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Océane ou la découverte d'une femme

Chapitre 4

Un mère qui abdique

Divers
Là, elle vient de terminer la chambre, la première. Je fais une inspection en règle, gant blanc, je passe mes doigts partout. De temps à autre, je la regarde, elle tremble à l’idée que ce ne soit pas propre. Je regarde partout, même derrière les cadres photo. Rien, tout est clean, heureusement pour son cul. Je l’envoie dans la suivante, la mienne et celle de sa fille quand nous couchons ensemble. Je me remets à lui raconter nos nuits avec Océane. Je lui décris comment jouit sa fille. Je pousse Isabelle dans la colère, celui de son échec total. Pour tout dire, j’en arrive même à exagérer les orgasmes de sa fille, ses rêves de cinglantes punitions que je raconte comme autant de véridiques et cruelles punitions. Elle nous a pris pour des couillons, elle va comprendre qu’en tant que gigolo ou bourreau, il est inutile de me mentir. Une fois la chambre terminée, j’inspecte. Oups, je découvre un préservatif près de la table de nuit. — Mets-le dans ta bouche comme chewing gum, c’est cadeau. Bien, tu vois que tu peux te montrer docile. Maintenant, recommence ma chambre. Sinon, je te promets que le reste de la journée va se poursuivre dans la pièce du fond. Je crois même que tu l’as déjà visitée !— Oui monsieur Raymond.— Tu commences à bien me connaitre, c’est bien. En attendant, relève ton cul. Dix coups de cravaches pour cet oubli. La prochaine fois, c’est le double.Devenue plus docile, elle relève timidement sa croupe. Les coups pleuvent sur ses fesses et même entre elles. Je l’entends hoqueter après chaque coup reçu. Maintenant, je la pousse de mon pied. Elle s’active déjà à tout recommencer et la colère grandit encore. Je le vois à ses gestes toujours plus nerveux. Ce méchant coup de cravache devrait suffire pour qu’elle laisse exploser sa colère une fois pour toute. Et pan, un violent coup juste pile poil sur son sexe. Et c’est parti, elle me crie tout et ma cravache cingle son corps de partout. Très vite, sa colère fait place aux pleures. Je l’entraine dans la pièce du fond, mon donjon. Je la pousse à grimper sur ce chevalet très étroit. Attachée, alourdie de partout, je l’abandonne à son sort.— Deux heures devraient te suffire pour te calmer et te rendre nettement plus malléable.Je la regarde souffrir sur l’écran de mon ordinateur en sachant pertinemment qu’elle ne supportera pas ce supplice au-delà d’une bonne demi-heure. Je m’installe confortablement, une chambrière à la main. Les minutes s’égrainent, son visage, son corps, tout d’elle n’exprime que de la douleur. Plus le temps s’écoule, plus son visage devient horrible à voir. Parfois, je viens la regarder, narquois, la lanière de ma chambrière zèbre alors ses seins, son ventre, ajoutant autant de souffrance à son déjà pénible supplice. Son corps transpire, elle voudrait protester, hurler sa géhenne, implorer mon pardon. Elle sait que cela sera vain, que je ne broncherai pas de toute manière. Près de moi, le sablier écoule son temps. De temps à autre, je me lève, caresse ses seins déjà marqués par l’âge. J’en soulève un pour le laisser retomber, ajoutant à son calvaire. Bien que le sablier en a terminé avec son temps, je me permets de laisser encore quelques minutes cette mère indigne. — Alors, comment on fait avec ta fille.— Je vous l’abandonne monsieur Raymond.— Voilà une sage décision. Bon, alors, je fais ton compte, on le solde et je ne veux plus jamais te revoir, même dans le quartier. On est bien d’accord ?— Oui monsieur Raymond, plus jamais. — Oui, tu disparais de sa vie. Remarques, elle sera toujours libre d’aller te voir. Je ne suis pas trop pour séparer une mère de son enfant. Seulement, si tu cherches à l’asservir, tu te retrouveras sur ce chevalet pour…qu’est-ce qu’on va dire, 48 heures non-stop. Oui, ça me semble une excellente punition, si tu persistes. Bon, je te délivre.— Merci monsieur Raymond. Il me fallut l’aider à se tenir debout pendant un moment. Je l’envoyais se doucher. Une fois de retour, comme j’en ai l’habitude, je la baisais comme bon me semblait. Cependant, je me gardais bien de la faire jouir. En fin d’après-midi, elle me règle mes services que je chiffre en fonction d’Océane. Sur mon ordinateur, elle peut admirer cette femme punie en était à genou sur une planche dent de scie, de gros parpaing posés sur ses cuisses.