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Oedipia

Chapitre 5

Inceste
CHAPITRE 4

Après avoir rangé leurs affaires, Rachel pris la peine de se refaire une beauté. Pour elle, bien sûr, mais surtout pour son fils. Elle voulait vraiment lui plaire à chaque instant. En se maquillant, elle se mit à mouiller lorsqu’elle réalisa que ce voyage allait enfin lui permettre de concrétiser ce qu’elle désirait tant depuis presqu’un an : coucher avec ce beau petit mâle qu’était devenu son fils. Cela faisait trop longtemps qu’elle attendait, il était temps d’en finir. Elle chassa cependant provisoirement ces pensées pour se concentrer sur son maquillage.
Elle opta pour une robe légère un peu décolletée, mais pas trop, du moins le pensait-elle… Du coup, pas besoin de soutien-gorge ! Elle se regarda dans le miroir, se trouva belle, s’apprêta à partir, puis se ravisa. Rachel retira sa robe, fixa autour de sa taille un porte-jarretelles de dentelle blanche, enfila un paire de bas beige clair et se rhabilla. Elle se regarda de nouveau dans le miroir. Sa robe était un peu moulante jusqu’au niveau des fesses, tant et si bien qu’on devinait sans peine l’attache des jarretelles. Elle fut toute émoustillée à l’idée que Benoît s’en apercevrait sûrement. Et il aimait ça, les bas, elle le savait, elle connaissait la lueur bien particulière qui animait son regard lorsqu’elle écartait les cuisses « par mégarde » et qu’elle en portait… Une paire de sandales à talons hauts vint compléter l’ensemble.
Au sortir de la salle de bain, Rachel rejoignit son fils qui patientait depuis une bonne demi-heure dans le salon. Lorsqu’il vit apparaître sa mère, celle-ci prit la pose, fit un tour sur elle-même, et lança :
-« Je te plais ? »
A force de mater sa mère à longueur de journées, Benoît avait maintenant l’œil aiguisé, et il ne lui fallut que quelques secondes pour remarquer la présence du porte-jarretelles, ainsi que l’absence de soutien-gorge, mise en évidence par les tétons raidis d’excitation. « La salope ! » pensa-t-il.
-« Tu es magnifique, maman ! »
Combien de temps encore allait-elle l’allumer ainsi ? Alors comme ça, elle se branlait en pensant à lui ? Et maintenant, elle était sur le point de sortir à son bras avec un décolleté si plongeant qu’on lui voyait l’auréole des seins ? Et des bas, comme il les aimait tant ? Portait-elle seulement une culotte ? Cette question manqua de faire exploser sa bite déjà gonflée à bloc.
-« On y va ? » demanda joyeusement Rachel.
Benoît se leva prudemment enfin de ne pas briser l’engin prisonnier entre sa cuisse et la couture de son pantalon. Il était clair qu’il allait en avoir besoin, autant le ménager…
L’érection de son fils n’échappa pas à Rachel non plus. C’était une mesure simple et fiable de l’efficacité de ses provocations, et elle l’utilisait sans modération, à tel point qu’il lui arrivait parfois d’avoir l’impression de passer son temps les yeux rivés sur l’entrejambe de son fils. Pour le coup, elle fut plus que satisfaite du résultat.
Gwen exceptée, Rachel et Benoît furent les premiers à arriver dans le salon principal pour l’apéritif. Elle les installa, puis profita qu’ils étaient seuls pour les mettre au courant du déroulement classique d’une journée.
-« Ici, le soleil a la régularité d’un métronome. En gros, il se lève à 6 heures et se couche à 18 heures. Comme vous le voyez, il fait déjà nuit… Vous vous levez à l’heure qui vous plaît, et sauf exception, les après-midi sont libres d’activités. La chaleur est de toute façon trop accablante pour faire quoi que ce soit… Les après-midi sont donc consacrées au farniente, à la plage, ou à toute autre activité qui vous semblera plaisante… Mais j’entends du monde qui arrive… »
Rachel et Benoît écoutaient avec peine, perdus qu’ils étaient l’un dans le décolleté de sa mère, l’autre sur la bosse du pantalon qui ne dégonflait pas.
Les autres couples arrivèrent presque tous de concert, et l’on fit les présentations. On bu quelques verres, puis on passa à table, où l’on rebut quelques verres. Lorsqu’ils revinrent au salon pour le café, l’ambiance était franchement cordiale. C’est alors que Gwen prit la parole :
-« Mes chers amis, je vois que nous avons tous bien fait connaissance, aussi je voudrais vous proposer de passer aux choses sérieuses… »
Les rires cessèrent peu à peu pour faire place au silence.
