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Oedipia

Chapitre 3

Inceste
CHAPITRE 2

Gwen avait un don particulier pour rassurer les mères et trouver une solution aux problèmes qu’elles rencontraient dans leurs désirs incestueux. Mais toutes n’avaient pas nécessairement besoin de ses services au même titre. Karine, par exemple, s’en sortait très bien toute seule. Elle avait pris les choses en main dès la première nuit passée à « Oedipia ». Elle était là pour se faire baiser par son fils, et sa chatte qui la démangeait ne lui permettait absolument pas de différer plus longtemps l’accomplissement de ce projet.
Comme Rachel, et bien d’autres mamans incestueuses qui venaient à « Oedipia », elle avait passé les mois précédents à allumer Alexandre par les tenues et les poses les plus provocantes, mais il persistait néanmoins à faire comme si de rien n’était. Elle avait beau savoir, par l’expérience acquise avec son fils aîné, que les garçons sont toujours un peu patauds au début (même si elle était convaincue qu’il finirait, tout comme son frère, par devenir accro à ses trous), elle enrageait de constater le peu de réaction de la part d’Alexandre. Il est vrai qu’il avait toujours été un peu plus timide et effacé que son aîné, mais enfin, tout de même ! Ce n’était pas comme si elle ne s’était jamais baladée en petite tenue dans toute la maison à de multiples reprises, comme si elle n’avait jamais demandé son avis à Alexandre sur les dessous affriolants qu’elle s’apprêtait à commander sur internet, ou comme si elle ne lui avait jamais regardé avec insistance les parties génitales quand il sortait de la douche. Elle avait même eu des doutes sur son orientation sexuelle, mais une consultation rapide de l’ordinateur de son fils, et plus particulièrement de son historique internet, les leva. Elle fut ravie de constater à cette occasion son goût manifeste pour les « milfs ». C’était toujours ça de pris, se consola-telle.
En attendant, elle apaisait sa frustration et les picotements incessants de son vagin en se faisant saillir dès qu’elle en avait l’occasion par son fils aîné, Paul, et ces occasions ne manquaient pas. Karine avait toujours eu des amants. Cela lui était facile. Elle n’était sans doute pas, ou plus, l’archétype du top-modèle, mais elle conservait une taille fine et de longues jambes galbées qui accentuaient sa féminité exacerbée. D’aucuns auraient dit qu’elle puait le sexe… Quoiqu’il en soit, elle savait en jouer et accumulait sans guère de discrétion les conquêtes masculines. Mais après l’infarctus de son mari, elle réalisa qu’il y avait là une belle opportunité à saisir d’en avoir désormais un à domicile, ce qui lui paraissait tout de même plus pratique.
C’est dans cette optique qu’elle avait participé au stage « Oedipia » avec Paul, il y a 2 ans maintenant. Ils en étaient revenus amants, et n’avaient jamais eu l’intention de mettre un terme à leur relation naissante une fois rentrés. Et puisqu’ils vivaient sous le même toit, ils n’eurent aucun mal à la poursuivre, réalisant en cela le projet de Karine. Naturellement, le père habitait également avec eux, mais diminué physiquement, il n’avait plus la vigueur nécessaire pour lutter contre l’athlétique Paul. D’ailleurs, la première fois où il les avait surpris, une fois le choc passé, il s’était contenté de hurler. Pour toute réponse, Karine avait attrapé son fils par la main et l’avait entraîné dans sa chambre pour terminer ce qu’ils avaient commencé, sans prêter plus d’attention aux vociférations de son époux. Les fois suivantes, elle ne prit même plus cette peine.
