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La nouvelle vie de Marie

Chapitre 1

Erotique
1.« Franchement, je te l’ai dit, je n’y connais rien en frigo. T’aider pour choisir une télé, un lecteur Blu-ray, un ordi ou à la limite un appareil photo, pas de problème, mais un frigo franchement, je ne sais pas. » Admis Thomas« Je sais bien ! » répondit Marie« J’ai un peu regardé sur le net, ce qu’il fallait contrôler, mais sans plus. Déjà le premier truc, c’est la note énergétique, après c’est la taille de congélo que tu veux, plus tu consommes de surgelés, plus il te faut de la place, c’est logique. Il y a aussi la taille, ce n’est pas la peine d’en prendre un énorme vu que vous n’allez être que trois et encore pas tout le temps. Même si les garçons vont grandir et manger plus, ça ne sert à rien de prendre le maxi-géant genre frio américain. Et puis enfin le point le moins important de design, les trucs genre inox ou je ne sais pas quoi là, c’est joli, mais c’est fragile. »Marie écoutait attentivement ce que disait Thomas, tout en regardant les modèles.
Ils finirent par s’arrêter devant un modèle qui semblait correspondre à ce qu’ils cherchaient. Ils regardèrent la fiche qui confirma ce qu’ils pensaient et firent signe au vendeur qui les observait de loin.« Je pense que je vais prendre celui-ci » dit Marie au vendeur.« Très bien parfait, il m’en reste en stock de ce modèle ».2Les deux amis sortirent finalement du magasin et rentrèrent dans la voiture de Thomas. Car en effet, Marie et Thomas, n’était que des amis, enfin pas exactement, Thomas est le beau-frère de Marie, il est marié à Audrey, la sœur de celle-ci.Aujourd’hui Thomas sert juste de chauffeur et de conseiller à Marie car celle-ci doit tout racheter après avoir quitté son mari.
Marie était en effet elle aussi marié mais à Etienne. Le couple avait pour ainsi dire toujours été ensemble. Ils avaient tous les deux 40 ans et ils étaient ensemble depuis leurs 17 ans. Ils étaient mariés depuis presque 15 ans et avaient deux enfants. Mais les choses s’étaient dégradées entre eux après la naissance du deuxième il y a maintenant 8 ans et surtout depuis que Marie avait fait un énorme bond en avant dans sa carrière, chose que ce macho d’Etienne avait, quoi qu’il en dise en public, beaucoup de mal à accepter. Il était devenu jaloux, suspicieux, méfiant et encore plus associable que ce qu’il était avant. Il essayait de contrôler tous ce que faisait Marie, la moindre dépense entrainait un interrogatoire pour savoir ce qu’elle avait acheté par exemple. Une fois il c’était même caché pour observer et suivre Marie lors d’une pause déjeuné, il avait pris des photos et avait fait subir un interrogatoire en règle le soir même à Marie. Cette attitude avait fait plonger Marie dans une profonde dépression qui l’avait poussé à consulter, heureusement une très bonne psychologue qui lui a fait comprendre que le problème ne venait pas d’elle, mais de lui et une chose en entrainant une autre et le refus d’Etienne de comprend ses erreurs provoqua ce qui devait arriver, la séparation.
