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Oncle Robert

Chapitre 2

Révélations

Gay
Je suis réveillé par un grand flash qui vient du jardin. Je me lève, encore tout endormi, et me dirige vers la fenêtre. Des gouttes d’eau tombent de plus en plus fortement sur la vitre et j’entends le premier grondement. J’ai horreur des orages... Je me réfugie sous les couvertures et essaye tant bien que mal de me rendormir. J’attends plusieurs dizaines de minutes sans succès. La porte de ma chambre est toujours ouverte et je décide d’aller voir Robert, qui m’avait proposé de dormir avec lui si j’avais trop peur. Je marche doucement jusqu’au pas de la porte et m’aventure dans le couloir à pas de loup. Je vais jusqu’au bout et vois que la porte de sa chambre est entrouverte, comme il l’avait dit.
Je passe la tête à l’intérieur et distingue Popi en train de dormir profondément de son côté. Je traverse rapidement la pièce et m’allonge près de lui en prenant un peu de couverture. Heureusement qu’il a un lit deux-places ! Je tire encore un peu le tissu et remarque que tonton est en fait complètement nu ! Je me fige, mon regard fixé sur son entrejambe. Je me ressaisis et m’assure que Popi dorme toujours, ce qui est bien le cas. Bizarrement, la vue qu’il m’offre me met dans un drôle d’état. Je sens que mon pénis commence petit à petit à pousser le tissu de mon caleçon. J’avais de plus en plus chaud et je me sentais vraiment à l’étroit. Je décide alors de l’enlever et je me sens tout de suite mieux quand mon sexe entre en contact avec le drap.
J’étais à la fois excité, par la vue du sexe d’un autre homme que moi, et stressé, de peur d’être surpris en train de le mater. Mais mon oncle avait l’air de dormir profondément. Je m’allonge juste à côté de lui, de sorte que nos jambes se touchent à peine. Ce simple contact me chauffa le bas-ventre et c’est ce qui me décida à continuer plus loin. Lentement mais sûrement, je glisse ma main vers son entrejambe. J’arrive au niveau du nombril et descends un peu plus jusqu’à sentir les premiers poils, plus durs que ceux sur son ventre, et les enroule autour de mon index. Je m’enhardis et arrive à la base de son sexe. J’ai du mal à respirer, étant de plus en plus excité par ce que j’étais en train de faire. La peau de son pénis était douce et je m’attardai dessus pendant quelques secondes. J’essaye tant bien que mal d’entourer son chibre avec ma main mais je peine à le faire, elle doit vraiment être grande ou alors ma main est très petite, je pense qu’il y a un peu des deux.
Je commence doucement à le caresser et j’en oublie presque mon propre sexe, qui n’avait jamais été aussi dur depuis ma première érection. Je décalotte délicatement son gland et j’aperçois dans la pénombre un gros champignon rose pâle. Je joue un peu avec le prépuce et fais quelques aller-retour quand je sens le sexe de Popi grandir petit à petit entre mes doigts. Mince, je venais de le faire bander ! Il était encore plus gros et plus long que dans la salle de bain. J’étais assez fier de moi, j’avais réussi à faire ériger un sexe autre que le mien. Je m’assure encore une fois que mon oncle dort toujours et je reviens rapidement vers son membre qui était vraiment impressionnant. Son gland était complètement sorti et il était gonflé de plaisir. Je n’arrivais toujours pas à l’enserrer mais je m’appliquai dans mes caresses en le faisant glisser à l’intérieur de ma main. Je redescends vers sa région pubienne et passe derrière afin de sentir ses bourses. Elles étaient aussi velues que je me l’imaginais. Par contre, je ne m’attendais pas à ce qu’elles soient aussi grosses ! Ses testicules étaient aussi grands que des balles de ping-pong. En comparaison, mes couilles étaient aussi petites que deux billes. Les siennes avaient l’air d’être bien remplies. Je les caresse tendrement, de peur de lui faire mal dans son sommeil.
