...Au bord de la piscine, je me fais défoncer le cul à la chaîne et à quatre pattes par une bande de blacks invités par papa. Ils me partouzent brutalement et se refilent mes trous comme on se prête une poupée gonflable. J’endure des gorges profondes sauvages et très énergiques, en série. J’ai bien du mal à reprendre mon souffle entre deux gros boudins noirs qui me labourent le palais et la glotte, impitoyablement. Leur agressivité bestiale est sans limite et je les vois prendre leur pied à me traiter comme un paquet de viande à tringler par les deux orifices boursoufflés, sans aucune retenue. Mes parents, amusés, font des allers retours dans la piscine. Je les entends rire et s’embrasser, excités tous les deux par le spectacle qui ressemble beaucoup à un viol collectif organisé dans leur jardin. De temps en temps, maman sort de l’eau pour prendre quelques photos hard de son fils qui s’en prend plein le cul à en chialer tant les types sont bien bâtis...Le plus grand du groupe, qui est aussi le plus âgé, possède un engin épais qui, au repos, lui arrive aux genoux. Il se fait un malin plaisir à forcer mon trou anal bien graissé pour se le rentrer jusqu’aux couilles! Je ne peux serrer les dents sous les assauts violents et insistants car j’ai toujours aussi la bouche pleine....Je peux distinguer ma mère en train de se toucher en les observant faire, totalement décomplexés et fort désireux de se payer du bon temps à mes dépens: _Regarde,Jocelyn, je lui ai tout rentré dans le fion, à cet empafé de blanc ! Il avale tout, ce fumier de sa mère ! (...). Oh, que c’est bon, ce petit cul, je me régale, les gars !! Maman est en train de se masturber furieusement, les cuisses ouvertes, assise sur son transat. Elle paraît entièrement obnubilée par ce qu’elle peut voir du corps de son fils au milieu de ce groupe d’excités endurants et vigoureux. C’est bientôt mon père qui la branle en se collant à elle pour la sentir vibrer intensément. Je parviens, malgré l’agitation autour de moi, les bruits naturels et les insultes qui me sont adressées, à l’écouter beugler son plaisir de maman salope, enlacée dans les bras de mon père. Elle l’embrasse, maintenant, avec fougue, comme pour le remercier du tableau dégradant et si jouissif qu’il lui offre, en plein air. Elle prend véritablement beaucoup de plaisir à regarder comment les blacks s’y prennent avec son bâtard de fils. C’est inépuisablement palpitant et papa, en lui faisant l’amour à nos côtés, tous les deux étendus sur le gazon souillé de foutre, peut se vanter de procurer à son épouse encore deux orgasmes puissants presque coup sur coup tant l’excitation cérébrale de madame est importante. Enfin, n’y tenant plus, elle supplie sont mari d’autoriser le plus membré des blacks à venir la baiser comme "une chienne" devant lui.Papa fait un signe de tête au grand costaud qui ne se fait pas prier. Je le sens déculer rapidement de mon antre béant pour venir s’allonger entre les cuisses repliées de ma mère. C’est elle qui empoigne son braquemart impressionnant et se l’introduit délicatement, pour ne pas se blesser quoique très lubrifiée, déjà. Ma mère a laissé échapper un râle animal lorsqu’elle est pénétrée. Les coups de queue du type, lui arrachent un surcroît inouï de plaisir maximum, un seuil de jouissance inégalé dont elle est la première étonnée. Jamais elle n’aurait cru possible une telle intensité extatique....Je devine, en la voyant soupirer d’aise, une femme et une mère comblées.
