...Avec le retour des beaux jours, ma mère reprend ses habitudes de détente préférée.Elle est étendue, totalement nue, sur l’un des transats du jardin, en plein soleil, une paire de lunettes noires sur le nez, elle fume une cigarette. Je la sens heureuse de pouvoir lézarder sous un ciel sans nuages, chauffée par les premiers rayons du printemps: _Viens me passer de la crème, Freddy. Je suis délicat, doux et très caressant avec elle. Le visage, les jambes, le ventre et la poitrine.Je l’enduis d’un baume gras et protecteur et je me plais à malaxer avec une volupté non dissimulée ce corps parfait, ferme et si désirable que la souffrance habituelle qui m’est imposée en devient bonheur. Elle se laisse faire et apprécie visiblement mon travail manuel qu’elle savoure au point de s’abandonner dans la somnolence et la grisante mollesse de ces instants délicieux. Quelle mère de famille respectable n’a jamais rêvé de se faire masser par son propre fils? Je m’occupe si bien d’elle qu’elle se retourne sur le ventre, finalement: _Le dos et les fesses, maintenant...
Je m’applique aussi à lui masser les cervicales, la nuque et les épaules. Totalement relaxée, elle se sent désireuse de caresses plus intimes. Elle écarte maintenant les cuisses. C’est une invite à lui palper la fente. J’ai les doigts huileux, mais ce n’est pas la cause première des introductions si faciles de mon index associé au majeur. Elle est trempée et ouverte à souhait, la garce! Je lui fouille le vagin béant et ça glisse comme dans une motte de beurre. Si j’osais, je pourrais presque la fister jusqu’au poignet! Je sais pourtant qu’elle préfère que je me concentre sur une zone de son intimité beaucoup plus érogène. Je dégage ses lèvres vulvaires, tendrement, et je me positionne acrobatiquement de façon à pouvoir lui lécher, lui sucer son clitoris. Je la sens se cambrer sous mes baisers, elle a des petites contractions corporelles et émet des gémissements sourds, par intermittence. Elle a, désormais, les jambes très ouvertes. Elle s’est, d’instinct, placée, les deux genoux qui reposent de chaque côté du transat,de manière à m’exposer entièrement sa croupe appétissante et, ainsi, faciliter mon cunnilingus incestueux si délectable pour nous deux. J’en oublie le temps et mon existence, entièrement absorbé par le souci de lui procurer les meilleures sensations: _Petit salaud! Tu vas me faire....Aaoooh!(...) Oooh, puutain! (...) Ouuiii !
De précieuses secondes de contentement absolu où j’ai la joie immense d’absorber ses flots de jute en lui bouffant la chatte comme un assoiffé à la fontaine de vie.... _Laisse-moi tranquille, maintenant. Je veux bronzer un peu...Allez, dégage! T’en as assez profité comme ça pour aujourd’hui, ordure! Va plutôt préparer à bouffer pour ton père qui ne devrait pas tarder à rentrer....