Tout à coup, je l’entends pousser un long soupir. Je relâche rapidement son scrotum et m’immobilise. Je bloque ma respiration et attends en silence. Rien. Ce n’était donc qu’un soupir, rien de plus... Je le regarde et effectivement, il a l’air de toujours dormir paisiblement. Je reviens sur son sexe qui est encore au garde-à-vous. Je me colle maintenant à sa jambe, mon sexe appuyé contre sa cuisse. Je reprends le sien en main et pose ma tête contre son épaule. Je vais de haut en bas sur son membre et je sens un liquide s’insinuer entre mes doigts. Son pré-sperme est en train de couler lentement de son urètre. J’en profite pour l’étaler tout le long de sa tige afin que ma main puisse glisser plus facilement. Je continue encore pendant quelques minutes jusqu’à ce que je sente son pénis vibrer et tressauter. Je retire vite mon bras et je vois des jets blanchâtres tomber dans le creux de son ventre. Je venais de le faire jouir ! Il pousse un deuxième soupir et se retourne légèrement, me laissant voir une partie de son dos poilu. Je ne peux pas rester là, je prends beaucoup trop de risques maintenant que je l’ai fait éjaculer. Je me relève doucement et remet le drap comme il était avant que je ne m’allonge dans le lit. Je me déplace silencieusement jusqu’à la porte mais me retourne directement. Mon caleçon ! Je l’avais presque oublié ! Je reviens au pied du lit et le trouve rouler en boule. Je le prends et repars vite vers la porte. Je m’empresse de sortir et marche rapidement vers ma chambre en fermant derrière moi.
Je me plaque contre la porte et respire bruyamment, mon cœur battant la chamade. Je ferme les yeux et essaye de reprendre mon souffle tant bien que mal. Qu’est-ce qu’il m’a pris de toucher la queue de mon oncle ? Et le faire jouir qui plus est ! Je n’avais même pas essuyé... Je suis vraiment trop bête. Je ne peux plus retourner dans sa chambre, beaucoup trop risqué. Je me remets dans mon lit, ne sachant pas quoi faire. Je réfléchis et essaye de trouver une solution mais il n’y en a pas. Je me dis que, à la limite du possible, oncle Robert pourrait se retourner sur le ventre pendant qu’il dort et ainsi, il se frottera contre le drap, ce qui enlèvera le sperme... Oui, peut-être que cela peut se passer. Mais je n’étais pas rassuré. J’enfile de nouveau mon caleçon. De toute façon, je ne bande plus du tout, trop stressé par les événements qui venaient de se produire. J’essaye alors de me rendormir. L’orage est passé à présent, il n’y a plus qu’une fine pluie qui tombe. Je me mets sur le côté et place ma main sous ma tête. Je sens une odeur forte venant de mes doigts et je comprends que c’est l’odeur du sexe de Popi, pleine de virilité. Et c’est en respirant cette odeur que je m’endors plus vite que prévu.
Je me réveille le lendemain avec les cheveux en bataille, comme toujours. Je me lève, enfile un t-shirt et un short, et passe dans la salle de bain me faire un brin de toilette. Je reviens dans le couloir et sens un délicieux parfum de bacon et d’œufs brouillés. Miam ! Je descends les escaliers et trouve Popi dans la cuisine en train de préparer le petit-déjeuner.
-Coucou mon oncle !-Oh la Belle au bois dormant est enfin réveillée ! dit-il en se retournant. Tu as bien dormi ?-Très bien, il y a eu de l’orage cette nuit mais j’ai réussi à m’endormir.-Oui, je l’ai entendu aussi. Vas t’asseoir, j’arrive dans deux petites minutes.