-« A « Oedipia », vous êtes libres de vivre votre sexualité comme vous l’entendez, je ne vous jugerai pas, et je ne doute pas que vous ne vous jugerez pas mutuellement. Seulement, je vous l’ai dit et je vous le répète, cette sexualité épanouie entre une mère et son fils passe par une découverte progressive, dont celle de vos sexes, bien sûr. Et parmi les gestes essentiels à cette découverte, il en est un que j’estime capital: la masturbation. C’est un acte très doux qui, surtout si elle est réciproque, est la source de nombreux plaisirs. Vous verrez que vous y prendrez vite goût…. Une fois n’est pas coutume, nous allons commencer par les messieurs. Aussi mesdames, je vous invite dès à présent à masturber vos fils ! Faîtes selon votre instinct, cela me permettra de mieux vous guider. Et souvenez-vous, aucun tabou n’existe à « Oedipia »… »
Chacun savait pourquoi il était là, y compris désormais pour Alexandre, qui, ayant baisé sa mère toute la nuit précédente, n’avait plus aucun doute sur la finalité du séjour. C’est pourquoi tous se lancèrent sans beaucoup d’hésitation. Des gloussements et des petits rires ne tardèrent pas à fuser pendant que les mamans débraguettaient leur garçon. Gwen passait entre les canapés où étaient installés les couples, pour observer. A proximité de Karine, cette dernière l’interpella :
-« Seulement branler ?— Oui, ma chère Karine, juste branler, pas sucer… » plaisanta l’hôtesse perverse.
Karine fit une moue de petite fille contrariée, mais obéit. Marie-Ange, quant à elle, jubilait. Elle avait été la première à retirer le pantalon de Cyril et manipulait maintenant sa verge bandée avec une infinie tendresse teintée de dévotion. Gwen s’approcha. Marie-Ange n’avait pas menti, son fils était vraiment bien doté par la nature ! Mais de là à exclure la sodomie… Pour l’heure, Cyril se tenait confortablement installé, les mains derrière la tête, savourant avec une mine satisfaite la branlette que sa mère lui administrait sans problème des deux mains.
Audrey, en revanche, semblait s’être exécutée de mauvaise grâce. Elle avait à peine baissé le pantalon de Dorian, et quoique de taille à peu près normale, elle s’était contentée de saisir la verge entre le pouce et l’index et d’astiquer le gland énergiquement. La jouissance ne fut pas longue à venir, accompagnée des couinements de bonheur de Dorian. Un peu de sperme coula sur la main d’Audrey. Elle l’essuya aussitôt dans le T-shirt de son fils. « De plus en plus étrange… » pensa Gwen.
En repassant devant Karine, elle constata avec amusement que celle-ci n’avait pas pu s’en empêcher. Tout en branlant son fils, Karine lui dévorait littéralement les couilles, ne s’arrêtant que pour les lécher et les embrasser rapidement, avant de les gober de nouveau. Gwen n’en demandait pas tant pour cet exercice, mais après tout, elle était là pour encourager, pas pour freiner…
Sur un autre canapé, Farah et Nojan étaient couchés l’un contre l’autre. Sa mère le branlait doucement tandis qu’ils mêlaient leur langue dans un baiser passionné. Gwen intervint avec délicatesse :
-« Pas comme ça, Farah… Je veux vraiment que vous puissiez regarder la bite de votre fils, que vous puissiez la voir vibrer entre vos doigts et expulser sa crème… C’est important…— Vous croyez ? »
Docile, Farah se positionna au dessus de son fils et recommença son va-et-vient autour de la tige qui perdait de sa vigueur. D’être dans cette posture, mis à nu (c’était le cas de le dire…) comme ça, devant sa mère, le stress le submergea. Comment devait-il se comporter ? Etait-ce vraiment ce que voulait sa mère ?
