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Je m'offre au sauna une vraie femme objet

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Je me regarde dans le miroir, je suis belle26 ans, mince, sportive, sensuelleBrune, Petits seins très fermes, cambrure et cul de rêveToujours soignée, tirée à quatre épingles, épiléeFemmes et hommes superbes sont passés dans mon lit.
Je suis aussi une libertine connue dans ma ville. Désirée.Mais je suis hautaine, du haut de ma beautéJ’aime renvoyer bouler ces hommes que j’estime laids, disgracieuxQuel plaisir je prends à refuser leurs avances en club, de façon humiliante

Mais ce soir...Ce soir le ventre me brûle, ma chatte ruisselle.Je me suis godée, branlée, rien à faire.Une envie ancienne étrangeJe ne contrôle plus mon corps...
Décidée. Plus fort que moi, La trouille. Presque du dégoût. Pourtant d’y penserJe mouille et mon cul a faim.
Je m’enfonce dans mon canapé. Ecarte mes cuisses.Je me plais, je suis bonne.
Ma petite chatte, toute épilée, luit de ma mouille Combien paieraient pour simplement me caresser Pour simplement me bouffer ma chatte.
Téléphone d’une main. Clito de l’autre. J’appelle. J’explique qui je suis. Inutile de me décrire. Il me connaît.Entre ma réputation de libertine et le porno...Je demande. Oui, c’est bondé de monde.Non, pas encore de femmes.
Je lui explique mon souhait. Ok, il fera comme convenu.Mais Il est surpris. Si je lui faisais une mauvaise blague ?Je lui réponds qu’il verra bien.
Douche. Lavements intenses. Tous mes orifices doivent être nickelPropre de partout..Je dois être disponible.Plug anal. Jusqu’au bout
Maquillage outrancier. Une salopeUn collier en cuir. Accessoires. Talons aiguilles très hauts,A plateforme transparente, de chienne.Puis un 3/4 par dessus.C’est tout.
Dernier coup d’oeuil au miroir. Une bombe !
Voiture. Parcours. Ca se rapproche.La trouille. Inconscience.Besoin. Besoin Viscéral. Mais l’estomac noué. Presque envie de vomir.J’y suis. Une porte discrète. Dernière chance de faire marche arrière.Pas question. Je suis attirée.Je le mérite après tout. Ma décadence. Je sonne.
Je suis devant le sauna le plus glauque de ma villeEt sa porte s’ouvre...
Le patron est surpris. Me fait rentrer.Nous restons dans les coulisses.Echangeons quelques mots sur la suite.Il veut être sur de ce que je veux.Je lui tends mon 3/4. En sort une laisse et une enveloppe. Je m’attache la laisse au collier. .Tend l’enveloppe au patron.
Je passe dans la grande salle.Ce lieu est comme je le pensais..Ca pue le sperme et la transpiration.
C’est bondé d’hommes. De désespérés. Une bonne quarantaine...Deux ou trois hommes potables, et encoreSurtout des vieux, des gros, des regards vicieux, Des moches, des frustrés.
Je suis nue devant eux. Je ne bouge pas.Vide dans ma poitrine. Peur.La situation me répugne.Ils me dégoûtent presque tous.
Moment Convenu. Le patron sourit.Demande l’attention, se racle la gorge.il lit la lettre à voix haute. Une lettre qui explique...
Que ce soir je m’offre à eux. A eux tous.Sans exceptions. Moches. Beaux. Vieux. Jeunes.Gros, minces, Poilus, Rasés. Je suis leur objet. Leur esclave. Je ne veux que leur jouissance. La mienne je m’en fous.Un par un, ou en groupe. Comme ils veulent.Ma bouche, ma chatte et mon cul sont à eux ce soir.Autant qu’ils veulent, comme ils veulent.Leur chienne. Leur salope. Voilà ce que je suis ce soir.Qu’ils assouvissent sur moi leurs envies. Toutes.Qu’ils me souillent. Je ne me plaindrai pas. Je ne parlerai pas. Un objet ne parle pas.Ils me prendront avec capotes,Mais mon cul et ma bouche pourra être le réceptacle de leur sperme.Ma langue est là pour leur plaisirElle léchera et sucera ce qui passera devant.
Moi qui ne leur adresserait même pas un regard en temps normalSerai leur esclave ce soir.Leur dévidoir...
Puis il demande à un homme de me badigeonner tout le corps d’huileIl en profite pour me doigter. Je ne bronche pas.
Au centre de la pièce, des tapis sont posés au sol.Je serre le bout de la laisse entre mes dents.Me mets à quatre pattesEt marche vers le centre du tapis.