Je pars donc m’installer au bout de la table en l’attendant. Il y a déjà deux verres remplis de jus d’orange pressé. J’en prends un et trempe mes lèvres pour goûter. Délicieux, il a rajouté du pamplemousse en plus ! Je le vois arriver avec une poêle fumante et il me sert comme je l’avais deviné : du bacon et des œufs. Il en met dans son assiette et dépose la poêle en cuisine. Il revient s’asseoir et on commence à manger.
-Et sinon, tu as bien dormi ?-Divinement bien ! Et j’ai même fait un rêve.-Ah bon ? dis-je tout gêné. Quel genre de rêve ?-Un rêve tout à fait plaisant, érotique en plus... J’ai rêvé qu’un mec me branlait !

J’étais en train de boire quand il répondit cela et j’avalai de travers.
-Ouille ! Tu vas bien ? Je ne voulais pas t’embarrasser ! Ça va ?-Oui oui, dis-je en toussant. Je ne m’attendais juste pas à cette réponse.-Je suis désolé, tu sais comment je suis hein, assez direct ! Et puis, je suis un peu gêné aussi, tu sais.-Ah oui ?-Oui... J’ai remarqué ce matin, au réveil, que je m’étais carrément juter dessus ! Ça ne m’était pas arrivé depuis un long moment !-Ah euh oui, ça m’est déjà arrivé quelques fois.
J’étais en train de rougir, je sentais mon sang affluer dans mes joues et j’étais presque sûr qu’elles devaient être cramoisies.
-Mais c’était la première fois où ça m’avait l’air réel, comme si on me branlait vraiment !-Ça par contre je n’ai jamais eu...-Je te le souhaite, c’était vraiment bon !
À l’intérieur de moi, j’étais très heureux que ma branlette lui ait fait du bien mais je ne pouvais rien dire... Où peut-être s’en doutait-il ? Mais le sujet était clos et on termine de manger nos œufs en silence.
-Tu as vu qu’il pleut toujours ?-Oui, on peut dire adieu au travail à l’extérieur pour aujourd’hui !-Qu’est-ce qu’on va faire alors ?-Tu peux t’occuper, j’irai un peu ranger la cave de mon côté.-Tu ne veux pas de l’aide ?-Non non, mon doudou ! Mais si tu veux, tu peux aller dans mon bureau et regarder ce qu’il y a dans la bibliothèque, il y a peut-être des livres qui pourraient t’intéresser.-D’accord mais laisse-moi faire la vaisselle alors, ça te fera moins de travail !-Tu es un ange...
Je me lève de ma chaise et prends nos deux assiettes jusqu’à la cuisine. Au passage, je crois sentir des doigts m’effleurer la cuisse mais ça doit être moi qui rêve. Je dépose la vaisselle dans l’évier et nettoie le tout avant de déposer les assiettes et les couverts dans l’armoire au-dessus. Je reviens dans le salon et je remarque que Popi est déjà parti à la cave. Ne voulant pas le déranger, je monte directement et j’entre dans son bureau, qui est juste à côté de sa chambre. La pièce est assez petite. Le sol est en parquet et un bureau est placé au fond, à côté de la fenêtre qui donne sur l’allée de la maison. Une grande partie de l’endroit est occupée par la bibliothèque de mon oncle. Environ deux fois plus grande que moi, je ne peux pas accéder aux dernières étagères sans l’aide du tabouret placé à côté du bureau.
Je commence d’abord par les premiers étages qui sont remplis de BD pour enfants, sûrement ceux que j’ai laissé ici quand j’étais petit. Arrivé à ma hauteur, il y a quelques livres sur les études du comportement humain et autres sujets qui ne m’intéressent pas forcément pour le moment. Plus haut encore, je trouve enfin quelques livres qui pourraient me divertir mais je veux voir ce qu’il y a encore. Je prends donc le tabouret pour atteindre les derniers étages et je remarque de vieux bouquins dont les pages sont jaunes et pleines de poussière. J’en prends quelques uns et redescends pour les regarder plus facilement.
