne de l’odeur de ma queue et de mes couilles. Je me frottedevant, derrière, sur les flans:— Hummm, c’est bon ma queue contre ta robe de pute, tu sens comme elle est dure, commetu me fais bander, salope.Elle réponds par des gémissements encourageants. Je relève lentement son tissu,jusqu’à me frotter directement sur sa chair aussi chaude que la mienne. Elle me tournele dos, et ma queue monte et descend le long de son sillon:— Tu en veux encore dans le cul putain, ça ta plu ton dépucelage anal?Elle me dit que c’était trop bon, au point qu’elle a marqué "MPS" sur son calendrier(Ma Première Sodomie). Je lui promets de rendre cette journée inoubliable, et deprendre son cul dans toutes les positions. Je fais comme dit, et je l’encule dans tousles sens, pour mon plus grand plaisir, mais surtout le sien.Je la prend allongée sur le bureau, les jambes relevées. Puis je la prend de dos,penchée en avant, ou debout pour la soulever avec mon cric qu’elle raidit au maximum.Puis je la pénètre de face, toujours par le petit trou, un pied sur le bureau mepermettant l’accès, et pouvant lui rouler une pelle. Elle est ensuite à quatre pattes,et je la monte comme un chien monte une chienne. Viennent les séances allongée, et jela ramone qu’elle soit sur le côté, sur le dos jambes relevées, ou sur le ventre. Jesuis ensuite sur une chaise, et elle vient empaler son cul sur mon manche, de facepuis de dos. Elle couine, miaule comme une chatte, n’en finit pas de s’émerveillercomment c’est trop bon. On arrive au final:Je suis allongé sur le dos, et elle vient sur moi, me baise par son petit trou. Ellemonte et descend sur moi, et son conduit anal bien huilé me fait reluire le manche. Jesuis épuisé, mais elle s’en fout. Elle se déchaine, me chevauche à fonds dans l’espoirde me faire gicler en elle.Elle a raison de moi, et je jouis, décharge, éjacule entre ses reins. Elle reste surmoi jusqu’à sentir ma grosse trique se ramollir lentement. Elle se relève et pisse monsperme sur ma queue qui repose sur mon ventre. Puis elle vient sur moi en 69, lèche etsuce mon sexe tandis que je lui bouffe le cul; on s’empiffre tous les deux de monfoutre.Elle me remercie pour cette journée inoubliable, son dépucelage anal qu’elle avaittant redouté, et qui lui ouvre des horizons nouveaux. Je sais déjà qu’elle va vouloirque je m’occupe tous les jours de son petit trou.On continue tous les jours nos séances, et je fais des prouesses pour la satisfaire,même si je ne jouis pas à chaque fois. Elle est trop gentille, et me pardonne.J’agrémente notre relation de nouveaux petits jeux:— pour la pipe matinale, je lui apprends à me brouter les couilles, me doigter le cul,me le lécher, y fourrer son gode.— sur le coup de onze heures, je veux qu’elle se gode l’anus pendant que je lui baisela chatte, sans jouir, puis que je la lui dévore.— enfin l’après-midi je lui éclate le cul tandis qu’elle se gode la chatte puis suceson joujou. Je finis dans sa bouche, mais le plus souvent dans son cul. Je la bouffe,l’aspire pour récupérer ma semence et lui roule une chaude pelle où elle engloutittout.On passe des jours merveilleux, et j’insiste un peu plus chaque jour pour une baise àtrois ou plus. Je vois combien elle apprécie ma queue et son gode ensemble, et je suispersuadé qu’elle s’éclaterait dans une petite partouze. Je lui parle sans cesse deKarine, de Peggy, et bien sûr de mon pote du sex-shop aux grosses couilles sigénéreuses.Elle s’en veut déjà de tromper son mari avec moi, mais voudrait pourtant essayer sansprendre de risques. Je la décide pour une partie à trois avec Karine, notre collègue.Karine est dans mon bureau, teeshirt moulant, petite jupe, mettant en valeur seslarges hanches et sa poitrine généreuse. Je vais voir Cendrine pour qu’elle nousrejoigne, dans sa robe noire, et avec son gode. Je fais les présentations, et lecourant semble déjà passer.Elles sont face à face, se font la bise, puis leurs bouches se joignent. Les mains seposent sur les hanches, glissent entre les cuisses. Cendrine n’a pas de culotte, etaussitôt Karine enlève la sienne. Elles se fouillent à nouveau et je bande à les voirfaire. Je me mets à poil, et glisse ma bite dressée entre elles. Si la robe noire nerisque rien, karine ne veut pas souiller son léger vestiaire. Elle se recule et sedéshabille entièrement. J’invite cendrine à en faire autant, et on se retrouve tous àpoil.Elles sont à nouveau dans les bras l’une de l’autre, pour faire une intimeconnaissance, et je leur demande de se caresser, se goder, pour m’exciter. Cendrinejoue avec son petit tube fin, et ouvre de grands yeux en voyant le gode de karine, unevraie grosse bite de 20x5. Celle ci se rend compte de sa surprise, de son envie, deson désir, et lui propose d’échanger leurs joujoux. Les salopes, elles alternent lesmanches dans leurs chattes torrides, les gobes dans leur gorge avec la mouille del’autre. Je n’en peux plus, il faut que je baise. Je m’adresse à Karine:— Met ton gode-ceinture, on va se la farcir à deux cette salope, elle est aussi puteque toi et ne demande que ça.Karine s’équipe avec un engin magnifique, plus gros que mon sexe. Cendrine semble à lafois inquiète et excitée. Elle accepte d’offrir sa chatte sans problème à notrecopine, tandis que je m’occupe de son cul. On la défonce sans retenue, puis je veuxqu’elle prenne ce gros joujou dans son cul que j’ai bien ouvert. Elle hésite, medisant qu’il est trop gros, et que c’est facile à dire puisque ce n’est pas mon cul.Elle sait que j’aime son petit gode, et je lui dis que je veux me faire enfiler parKarine et son gros engin, à condition qu’elle se fasse mettre ensuite. Elle est tropchaude, excitée, et elle accepte.Je me penche en avant, écarte mes fesses, et m’offre comme une salope. Karine mefouille, me lèche,puis me fourre son gode bien profond. Elle me matraque, me traite de tous les noms,puis défait son appareil pour en équiper Cendrine, et qu’elle m’encule à son tour.Elle n’ose pas, puis se laisse tenter par les propos de Karine qui lui dit que je suisune grosse salope qui aime la queue autant qu’elles, et qui lui promet surtout de lafarcir aussi bien qu’elle va me farcir.Je sens ma nouvelle conquête me casser le cul et m’injurier sur les conseils del’autre salope. Je bande comme un âne, et Karine me redresse, bien se frotter à moi dedos, et s’empare de ma bite pour se la carrer dans le cul. Je suis en sandwich entreles deux, un bonheur immense.On va maintenant s’occuper à nouveau de Cendrine. Je baise sa chatte brûlante, et ellese prend de grands coup de gode dans le cul. Elle gémit à n’en plus finir, enredemande, dégouline de partout.Le temps s’écoule, et elle doit rentrer avant que son mari n’arrive. Je me retire deson huitre torride, et finis dans sa bouche tandis que notre partenaire l’encule deplus en plus fort. Je décharge victorieusement, et elle avale tout, comme elle aimetant le faire. Elle rentre chez elle, ravie de notre séance à trois, et je continueavec ma salope de Karine.Les jours s’écoulent, toujours aussi chauds, et j’arrive enfin à la décider pour unepartie à cinq: elle, moi, Karine, Peggy et mon pote du sex-shop.
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