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Olivier, prof soumis

Chapitre 2

Erotique
Après un premier week-end scolaire quelque peu perturbé mais studieux, je me présentais donc au lycée, le poing crispé sur la poignée de mon cartable, redoutant plus que tout de tomber au hasard d’un couloir sur Jennifer Coulon.
Par chance, je pus regagner ma première salle de cours de la semaine sans fâcheuse rencontre. Je fis distraitement mes cours toute la matinée, consultant cent fois ma montre dont les aiguilles me rapprochaient inexorablement de l’heure — 15 heures pour être précis — où je devrais prendre en charge la classe de Terminale L4. La classe de Jennifer Coulon. Je craignais ce moment plus que le plus délicat des examens que j’avais eu à passer dans ma vie.
Et rien ne pouvait me résonner. J’avais beau me répéter qu’elle ne savait rien, qu’elle ne pouvait se douter d’encore moins, qu’elle n’avait, au fond, reçu de moi que quelques mots sans conséquence, me retrouver face à elle me terrifiait.
L’heure fatidique finit par arriver et, comme je me l’étais promis mille fois au cours du week-end, je pénétrai dans la salle de cours avec la plus grande décontraction, me dirigeai droit vers mon bureau sans passer le regard sur les élèves qui s’installaient bruyamment à leur table, en chahutant toujours trop fort. Je ne voulais en aucun cas croiser le regard de ma jeune élève. Pas encore en tout cas, pas comme ça. J’ouvris mon sac et en sortis mes livres, en lâchant dans le vide un « On s’installe en silence s’il vous plait » qui ne trouva aucun écho entre les rangs de la classe.
– On s’installe en silence ! dus-je réitérer plus fort, en tapant cette fois l’Anthologie de poésie qui devait servir de support à ce cours contre ma table de bureau.
Le calme se fit à contrecœur et je me retournai — toujours avec le plus de naturel possible — vers mon jeune auditoire. Je m’étais figuré, en imaginant mille fois la scène, trouver Jennifer le regard braqué sur moi, sourire aux lèvres, la mimique ironique. Ma première surprise fut de ne pas la trouver à sa place habituelle, mais de l’autre côté, sous une des fenêtres. Elle ne me regardait pas, chuchotait avec sa voisine en feuilletant distraitement un livre.
Pendant tout le cours, je pus me demander si je n’avais pas tout bonnement rêvé. Jennifer ne trahissait aucun signe, aucun regard, aucune attitude, qui aurait pu faire indiciblement allusion à nos échanges de la semaine précédente. C’était comme si rien ne s’était passé. Et je commençai à me ranger à l’idée que tout ça n’avait été qu’un traquenard fomenté par un autre de mes élèves. Il s’était fait passer pour Jennifer, lui avait subtilisé une photo compromettante ; avait peut-être même utilisé son ordinateur pour me transmettre ces mails avec plus de crédibilité. Jennifer n’avait rien fait, et son air innocent, même lorsque nos regards se croisaient furtivement, me le confirmait bientôt sans doute possible. Une chance que je n’aie pas répondu de façon enhardie à ses apocryphes ! Je me rassurai tout à fait, et je me sentis même, dans la dernière demi-heure de cours, sur un petit nuage enchanteur. Tout ça n’avait été qu’une sombre farce. Comment avais-je pu prendre cela au sérieux ! Et même si quelque chose, au fond de moi, regrettait quelque part qu’il n’y ait rien eu de vrai dans cette correspondance, je pouvais enfin reprendre mon souffle. Et je me promis de faire l’amour à Nicole dès qu’elle rentrerait.
Je conclus le cours avec enthousiasme, saluant les élèves qui quittaient la salle d’un grand sourire, un à un, fanfaronnant même sur l’importance de la poésie dans nos vies contemporaines, à l’heure où les banquiers faisaient la loi. Je fis même un semblant de révérence à Jennifer Coulon lorsqu’elle passa avec sa copine devant mon bureau, ne pouvant tout à fait oublier les formes parfaites que dévoilaient à peine la robe longue qu’elle portait en ce beau début de mois de septembre. J’ironisais intérieurement sur le fait qu’elle ne pouvait qu’ignorer ce qui était à l’origine de cette marque joyeuse de déférence.
Je n’avais plus qu’une heure de cours, après l’entracte de la récréation, et je pourrais alors rentrer chez moi, retrouver Nicole, et oublier ce mauvais petit épisode. Oui, je lui ferais sauvagement l’amour. Les élèves avaient tous désertés la salle de classe quand je finissais de recharger les livres dans mon sac en sifflotant.
Mais alors que je me retournais pour rejoindre la sortie, je vis Jennifer revenir dans la salle de classe, d’un pas souple, fermer la porte derrière elle, et s’asseoir à moitié sur la poignée qu’elle gardait dans sa main.
Mon sang se glaça, je me figeai sur place, sur l’estrade, juste entre ma chaise et mon bureau.