Arrivée, je me mets de suite en levrette.Mes longues jambes musclées et fines écartées. Très écartées.Cambrure au maximum. Je lâche la laisse.Je baisse la tête. Entre ouvre ma bouche.Croise mes bras derrière mon dos.Puis plaque ma poitrine contre le sol.
J’attends.
Ils s’approchent. Ils ont compris.
Je suis à quatre pattes. Je suis offerte.
Des mains se posent sur moiJouent avec le plug planté dans mon cul. On m’écarte les fesses.Les insultes fusent à propos de mon orifice béant.On me force le plug dans ma bouche.Pendant que des doigts labourent mon cul.Certains me font mal.Je me tais. Je n’ai rien à dire.
Ca se branle autour de moi. Ca commente...Ca insulte...
On tire ma laisse vers le haut.Je suis à quatre pattes. Des bites s’approchent. Ca sent la transpiration.On me les enfonce dans la bouche.je lèche. Je suis à eux.Des doigts partout. Chatte, cul.Les insultes fusent
Je réponds oui à tout. On gicle dans ma bouche. J’avale.Je. leur lèche des couilles, les orteils. Je léche tout, je suce tout.Ca y est. On m’nencule.On me tire la tête. On retourne une capote usée dans ma bouche.Je tends ma langue et récolte. J’avale.On me demande de remercier. Je le fais.
je suis leur trainée.. D’ailleurs, je suis traînée vers un canapé.A sa demande, je lèche le cul d’un vieux. ses couilles sont énormes.Il se branle et gicle sur son gros ventre poilu. Une énorme quantité de sperme jaunatre.Je lèche, nettoie avec soin. Il y en a sur le matelas. Je lèche aussi.Je suis obligée de lui dire combien j’aime son sperme. Combien je suis une chienne.
Un autre vieux me demande de lui lécher ses pieds. Toujours en levrette, je me plaque. M’éxecute.
A ce moment, une bite énorme me transperce le cul. Il pilonne. Pas longtemps. Il veut me jouir dedans. Bien surMes trous sont pour lui.Je me plaque, cul en l’air, écarte mes fesses, cul béantLui réclame de se branler dehors et de me gicler dedansCa coule, c’est chaud. je le remercie.
Ils imiitent. Ils m’enculent.. Encore. Et encoreDes giclées de sperme dans mon cul.Oui je répète ce qu’ils veulent entendreJe suis leur sac à foutre.
On me demande d’aller vider mon cul aux toilettes.Quand presque tout le sperme est écoulé, je ressors.
Un groupe d’homme m’attend à la sortie des WCIls sont sept.Ils ont discuté entre eux, m’ont reconnue. Il y a des mois, je les avais provoqués dans un clubPuis m’étais ensuite moqués d’eux à voix hauteLeur disant que je ne me tapais pas des lardsIls me demandent de m’excuser, de dire que je suis une puteEt que j’ai envie de leurs bitesJ’obéis.Ils tirent sur la laisse pour me mettre à genouxJe dois leur demander l’autorisation de leur lécher leurs culsLeur demander de me punir.Je le fais...L’un deux me claque. Pas trop fort. Je le remercie.Puis il me tire par les cheveux. Et me plaque la tête dans le cul de son ami.J’étouffe. Mais lèche. Nettoie. Agite ma langue.J’ai des hauts-le-coeur. Mais je suis un objet. Leur objet.
Tir violent sur ma laisse. On m’ordonne de marcher à quatre pattes.Ils vont s’occuper de moi en privé.
Parcours dans le labyrinthe des pièces.La salle "SM"Une banquette ronde au milieu.Posée sur le dos. Mon cul et ma tête dépassent.On m’attache avec des accessoires de la pièceJambes relevés et pliées, écartées au maximumBras en croix, mains immobiliséesDes doigst de partout. Des insultes. Des crachatson me traite de salle allumeuse. Puis on se relaie à la chaîne dans mon culPendant qu’on me pilonne le cul, on vient se positionner sur ma têteLeurs jambes écartées, je lèche leurs culs, leurs couilles, leurs bitesOn me déverse des capotes pleines en me forçant la bouche ouverte
Puis l’un d’entre eux force 3 puis 4 doigts. Ils les retourne dans tous les sensDouleur. Jouissance. Je hurle des deux. Un homme à l’haleine pestilentielle me parle à 2 centimètres du visage.A sa demande, je lui lèche le visage, demande de me cracher dans la boucheJ’ouvre grand ma bouche, il laisse couler un énorme filer. Je le prends, me lèche les lèvres, le remercie.
Ils me détachent. Me font regarder l’entrée de la pièce.Un autre groupe d’homme était entrain de mater.
