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Nouvelle vie, vendeuse en ameublement

Chapitre 1

Hétéro
Je m’appelle Lili. J’ai 24 ans. Petite 1.56m et brune, j’ai de jolis yeux noisette avec une bouche pulpeuse et bien dessinée. Plutôt fine avec de petits seins fermes, les hommes que j’ai rencontrés me flattent souvent à propos de mes fesses assez rondes, et mon visage de poupée.
CHAPITRE 1
Quand j’ouvris la porte du magasin de meubles de luxe dans lequel je venais postuler, je me suis dit : « dans quoi tu t’engages encore ma pauvre fille … ? ». Mais avais-je bien le choix ? Après une douloureuse rupture, je me retrouvais sans rien, plus d’argent, plus d’appart, bref, j’étais retournée dormir chez mes parents comme à la bonne époque. Bien que ma famille soit la plus accueillante du monde, je ne me voyais pas y retourner pour plusieurs mois. Ce job était donc primordial si je voulais rebondir. En attendant que le patron me reçoive, je me promenais dans les rayons. C’est quelque mètre plus tard que je vis au loin un vendeur plutôt mignon. Grand, brun, je distinguais une silhouette plutôt attirante. Qu’est ce qu’il avait l’air sérieux … Ses yeux croisèrent les miens. Une lueur sembla les éclairer. Je détournais le regard. Il m’avait troublé. Dix minutes s’écoulèrent, personne n’était encore venu m’accueillir. Je me permis donc d’aller déranger l’homme qui était en pleine discussion avec ses clients. « Pardon de vous déranger, j’ai rendez vous avec M. Jack, savez vous où je peux le trouver ? »Son visage se rembrunit. Avec un air supérieur et agacé, il m’envoya bouler : «C’’est lui qui vous trouvera. Vous n’avez qu’à patienter, il ne va pas tarder !! ». Je tournais les talons. « Quel con ce type ! » Pensais-je. Bien que sur le coup, son physique agréable me donna des idées mal placées, son caractère m’agaça au plus au point. Je détestais les personnes qui se croyaient au dessus des autres avec un air hautain.
Un quinquagénaire marcha dans ma direction. C’était le directeur du magasin. Il me salua et nous nous installâmes au calme pour passer mon entretien. Une demi-heure s’écoula. Je venais d’obtenir le poste. Je devais commencer dès le lendemain. Heureuse d’avoir réussie, mais inquiète de savoir comment se passeront les prochains jours, je rentrais dormir chez mes parents.
Le matin suivant, je me levais avec une boule au ventre. Et si je n’arrivais pas à m’épanouir à ce poste de vendeuse ? Après tout, qu’avais je a perdre ? Je fonçais à la douche et m’habillais. J’eu du mal à choisir ma tenue, car le patron m’avais bien fait comprendre que l’apparence était importante dans une enseigne aussi luxueuse. Une petite robe blanche moulante, mais classique ferait l’affaire. J’arrivais en avance, et vis le magasin fermé. Je patientais donc dans ma voiture. Au même moment, le jeune vendeur que j’avais vu la veille se gara à côté de moi, et ne me prêta aucune attention. Penaude, je le suivis à l’intérieur. Il se retourna. « Bonjour, moi c’est Khalvin. Tu vas m’aider à ouvrir les grilles du magasin. » Il passa devant en me frôlant, sans dire un mot de plus. Son parfum vint chatouiller mes narines. Je crois qu’à cet instant, je me rendais compte que je n’avais pas eu d’homme dans mon lit depuis plusieurs semaines. Je le suivis en l’observant. Il était plutôt chic dans son costume. Une fois le magasin ouvert, Khalvin vint me proposer un café. « Avec plaisir »lui répondis-je. J’avoue que je fus agréablement surprise. Il revint quelques minutes plus tard avec deux expresso.« Merci, j’en avais bien besoin. » Souriais-je.Il me tendit le gobelet fumant, mais je ne m’attendais pas à ce qu’il soit aussi chaud. Je lâchais le verre de surprise et le café se renversa sur ma cuisse. Je hurlai de douleur. Khalvin courut en direction des toilettes et revint avec un torchon. Je m’asseyais sur une chaise, et il commença à éponger le bas de ma robe, en appuyant fermement sur ma cuisse qui était rouge vif. J’étais gênée.