« Bon, ce fut une bonne journée ! » lança Marie alors qu’ils s’installaient dans la voiture »« Oui c’est sûr, tu as bien fait chauffer la carte jusque-là. On a terminé ou tu as encore besoin de passer dans un autre magasin ? »« Attend ! Je vais vérifier sur mon petit carnet » répondit Marie en chantonnant.« Dis-moi, que je prévienne Audrey et surtout que l’on se dépêche si il reste encore quelque chose à faire avant de rentrer car je sens que l’on va se prendre une bonne averse »« Et bien….il ne reste plus qu’à faire les courses, si ça t’embête pas. »
« Pas de problème, je passe juste un coup de fil à Audrey et on y va »Une fois le coup de fil passé, ils se dirigèrent alors vers le supermarché le plus proche pour les derniers achats.3« C’est pas vrai, je m’en doutais que l’on allait se prendre la pluie » grogna Thomas
« Oui et ce n’est pas une petite en plus » ajouta Marie« Je me vais me garer dans l’allée du parking près de la petite porte comme ça on aura moins de chemin à faire et on va attendre que ça ce calme un peu. Une averse pareille ça peut pas durer bien longtemps. Ce que l’on va faire c’est que dès que ça se calme, on fait des allers-retours jusqu’au hall de l’immeuble, une fois le coffre vidé, j’irais garer la voiture pendant que tu resteras avec les sacs. »
« OK, il ne reste plus qu’à attendre alors ! » conclus MarieUn silence relatif s’installa alors dans la voiture, en effet le son de la radio était couvert par le bruit de la pluie sur la carrosserie. Les deux amis semblaient perdus dans leurs pensées quand Thomas fut sorti de sa torpeur par le son d’un sanglot. Il comprit rapidement de quoi il s’agissait, mais comme souvent dans ce genre de situation, il en savait pas comment agir. Il jeta un regard rapide du coin de l’œil vers Marie, qui repliée sur elle-même pratiquement en position fœtal était tourné sur sa droite et pleurait à chaude larmes.Thomas dans un geste de compassion et pour réconforter comme il pouvait sa belle-sœur, tendis le bras et déposa délicatement sa main sur l’épaule de celle-ci. La réaction de Marie fut immédiate, comme elle était assise sur un ressors, ce qui surpris d’ailleurs Thomas, celle-ci se retourna d’un bond, fit passer le bras de Thomas autour de ses épaules et vint se blottir comme lui à la recherche de réconfort. Elle saisit ensuite l’autre main de Thomas et vint la placer contre le haut de son torse. La position n’était pas très confortable pour Thomas qui devait se tordre un petit peu pour garder la position, mais sachant que cela fait du bien à Marie, il ne dit rien.Cependant au bout de quelques minutes et alors que Marie semblait un peu se calmer à l’inverse de la pluie, Thomas sentit Marie laisser glisser un peu sa main un peu plus bas suivis d’une nouvelle pression. Se disant que Marie devait peut-être cherché une position plus confortable, il ne dit rien, mais fut surpris de sentir quelque chose de « mou ». Surpris par ce contact étrange, Thomas baissa les yeux et il vit que Marie qui tenait la main l’avais déposé sur son sein. Surpris et gêné par le contact doux et chaud de ce sein pourtant si souvent reluqué du coin de l’œil, Thomas essaya de se dégager, mais Marie tenait fermement la prise. Sentant que ce rapprochement sans doute innocent calmait Marie, Thomas resta immobile, mais un souvenir semblable lui revient subitement en tête.C’était il y a maintenant près de 3 ans, le jour du réveillon de Noël. Toute la famille était réunie pour les fêtes. Lors de l’après-midi alors que tout le monde était occupé de son côté, Thomas jouait dans le salon avec les enfants de Marie quand un bruit de dispute brisa le calme de la maison. Thomas vis Marie sortir en trombe de la chambre suivie d’Etienne.« Et bien, on va demander aux autres ce qu’ils en pensent de ma robe. Tiens Thomas, que penses-tu de ma robe ? Sois disant elle serait presque indécente ? », lança Marie
Thomas leva la tête et pris le temps de la regarder de la tête aux pieds. Elle portait une magnifique robe en laine, mais qui effectivement tenait plus d’un pull trop long pour elle que de la robe.« Bah c’est-à-dire que….ta robe est superbe et elle te va très bien…mais disons que... ; commença Thomas gêné ;…pour un 24 c’est-à-dire que…tu sais bien que je suis pas du genre prude ou un truc comme ça…mais disons que pour un 24, c’est peut-être un peu…pour un 31 je dirais oui, mais là comme ça c’est peut-être un peu….Attend encore une fois, elle te va très bien, mais pour ce soir, je sais pas tu as pensé à mettre des collants par exemple ? Ça serait mieux et même pour toi si tu dois t’assoir par terre au moment des cadeaux ou après. »Etienne derrière jubilais, pour une fois, il pensait avoir gagné la partie, mais déchantât bien vite quand Marie se retourna pour lui dire :« Ça tombe bien, j’ai justement une paire de collant blanc qui iront très bien ! »Puis sans le moindre regard pour lui, elle se dirigea vers sa chambre et le sourire d’Etienne s’effaça ce que ne manqua pas de remarquer Thomas, qui lui rigola intérieurement.Après cet incident, la soirée se déroula normalement, jusqu’à la distribution des cadeaux. Alors que tout le monde était occupé à déballer, admirer ses cadeaux, Thomas remarque que Marie était au bord des larmes après que son mari lui ai dit quelque chose à l’oreille.
