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Oedipia

Chapitre 2

Inceste
CHAPITRE PREMIER


Les quatre autres couples participants étaient arrivés par le vol précédent, 48 heures auparavant. Comme pour Rachel et Benoît, Gwen les avait reçus individuellement dans son bureau, puis les avait installés dans leur chambre respective.
Elle fut un peu surprise de la diversité de profil qu’ils présentaient. Il faut bien le dire, elle n’avait jamais vu ça en 8 ans. Si, à l’instar de Rachel et Benoît, Farah et Nojan (d’origine iranienne) semblaient former un couple « classique », quoique plus proche l’un de l’autre que ne l’étaient Rachel et Benoît, il en allait bien différemment des trois autres. Elle espérait parvenir à gérer ces différences pour le mieux.
Elle eu d’abord le plaisir de revoir Karine, qui était déjà venue 2 ans auparavant avec son aîné, Paul, et qui était à présent accompagnée de son deuxième fils, Alexandre. Les retrouvailles furent très amicales. Karine était une salope de première, et quelque part, Gwen l’admirait. Au cours de la visite de la chambre, elles profitèrent de ce qu’Alexandre était resté dans le petit salon pour s’échanger quelques mots en privé. Karine, toute guillerette, souffla à l’oreille de Gwen :
-« Oh ! Si vous saviez comme je suis impatiente de me taper mon second fils ! - Ca se passe mal avec Paul ? - Non ! Bien au contraire ! Il me baise comme une reine ! Il a fait tellement de progrès ces derniers temps… - Alors… pourquoi ?— Gwen ! Voyons ! C’est évident ! Comme ça, dès la rentrée, j’aurai deux hommes rien que pour moi à la maison ! »
Alexandre les avait rejointes et semblait pour sa part un peu dépassé par les évènements. Il est vrai qu’il ne connaissait qu’approximativement le but ce voyage. Sa mère avait pourtant tenté de le lui expliquer plusieurs fois, mais il n’était toujours pas sûr d’en avoir compris tous les termes. Cela le laissait hagard, presque idiot. Au bout d’une heure, Gwen n’avait toujours pas entendu le son de sa voix.
La directrice s’occupa ensuite d’Audrey et Dorian (qui, d’ailleurs, était le type même de l’ado dont on pouvait douter qu’il ait atteint sa majorité, mais elle était bien obligée de faire confiance…). Ils formaient sans conteste le couple le moins habituel par rapport à ceux qu’elle avait déjà côtoyés, ainsi qu’elle le découvrit au cours de l’entretien préliminaire. Elle en fut un peu effrayée de prime abord, puis se dit qu’après tout, c’était un challenge à relever.
Vint enfin le tour du dernier couple incestueux, Marie-Ange et Cyril. Agés respectivement de 43 et 19 ans, ils étaient en quelque sorte les doyens de cette session. Cyril apparu tout de suite à Gwen comme le prototype du petit coq, à l’aise et sûr de lui en dépit de sa probable inexpérience. Ce comportement s’expliqua vite lorsqu’elle apprit lors que, contrairement aux autres couples présents, ceux-là avaient déjà connu une première expérience sexuelle. Mais les choses ne s’étaient pas déroulées comme prévu. Cyril, beau jeune homme, enchaînait les petites amies de son âge et délaissait sa mère pourtant toute disposée à assouvir ses besoins sexuels, et cela la déprimait. Lorsqu’elle avait entendu parler d’ « Oedipia », elle n’avait pas hésité à les inscrire tous les deux, mettant son fils devant le fait accompli. Ce dernier avait accepté sans réticence, mais sans partager l’enthousiasme de sa mère, qui plaçait les plus grands espoirs dans ce stage.
-« J’aimerais tellement être une bonne putain pour mon fils… » avait confié Marie-Ange d’une voix triste à son hôtesse, lors d’un aparté. Cette dernière s’était voulue rassurante :
-« Ne vous en faites pas, je vous y aiderai ! Et puis vous allez avoir du temps pour vous deux, ici… »

