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La nuit magique

Chapitre 1

Inceste
Un texte qui vient compléter " La croisière". merci à Sergueï, qui m’a aidé à le rendre acceptable.

Cet été-là…
Marc revient en petites foulées de son jogging matinal accompagné de Max, son labrador.
La journée s’annonce très chaude. Il verse de l’eau dans la gamelle de son chien puis passe se rafraîchir sous la douche extérieure avant de plonger nu dans la piscine et de faire quelques longueurs. C’est le dernier été qu’il passe dans cette maison achetée au début du mariage avec son ex-femme. Il l’avait conservée au moment du divorce, mais il souhaitait maintenant s’en séparer car il avait trouvé une maison dans le Sud-Ouest qui correspondait beaucoup mieux à ses envies.
Marc ressort de la piscine, se sèche et, toujours nu, commence à installer les affaires pour la journée. Il place les matelas sur les transats, déroule le store, ouvre les volets pour aérer la maison, puis il va dans la cuisine pour préparer le petit déjeuner. C’est le rituel du matin. Un rituel à peu près identique depuis qu’il est arrivé dans sa maison, huit jours auparavant.
Ayant entendu du bruit au premier étage, il programme la cafetière et fait chauffer l’eau pour le thé. Peu de temps après il voit apparaître sa fille Lucie, nue, qui tient dans ses bras Charlotte, sa petite-fille vêtue simplement d’une couche. Lucie s’approche et embrasse son papa tandis que Charlotte s’accroche au cou de son grand-père.
— Tu as bien dormi, ma chérie ?— Ça va. Il faisait un peu chaud, et Charlotte est sortie de son lit au milieu de la nuit pour venir vers moi ; il a fallu que je me lève pour la recoucher.
En disant cela elle fait les gros yeux à sa fille qui la regarde innocemment.
— Tu veux prendre le petit déj ?— Attends, je vais donner une tétée à ce petit monstre et on déjeune ensemble. Tu as bien fermé la grille de la piscine ?— Évidemment…
Lucie sort sur la terrasse et s’assied sur un fauteuil bas. Marc pose sa petite-fille, et dès qu’elle touche le sol, elle file à quatre pattes vers sa maman et commence sa tétée.Marc prend son gros appareil numérique et commence à faire des photos ; depuis le début de ces vacances, il prend facilement une centaine de photos par jour avec comme sujet principal Lucie et Charlotte.
— Tu n’en as pas marre de nous mitrailler ?— J’ai acheté ce nouvel appareil rien que pour cela.— Tu sais qu’il y a d’autres sujets au monde que Charlotte et moi ?— Je ne crois pas, non.
La fille et le père échangent un regard complice. La nudité ne leur pose aucun problème car durant sa petite enfance, Lucie a passé ses vacances dans des lieux naturistes et a vécu très naturellement avec ses parents – puis avec son papa – nus sans que cela ne porte à confusion.
Une fois la tétée terminée, Lucie pose Charlotte sur le carrelage et la petite file vers le tas de jouets qui peut l’occuper pendant des heures. Tout en la surveillant, Marc et sa fille vont s’asseoir pour partager le petit déjeuner. Il parle de la journée, des courses au marché voisin, du tennis l’après midi.
— Je vais sortir ce soir, papa.— Bien sûr, ma puce. Tu vas rejoindre des amis ?— Non, je vais aller en boîte pour draguer ; j’ai envie de faire l’amour.— Oui, bien sûr, tu as raison.— Si tu as envie de sortir un soir, ne te gêne pas pour moi, papa.— Merci pour ta permission, ma chérie. Je le ferai peut-être, mais je profite de vous deux.
Marc n’est pas surpris du désir de sa fille de sortir pour trouver un amant ou une amante : pour eux, la sexualité n’a jamais été un sujet tabou. Les relations entre Lucie et sa maman n’ont pas toujours été très bonnes, Lucie ne trouvant pas l’écoute qu’elle espérait auprès d’une mère tournée essentiellement vers elle-même, et c’est donc naturellement qu’elle avait abordé avec son papa des sujets, mêmes intimes. Marc et elle avaient donc parlé en toute franchise de sexualité, du plaisir.
