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Olivia et ses colocataires

Chapitre 2

Zoophilie
_Oui, ! Ouuiii,vas-y baise-moi comme ta chienne !*grognement*_ Ah ! oui tu vas me faire jouir. Continue, prends-moi, ah je vais jouir, je vais jouir, aaaaaahhhh !
Elle, c’est ma coloc’, Olivia. une vraie salope qui se fait baiser tous les jours et, souvent, plusieurs fois par jour. Après deux mois de vie commune, je ne lui ai toujours pas avoué que les murs n’étaient pas insonorisés. J’étais trop gênée.
Moi, je m’appelle Nathalie, j’ai la vingtaine et me revoilà de retour dans mon appartement, après une année passée à l’étranger. A cette époque, mes cheveux blonds étaient courts (un carré au niveau de la nuque et une frange) et mon régime m’a permis de rester une crevette (taille 34 pour mon string). Je n’avais qu’une seule envie, me poser tranquillement dans mon chez moi et passer des soirées tranquillement avec mon copain que je n’avais pas vu depuis longtemps. Toutefois, ce fut avec surprise que le propriétaire de l’appartement, mon oncle, m’annonça que pendant ce temps-là, il loua ce meublé à une autre étudiante, une certaine Olivia. Selon lui, elle était très charmante et ne posait pas de soucis. “Chouette, je vais me faire une nouvelle copine”, me dis-je. Ce fut le cas, puisque nous partageons toutes deux une passion pour les chiens. Or, elle avait emménagé avec son Matin de Naples, un énorme monstre qui devait peser le double de mon poids. Nous passions donc beaucoup de temps ensemble, tous les trois.Mais lorsqu’elle s’isolait dans sa chambre, c’était bien souvent pour se faire baiser. Etrangement, je ne voyais jamais son ou ses mecs. Trop pudique, je n’osais sortir de ma chambre, de peur de tomber nez à nez avec Olivia ou pire, un gars tout nu !J’entendais seulement la porte claquer, quelque temps après que son amant l’eut fait hurler de plaisir.Lorsque je lui demandai si elle avait quelqu’un dans sa vie, elle me répondit : “c’est compliqué”. Je ne cherchai pas à en savoir plus, afin de ne pas paraitre trop indiscrète.
Arrivèrent alors les vacances. Olivia m’annonça qu’elle retourna chez ses parents. Sachant que j’allais être seule pendant une semaine, elle me proposa gentillement de garder Marcus.“Je sais que tu vas bien t’occuper de lui !” assura la jeune étudiante. _ Oui je l’adore, tu sais bien, répondis-je._ Mon Marcus, soit bien gentil avec elle, hein ? Le molosse regarda sa maîtresse docilement, d’un air triste._ Bon eh bien à dans une semaine ! lança Olivia avant de partir.
Me voilà donc seule avec ce gros toutou dans l’appartement. Bien que d’habitude très calme, l’absence de sa maîtresse se fit rapidement ressentir. Marcus devint de plus en plus agité. Je ne prêtai que peu d’importance à cela, pensant que Marcus voulu simplement revoir Olivia.Un soir, le mâle perdit patience._ Mais ! oust Marcus ! criais-je gênée de me faire surprendre en train de retirer ma culotte.Le Dog avait ouvert la porte et ne me laissa pas le temps de le repousser. Il fourra directement sa truffe dans ma buissonantne toison d’or, encore dégoulinante de sueur, après deux heures passée à la salle de sport. Depuis que mon départ l’étranger, J’avais délaissé l’entretien de ma haie… Elle était donc bien buissonnante. Mais cela n’avait pas l’air de déranger Marcus, qui semblait apprécier l’odeur de ma féminité emmagasinée par mes poils.