« Ca va ? me demanda-t-il. Tu t’es bien brulée … » Il me fixa étrangement. Je remarquais que sa main était toujours posée sur ma cuisse et que ses doigts caressaient le début de ma robe. Je retirais ma jambe et me levais. Une douche chaleur m’envahit le bas ventre. Je me dirigeais vers les toilettes car je sentais que je n’avais pas que la cuisse qui était rougeoyante, mon visage l’était aussi. Je m’enfermais dans la cabine et m’approcha du lavabo pour me passer de l’eau sur le visage. «Qu’est ce qui te prends ? Râlais-je intérieurement. » J’admets que j’étais confuse entre un sentiment de honte et de désir naissant. Il fallait que je me ressaisisse. Je devais me faire un film. L’homme arrogant était il en train de me séduire ? Impossible. Vu la manière dont il m’avait traité le jour précédent. Il fallait que je fasse attention. Avoir une relation avec un collègue de boulot pourrait me couter mon poste. Puis de toute façon je n’étais pas prête à avoir quelqu’un d’autre. Je sortis de ma « tanière » et la journée continua. Je fus formée par le directeur qui était arrivé une bonne heure après mon petit incident. J’apprenais vite le métier de vendeuse de salon (ce qui n’était pas facile car il fallait beaucoup de méthode et de tchatche pour convaincre un client d’acheter un canapé dans un budget inhabituel à mes yeux. Le soir venu, je fermais le magasin avec Khalvin. Je sentais bien qu’il avait envie de me parler mais il ne dit pas un mot.
Les jours se succédèrent et je commençais à apprécier mon boulot. La vente devenait un jeu. Un midi, alors que je déjeunais dans la salle de pause du magasin, Khalvin s’installa à côté de moi. Il me posa diverses questions, et m’interrogea sur mes centres d’intérêts. A la fin du déjeuner, je le vis hésiter, puis me demanda :« Tu voudrais aller au cinéma voir Transformers 3 ? » Prise au dépourvu, je bredouillais une excuse bidon, mais le remerciait pour l’intention. Ne se laissant pas démonter pour autant, il insista les quelques jours suivants. Je finis par accepter, quoi qu’un peu anxieuse. Le soir même, je le rejoignais pour la séance de 20h. Nous nous installâmes dans une rangée tranquille. Il y avait peu de monde en semaine, et c’était agréable de ne pas être confiné. La lumière s’éteignit et le film commença. Je me pris à espérer que sa main se pose à nouveau sur moi. Mais il semblait concentré sur le film. Je me blottissais alors bien au fond de mon fauteuil. Soudain, je le vis bouger légèrement. Sa main s’approcha plus près de mon accoudoir, puis après quelques minutes, dans un mouvement confiant, il posa sa main sur ma cuisse. Je frissonnais. J’étais consciente que si je ne montrais aucun signe de désaccord, tout serait alors différent. Je sentais sa main chaude qui, du bout des doigts, effleurait mes sens. Mon cœur palpita un peu plus fort. Ses doigts caressaient ma peau. A force de faire jouer ses doigts sur ma chair, il sentit qu’il arrivait au début de ma robe. Ne voyant aucune résistance de ma part, ses doigts se glissèrent sous le tissu de ma tunique. Sa main était douce, et je savais que seulement vingt centimètres séparaient ses doigts du début de ma petite culotte. Mon sexe, en particulier mes lèvres commencèrent à se gonfler de désir. Je tournais la tête vers lui, et Khalvin avança sa bouche vers la mienne. Dans un souffle, nos bouches s’entrecroisèrent, et nos langues se rencontrèrent avec docilité et passion. Un frisson parcourut mon corps. Sa main franchit alors la frontière interdite, et ses doigts effleurèrent mon sous vêtement avant de glisser sous le tissu. Il toucha avec langueur mes lèvres qui s’humidifiaient. Il me faisait papillonner de bonheur. Je devinais l’excitation qui grandissait en lui. La bosse qui se formait au travers de son pantalon de costume le trahissait. Ses doigts caressèrent mon clitoris qui grossissait de plaisir. L’effervescence me gagnait. J’avais envie de faire l’amour et de sentir son sexe en moi. J’avais l’air d’une petite cochonne et je ne m’inquiétais nullement des gens dans la salle, mon envie prenant le dessus sur la peur d’être vus. Il s’arrêta soudainement pour ma plus grande frustration. D’un regard suppliant, je lui demandais : « que se passe-t-il ? ». Il se leva. Mon cœur s’emballa, je ne comprenais pas sa réaction. Il me tendit la main, et me dit : «Suis-moi. »

*Fin du chapitre 1Soyez indulgents, c’est la première fois que j’écris une histoire ;)
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