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Nuit d’un privé à Boston

Chapitre 1

Trash
Détective privé à Boston, croyez-moi, c’est pas une sinécure ; je cherchais Mr Coyote pour lui remettre une assignation à comparaître, mais ce salopard était plus glissant qu’une anguille. Ce soir, je m’étais juré de le trouver.
18 HEURES.Le taxi s’est arrêté à côté de moi et j’ai adressé un clin d’œil au chauffeur, une jolie brune dans la trentaine qui me gratifia d’un sourire radieux en retour. En se penchant, elle m’exposa sciemment sa poitrine volumineuse par l’ouverture de son chemisier un peu trop déboutonné, car je vis les globes jumeaux largement dévoilés, presque jusqu’aux aréoles.
Moi, c’est Jeremie, vingt-cinq ans, dans les deux mètres sous la toise pour cent kilos de muscles, brun, yeux bleus ravageurs, fossette au menton, et d’autres sur les joues quand je souris. Irrésistible, je les fais toutes craquer. Je me suis installé au centre de la banquette arrière pour pouvoir mater mon joli chauffeur. Dix minutes après, je savais qu’elle était mariée mais insatisfaite, et dix minutes après, Angela-le-joli-chauffeur se garait dans un coin de parking souterrain, arrêtait le compteur, et se tournait vers moi avec un regard langoureux.
— Alors, beau brun, comment tu me trouves ?— Sors, les mains sur le capot et tu vas le savoir, ma petite salope.
Je l’ai prise contre la calandre de son taxi ; sa jupe retroussée et sa culotte baissée , je l’ai défoncée de plus en plus fort, à la fin elle criait tellement je la démontais, puis je l’ai sodomisée sans lui laisser le temps de réfléchir, lui explosant la rondelle avec mon mandrin de vingt-trois centimètres (et demi, j’y tiens) ; elle a commencé à gueuler, mais je l’ai tellement ramonée qu’à la fin elle ruisselait de partout, alors je lui ai rempli le cul d’un torrent de foutre bien chaud. Après, je l’ai fait mettre à genoux pour qu’elle me nettoie le braquemart, puis nous sommes repartis.
Elle s’est assise en biais pour conduire tellement son cul était en feu, mais elle m’a donné une carte de visite pour que je la rappelle quand je voulais, et elle ne m’a pas fait payer la course. Pour moi, autant d’économisé avec un peu de psychologie.
19 HEURESJe suis entré dans l’immeuble de bureaux qui s’était pratiquement vidé. La réceptionniste était une jeune black pourvue d’une poitrine généreuse ; très généreuse même. Pamela, c’était inscrit sur son sein gauche. Je l’ai questionnée sur les occupants de l’immeuble en matant sans vergogne sa poitrine, elle a ri, et j’ai cru la voir rougir, ce qui n’était pas évident, mais elle avait une bouche à tailler des pipes et ça c’était évident ; j’ai commencé à bander comme un malade. Je sentais bien que je ne la laissais pas indifférente. Derrière elle, il y avait une porte donnant sur une petite salle avec plein d’écrans et d’enregistreurs de DVD.
Elle m’a ouvert et dès que j’ai refermé la porte sur nous, a enlevé tous ses vêtements : tee-shirt blanc sans soutif, jupette noire et string noir. Epilée, beau cul et gros seins, c’est elle qui m’a taillé la pipe dont j’avais envie, au lieu de la taxigirl un peu plus tôt. Je l’ai forcée à faire une gorge profonde, elle se bavait dessus mais s’appliquait. Comme quoi il y a encore de la conscience professionnelle de nos jours. Je lui ai rempli la bouche de sperme qu’elle a avalé difficilement tellement je l’avais arrosée.
— Bien, ma petite pute, tourne-toi et écarte les fesses, je vais t’enculer jusqu’à l’os, tu vas en redemander.— Doucement, vous êtes vachement gros. Attention ! Ah !
J’avais habilement craché sur sa rondelle avant de forcer, et ma grosse bite était rentrée comme dans du beurre. Pamela devait avoir l’habitude ; alors j’y suis allé franco, j’ai pris ses hanches avant de la tringler à grands coups de reins, lui faisant apprécier toute ma longueur. Mon ventre claquait sur ses fesses, elle criait et me demandait d’y aller doucement. Mais j’ai accéléré, au contraire, et elle a beuglé quand je me suis vidé, lui mettant tellement de sperme qu’après il lui dégoulinait sur les cuisses et jusque dans ses chaussures ; sans rien dire, les yeux brillants, elle s’est agenouillée pour lécher ma queue avant de la ranger soigneusement dans mon calbute. J’ai noté son adresse avant de partir sur un clin d’œil. On sait jamais, si j’ai une petite envie en passant devant son immeuble.