Au bout de quelques secondes l’air de rien, celui-ci c’était éloigné de sa femme pour se diriger vers les enfants. Thomas continuait à observer Marie alors que celle-ci finit par se lever et se diriger vers la salle de bain. Il vit clairement qu’elle pleurait en refermant la porte. Gêné par ce qu’il venait de voir et ne voulant pas créer de scandale, il essaya d’attirer l’attention d’Audrey qui était trop occupé avec ses neveux. Discrètement, Thomas se leva alors, sortie de la salle à manger en fermant la porte derrière lui et se dirigea vers la salle de bain. Heureusement trop occupé par la joie que procure normalement ce moment, personne ne l’avait remarqué.Arrivé devant la porte de la salle de bain, il approcha l’oreille et il entendit clairement les sanglots de sa belle-sœur. Mal à l’aise, il toqua quand même à la porte :« Marie ! Marie ! C’est moi, Thomas ! Ça va ? » Pas de réponse.« Tu veux que j’appelle Audrey ? »Toujours pas de réponse.
« Répond moi s’il te plait. »Toujours rien à part les pleurs« Bon, si tu ne réponds pas, je rentre. »Thomas n’eut pas plus de succès.« Tu l’auras voulu ».Thomas saisis alors la poignée et alors qu’il pensait que celle-ci serait verrouillée, la porte s’ouvrit. Il se glissa alors à l’intérieur et referma la porte derrière lui. Une fois dans la salle de bain, il vit Marie assise sur le bord de la baignoire, effectivement en pleurs.
« Marie, pourquoi tu pleurs ? Que t’arrive-t-il ? C’est encore l’autre ?« Parle pas de lui comme ça ! » lâcha t’elle presque en furie« Oulla !!!! Tu vas te détendre, je n’y suis pour rien moi, je l’ai juste vu te parler à l’oreille et alors que tu avais le sourire maintenant, tu es là, à pleurer. »« Oui c’est vrai, pardon, excuse-moi. En plus tu as raison, il m’a encore fait une réflexion sur ma robe. Il m’a dit tu vois avec ta robe de chaudasse tu peux pas faire comme ta sœur et jouer avec tes enfants. »« De chaudasse ? De chaudasse ? Il te parle comme ça ? »« Oui et j’en peux plus. Je l’ai acheté en partie pour lui, pour être jolie et lui il me traite comme la dernière des salopes. Je suis dégoutée, le seul qui m’ai dit que cette robe était jolie et m’allait bien c’est toi. »
Et les larmes repartirent de plus belle.De nouveau mal à l’aise comme toujours dans ce genre de situation, Thomas ne savait quoi faire. Timidement, il s’approcha de Marie et posa une main sur son épaule.À peine avait-il posé sa main que Marie se leva d’un bond et vint se blottir contre Thomas et c’est naturellement que celui-ci tel un grand frère l’entoura de ses bras.Seulement, la nature reprit soudainement le pas sur le sentiment de fraternité quand Thomas réalisa qu’il n’avait encore jamais été aussi proche de sa belle-sœur. Il pouvait sentir son parfum enivrant, l’odeur de noix de coco de son shampoing, la douceur de sa peau, mais aussi et surtout la générosité de ses courbes et principalement sa poitrine collée contre son torse.Comprenant que la situation pouvait rapidement devenir gênante, il tenta de se dégager légèrement de l’étreinte de Marie afin d’éviter qu’elle sente ce qui était en train de grossir dans son pantalon. Mais Marie, consciente ou pas de ce qu’il se passait, Thomas n’en savait rien, ne semblait pas l’entendre de cette oreille et ne lâchait pas prise. Bien au contraire, il avait l’impression que celle-ci accentuait justement la pression justement à cet endroit. Impression qui ne fit plus de doute, quand il sentit clairement Marie se frotter de haut en bas sur la bosse de son pantalon, qu’il ne pouvait dorénavant plus cacher, mais également par les petits soupirs qui avaient remplacé les sanglots.Après plusieurs secondes, de ce traitement, Thomas entendit la respiration de Marie s’accélérer pour finalement la sentir celle-ci se raidir. Thomas compris alors qu’elle venait de jouir, il n’en croyait pas ses yeux, Marie, sa belle-sœur, venait de se masturber sur lui, dans la salle de bain de ses parents, le soir de Noel, alors que son mari, ses enfants, sa sœur sont dans la pièce d’à côté. Comme paralysé par la situation Thomas restait immobile.