Le premier est un livre écrit par Choderlos de Laclos, je lis rapidement la résumé mais je m’arrête rapidement car il n’est pas à mon goût. Le deuxième est intitulé Les Cent Vingt Journées de Sodome. Celui-là est déjà mieux et je le mets sur le côté pour plus tard. Tous les autres livres parlent des mêmes choses et je me désintéresse très vite. Au moment de remettre les livres, je remarque des magazines cachés au fond. Je tend le bras et attrape le paquet pour le tirer vers moi. Certains tombent par terre mais j’arrive à en rattraper un ou deux in extremis. Je baisse les yeux et là, je tombe sur une image en double-page d’un homme avec une queue en bouche. Il est nu et je peux très bien voir que son sexe est bandé. Je me précipite par terre et ramasse le tout, de peur que Popi ne me surprenne. Je range les livres dans la bibliothèque et pars dans ma chambre avec les magazines sous le bras.
Une fois dans ma chambre, je ferme derrière moi et m’assois sur le lit en étalant le tout sur la couverture. J’en prends un et l’ouvre au milieu, je tombe sur la même image que là tout de suite. L’homme a toujours une queue dans la bouche et une de ses mains caresse son propre membre. Directement, je sens une bosse se former dans mon short. Je continue ma lecture et je vois défiler des tas et des tas d’images plus salaces les unes que les autres : des mecs pris par derrière, des gorges profondes, des litres de sperme déversés sur le visage d’un jeune garçon entourés par des queues noires et gonflées de plaisir. Je prends un autre magazine. Là, les images sont plus crues. Des photos d’hommes en cage, avec une cagoule, des objets dans le cul et une cage sur le sexe. Un autre ne montre que des personnages féminins mais avec des sexes d’hommes. J’avoue que ce dernier me plaît plus que les autres. Je tourne les pages avec attention et remarque que je bande de plus en plus. Je le termine et en prends un dernier. Celui-là montre des hommes habillés en femmes, des travestis, si je me souviens bien du terme. Il est beaucoup plus érotique que les autres magazines. Les images sont sensuelles, on ne voit presque jamais les parties intimes de la personne mais on se rend bien compte que c’est un homme derrière le maquillage et les sous-vêtements féminins.
Je ne tiens plus et sors mon sexe de mon short. Je cherche une page et tombe sur une travesti qui tient un sexe d’homme. Son regard ressemble à celui d’un chien battu et ma queue ne fait que bander davantage ! Je laisse le magazine comme ça et me branle frénétiquement au-dessus de la photo. Je m’imagine en train de lui baiser la bouche, d’enfoncer ma queue dans son petit trou. Puis j’inverse les rôles. Je me mets dans la peau de la travesti. Je me vois en train de tenir la queue du mec, je me vois tenir la queue de mon oncle Robert. Je pense à tout ce qu’il pourrait me faire. Me baiser la bouche, me sodomiser et éjaculer au plus profond de moi. Mon dieu, je n’avais jamais pensé à ce genre de choses avant de venir ici. Je suis sur le point de non-retour et je me branle de plus belle. Au moment où je m’imagine Popi me juter dans le cul, j’explose dans un grand râle. Des jets de sperme chaud tombe sur les pages du magazine, sur la bouche et les vêtements de la travesti. Que c’est bon...
Je reprends mes esprits et ferme le magazine. Je prends les autres et les mets sous mon lit. Je remets mon caleçon ainsi que mon short et prends un livre sur ma table de nuit. J’essaye de penser à autre chose que le sexe, à autre chose que les pensées salaces que je venais d’avoir. Mais je devais bien admettre que ça m’avait fait beaucoup de bien. Maintenant stop ! J’avais calmé ma pulsion, passons à autre chose. Je commence alors un de mes livres écrit par Stephen King et me plonge dans l’histoire pendant plusieurs heures.