20 HEURES
J’ai pris l’ascenseur jusqu’au 12ème, et je suis entré sans frapper dans les bureaux de la ACME Corporation (fournitures) ; une secrétaire blonde a levé les yeux sur moi, surprise, mais rassurée quand elle a vu mon sourire numéro 17. Je lui ai montré mon badge de flic (faux) et me suis penché sur son bureau après avoir admiré ses longues jambes fines dont je me serais bien fait un cache-nez. Accoudé, j’ai plongé dans ses innocents yeux bleus avant de lui faire un nouveau sourire, le n° 3 cette fois, avec râtelier trente-deux dents (et deux dehors).
— Police, brigade financière. Ann ? Joli prénom ! Et joli brin de fille ; tu as quel âge ?— Dix-neuf ans, monsieur.— Bon, lève-toi et écarte les bras, il faut que je te fouille pour savoir si tu as un micro ou une arme.— Ah bon ? Je n’en ai pas… Bon, d’accord…
Une vraie blonde ! Je l’ai palpée sous toutes les coutures, finissant la main dans son slip avec deux doigts dans sa chatte bien baveuse. Elle couinait et respirait fort, alors je l’ai couchée sur son bureau, les seins écrasés sur le plateau de verre, j’ai écarté sa culotte et me suis planté d’un coup bien profond, lui arrachant un cri de surprise ; et de ravissement. Elle attendait que ça, et moi j’aime rendre service.
Sa chatte était bouillante, un petit marécage où ma bite se sentait bien, serrée et au chaud. Je l’ai ramonée un long moment avant de changer de trou malgré ses plaintes. Son petit cul était étroit, mais avec mon traitement de faveur il ne l’est pas resté longtemps. Elle a commencé à jouir en essayant de retenir ses cris, et à la fin je l’ai retournée pour pouvoir lui inonder la gueule de rasades de crème bien épaisse qui lui ont recouvert le visage. Elle a léché ma queue avec entrain, puis m’a noté son adresse sur un bout de papier. Pour la deuxième couche sûrement.
21 HEURESJe lui ai fait un baiser sur la joue et lui ai fait signe de partir et de rentrer chez elle. Son patron serait surpris, me disais-je. Mais quand j’ai ouvert la porte du DG, il n’était pas là. Par contre, une femme en noir photographiait des documents sortis d’un coffre mural ouvert. Jessica, ma collègue de BDSM (Bureau de Détectives Spécialisé en Matrimonial) ; une fouille braguettes en somme. A ce propos, elle est super canon, fine et athlétique, trente-cinq ans mais super bien foutue ; je lui en aurais donné seulement trente-quatre, c’est vous dire. Elle me regarda en rigolant.
— Alors, Jeremie, à la bourre comme d’hab, trop occupé à sauter les secrétaires, si j’ai bien entendu.— Tu sais qu’il n’y a que toi qui compte, ma puce adorée.— Et bien prouve-le, vantard. Oh, bon sang, l’engin que tu te trimbales, c’est du lourd ! J’en avais entendu parler, mais à ce point !
Jessica s’est déshabillée en un tournemain ; petits seins, joli cul, elle s’est précipitée pour avaler ma bite bien raide, avalant tout jusqu’aux couilles et me regardant de ses yeux de biche. J’ai pris ses oreilles pour lui baiser la bouche à grand coups de queue, elle en redemandait, la garce ! Je l’ai jetée à genoux sur un fauteuil, et je lui ai défoncé l’œillet d’une poussée puissante, ma bite s’est plantée à fond. J’ai plongé trois doigts dans sa chatte, elle mouillait comme une vache, alors j’ai changé de trou. Plusieurs fois, je suis passé du cul à la chatte, lui arrachant des cris énamourés, avant de lui remplir la matrice de plusieurs grosses rasades de sperme. Il a fallu que je lui claque les fesses pour qu’elle daigne lécher ma queue et la nettoyer comme il faut.
Puis je lui ai pris ses vêtements avant de me casser sous un torrents de supplications et d’injures. Je lui ai laissé sa veste et son sac à main, je ne suis pas une brute. Pour son adresse, je la connais. Mais j’attendrais qu’elle se calme pour lui refaire un doigt de cour ; je verrais demain matin : café, donuts et sodomie, ça me mets en train, moi.
22 HEURESUn autre taxi m’a déposé devant la maison du DG ; mais le chauffeur était un Pakistanais de soixante-dix ans au moins, alors je ne l’ai pas entrepris. En plus il était moustachu. J’ai mes limites. J’ai payé en petites coupures et ai remonté l’allée dallée ; j’ai sonné, une jolie portoricaine a ouvert, l’air inquiet quand je lui ai montré mon badge de flic. Je suis entré dans le salon richement meublé mais désert. Où était ce foutu patron ? J’ai décidé de tirer les vers du nez de la petite chicano. Je me suis assis et lui ai fait signe de s’asseoir sur mes genoux, elle a obéi en rechignant mais n’a pas osé regimber quand j’ai glissé la main sous sa courte jupe noire.