— Oh ça, ce n’est rien d’autre qu’une image prise au hasard d’internet. Mais si tu le désires, je peux te le faire subir, comme ça, entre amis. Non, tu n’es pas tentée ? Dommage…Elle me règle en liquide, s’habille et file sans demander son reste. Je me demande si la mère a croisé sa fille. Océane débarque à peine deux minutes après le départ de sa mère. Elle est radieuse comme à chaque fois qu’elle rentre, me retrouve. Nous nous enlaçons longuement, une étreinte sensuelle avec ce long baiser de folie. Puis, de son sac à main, elle me sort un livre : « Le journal d’une soumise ». Elle me dit l’avoir dévoré. Je n’ai pas de peine à la croire. Surtout qu’elle commence à me faire le récit de ce superbe livre. Elle me site des passages de tête, exprime ce qu’elle ressent de cette histoire, de certains paragraphes. Je l’ai lu, moi aussi, mais de se le faire raconter comme ça, avec une jolie femme sur ses genoux, c’est un agrément sans fin. Quand elle jouit en me fixant, je me rends alors compte que j’avais complètement oublié sa culotte vibrante. Du coup, je fouille mon donjon pour retrouver ma télécommande. Une fois en main, j’arrête le supplice de ma douce Océane. Puis, comme si de rien n’était :— Tu sais que ta mère est passée ?— Elle peut bien aller au diable, celle-là, plus rien à battre.— Malgré tout, tu lui dois un certain respect, c’est tout de même elle qui t’a mise au monde. — Oui, ça d’accord, mais pour le reste. Et puis, elle est venue pourquoi ?— Viens, que je te montre ta mère en pleine action.Je sortis un DVD de son graveur pour l’enfilé dans le lecteur. Sur ma télévision, Océane peut voir sa mère à l’ouvrage dans sa chambre, la nôtre. Quand je lui donne cette capote à mâchouiller, quand je l’installe sur le chevalet et tout la scène qui suit jusqu’au départ de cette femme. — Putain, elle en a pris pour son grade, cette garce. J’ai un peu pété un câble, je veux bien qu’Océane ne porte plus sa mère dans son cœur, mais là, s’en était trop. Océane s’est rapidement retrouvée nue et à la place exact de sa mère, sur le chevalet.
— Tu vois ce sablier, il lui faut trente-deux minutes pour que le haut ce vide. La raison de ta punition est d’avoir insulté ta mère. Certes, elle méritait sa punition. Mais toi, tu mérites la même pour avoir été vulgaire, et méchante. Là, j’ajoute ces poids à tes pieds, c’est juste 10 kilos pas jambes, un paille si on tient compte de tes propos.Elle ne proteste même pas, elle souffre déjà l’enfer sur son sexe écrasé. Comme avec sa mère, je m’installe sur mon siège, ma chambrière appuyée contre l’accoudoir. Parfois, exactement comme pour sa mère, la lanière zèbre ses seins, son ventre et même ses cuisses. Cette fois, je ne joue pas les prolongations. Délivrée, Océane est livrée à elle-même. Je m’installe tranquillement sur mon balcon, en attendant l’arrivée de Gisèle, ma boutiquière. À quatre pattes, épuisée de douleur, Océane vient se placer à mes pieds qu’elle baise longuement. — Je vous demande humblement pardon pour mon ignoble comportement, Monsieur mon Maître.— Voilà qui est mieux. S’il te prenait l’envie de recommencer, je double la durée et je n’alourdis pas que tes jambes, mais tes seins aussi. Tiens, regarde-toi souffrir, que cela te serve de leçon.Elle put sa voir souffrir, trente minutes de supplice sur ce chevalet, cela vous ramène vite à la raison. Je ne suis pas un sadique pourtant, j’aime, quand on se soumet à moi, être obéit à la lettre. Il est même très rare que je punisse aussi cruellement. Je préfère des sévices plus jouissifs pour mes partenaires. Un coup de sonnette, c’est Gisèle. J’envoie Océane lui ouvrir, mais à quatre pattes. Ce soir, Océane ne participera pas à notre nuit de plaisir. Je veillerai à solidement l’attacher sur la chaise de notre chambre. Dès que Gisèle apparait dans le salon, nous nous embrassons longuement sous le regard envieux d’Océane. Puis, pendant que je dénude lentement Gisèle, j’envoie Océane au coin, nous tournant le dos. Si je ne fournis