Lucie a toujours fait preuve d’un caractère bien trempé, ce qui explique sans doute les relations tendues avec sa maman. Elle écoute les conseils mais les suit très peu. Elle a toujours eu un tempérament réservé ou secret, mettant ses parents devant le fait accompli, en l’imposant comme une évidence. Encore adolescente, elle avait demandé à son papa si elle pouvait ramener une copine pour le week-end, ce que Marc avait accepté après accord des parents de la jeune fille. Le soir, il avait entendu des gémissements et des cris parfaitement explicites. Et tout le week-end, Lucie avait clairement manifesté du désir pour sa copine par des gestes de tendresse devant son papa. Marc avait compris que Lucie avait d’une certaine manière affirmé son indépendance sexuelle. Depuis ce jour, elle vit sa sexualité avec beaucoup de liberté et taquine parfois son père avec des « J’ai hérité de ton goût immodéré pour la baise, papa ! »
Marc débarrasse la table tout en proposant des idées de menu à Lucie. Au début des vacances, elle est arrivée avec la ferme intention d’apprendre à cuisiner. Il faut reconnaître qu’elle a montré autant de bonne volonté que d’incapacité à progresser ! Elle a donc lucidement décidé de laisser son papa s’occuper de ce domaine-là.Lucie observe son père qui va et vient de la cuisine à la terrasse, rangeant les affaires, dressant la liste des courses à réaliser ; elle se mordille la lèvre rêveusement.
Marc part faire les courses, laissant Lucie jouer avec sa fille dans la piscine.
— Tu appelles Max ? Il va vouloir me suivre.
Lucie siffle le chien qui vient se coucher sur la terrasse près de Charlotte, qui aussitôt commence à jouer avec les oreilles du chien sans qu’il manifeste par des grognements un quelconque mécontentement.
Marc descend en vélo jusqu’au petit marché. Il repense à ce que lui a dit sa fille : c’est vrai que le manque de relations sexuelles commence à lui peser. Il pourrait inviter une amie ; Lucie ne s’en offusquerait pas. Mais il apprécie ces moments avec sa fille et sa petite-fille, et il préfère se caresser matin et soir plutôt que de briser ces instants de partage avec elles.
Le repas du midi est un délice, puis c’est l’heure de la sieste de Charlotte. Cette vie un peu monotone plaît aussi bien à Lucie qu’à son papa : cela leur permet de partager de longs moments où ils peuvent discuter à cœur ouvert. Comme toujours, Lucie a beaucoup de projets, et Marc est en train de monter un nouveau programme qui lui tient à cœur. Ils vivent tous les deux en symbiose, nus, sans gêne ni fausse pudeur.
La fin de l’après-midi est consacrée à un long match de tennis ; Charlotte reste à jouer dans sa poussette pendant que sa maman et son grand-père transpirent et tapent dans la balle. De retour à la maison, Lucie va se doucher et se changer ; elle passe une jolie robe très sexy. Elle est magnifique lorsqu’elle sort.
Les jours passent ainsi, apparemment monotones. Le programme est chaque jour plus ou moins le même. La chaleur de l’été crée une torpeur qui paraît arrêter, figer le temps. Mais sous cette surface si calme, quelque chose se passe ; comme un volcan endormi qui ne demande qu’à exploser.
Marc en est conscient. Il sent remonter en lui le désir pour sa fille qu’il voulait enfouir. Trop lucide sur ses désirs sexuels, il avait senti, au fur et à mesure que sa fille devenait femme, que leur complicité se renforçait ; il éprouvait un désir charnel pour elle qu’il avait volontairement repoussé. Il devrait aller draguer et baiser pour évacuer ce trop-plein d’envies, mais il ne le veut pas. Il préfère rester face au désir qu’il éprouve pour sa fille.
Isabelle en est consciente ; c’est elle qui a proposé ces vacances à son père. Ils pourraient sortir, visiter des sites remarquables et des musées, mais elle lui a demandé de rester entre eux, comme retirés du monde. Elle est sortie deux fois. Les deux fois, elle a baisé dans des toilettes ou dans les voitures de ses amants, enchaînant plusieurs moments de sexe intense. Elle en est sortie satisfaite mais, de retour à la maison, elle a retrouvé les mêmes interrogations. Adolescente, puis jeune fille, elle était amoureuse de son papa. Devenu femme, elle a mis sous le sceau de la complicité et de la proximité le désir latent qu’elle ressentait pour lui.
Au fur et à mesure que les jours passent, Isabelle et Marc se retrouvent face à ce désir commun, jamais exprimé, toujours repoussé.
C’est une nuit, « la nuit magique », que le volcan s’est fissuré.
Les pleurs de Charlotte ont réveillé Marc. Il attend un peu, puis se lève pour voir si Lucie a besoin de quelque chose ; il trouve la mère portant la fille qui pleure dans ses bras.
— Tu veux quelque chose ?— Je ne sais pas trop. Je l’ai changée, je lui ai proposé le sein, mais elle continue de pleurer.— Les dents, peut-être ?— Oh, tu crois ? Tiens, prends-la, j’ai un truc dans ses affaires.
Marc berce un peu la petite, puis Lucie revient et donne des granules homéopathiques à sa fille.