Marie finit par lâcher ton étreinte, elle recula, sourit à Thomas, lui sourit, lui dit merci et elle sortit de la pièce comme si de rien n’était.Thomas resta bloqué, pensif pendant plusieurs minutes. Il fut sorti de la léthargie par l’arrivée d’Audrey qui lui dit :« Bah ! Tu es là ? Je te cherchais, ça ne va pas ? Tu as une drôle de tête, tu es malade ? »« Non, non, ça va t’inquiète. J’ai eu besoin de m’isoler un peu. »« Il y avait trop de bruit c’est ça, avec les petits qui criaient un peu. »« Mais t’inquiète ça va mieux, retour dans le salon, j’arrive ».
Audrey voulut alors déposer un baiser sur les lèvres de Thomas, en s’approchant, elle aperçut alors la bosse qui déformait toujours le pantalon de son chéri.« Et bien alors, mon cher Monsieur, que vous arrive-t-il ? ; dit-elle en posant sa main sur ladite bosse ; il serait dommage de gâcher une aussi belle expression de votre virilité. » Disant cela Audrey se retourna vers la porte et elle tourna le verrou.Arborant alors ce sourire coquin que Thomas connaissait bien, Audrey se met à genoux et défit le ceinturon et les boutons du jean de Thomas. Elle laissa glisser le pantalon et caressa avec les ongles le sexe de son compagnon à travers son caleçon. Thomas frissonna sous cette douce caresse. Puis, elle baissa le caleçon de Thomas et le sexe bandé comme jamais jaillit sous le regard plein d’envie d’Audrey.Elle saisit alors l’objet de son désir de la main droite et l’engloutit immédiatement. Elle savait que son homme aimait ça et elle avait envie de lui faire plaisir. Audrey entama alors une fellation de grand talent, mais Thomas déjà bien échauffé par ce que venait de lui faire sa belle-sœur sentit monté la sève presque immédiatement, il tenta de prévenir Audrey :« Attention, je sens que je vais pas tenir si tu y vas comme ça »Entendent ça, celle-ci redoubla alors d’entrain et Thomas ne put se retenir et éjacula dans la bouche de sa femme. Celle-ci pas surprise ni gênée, sembla recevoir ce « cadeau » avec joie et alors que Thomas retombait de son orgasme, celle-ci continua ensuite à doucement sucer le pénis de son homme comme pour profiter jusqu’à la dernière goutte du nectar de celui-ci comme on saucerait son assiette après un succulent repas.
Audrey finit par se relever, elle alla vers le lavabo, pris un peu d’eau et se retourna vers Thomas.« J’ai adoré, c’était génial, j’adore quand tu es comme ça. », dit-elle en remontant le caleçon et le pantalon de Thomas.« Merci ma puce, c’était super » répondit Thomas à la fois heureux et gêné par ce qu’il venait de se passer « Mais dis-moi, comment ça se fait, que tu étais dans un état pareil ? »Thomas ne savait bien sûr pas quoi répondre.« Je sais pas, c’est venu comme ça »
« Eh bien, si ça te reprend, n’hésite pas, ça sera avec un grand plaisir, que je te soulagerai mon chéri. Mais pour le moment, faut la jouer discret, je vais sortir, retourner dans le salon. Attends quelques minutes avant de revenir. Je t’aime » Audrey déposa cette fois juste un bisou sur les lèvres de Thomas et elle sortit.Comme convenu Thomas, la suivi quelques minutes plus tard. Alors qu’il rentrait dans le salon et retourna s’assoir à sa place.Il regarda Audrey, qui lui fit un clin d’œil entendu et alors qu’il s’asseyait, il croisa le regard de Marie qui lui lança le même clin d’œil.4Thomas fut sorti de sa rêverie, par le silence soudain qui régnait maintenant dans la voiture. Marie n’avait pas bougé, elle était toujours blottie contre Thomas tenant toujours fermement sa main contre son sein, mais elle semblait calmée et même presque dormir. La pluie avait presque cessé.