De fait, il n’avait pas d’autre choix que de laisser les choses se faire presque sous ses yeux, tout en faisant semblant de ne rien voir, si bien que le couple incestueux ne se gênait plus du tout. Ayant besoin par ailleurs d’une assistance médicale permanente suite à son attaque, la chambre d’amis avait due être réaménagée, et il était obligé de l’occuper désormais. Malheureusement pour lui, celle-ci jouxtait son ancienne chambre. Aussi, s’il n’assistait pas à proprement parler aux ébats de sa femme et de son propre fils, du moins en était-il régulièrement le témoin auditif : rires étouffés, gémissements et soupirs, lit conjugal qui grince… Paul se moquait parfois ouvertement de lui à ce sujet, en faisant des allusions plus ou moins appuyées sur ses courbatures, ou en soulignant la mine fatiguée de sa mère. Cela faisait toujours rire Karine sous cape, même si pour la forme elle lui enjoignait de ne pas être si méchant avec son père. Mais elle-même n’était pas en reste. Chaque nuit, elle prenait un soin particulier à commenter abondamment le déroulement de son union incestueuse, et à exprimer bruyamment le plaisir qu’elle lui procurait.
Karine s’attendait à ce qu’il demandât le divorce. Il n’en fit rien. Ce n’était pas faute pour lui de souffrir considérablement des petits jeux pervers dont il était l’objet, mais il ne se sentait plus le courage de s’engager dans une procédure qu’il devinait longue et fastidieuse, et qui le laisserait fatalement dans la solitude. Il allait pourtant bientôt regretter amèrement cette inaction. Malgré ce qu’il subissait déjà, le supplice n’était pas prêt de s’arrêter pour lui, bien au contraire. Lorsque son cadet fut sur le point d’atteindre sa majorité, il vint en effet à l’idée de Karine que finalement, et vu le peu de réaction dont faisait preuve son mari, deux amants à domicile devenait une option envisageable. Une hypothèse que, pour sa part, il était loin d’imaginer…
Les choses ne semblaient pas cependant devoir se passer aussi facilement avec son cadet. Certes, les premiers temps avec Paul n’avaient pas été faciles non plus, mais il avait au moins présenté des preuves tangibles qu’il était sensible aux provocations de sa mère. Combien de fois l’avait-elle surpris en train de mater sous ses jupes ? Combien de fois avait-elle retrouvé ses dessous souillés du sperme de son fils ? Au final, leur passage à « Oedipia » avait parfaitement rempli son office. Ils s’étaient révélés à eux-mêmes dans une attirance réciproque que seuls les tabous de leur éducation étouffaient encore, et ils partageaient à présent de délicieux moments de luxure débridée.
Avec Alexandre, c’était différent. Elle multipliait les attentats à la pudeur devant lui, mais rien ne se produisait. Chaque jour, elle inspectait la panière à linge sale, mais si elle y trouvait une de ses culottes tâchée de sperme, ce n’était toujours que par celui de son aîné qui s’était écoulé de sa chatte au cours de la journée. Il lui suffisait d’y goûter pour en être certaine…
En désespoir de cause, elle avait fini par évoquer avec Alexandre la possibilité de partir en vacances tous les deux à Saint-Barth, pendant tout l’été. Mais elle ne voulait pas brusquer les choses et ne lui expliqua pas la finalité réelle du stage. Elle laissa cependant entendre que ce serait l’occasion pour eux de passer quelques moments intimes. Alexandre avait roulé des yeux incrédules, puis avait donné son accord, d’un air absent.
Toujours avec cette volonté de ne pas forcer les choses, au risque de susciter un blocage chez son fils, elle jugea bon, lors de la première nuit à « Oedipia », de ne pas joindre les deux lits. Par ailleurs, elle se contenta d’une chemise de nuit longue en satin beige, et se coucha avec la ferme intention d’être aussi sage que l’était sa tenue.