Elle a obligeamment écarté les cuisses, me laissant caresser sa fente libre de toute culotte. Cinq minutes plus tard, je la culbutais sur la table basse en bois vernis, ma grosse queue s’est plantée sans difficulté dans sa chatte accueillante. Encore une habituée des amours ancillaires ! Je l’ai pistonnée vigoureusement jusqu’à ce qu’elle appelle sa mère en espagnol, puis j’ai changé d’orifice, lui défonçant le cul, qu’elle avait bien accueillant ; elle a crié un peu pour la forme, mais après elle a écarté ses fesses et s’est cambrée pour que j’aille bien profond. Y a pas à dire, mais du petit personnel bien formé, c’est classe. Alors je lui ai démonté le cul centimètre par centimètre avec mon gourdin, sûr qu’elle pourrait plus s’asseoir les deux jours qui viennent.
— Bon, ça suffit, je vais me finir dans ta bouche, à genoux, gorda puta, et fais-moi briller la queue !— Si, senor...
Ah ! Vous voyez que de connaître les langues étrangère, ça peut toujours être utile ! Elle s’est agenouillée pour me pomper le dard, je le lui ai fait avaler jusqu’aux couilles avant de lui remplir la gueule de sperme, il y en avait trop pour elle, ça lui ressortait par les trous de nez, elle toussait quand je l’ai laissée pour monter à l’étage en lui faisant signe de la fermer. Fallait pas déranger les voisins.
23 HEURESJ’ai commencé à ouvrir les portes au hasard, la troisième était une chambre, et une petite blonde dormait, les seins à l’air, la fille du DG, Ingrid, dix-huit ans. Mon sang n’a fait qu’un tour, ma queue s’est mise au garde-à-vous dans mon caleçon double contenance ; je me suis déshabillé rapido et j’ai tiré doucement le drap : elle était nue. J’ai commencé à lui bouffer la chatte ; une vraie blonde, elle avait une fine fourrure qui ne cachait rien de ses lèvres roses ; elle s’est éveillée, a poussé un cri, mais je lui ai fait un clin d’œil en continuant à lécher et elle a écarté ses cuisses encore plus. Pas farouche, la souris. Dès qu’elle a été bien mouillée, je lui ai montré ma matraque raide, elle a ouvert de grands yeux émerveillés. Et aussi un peu inquiets.
— Allez doucement, elle est énorme, vous allez me déchirer.— T’inquiètes, la chaudasse, je vais te faire décoller si vite que tu appelleras ta mère.
Et je l’ai baisée façon western, par tous les trous ; elle taillait des super pipes, son cul était accueillant, je l’ai défoncée en changeant, de cul à chatte jusqu’à ce qu’elle grimpe aux rideaux, je me suis vidé deux fois, lui remplissant le cul de sperme la première fois puis lui faisant un ravalement de façade tel qu’elle pouvait plus ouvrir les yeux. Puis j’ai pris une douche express ; quand j’ai quitté la chambre, Ingrid léchait ses doigts couverts du sperme qu’elle récoltait sur son visage. Elle m’a fait un sourire comblé, me faisant comprendre que je pouvais revenir quand je voulais ; je l’ai gratifiée en retour de mon célèbre mouvement de sourcils piqué à Magnum.
MINUITDeux portes plus loin, une autre chambre où m’attendait une fille nue, roulée comme une gitane, BCBG (beau cul belle gueule) ; Anita, aussi brune que sa sœur est blonde. Peau mate satinée jusqu’au pubis épilé.
— C’est toi qui a fait tout ce raffut chez Ingrid ? Elle a l’air d’avoir aimé. Il te reste un peu de jus ?— T’en fais pas, pour une belle gosse roulée comme toi, j’ai toujours ce qu’il faut !— Bon sang ! Tu es monté comme un cheval ! Viens, mon beau mec !
Elle a écarté les cuisses pour me montrer son bel abricot juteux qu’elle a fourré de trois doigts joint avant de me les montrer : luisants de mouille.
Cette souris là, elle en redemandait, et je l’ai démontée grave ; la chatte que j’ai distendue tellement qu’elle aura plus besoin de péridurale pour accoucher, le cul ensuite, puis la gorge en dernier pour la faire taire. Je me suis fini dans son cul qui s’est même plus refermé tellement j’y étais allé fort. Anita jouissait sans arrêt, la salope. Elle demandait que j’y aille plus fort.