« Marie ! Marie ! Tu es avec nous ? »« Oui, oui ; dit-elle les yeux toujours fermés ; je suis juste bien comme ça. »« D’accord, mais tu vois ça ce calme un peu et on devrait en profiter pour vider les courses »« Tu as raison, pardon. », dit Marie en se redressant et lâchant finalement la main de Thomas.« Bon on fait comme on avait prévu. » expliqua Thomas« OK, mais en t’attendant, je pourrai peut-être commencer à monter les sacs non ? »
« Oui, mais si tu montes, moi je vais me retrouver coincer en bas. Tu n’as pas pris le deuxième trousseau de clés et ton interphone ne fonctionne pas pour le moment. »« Ah oui c’est vrai. On fait comme ça alors »« Ok, mais on fait vite, je sens que la pluie revient. »Ils sortirent alors tous les deux de la voiture et le manège des allers-retours démarra. La voiture fut très vite vidée et Thomas partit garer sa voiture, mais comme il l’avait pressentie, la pluie a refait son apparition pendant ce temps-là et quand Thomas revint de sa voiture, ils se retrouvèrent tous les deux complètement trempés.« On se dépêche de monter les courses pour se sécher, sinon on va choper la crève », dit Thomas « Oui, tu as raison et j’ai déjà rangé les serviettes, je t’en passerai une pour que l’on puisse se sécher » »
« Parfait ! »Une fois arrivés à l’appartement, ils déposèrent les sacs dans la cuisine et Marie se dirigea immédiatement vers la salle de bain et elle dit :« Retire ton t-shirt, on va le passer en mode essorage dans la machine à laver et vite fait au sèche-linge. Comme ça tu pourras repartir au sec. »« C’est une bonne idée », répondit Thomas.Il retira alors difficilement son t-shirt tant celui-ci était gorgé d’eau. Il ouvrit le hublot de la machine, mis son t-shirt, referma le hublot et cherche le fameux mode essorage qu’il trouva rapidement, il sélectionna le mode le plus fort et la machine se lança. Cela faisait plusieurs minutes, maintenant qu’il était seul dans la cuisine et torse nu il commençait à avoir un peu froid. Ne voyant pas revenir Marie, il sortit alors de la cuisine pour se diriger vers la salle de bain. Il remonta le couloir et au moment de tourner sur sa droite pour rentrer dans ladite salle de bain, il se retrouva tête à tête enfin plutôt tête a cul avec Marie. Celle-ci avait retiré ses vêtements pour le ne garder qu’un magnifique shorty en dentelle bordeaux, elle était penchée en avant et semblait chercher quelque chose dans le meuble sous le lavabo. Elle était magnifique, le shorty épousait parfaitement les courbes sensuelles de Marie à peine marquées par ses deux grossesses. Ses fesses rebondies semblaient douces et fermes, ses cuisses fines étaient un appel à la caresse, Thomas banda immédiatement et bloqua sur cette vision paradisiaque.
Marie finit par se relever et voulut crier à Thomas, le pensant toujours dans la cuisine :« C’est b….aaahh tu m’as fait peur » surprise de se retrouver face à Thomas« Pardon, pardon ; dit-il en retournant et s’excusant ; je voulais pas. Je voulais pas te faire peur et encore moins…euh..enfin..tu vois..ne crois pas que je..enfin tu vois »« Pas de problème, tiens prend cette serviette, j’arrive »Thomas tendit le bras derrière lui sans se retourner, prit la serviette et courut presque pour sortir de la salle de bain et retourner dans la cuisine.De retour dans la cuisine, toujours un peu perturbé par ce qu’il venait de voir, Thomas s’appuya contre le plan de travail et mit la serviette sur sa tête pour s’essuyer les cheveux.