Elle resta ainsi un moment, dos appuyé contre la porte, à passer son regard au-dessus des tables vides. Je n’osai prononcer un mot, espérant encore que cela n’avait rien à voir avec autre chose que mon précédent cours. Une coïncidence, il ne s’agissait que d’une simple coïncidence.
– Alors ? Ma photo vous a plu ? Vous m’avez rien dit.
Ma gorge s’était soudainement asséchée, j’étais incapable de répondre. Ma langue était fixée à mon palais. Elle me toisa, insolante, avec un regard hautain et faussement teinté de reproche, loin de l’écolière que je venais de quitter.
– Je sais, une photo, ça n’est pas la réalité. Après tout, j’aurais pu la photoshoper, pas vrai ? Retoucher mes seins, mes cuisses, comme dans les magazines.
Puis je la vis lâcher la poignée de la porte, et glisser ses mains le long de sa robe.
– Attendez, vous allez pouvoir vous faire une idée plus juste.
– Mademoiselle, je…
– Taisez-vous, lança-t-elle avec un soupçon d’autorité.
Puis elle remonta lentement la robe, la tête baissée comme si elle découvrait le tableau avec moi, dévoilant ses cuisses magnifiques affermies par la position verticale que lui imposait ses talons surélevés. Le bas de la robe remonta et je découvris bientôt qu’elle ne portait aucun dessous.
– Reluque-moi ça, cochon, et dis-moi si la photo était truquée.
Oh non, la photo n’était pas truquée, et la réalité était encore plus électrique que le cliché. Elle se retourna lentement vers la porte, tenant toujours la robe plissée sur ses hanches, et se cambra en arrière pour tendre ses fesses vers moi. Elles étaient magnifiques et je voyais, tout en haut entre ses cuisses, les deux lèvres arrondies, recouvertes d’un fin duvet d’un noir de cendre froide.
– Approche, tu verras mieux, m’ordonna-t-elle avec un peu plus de fermeté.
– Je dois… aller préparer mon cours, balbutiai-je idiotement, sans prendre conscience des deux pas que je venais faire dans sa direction.
– La récré ne dure pas éternellement, si tu veux savoir. Alors si tu comptes te branler sur mon petit cul d’élève, tu n’as pas de temps à perdre en bavardage.
Je ne pouvais détacher mon regard de ses reins, de ses fesses parfaitement dessinées, de ses cuisses fermes et fines. Je bandais, et j’étais à deux doigts de céder à sa pression.
– À moins que tu ne préfères venir te loger par ici, ajouta-t-elle froidement en glissant un doigt sur son sexe, écartant légèrement ses grandes lèvres pour y coucher son majeur. Je sais que tu bandes, alors ne fais pas de chichi. Approche, viens te rendre compte par toi-même que tout ça est bien vrai. Branle-toi sur moi.
Elle se cambra un peu plus.
– Viens me toucher, poursuivit-elle avec un gémissement adulte, en faisant aller et venir lentement son doigt entre ses lèvres, que je devinais humides. Viens te faire plaisir avant ton cours… Personne ne le saura, promis…
Je n’en pouvais plus. Mon sexe ruait dans mon slip, je le sentais déjà humide lui aussi, il avait besoin de liberté, et ce cul… ce cul… ce cul… je m’approchais de la porte, et plaquait sans brutalité mes mains sur les rondeurs gracieusement offertes. Jennifer tourna légèrement le visage vers moi, pour la première fois, avec un sourire satisfait.
– Oui… C’est bien… Laisse-toi aller, gros cochon… Montre-moi ce que tu as fait en cachette devant ma photo… Tu t’es branlé, hein ? Avoues…
Je lâchai un « oui » entre mes dents. Elle sourit à nouveau.
– Alors maintenant, tu vas sortir ton engin tout dur, et venir éjaculer juste-là, entre mes fesses, sur ma raie… Je veux finir la journée en sentant ton sperme de prof sécher sur la raie de mon cul, sur mon anus… Je veux pouvoir le lécher pendant le prochain cours.
Elle me rendait folle. Je lâchai une de ses fesses pour venir ouvrir avec fébrilité les boutons de ma braguette, plongeai la main dans mon slip pour sortir mon membre dont le gland bavait.
C’est alors que la sonnerie retentit. Avec une désinvolture ne trahissant aucune agitation, Jennifer se redressa, relâcha les plis de sa robe, qui retomba souplement sur ses chevilles et se retourna vers moi en remettant ses cheveux en place. J’étais là, bêtement debout devant elle, la bite entre les mains, qu’elle dévisagea un moment froidement avant de remonter le regard vers mon visage qui s’empourprait.
– J’espère que tu feras mieux la prochaine fois, lâcha-t-elle avec une ironie cinglante. Je te dirai quand ! Puis elle tourna les talons et quitta la salle en laissant la porte grand ouverte sur le couloir. Je me rhabillai précipitamment. Par chance, aucun élève n’était encore monté, et j’eus quelques poignées de secondes pour tenter de reprendre mes esprits, mort de honte, et rejoindre ma dernière classe de la journée. Les derniers mots de Jennifer Coulon résonnaient encore en moi : « Je te dirai quand ! »…
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