Lorsqu’elle la revit le lendemain matin, au moment du petit-déjeuner, elle paraissait avoir passé une nuit agitée. Mais Gwen, en bonne professionnelle, se garda de tirer des conclusions hâtives. Bien lui en prit. Lorsqu’elle arriva à sa hauteur, Marie-Ange fondit presque en larmes :
-« Oh mon Dieu, Gwen, j’ai passé une nuit affreuse ! - Que vous arrive-t-il ? Quel est le problème ? Ce sont les lits qui ne sont pas assez confortables ? - Non, non ! Ils sont très bien ! C’est…c’est Cyril… - Eh bien ? Qu’y-a-t-il ? - Il… il ne m’a pas touchée de la nuit… pourtant, il m’avait pour lui tout seul… et il sait que je ne lui refuse rien… j’avais bien pris soin de rapprocher les lit, et… - Et ? - Et rien justement ! J’ai attendu pendant une demi-heure avec la chatte trempée qu’il vienne me prendre, mais il a fini par s’endormir sans même avoir posé la main sur moi ! En plus, j’avais mis ma plus jolie nuisette ! - Effectivement, c’est étrange… à tout hasard, vous me la montreriez, cette nuisette ? » demanda Gwen, perplexe.
Marie-Ange acquiesça de la tête, en boudant. Tout en se rendant dans la chambre, la coach essayait d’y voir plus clair :
-« Ca fait combien de temps que vous n’avez pas eu de relation sexuelle tous les deux? - Je ne sais pas… disons… un mois, je dirais… mais avec son père à la maison, ce n’est pas toujours facile… - Et quand il n’est pas là. ? - Ben alors il arrive à Cyril de venir pour se faire sucer… mais ce n’est pas aussi souvent que je voudrais… et surtout ce n’est pas systématique ! - Et vous avalez toujours son sperme ? »
Marie-Ange parut choquée de la question :
-« Bien sûr ! Même quand il me jouit à la figure, je ramasse tout jusqu’à la dernière goutte ! Son sperme est si bon… - Le sperme de son fils a toujours meilleur goût, vous savez… et il ne vous baise jamais ? - Si… parfois… - Et là aussi, vous prenez sa semence ? - Evidemment ! C’est d’ailleurs pour ça que votre proposition de préservatifs m’a semblée tellement incongrue, et je tenais à vous présenter mes excuses pour ma réaction qui a dû sans doute vous paraître un peu agressive. Mais me priver du sperme chaud de mon fils tout au fond de mon ventre, quelle idée ! » conclut Marie-Ange gaiement.
Entretemps, les deux femmes étaient arrivées dans la chambre. Marie-Ange quitta son peignoir pour montrer à Gwen la fameuse nuisette, cause de tous ses tourments. Gwen n’était pas lesbienne, mais elle savait reconnaître une jolie femme quand elle en voyait une, et il y en avait une magnifique qui se tenait devant elle. Sa nuisette, gris perle, était si transparente qu’elle ne cachait rien de sa féminité. De beaux seins lourds, une taille fine, un mignon petit ventre rond et un joli triangle de poils noirs. La nuisette s’arrêtait au ras des fesses, encore fermes, qui se prolongeaient par des jambes galbées sans une once de cellulite. L’argent était le meilleur allié de la femme dans ce combat, Gwen le savait, et ses clientes en avaient toutes beaucoup. Le chirurgien de Marie-Ange avait fait un excellent boulot. Gwen, de plus en plus perplexe, continua de l’interroger :
-« Et pourquoi n’êtes-vous pas allée le chercher ? - Je… je n’osais pas… j’avais peur qu’il me repousse… - C’est déjà arrivé ? - Ouiii… » gémit Marie-Ange, « une fois… il n’a pas voulu que je le suce… - Hum… je vois… vous pratiquez la sodomie avec lui ? - N… non… - Ah ! On tient enfin une piste ! - C’est que… il est beaucoup trop gros ! Quand il me baise, son sexe me remplit si complètement le vagin ! »
En disant cela, elle ne put s’empêcher de passer sa main sur son bas-ventre. Gwen sourit intérieurement. Elle savait combien les mères exagèrent toujours les dimensions de leur progéniture.
-« J’aurai le loisir de constater ça par moi-même un de ces jours, j’imagine… quoi qu’il en soit, vous m’avez dit vouloir être une parfaite putain pour votre fils, soit. Mais vous n’êtes pas cohérente : qu’est-ce qu’une putain qui n’offre pas son cul ? Vous savez ma chère, il y a des garçons qui sont extrêmement friands de cette pratique, en particulier lorsqu’il s’agit du cul de leur mère ! - Vous croyez ? - J’en suis sûre ! Je pourrais multiplier les exemples, mais je me contenterai du mien. Si vous saviez les difficultés que j’ai eu avec mon fils lorsque je lui ai demandé de me faire un enfant ! Consacrer son sperme 5 jours dans le mois exclusivement à ma chatte a été un calvaire à lui faire admettre, je vous assure. Au bout de 2 jours, il se plaignait déjà que mon cul lui manquait. N’ayant pas réussi le premier mois, j’ai été obligée de négocier avec lui pour la deuxième tentative, et de lui concéder qu’il pouvait m’enculer s’il le voulait, à condition qu’il se retire pour me gicler dans la chatte. Du coup, pour avoir mes deux orifices bien à disposition, il ne me baisait plus qu’en levrette, et c’est donc dans cette position que j’ai été fécondée la première fois par mon fils, ainsi que toutes les autres fois… Mais je m’éloigne du sujet. Bref, ça a été vraiment dur pour lui de se passer du cul de sa maman. D’ailleurs, il s’est bien rattrapé par la suite : je crois qu’il m’a juté dans le cul chaque jour de ma grossesse ! »
Gwen esquissa un sourire à l’évocation de ce souvenir, puis reprit :
-« Le problème est d’autant plus grave que les mœurs ont bien changé de nos jours, et que si vous refusez votre derrière à votre fils, je vous prie de croire que ses petites copines ne se privent pas pour lui faire goûter les plaisirs de la pénétration anale. Tant que vous n’aurez pas fait sauter cette barrière, vous aurez affaire à forte concurrence… - Vous pensez que… qu’il a déjà enculé une de ces petites… salopes ? - C’est plus que probable… - Oh ! Mon Dieu ! - Allons, allons, ma chère, ce n’est pas si grave ! Rien qui ne soit rattrapable, en tout cas. Laissez-moi faire ! Vous, de votre côté, vous devez simplement vous faire à l’idée d’offrir votre cul à votre fils. Pour le reste, un bon coup de lubrifiant et une pipe bien baveuse feront l’affaire… Etes-vous prête à franchir ce pas ? Souhaitez-vous que nous travaillions dans ce sens ? - Oui… oui, Gwen !— Parfait ! Allez, rhabillez-vous et allons prendre ce petit-déjeuner ! Les autres, dont votre futur enculeur, doivent se demander où on est… » fit Gwen avec un clin d’œil.
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