A son tour, il n’entendit pas Marie entrer dans la cuisine. Alors qu’il se frictionnait les cheveux, il vit apparaitre les pieds nus de Marie. Toujours gêné d’avoir dérangé sa belle-sœur dans une telle tenue, il n’osait pas retirer la serviette de sa tête et dit :« Je suis vraiment désolé, pour tout à l’heure, vraiment je ne voulais pas. J’avais mis mon t-shirt dans la machine et je commençais à avoir froid. Je n’ai pas réfléchi je me suis dirigé la salle de bain. J’aurai dû me douter que tu étais en train de te changer et attendre ou m’annoncer. Je suis désolé. »« Ne t’inquiète pas, ce n’est pas grave. Le seul problème c’est que tu n’as vu que le côté pile et pas le côté face. », répondit Marie en posant sa main sur la serviette. « Comment ? »« Bah oui le côté face, alors regarde ! » et Marie tira sur la serviette.Thomas n’en croyait pas ses yeux, Marie était là, devant lui entièrement nue. Même le shorty avait disparu.
Thomas était subjugué, elle était encore plus belle qu’il ne l’avait imaginé. Car oui il l’avait déjà imaginé, déjà après l’histoire de la salle de bain, mais bien avant car il l’avait toujours trouvé très attirante.Mais là, se retrouvé seul avec elle, lui avec juste son pantalon et elle complètement nue, c’était trop pour lui.« Bah alors ? Ça ne te plait pas ? », dit Marie avec une voix d’ingénue« ….. » Thomas ne savait que répondreVisiblement amusée, Marie se rapprocha encore un peu plus de Thomas, celui-ci pouvait sentir la pointe des tétons fièrement dressés de Marie contre sa peau. Il l’avait l’impression que son caleçon allait exploser.« Mais ce n’est pas très juste, je suis toute nue et toi non. Tu as vu mes fesses et moi non. Ce n’est pas très galant de ta part. », dit-elle tout doucement en approchant les mains de la ceinture de Thomas.
Celui-ci restait toujours muet incapable de stopper cette spirale de vice qui l’entrainait.« Bon et bien, si tu ne bouges, je vais me débrouiller toute seule. »Disant celle, Marie se mit à genoux, elle saisit la ceinture qu’elle défit et déboutonna le pantalon déjà bien déformé par une bosse qui mit l’eau à la bouche de Marie.Sans perdre de temps, elle fit tomber le pantalon et le caleçon de Thomas et avec une extrême adresse, elle goba immédiatement le sexe de Thomas.Glissant sa main droite sur les fesses de celui-ci, elle caressa son postérieur tandis que sa main gauche entama également un ballet de caresse sur ses testicules.Thomas était vaincu, incapable de se ressaisir ou de repousser Marie, il savourait la délicieuse fellation que lui prodiguait Marie.
Au bout de quelques minutes, reprenant un peu conscience, il posa ses mains sur les épaules de son amante pour la caresser elle aussi un peu, il jouait du bout de ses doigts sur cette peau douce et bronzée si agréable. Puis sa droite remonta sur la tête de Marie pour lui caresser les cheveux. Marie semblait apprécier cette attention, car elle émit un petit grognement d’aise et se rapprocha un peu plus de Thomas.Thomas était aux anges, même Audrey, qu’il avait complètement oubliée à ce moment-là, ne l’avait jamais aussi bien sucé. Cette fellation, accompagné des caresses de Marie était extraordinaire. Comme hypnotisé par son plaisir, Thomas glissa sa main derrière la tête de Marie pour lui caresser la nuque.Subitement Marie stoppa sa fellation, Thomas pendant une seconde cru avoir fait quelque chose de mal, mais celle-ci dit :« Vas-y, appuie, baise-moi la bouche ! »Surpris, mais surexcité par la fellation de Marie, Thomas ne se contrôlait plus, il saisit alors la tête de Marie de ses deux mains et commença à bouger son bassin d’avant en arrière comme un fou furieux. Il n’avait plus aucune retenue. Il enfonçait son sexe aussi profond qu’il le pouvait. Marie de son côté se laissait faire, elle était secouée comme une vulgaire poupée de chiffon, elle bavait, elle avait des hauts le cœur quand Thomas enfonçait trop profondément son sexe, mais elle aimait ça. Bizarrement, elle-même surprise elle aimait ça. Elle qui n’avait jamais ressenti autant de plaisir. C’est vrai qu’elle n’avait jamais connu que son mari, aucun autre homme ne l’avait jamais touché à part lui. Enfin presque se dit-elle, Thomas l’a déjà fait se dit-elle en repensant à l’épisode de Noël ou cet après-midi dans la voiture où elle avait volontairement placé sa main sur son sein. Mais ce qui l’a surprenait le plus c’était son attitude maintenant, elle la féministe, la grande gueule, se soumettait à la violence primaire, sexuelle, de son beau-frère.