Je suis à nouveau attachée, mais en levretteMes poignets liés le long de mes jambes.Je perds le compte des bites qui me baisentje me tords le cou pour récupérer leur sperme
Je suis épuisée. Toujours attachée. Un répit soudain.
La voix du patron. Il est 2 heures. Voilà 4 heures que je suis là.Il va fermer l’établissement. Soulagement inconscient.Raté... il fait rentrer un dernier groupe. Puis oui il va fermer. Mais la fête continue dedans. A huis clos.
La patron s’en va. J’entends de nouveaux pas. Je tremble. Nausées... Je ferme les yeux.
une voix de femme... C’est donc elle ? Quelle chienne !Tu as vu son cul comme il est ouvert ?Chéri va me chercher sa laisse.
Elle se place derrière moi. je ne la vois même pas."Alors petite salope. On se la pète sur Netchangisme ? On ne me répond jamais ? Je suis trop vieillie ? Trop grosse ?""Tout ça pour finir offerte comme une vulgaire pute à deux balles ? Tu vas voir"
Elle se met devant moi. Me détache. Elle n’est pas très belle. Agée.Elle me fait me mettre à quatre genoux.Me plaque la tête contre sa chatte poilueJe la bouffe. Elle appuie encore. Elle m’étouffe.
Puis me traîne par les cheveux jusqu’à une alcôve. Son mari nous rejoint. Un vieux. Puant.Elle se couche. M’ordonne de lécher son mari.Il bande. Elle se fait prendre par son mari.Elle me demande pendant ce temps là de lui lécher son culSon mari l’encule. Il jouit dans son cul.Elle me couche sur le dos. S’assied sur ma tête.Et m’ordonne de nettoyer ce qui en coule.En me traitant de tous les noms.Je m’éxecute. Fourre ma langue dans son cul, cherche le sperme.Son mari est parti
Par la laisse elle m’entraîne jusqu’au barElle s’assoit sur l’une des chaises hautes.Me fait rester à genoux, pour lui lécher la chatte.Je met à genoux.Du sperme coule de mon cul par terre. Elle le voit.
Elle m’ordonne de le lêcher. Je m’éxecute.Elle en profite pour enfoncer son talon dans mon cul.
Des hommes regardent...Elle se lève.Reprend la laisse.Elle se pose dans un canapé, une bouteille de bière à la main.Elle me fait mettre à quatre pattes devant elle. Puis pose les pieds sur mon dos..Elle rigole vulgairement
Elle demande à tous les hommes de s’approcher.
Elle se lève, me plaque au sol, levrette, cul offert et buste plaquéElle me demande si mon cul est un vide couillesje luis dis que oui
Elle éclate de rire.Se déchausse. Enfonce un orteil dans mon cul. Rigole.Puis le doigte. me l’ouvre. M’oblique à me l’écarter...Elle y verse le fond de bière Je serre les dents. Mais je mouille.
Elle me caresse la chatte, elle s’en rend compte.Le dit aux autres hommes.Elle prend sa bouteille vide et me l’enfonce dans le culAllers retours violents, retraits soudains, puis l’enfonce à nouveauJe suis prise de spasmes. Je jouis.La mouille coule à flots de ma chatte.
Elle invite les hommes à m’enculer ou à me gicler leur sperme dedansIls s’éxécutent. Giclades. Claques. Sodomies. Mon cul me fait malMais je suis leur chose
Elle trempe un doigt dans mon culLe ressort couvert de spermeMe commande de venir la nettoyerJe le fais. Elle me demande si j’aime nettoyerJe réponds que ouiElle prend des capotes retournées ou pleines qui traînaient par terre, Me les retourne ou me les fait sucer
Elle rigole et m’insultantElle susurre quelque chose à l’oreille de son mari, rigole à nouveauElle se lève. Me prend par la laisse, m’entraîne vers les douches.
Me hurle de me mettre à quatre pattes avec mon trou du cul bien pointé vers le hautEt de bien m’ouvrirElle me fait crier que je suis une traînée et que je veux qu’ils se vident tous en moi
Elle se positionne sur mon culS’adresse aux hommes, leur expliquant Qu’elle va leur montrer comment on traite une souillon comme moiElle urine sur moi, dans mon cul, sur mon visageM’oblige à crier encore, que j’aime çaQue j’en veux encore.
Quelques hommes s’approchentElle me tire par les cheuveux, me met genouxM’ouvre la boucheEt invite les hommes à m’uriner dedans
Quand le dernier a fini, elle me pousse par terreSur le sol de la doucheEt allume le jet d’eau...
Je tremble. De bien. De douleur. Spasmes orgasmiques.Sperme et urine s’écoulent de mes orifices
J’ai été une chienne, un garage à bittesEt j’ai aimé ça...
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