aucune explication à Gisèle, c’est pour mieux l’emporter dans ma chambre et l’aimer sans tarder. Je sais pertinemment qu’Océane tend l’oreille, guettant le moindre signe de plaisir. Soudain, je me lève pour aller prendre ce qu’il faut pour nous protéger. Je vois mon Océane les mains entre ses cuisses. D’une paire de menotte, ses mains sont rapidement dans son dos, prisonnière de ce métal froid.Dans mon lit, équipé, j’aime Gisèle, cette quadragénaire est absolument merveilleuse au lit. Par devant, par derrière, je la prends partout, la fais jouir avant de faire une pause pour nous refaire une petite santé. À table, Gisèle ne cesse de regarder Océane, à genou dans son coin, menottée. Je sais que Gisèle brule de me demander la raison de la punition de ma douce Océane. J’attends juste qu’elle me le demande pour la punir, elle aussi. Chez moi, on ne pose aucune question sur le pourquoi de mes actions.Sur ma chaise, dans ma chambre, j’attache Océane. Entre l’assise et le sexe d’Océane, j’enfile un petit vibromasseur que je peux commander à distance. Dans le lit, je baise avec Gisèle tout en jouant de cette commande. Quand Gisèle est sur le point de jouir, je mets le vibromasseur à fond et les deux femmes finissent par jouir de concert. C’est seulement à ce moment que je vais délivre Océane. Que je lui impose de lécher la chatte humide et odorante de Gisèle en étant encore menottée. Dévouée soumise, Océane se fait un plaisir de m’obéir. Je le vois à son visage toujours aussi radieux dans ces moments là. Je me glisse entre ses jambes et l’encule lentement, sans trop de préparation, comme une punition qui perdure. Une fois en elle, je vais et viens, toujours sans complaisance autre que mon seul plaisir. Océane, je le sais, prend cela comme une bénédiction. Il n’y a qu’à voir son corps se mettre à onduler sous mes coups de boutoir entre ses fesses. Là, il me faut une pause, Gisèle en profite pour venir lécher et sucer ma queue. Je sais ce qu’elle veut de moi et je vais le lui donner. Elle adore me boire, c’est son vice, elle me l’a avoué dès notre première rencontre. Dans sa bouche coule le contenu de ma vessie sous le regard très étonné d’Océane à qui je fais signe de s’approcher. Je vois une légère marque de dégout sur sa bouche. Après les dernières gouttes d’urine, j’oblige Océane à embrasser Gisèle à pleine bouche. Cette dernière en a garder un peu dans sa bouche pour le partager avec ma douce soumise. Après ce baiser de feu, Océane me regarde différemment. Elle semble avoir envie de gouter à plus. Couchée sur le dos, je place Gisèle, son sexe au-dessus de sa bouche. Ma queue dans la bouche de Gisèle, cette dernière se soulage à son tour et Océane semble se délecter car elle colle sa bouche sur la vulve de Gisèle. Océane fait tout pour ne pas laisser échapper la moindre goutte d’urine. Puis, sa langue s’amuse avec le clitoris de Gisèle qui jouit très vite et moi avec, éjaculant sur son visage et sa chevelure.Maintenant, après une courte pause, en sachant le sexe d’Océane encore un peu douloureux, je la baise. Je la baise pour la faire jouir comme j’aime la voir prendre son pied et Gisèle prend part, agaçant les sens de mon Océane par ses caresses, ses baisers. Gisèle en profite même pour lubrifier ma main droite, son cul. La suite est facile à deviner, ma main s’enfonce lentement dans cet anus qui se dilate en douceur. Avec Martine, ma coiffeuse, Gisèle est de ces femmes qui aiment les plaisirs extrêmes. Un fisting ne lui fait pas peur, bien au contraire. Ma main va et vient, parfois, je ferme mon poing pour mieux le tordre dans son cul et Océane qui jouit en hurlant comme jamais. Cette fois, Océane est entièrement soumise et, comme pour Gisèle, prête à tout pour prendre son pied. Du reste, c’est elle, comme Gisèle qui étale de gel lubrifiant sur ma main gauche, son cul. Près de Gisèle, les deux femmes s’embrasse longuement quad ma main gauche commence sa pénétration dans ce cul si délicieusement étroit.— Après, je fouetterai vos culs avec mon martinet, mes salopes.— Pourquoi pas maintenant ? Me demande Gisèle et elle se rend compte que c’est juste impossible. — Tu comprendras que je n’ai que deux mains, ma petite pute de boutiquière.