Elle, elle était soumise ? Mais c’est ça, elle était une soumise, une bonne petite soumise, la moiteur qu’elle sentait entre ses cuisses, ses tétons durent et fièrement dressés ne laissait aucune place au doute, elle aimait ça. Oui elle était une soumise.
Toujours secouée comme un prunier par Thomas, elle sentit que celui-ci se contractait, présageant l’arrivée imminente de j’éjaculation de son Maitre.« Mon Maitre ?? ; pensa-t-elle dans sa tête ; mais oui c’est mon Maitre. Si je suis une soumise et qu’il me baise comme ça, c’est que je suis sa soumise et lui mon Maitre. »Cette pensée sembla la réjouir.Elle sentit alors Thomas vouloir se retirer de sa bouche, elle se dit qu’il ne devait pas savoir si elle était d’accord pour qu’il jouisse dans sa bouche. Bien sûr, se dit-elle, pour moi je suis sa soumise et lui mon Maitre, mais il ne le sait pas, nous n’en avons pas parlé. Alors sentant le sexe de son Maitre lui échapper, elle plaqua ses mains sur les fesses de Thomas et celui-ci éjacula dans la bouche de Marie. Le premier jet plongea directement au fond de la gorge de Marie qui ne put faire autrement que l’avaler. Le deuxième puis le troisième inondèrent la bouche de Marie et le quatrième l’étouffa ce qui provoqua un réflexe de haut-le-cœur.Le sexe maintenant nettement plus mou de Thomas fut expulsé qui relâcha également la tête de Marie et celle-ci s’écroula sur le carrelage de la cuisine en crachant sur le sol.Dans le feu de l’action et sans réfléchir, Thomas lança :
« Espèce de salope, tu oses recracher mon jus ! Tu n’as pas honte ! Lèche et nettoie ! » Sans réfléchir, Marie, sortit alors sa langue et entreprit de nettoyer le sol souillé du sperme de Thomas.Cependant, la vue de Marie, nue, allongée sur le sol, complètement décoiffée, le bas du visage couvert de sperme et de salive occupée à lécher le carrelage fut comme un électrochoc pour Thomas qui reprit ses esprits. Soudainement apeuré, par ce qu’il venait de se passer, Thomas sortit presque en courant de la cuisine vers la salle de bain. Complètement perdu, il ne savait plus où il était et ce qu’il devait faire.C’est alors que Marie apparut dans l’encadrement de la porte.« Que vous arrive-t-il Maitre ? Vous n’avez pas aimez ? », dit Marie en s’agenouillant aux pieds de Thomas« Mais enfin, arrête, ça va pas non ? Qu’est-ce que tu racontes ? Je ne suis pas ton Maitre. Tu te rends compte de ce que l’on vient de faire ; cria Thomas en se redressant ; c’est pas vrai, mais qu’est-ce que j’ai fait. Je suis désolé, pardon, s’il te plait ne dit rien à Audrey. C’est pas possible, mais pourquoi j’ai fait ça. »
« Mais enfin Maitre... », tenta de dire Marie « Arrête avec ton Maitre, je t’ai dit »« Alors comment dois-je vous appeler ? » « Comment ça ? Bah Thomas bien sûr, tu vas pas bien ? »« Si je vais très bien maintenant que vous m’avez révélé mon état de soumise. »« De soumise ? Mais tu es malade ? »
« Oui je suis votre soumise maintenant et j’en suis fière et heureuse »« Mais n’importe quoi. Faut que je parte d’ici, faut que je rentre chez moi. »Thomas sortit alors toujours presque en courant de la salle de bain pour retourner dans la cuisine.Il ouvrit la machine qui était terminée depuis longtemps et renfila son t-shirt et alors qu’il se dirigeait vers la porte, il entendit Marie l’appeler.« Thomas, s’il te plait, ne part pas comme ça, il faut que l’on parle s’il te plait. » supplia MarieVaincu Thomas fit demi-tour et retourna vers la salle de bain pensant y trouver Marie.