Moi, vous me connaissez, je sais pas résister aux femmes. Je lui en ai mis une deuxième couche si épaisse sur la gueule qu’elle avait du mal à parler après. Je l’ai quand même interrogée, conscience professionnelle oblige. Faut jamais mélanger le plaisir et le travail.
— Tu sais pas où est ton père ? J’arrive pas à mettre la main dessus.— Il doit être chez sa pouf, je vais te donner son adresse, je la lui ai piquée. Si tu reviens me voir.— Une chaude du cul comme toi, je vais pas t’oublier.
1 HEUREJe suis arrivé à l’adresse indiquée, une petite maison de plain-pied à dix minutes de route. Il y avait encore de la lumière, j’ai sonné. Une petite asiatique est venue ouvrir, toute mimi en kimono de soie. Ces gonzesses là, je suis infoutu de leur donner un âge ; entre vingt et quarante ans probablement. Je lui ai montré mon badge. Çui-là, il sert souvent et ça marche à chaque fois.
— Mr Coyote est ici ?— Non, je suis seule.
Je suis entré en force et elle a refermé en silence derrière moi. J’ai fouillé la maison, vite fait, personne. J’ai toisé la jolie chintok en m’asseyant sur le lit.
— Comment tu t’appelles ?— Kim, monsieur.— Approche, viens ici, ma jaune amie.
Je l’ai prise dans mes bras, j’ai glissé une main sur ses petites fesses de moineau. Elle n’a pas réagi ; si elle n’avait pas sa green cart (carte de séjour), ça se comprenait. Elle était toute menue, sans poitrine, les hanches à peine marquées, aucun poil sur le corps, j’ai plongé deux doigts dans sa cramouille chaude et humide. Elle réagissait vite, en habituée du mâle, déboutonnant ma chemise toujours sans dire un mot. Pas sauvage, le petit rouleau de printemps. Je lui ai roulé une pelle baveuse et une minute après je plongeai ma grosse queue dans sa chatte trempée et bien serrée. Je la lui ai élargie sévère avant de m’attaquer à son cul. Elle a couiné dans sa langue, j’ai bien compris qu’elle la sentait passer. Et pourtant, je vous jure que ce qu’elle disait, je sais pas si quelqu’un le comprendrait tellement ça paraissait compliqué. Peuvent pas parler comme nous ?
Mais y avait pas à dire, elle était accueillante comme savent l’être les filles de son pays. Vite fait, elle n’a plus protesté, mais s’est offerte comme une pute en chaleur à ma vaillante lance ; j’ai pu l’embrocher encore plus profond, et elle en redemandait. J’étais si excité par ses cris aigus de joie que je lui ai rempli le cul de semence, ça débordait de partout quand je suis ressorti. Elle a tenu à me nettoyer la bite avec sa langue ; la culture orientale, il y a que ça de vrai.
2 HEURESEcœuré, je suis rentré chez moi. Foutue journée ! Juliet dormait, je me suis déshabillé, j’ai pris une bonne douche et me suis collé contre elle, caressant ses hanches et ses seins pointus. Elle a frémi et s’est tournée vers moi avec un regard ensommeillé. Jolie comme un cœur ; vingt-quatre ans, blonde aux yeux verts, elle travaillait comme réducteur de tête dans un cabinet médical ; une chaude, toujours prête à se faire fourrer.
— T’es rentré, mon loup… Tu as trouvé ton type ?— M’en parles pas, la galère ! Je me suis cassé le cul à le chercher, rien, évaporé. C’est crevant, c’est un boulot où il faut payer de sa personne.— Oui, et tu l’aimes, ce métier, je sais que tu te donnes à fond…— Allez, taille-moi une bonne pipe, ça me détendra. Après, je m’occuperai de tes fesses, ma belle, j’ai les couilles pleines, tu vas prendre cher…
Juliet, elle taille des pipes comme une pro, et elle aime ça. Une vraie essoreuse de burnes. Elle m’a fait exploser en huit minutes montre en main et a dégluti un plusieurs fois, se régalant de tout le bon jus de couilles que je lui offrais. Puis je l’ai baisée par tous les trous, couchés, debout, elle jouissait sans arrêt, je lui ai rempli la matrice en rasades tellement puissantes qu’elle a failli s’évanouir, puis je l’ai enculée, elle a l’habitude avec moi et elle aime ça, la salope ! Je lui ai fait une démonstration de marteau-piqueur qui l’a fait grimper aux rideaux puis elle a eu droit à une bonne éjac faciale genre masque de beauté bien épais. Après, je suis allé pisser et je lui ai rapporté une lingette pour son visage.
Moi, vous me connaissez, je suis la délicatesse et la courtoisie même avec les femmes.
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