— Alors défonce, déchire tes putes, éclate nos culs comme ils le méritent. Oh, pas besoin de me le commander, c’est en cours. Je vais et viens avec mes bras. Je défonce, m’enfonce davantage. Puis, soudain, les corps se raidissent, agrippée l’une à l’autre, les deux femmes laissent leurs plaisirs s’exprimer librement et c’est un long festival d’onomatopées, de râles et autres expressions de bonheur. Cette fois, aucun de nous ne peut continuer. Sur le lit, entouré de mes belles, on en vient à parler de nos désirs cachés. Nous laissons Océane nous parler de ses fantasmes. En l’écoutant, je devine que ses lectures érotico-SM y sont pour beaucoup. Pour Gisèle, c’est autre chose, elle est plus dans le romantisme, pas celui à l’eau de rose, non, le romantisme sexuel. Pour mon compte, je m’adapte aux désirs de mes partenaires. Cependant, j’avoue que l’arrivée d’Océane dans ma vie, a quelque peu bouleversé mes fantasmes. Les jeux de soumission et de domination m’attirent davantage même si il m’arrivait de verser, de temps à autre, dans ces jeux en fonction de ma partenaire. Enfin, comme promit, je fustige ces deux culs bien relevé à l’aide de mon martinet. Les deux femmes ne cessent de s’embrasser, de se caresser et puis, l’inattendu arrive, Océane hurle de bonheur. Quand à Gisèle, il lui faut encore une petite dizaine de coups pour la faire enfin jouir.L’aube se lève, Gisèle se fait doucher par Océane. À les entendre, elles prennent plaisir et du plaisir. Après un copieux déjeuner Gisèle s’en va, me laissant une enveloppe que je tends à Océane en lui disant que désormais, c’est à elle qu’il revient de tenir ma comptabilité. Devant mon petit bureau, je lui sors tout ce qui concerne mes comptes. Appliquée, Océane se met à l’ouvrage pendant que je file me doucher à mon tour. En revenant, Océane s’est menottée à ma chaise de bureau, porte des pinces sur ses tétons et un collier fait d’une chaine cadenassé à son cou, la clef bien en évidence sur mon bureau. — Tu cherches à me démontrer quoi ?— Que je suis à vous quoi qu’il arrive, Monsieur Raymond.— Et tu as besoin de tout ça pour te sentir mienne ?— Oui, Monsieur Raymond. J’aime à me sentir prisonnière de vos fantasmes. Cette nuit, quand je me suis gavée de l’urine de Mademoiselle Gisèle, j’ai eu comme un déclic.— Je vois ça. En fait, comme je ne t’oblige en rien, que tu peux même aller voir ta mère, je ne vois pas pourquoi je t’obligerai à… (J’allais dire des choses qui dépassaient mes pensées et brisé le charme d’Océane en le décevant.)— Monsieur Raymond, je vous aime. Je veux ne plus être autre chose que votre bien obligeante soumise. Ceci n’est là que pour me convaincre davantage que ma place est auprès de vous en tant que soumise.— J’accepte alors. Sache pourtant que je t’aime bien plus que tu ne serais le croire. Je l’ai débarrassée de ses pinces, mais pas comme Océane s’y attendait, en tirant dessus jusqu’à ce qu’elles lâchent prise et dans la douleur. Océane se laissa faire, criant quand les pinces étiraient ses tétons et lâchaient prise. Ensuite, j’ai retiré ses menottes pour des bracelets de cuir cadenassés et une chaine entre chacun d’eux. Je fais de même avec les poignets que je relie à la chaine des chevilles. La voilà parée pour deux jours d’entrave. Maintenant, je l’envoie faire ma chambre, ranger le donjon et terminé ce que sa mère n’avait pas eu le temps de nettoyer, ma cuisine. Quand badaboum une pile de casseroles s’écrase dans ma cuisine. Océane se presse déjà à tout ramasser. Oh, ce n’est pas de sa faute, mais de la mienne avec ma sale manie de ne pas être le plus ordré qui soit. Je voulus me baisser pour l’aider. Le regard quelque peu furieux d’Océane me surprit. — Mon Maître n’a pas l’art et la manière de tenir sa maison très rangée. Aussi, je vais m’attacher à en faire une maison propre et parfaitement rangée. Après quoi, il me faudra aller voir ma mère et la remercier de m’avoir inculqué cette manière de faire.— Comme tu le vois, je suis loin d’être parfait. Je te fais confiance, connaissant ta mère, je sais que tu feras pour le mieux.Je quittais la cuisine, pas vraiment fier de moi pour une fois…
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