Je ne pus rien faire contre la puissance de ce molosse qui commença à me lécher ma fente avec sa langue râpeuse.Ahh… hummmmm, soupirais-je. Je me sentis à la fois dégoûtée et honteuse de faire bouffer la chatte de la sorte par un chien. Mais, j’étais terriblement en manque de sexe ! Après un an d’abstinence, je n’avais qu’une seule envie : me faire défoncer par mon mec le plus vite possible ! Mais celui-ci était en vacances à ce moment là et ne revenait qu’en fin de semaine. _ Oh… regarde comme tu me fais mouiller, dis-je en essayant de me dégager.Il inséra le bout de sa langue dans mon abricot, me faisant tortiller de plaisir. Et dire que je refusai toutes les avances de très beaux mecs, lorsque je fus de l’autre côté de l’Atlantique ! Là, je me laissai aller à ce plaisir pervers et bestial._ Hummm, Oh oui putain ! hurlais-je comme une fille qui n’eut pas un orgasme depuis des lustres. Oalala, tu sais vraiment t’y prendre toi avec les femmes… dis-je après avoir repris mes esprits, tout en caressant mon Marcus. Qui est qui t’a appris… oh, c’est donc ça...Tout était donc clair dans mon esprit désormais : Olivia n’a jamais eu de mec en réalité, mais se faisait lécher par Marcus. Beurk ! parlais-je à voix haute.
Je voulus ensuite me carapater et l’enfermer en sortant rapidement de ma chambre, mais, le toutou me suivit de près. En repoussant violemment la porte, il me fit tomber au sol. Le molosse surgit alors que j’essayai de me relever, se mettant quasiment sur moi. J’essayai de me retourner et me mis à quatre pattes pour échapper à son étreinte._ non, pousses- toi méchant ch… ah ! ah ! AAHH !Mon abricot se fit déchirer par un engin chaud et massif. Marcus n’eut aucune hésitation et trouva du premier coup l’entrée de mon délicat intérieur. Il me prit comme une petite chienne, férocement. Il savait parfaitement s’y faire avec les femelles et me bourra violemment le fond de ma petite chatte. Jamais je me suis pris une queue aussi grosse. Jamais un homme m’a baisée d’une façon si sauvage. _ Ah oui, baise-moi comme ça, lâchais-je dans un moment d’hystérie.L’accouplement fut brutal, mais trop court. j’étais sur le point de jouir une seconde fois. Le molosse me laissa en plan, avec un filé de sperme qui s’écoula abondamment de ma fente._ Oh non, ne me laisse pas comme ça, gémis-je. Marcus, viens là mon beau ! Il daigna me regarder, en retournant sur sa paillasse, dans la chambre d’Olivia.La frustration totale ! J’essayai alors tant bien que mal à séduire à nouveau le beau mâle. Mais, il n’en fit qu’à sa tête. Je dus alors me doigter le soir même pour calmer mon excitation. _ j’ai vraiment fait un truc dégueulasse aujourd’hui, songeais-je après avoir joui. J’ai trompé Max… avec un chien ! Prise de remord, je plongeai ma tête dans l’oreillé pour étouffer mes sanglots. Je ne pouvais en plus en parler à personne. ce que je fis était vraiment trop honteux.Marcus, ayant senti mon désarroi, vint alors me câliner. Le petit calin se transforma en gros : à nouveau exitée par son énorme membre, je le suçai goulument, m’abreuvant de tout le liquide qui en sortit. Le gros câlin tourna en partie de baise sauvage : je me remis à quatre pattes pour qu’il s’accoupla avec moi. Je n’eus plus aucun remords ce soir-là, puisque les mots qui sortirent de ma bouche furent : “Oui, Baise-moi !” et “encore, encore, continue !”
Le dernier week-end des vacances finit par arriver. Olivia revint à appartement et Maxime passa également le samedi-dimanche à la maison. Toutefois, Je me sentis sale, après avoir cédé plusieurs fois au désir bestial. J’étais donc très froide avec Maxime. Le samedi soir, je prétextai même avoir des douleurs au ventre pour ne pas coucher avec lui. Le pauvre, il ne m’avait pas baisée pendant près d’un an !Mais en plein milieu de la nuit, je fus réveillé par des gémissements provenant de la chambre d’Olivia._ Oh oui, ta queue m’a tellement manqué, oui, oui !Ma coloc se fit certainement sauter par Marcus. Et étrangement, je commençai à mouiller abondamment, à avoir des palpitations et des bouffées de chaleur. bref, j’avais envie de sexe.Je sortis alors le membre de Max de son caleçon et me mis à me pomper frénétiquement, sans prendre la peine de réveiller mon homme auparavant.Une fois son membre dressé, je me mis à califourchon sur lui, bougeant mon bassin au rythme des gémissements d’Olivia._ hummm, j’aime ta grosse queue, murmurais-je en pensant à Marcus.
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