« Je suis dans ma chambre » dit MarieThomas lâcha un profond soupir en entrant dans la chambre où il trouva Marie toujours nue assise sur son lit ma mine triste.« Couvre-toi s’il te plait, si tu veux que l’on parle habille-toi »« Bien Mai...pardon Thomas »Marie se leva alors et passa devant Thomas en baissant les yeux. Elle entra dans la salle de bain en ressortie en portant son peignoir et rassis sur son lit.« Bon écoute ; commença-t-elle ; tu n’es pour rien dans ce qu’il vient de se passer »
« Tu rigoles, tu as vu ce que je t’ai fait ? Comment je t’ai traité ? »« Oui et alors ? C’est de ma faute. Tu ne m’as en rien forcé en quoi que ce soit. Alors effectivement j’avais pas prévu tout ce qui s’est passé, mais j’étais entièrement d’accord. Tu ne m’as pas violé, à la limite ça serait plutôt moi qui t’ai presque forcé. Et puis j’ai tout fait aujourd’hui pour que ça arrive. Tu crois vraiment que j’ai mis ta main sur mon sein par hasard ? Pourquoi je t’ai dit de retirer ton t-shirt par hasard ? Pourquoi crois-tu que j’ai attendu autant de temps dans la salle de bain ? Je savais que tu allais venir, je t’ai même surveillé. J’ai fait exprès d’être dans cette position quand tu es rentré. Une fois cela fait, je n’avais plus qu’à te rejoindre dans la cuisine. Tu pouvais bien sûr me repousser, mais j’ai tenté ma chance».« Mais... », tenta de dire Thomas avant d’être coupé par Marie« Je te dis que ça va, au contraire, ce que tu m’as fait m’a permis de réaliser une chose importante, je suis faite pour être dominée, je suis faite pour être une soumise et toi tu as été mon Maitre et je voudrais que tu le reste. »« Mais enfin, c’est pas possible, tu te rends compte de ce que tu dis. Toi une soumise ? Moi ton Maitre ? Tu n’oublies pas quelqu’un dans cette équation ? Tu te rends compte de ce que l’on vient de faire à Audrey ? Ma femme ! Ta sœur ! »« Je sais bien et je me sens tellement mal qu’en j’y pense, mais que veux-tu ? Cela fait des années que je ne connais pas le plaisir sexuel et j’ai plus joui avec toi en te faisant cette pipe qu’en des années avec Etienne. »
« Que veux-tu que te dises, on ne peut pas continuer ou refaire ça, ce n’est pas possible. Si tu penses être une soumise, très bien pour toi, mais ça sera sans moi »« Mais non s’il te plait, je ne peux faire ça qu’avec toi parce que j’ai confiance en toi. Je sais que c’est pas bien, mais maintenant je ne peux plus revenir en arrière. »« Mais tu te rends compte de ce que tu me demandes ? »« Je sais bien, mais cette révélation fait de moi une femme nouvelle. Je sais bien que ce que je te demande est horrible, j’aime ma sœur, mais que veux-tu, moi aussi je suis perdu. »« Je suis désolé Marie, mais ce n’est pas possible. Si tu veux vraiment être une soumise, je suis sûr que tu trouveras ce qu’il te faut sur Internet, mais moi c’est non »« Mais non s’il te plait, tu pourras faire de moi ce que tu veux, je te serai entièrement dévouée et offerte. »
« Je ne veux rien entendre, ce n’est pas possible. Je m’en vais. »Thomas termina sa phrase et sortie de la chambre de Marie et de son appartement.En sortant de l’immeuble, il se dirigea vers sa voiture, mais se sentant observer il leva instinctivement les yeux vers la fenêtre de la chambre de Marie et l’aperçu à la fenêtre.Elle pleurait, mais cette fois Thomas ne se laissant pas impressionné, se dirigea vers sa voiture, monta dedans et rentra chez lui avec cet énorme poids sur la conscience.
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