-« Je ne sais pas si on doit… Je… je t’aime tellement, maman !— Mais moi aussi, mon chéri !— Je ne veux pas te manquer de respect, tu sais ? Je veux dire… tu n’es pas obligée si tu n’as pas envie…— Je sais tout ça, mon chéri, mais j’ai en ai vraiment envie…— Ah… oui ? C’est vrai ?— Tu en doutes ? Allez, laisse-toi aller, chéri… »
Nojan suivit l’injonction de sa mère et sa queue récupéra rapidement sa rigidité défaillante. Bon sang ! Qu’elle faisait ça bien ! C’était une branleuse née, il en avait toujours été convaincu. Elle montait et descendait doucement en cadence, s’arrêtant régulièrement sur le frein pour le masser au travers du prépuce, puis repartir. Bien vite, il sentit son jus monter dangereusement, tenta de toutes ses forces de se retenir, mais finit par éjaculer sous la caresse de sa mère. Elle était si heureuse de l’avoir fait jouir. Tandis qu’elle continuait à le masturber tendrement, le sperme commença à lui couler sur les doigts. L’espace d’un instant, elle sembla se demander qu’en faire. Elle jeta un coup d’œil à son fils. Celui-ci avait fixait le plafond, encore sous le coup de son récent orgasme. Farah en profita pour se lécher rapidement les doigts, geste que Gwen surprit…
Lorsqu’elle arriva à hauteur de Rachel et Benoît, tout semblait indiquer que le pauvre garçon n’en avait déjà plus pour très longtemps. Le dialogue qu’elle surprit le confirma.
-« Je… je vais juter, maman…— C’est vrai, mon cœur ? Maman va te faire jouir ?— Oui ! Je sens que ça vient…— Tu veux gicler dans ma petite culotte, comme tu fais d’habitude ? Je le remettrai après, si tu veux… je l’ai déjà fait, tu sais…— Non ! Sur tes bas, maman ! S’il te plaît…— Tu les avais repérés, hein, petit coquin ! C’est d’accord… »
Rachel était aux anges. Elle se sentait enfin regardée et désirée, aucun détail ne passait inaperçu aux yeux de son fils. Ca la changeait de ce qu’elle avait connu au cours de ses 18 années de mariage, les 2 premiers mois exceptés. Pourtant, en dehors de quelques kilos pris avec les années, rien ne venait ternir la beauté de ses 20 ans. Elle avait conservé ses longues jambes graciles, ses seins se tenaient encore très bien (ils avaient même pris un peu de volume…), et les traits de son visage étaient toujours aussi jolis.
D’un mouvement félin, elle enjamba son fils et positionna son gland contre le revers de son bas tout en continuant de le branler. Le contact du nylon finit d’achever la résistance de Benoît qui cracha tout. Un premier jet de sperme remonta très haut et alla s’écraser contre la cuisse de sa mère, presque sur sa culotte. Le reste se déversa sur le voile clair et soyeux, tandis que Benoît gémissait de bonheur.
-« Et un fétichiste de plus dans le circuit ! » rigola Gwen.
Le couple, qui n’avait pas remarqué sa présence jusqu’alors, lui adressa un sourire complice. Gwen le leur rendit avant de s’en retourner vers les 2 autres couples restants. Karine était toujours occupée à jouer avec les couilles de son fils pendant qu’elle le branlait doucement. Marie-Ange faisait encore plus doucement, sans doute pour profiter un maximum du contact avec la tige, ce qui au demeurant ne semblait pas déplaire à Cyril. Celui-ci finit quand même par répandre son foutre, sous les yeux émerveillés chez sa génitrice. Une fois vidé, Marie-Ange canalisa l’attention de son fils:
-« Chéri… »
Sans le quitter des yeux, elle porta ses doigts poisseux de foutre à sa bouche et les lécha avec délectation, comme l’aurait fait une actrice porno. Du sperme maculait également le ventre de Cyril. Elle se fit un devoir de le ramasser avec la langue, y compris ce qui s’était perdu dans les poils pubiens. La scène n’était pas sans évoquer furieusement une chatte faisant la toilette à son petit, et était d’une obscénité très au goût de Gwen.
Pendant que les autres couples se remettaient doucement de leurs émotions (Dorian était même déjà rhabillé depuis longtemps et attendait sagement assis aux côtés d’Audrey), Karine s’activait toujours sur la bite et les couilles de sa progéniture. Gwen s’approcha et lui murmura :
-« Eh bien ! Il est endurant votre fils ! »
Karine s’interrompit pour lui répondre :
-« Pas tant que ça ! Le pauvre chéri… j’ai passé la nuit à lui traire les couilles avec ma chatte… j’en suis encore pleine… »
Tout s’expliquait… Gwen se demandait bien comment un jeune homme pouvait résister aussi longtemps à un tel traitement de chienne en chaleur… Il tint encore 5 bonnes minutes avant de se mettre à grogner. Karine, pour sa part, ne fut pas embêtée pour savoir ce qu’elle ferait du sperme de son fils. Aux premières manifestations de sa jouissance, elle se précipita pour emboucher le gland et reçu tout dans la bouche. C’était quand même plus propre !
Il était temps de conclure. Gwen annonça qu’elle allait se retirer, non sans avoir auparavant félicité les participantes qui, pour certaines, venaient de faire jouir leur fils pour la première fois…
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