— Va te recoucher, Lucie ; je vais la bercer le temps qu’elle s’endorme.
Marc déambule dans la chambre puis descend marcher dehors en tenant Charlotte dans ses bras. Peu à peu, les pleurs se calment et la petite glisse dans le sommeil.
Il remonte dans sa chambre ; Lucie l’y attend dans la pénombre : Marc dort toujours les volets grands ouverts, et la pleine lune éclaire le lit.
— C’est bon, elle s’est rendormie. Tu n’arrives pas à retrouver le sommeil ? Je te préviens : tu es trop grande pour que je te berce !— Papa, viens là…
Marc s’assied dans son lit face à sa fille.
— Tu as envie de parler, ma puce ?— Non.
Le silence est profond ; le visage de sa fille impénétrable. Marc se mord les lèvres ; il se sent pris par un sentiment de panique.
— Il faudrait qu’on parle, Lucie.
Le silence les enveloppe.
Marc attire sa fille ; elle vient se lover contre lui. Elle prend la main de son père, embrasse le bout de ses doigts, puis elle pose la main sur son sein. Lorsqu’elle lève son visage, son père l’embrasse. Leur baiser devient très vite enflammé. Marc tient dans ses bras une femme très belle, sa fille. Ils s’embrassent passionnément. La main de l’homme presse le sein de sa fille, joue avec le téton, faisant couler quelques gouttes de lait.
Les corps se fondent, se frottent. Lucie embrasse son père dans le cou, le mordillant, le léchant. Elle tète le mamelon de son père. Ses ongles griffent la peau bronzée. Marc gémit ; il veut s’écarter de sa fille pour pouvoir se repaître d’elle, mais elle descend peu à peu vers sa queue. Il bande comme un fou. Elle prend la verge, la frotte sur son visage, passe de petits coups de langue sur toute la hampe comme si elle voulait s’approprier le membre paternel.
Marc, les cuisses ouvertes, se laisse caresser, masturber, sucer par la bouche avide de sa fille. Elle lui embrasse les couilles ; un léger duvet que Marc n’a pas cherché à raser depuis le début des vacances les recouvre. Lucie hume cette odeur, presse son visage contre les bourses gonflées. Il réussit à faire pivoter sa fille et s’enfouit dans l’odeur de son sexe. Elle coule beaucoup… Sa fente est totalement lisse et ses lèvres bien dessinées, épaisses, et quand Marc colle sa bouche contre la vulve de sa fille, un premier cri emplit la chambre. Ils se sucent mutuellement, et le premier orgasme les prend ainsi, emplissant Lucie du foutre épais et abondant de son père.
Ils ne sont pas apaisés par cette première jouissance ; ils ont envie de s’explorer les recoins les plus intimes. Lucie lèche les pieds de son père, engluant de salive chacun de ses orteils. Elle se frotte de toute la surface de son corps pour faire rebander la verge ramollie, pour pouvoir enfin sentir son papa au plus profond de son ventre…
Elle l’a chevauché, jouissant plusieurs fois sur sa queue, pressant les mains de son père sur ses seins pour qu’il maltraite en les bouts. Ils se sont donnés et ils se sont pris sans retenue, jouissant de chaque caresse, exprimant leur plaisir par des cris, des mots et des gestes. Marc a joui deux fois, puis il a su garder sa queue raide pour baiser sa fille. Lucie, elle, a multiplié les orgasmes.
Le matin les trouve enlacés ; ils n’ont pas dormi. Ils s’embrassent avec de doux baisers.Le premier appel de Charlotte les rappelle à la réalité. Lucie sourit à son papa.
— Tu peux la changer ? Je vais prendre une douche avant de lui donner la tétée.
Marc passe un peignoir et va lever Charlotte qui gazouille de petits « maman, maman… »Après l’avoir changée, il ramène la petite ; Lucie, douchée, est assise dans le lit où ils ont passé la nuit. Elle sourit à son père.
Marc descend. De l’eau pour Max, une douche, quelques longueurs de piscine. Il se sèche. Il commence à installer les affaires pour la journée. Il dispose les matelas sur les transats.Il déroule le store.Il ouvre les volets pour aérer la maison. Puis il va dans la cuisine pour préparer le petit déjeuner.
Mais le rituel a changé : quand Lucie descend, elle embrasse longuement son papa sur la bouche.
Lucie a appelé sa maman qui se plaignait de ne pas assez voir sa petite-fille ; elle lui a confié Charlotte pour quelques jours. Elle veut être seule pour pouvoir explorer, baiser, s’offrir, donner, recevoir.
Ce sont les vacances des nuits magiques et des journées câlines.Les vacances de baises sans retenue, les vacances où tout commence.
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