On toque à la porte. Je me lève et bâille. Mince, je me suis endormi ! La porte s’ouvre et Popi passe la tête. Il baisse les yeux au niveau du pied de mon lit puis revient vers moi.
-Tout va comme tu veux ?-Oui, apparemment je me suis assoupi un moment.-Ça ne m’étonne pas, il est déjà 20h00 !-Je n’avais pas vu, désolé...-Ne t’en fais pas, j’imagine qu’on ne voit pas le temps passer quand on s’amuse hein ? dit-il en faisant un clin d’œil et un petit sourire aux lèvres.-Ah euh oui. Tu as fini de ranger la cave ?-Bien sûr, je n’avais que quelques trucs à nettoyer. Je venais te voir parce que le dîner est prêt.-J’arrive tout de suite !
Popi referme la porte et je me précipite vers le bord du lit. Un des coins du magazine dépasse largement et je me demande s’il l’a remarqué... Pas le temps d’y penser. Je les range mieux et sors de la chambre pour aller manger. J’arrive dans le salon, oncle Robert est déjà à table et le repas est déjà servi.
-Je t’ai préparé du poulet avec de la purée et de la compote. Ça te va ?-Super, ça a l’air délicieux !-Dépêche-toi de manger avant que ça refroidisse alors.
Je me mets à table et on mange en discutant de tout et de rien. Il n’y a pas grand chose à la télé alors on regarde le journal télévisé. On mange en même temps et on termine rapidement le plat. Je range la vaisselle comme ce matin et me remets à table.
-Tu t’es déjà lavé ?-Oui, pendant que tu dormais. Au moins comme ça, on ne se sera pas croisé à poil ! s’esclaffe-t-il.-C’est bien vrai ! D’accord, je vais prendre ma douche alors. On se retrouve au salon ?-Mmh, je vais aller au lit déjà. La cave m’a pas mal épuisé et j’ai envie de lire un peu avant de dormir. Mais tu es le bienvenu dans ma chambre, comme toujours !-Je verrai, peut-être à tout à l’heure alors.-À tout à l’heure mon doudou...
Je monte les escaliers et pars directement dans la douche. Je prends tout mon temps pour me laver. J’aime la chaleur de l’eau sur ma peau, c’est apaisant. Je passe bien partout avec le savon et insiste sur mes parties intimes. Cela réveille mon sexe mais je me dis que je me suis assez branlé pour aujourd’hui. Je sors de la douche et me sèche minutieusement avant d’aller dans ma chambre pour éviter de mettre de l’eau partout dans le couloir. Je rentre dans ma chambre et je remarque encore une fois que les magazines sont bien visibles sous mon lit. Il faut vraiment que je fasse plus attention ! Je décide alors de les mettre dans le tiroir de ma table de nuit. Je mets un simple caleçon mais pas de t-shirt.
Je passe une petite heure à lire mais sans grande envie. Je n’ai fait que ça de la journée. Quand je ne tiens vraiment plus, je pose le livre à côté de moi et me tourne les pouces en regardant le plafond. Je me souviens alors que Popi m’a autorisé à venir dans sa chambre et je me dis que ce n’est pas une mauvaise idée. C’est vrai, je n’ai pas passé beaucoup de temps avec lui aujourd’hui.
Je me lève alors et sors dans le couloir vers sa chambre. Sa porte est fermée alors je toque pour ne pas le surprendre. J’entends qu’il me dit d’entrer et c’est ce que je fais. Je le vois allongé dans le lit en train de lire, le dos nu contre le mur.
-Je te dérange ?-Absolument pas ! Viens, installe-toi.
Je me mets dans le lit, sous la couverture, bien au chaud. Je me colle à lui pour avoir un peu de sa chaleur et je remarque une chose.
-Mais tu es nu !-Bah oui, je dors toujours comme ça.-J’avais complètement oublié...-Ça te dérange ? Tu veux que je me rhabille ?-Non non, tu es chez toi, tu fais ce que tu veux après tout. J’étais juste un peu surpris...