Alexandre, tourné du côté opposé à sa mère, gardait les yeux grands ouverts dans la pénombre et essayait de rassembler ses idées. « Voyons, résumons-nous… » songeait-il. « Je viens d’atterrir il y a 5 heures à Saint-Barth en compagnie de ma mère dont j’ai l’impression que ça fait des mois qu’elle m’allume, tout ça pour passer des moments intimes avec elle ? Ca veut dire quoi « intime » ? Non… pas possible que ce soit ça… je dois rêver… putain ! Ca fait des mois que je me branle en pensant à cette salope… ça peut pas être ça… mais alors… pourquoi le frangin a toujours fait des mystères sur ce qu’il avait fait durant son voyage quand lui aussi était parti avec maman ? Merde ! J’ai la bite qui va exploser tellement je bande, va falloir que… mais… qu’est-ce que… ? »
Ses pensées furent stoppées net par un phénomène anormal. Un poids qui déformait son lit. Quelque chose qui bougeait. Un être vivant, qui sentait bon. Sa mère ! Elle n’avait pas tenu plus d’un quart d’heure… Elle avait vainement tenté de penser à autre chose pour ne pas craquer, mais ce fut peine perdue. Savoir cette jeune bite toute pour elle à proximité la rendait folle. Peut-être aurait-elle résisté dans d’autres circonstances, mais cela faisait presque 24 heures qu’aucune queue n’avait pénétré un de ses orifices, et elle commençait à trouver le temps long ! Raisonnable toutefois, elle décida que, pour ce soir, une bonne rasade de foutre chaud suffirait à la calmer.
Alexandre se figea, attendant la suite. Sans un mot, sa mère, qu’il devinait à quatre pattes sur le lit, glissa sa main sous son caleçon. En atteignant la colonne de chair dure, elle gloussa doucement. Des cheveux soyeux lui frôlèrent le ventre et presqu’aussitôt, il sentit une ventouse se coller contre son gland et descendre doucement le long de sa bite, la faisant rentrer progressivement dans une grotte chaude et humide. Arrivée tout au bout, la ventouse émit un gargouillis, accompagné d’un soupir. Il passa rapidement ses doigts dans la chevelure qui continuait de lui caresser le ventre pour vérifier qu’il ne rêvait pas. Il ne rêvait pas… C’était la première fois qu’il se faisait sucer, et - le doute n’était plus permis - c’était par sa propre mère ! Sa mère lui suçait la bite ! C’était une sensation indescriptible, de bonheur total, à tel point qu’il finit par s’inquiéter plus des battements frénétiques de son cœur que de son éjaculation qu’il sentait pourtant imminente. Soudain, il sentit son gland être aspiré vers le fond de la grotte, revenir, puis être à nouveau aspiré vers le fond, revenir, ceci à intervalles réguliers. C’était divin !
En mère attentionnée, Karine voulait rendre cette première pipe inoubliable, et elle déployait tous ses talents de suceuse pour qu’il en soit ainsi. Avec l’avidité d’un veau, elle massait le gland de son fils avec tous les muscles de sa gorge pour le traire de tout le foutre qu’il contenait. L’exercice n’était pas très facile, mais comme elle le prévoyait, il ne dura pas très longtemps. Une brève crispation de son fils, et un flot de sperme fut expulsé de la queue, lui coulant directement de l’œsophage à l’estomac. Karine en fut un peu chagrinée, car elle aurait aimé goûter au foutre de son fils, mais après tout, ce n’était sans doute pas la dernière pipe qu’elle lui faisait ! Aussi resta-t-elle sagement en place jusqu’à ce qu’Alexandre finisse de se vider les couilles au fond de sa gorge. Elle était satisfaite. Comme son frère, il était bien membré (ce en quoi ils ne tenaient certainement pas de leur père, mais plutôt de leur grand-père, du côté maternel…), et surtout il était bon éjaculateur, condition ô combien essentielle à son bonheur.
Alexandre resta quelques instants à savourer la sensation de la ventouse qui n’avait pas stoppé sa succion sur sa bite. Au bout d’un moment, toujours sans bruit, elle libéra sa queue désormais un peu molle, et le poids quitta le lit. Pas une goutte de son jus n’était ressortie de la bouche maternelle dans laquelle il avait pourtant éjaculé à gros bouillons. En reprenant ses esprits, Alexandre s’en voulut immédiatement de ne pas avoir rebandé une minute plus tôt. Il était de nouveau dur et prêt à remettre ça. Mais il n’osa pas réclamer. Pas encore… Il finit par s’endormir, en se demandant s’il lui serait donné de revivre un jour cette fabuleuse expérience. Quant à Karine, elle attendit les premiers ronflements de son fils pour s’accorder enfin une petite branlette afin d’apaiser le feu qui consumait ses lèvres intimes.
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