Je me remets confortablement contre lui, un peu excité par la situation, je l’avoue. Ma tête se soulève et redescend au rythme de sa respiration. Sans m’en rendre compte, je m’endors dans le creux de son épaule.
Je me réveille et ouvre un œil, attentif à ce qu’il se passe. Cela doit faire une petite heure que je me suis endormi et je vois que Popi a déposé son livre sur le côté. À la place, je le sens glisser ses doigts le long de mon dos et je dois admettre que ce n’est pas désagréable. Je me laisse faire, toujours bercé par le soulèvement de sa poitrine, jusqu’à ce que je sente sa main descendre plus bas que prévu. Il a maintenant sa main sur ma fesse et continue de me caresser gentiment. Il m’attrape un lobe et l’écarte de l’autre. Un premier doigt se pose sur ma rosette et je commence à légèrement m’inquiéter de ce qu’il va se passer. Mais je suis d’abord surpris lorsque je l’entends parler.
-Je sais que tu ne dors pas.
Il enlève sa main et je me redresse pour lui faire face. Il a un petit sourire au coin des lèvres qui est plutôt rassurant.
-Comment savais-tu que j’étais réveillé ?-Depuis que je te caresse, je fais attention à ta respiration. Quand tu dors, tu respires plus lentement et là...-Je respirais plus vite ?-Exact.-Mais pourquoi tu n’as pas parlé directement ?-Pour voir si tu allais te laisser faire... Et c’est le cas, non ?-J’étais juste encore un peu endormi, c’est tout...-Tu en sûr ? Ta queue me dit tout le contraire pourtant.
Et il disait vrai, j’étais toujours collé à lui et mon sexe bandait et mouillait un petit peu sur sa cuisse. Je ne pouvais pas le nier, j’étais excité par ce qu’il me procurait.
-Tu n’en as pas assez de ce petit jeu ?-Comment ça ?-Tu sais bien, les petites caresses sur tes fesses, les allusions... Tu fais comme si de rien n’était mais je te touche intentionnellement tes magnifiques lobes, tu as forcément du le remarquer. Et puis, par ailleurs, j’ai vu que tu avais trouvé mes magazines cochons. Ne nie pas, je les ai vu cachés sous ton lit.
Il les avaient donc bien trouvés...
-D’accord, c’est vrai.-Bien, on en parlera plus tard. Parlons maintenant de ce qu’il s’est passé cette nuit.-Oh non c’est pas possible... Tu étais réveillé ?-Évidemment, dès que tu es entré dans la chambre, je me suis réveillé. J’ai le sommeil léger, tu le sais...-Mais pourquoi n’as-tu rien dit ?-Je ne voulais pas gâcher ce moment ! Tu aurais pu prendre peur et tout arrêter. Et regarde jusqu’où tu as été, tu m’as fait jouir ! Et tu vas recommencer...-Et si j’en ai pas envie ?-Bien sûr que tu en as envie, ne dis pas de bêtises.
Il enlève la couverture qui cachait son corps et mes yeux regardèrent directement entre ses jambes. Son sexe était encore en repos mais je savais qu’il n’attendait qu’une chose... Que je le réveille. Avec un peu d’hésitation, sachant que je me dévoilais à mon oncle, je prends la base de sa queue et essaye de l’encercler avec mes doigts mais sans y arriver. Je commence par de petites caresses, gêné par le fait que Robert soit réveillé, cette fois-ci. Il me rassure en disant que je m’y prends bien et je le branle plus franchement. Je sens enfin son sexe s’ériger et s’élargir entre mes doigts et je n’arrive presque plus à la tenir d’une seule main.
-Voilà, c’est très bien, maintenant, tu vas me sucer.-Pardon ? Mais je n’ai jamais fait ça ! Et je ne sais pas comment...-Je vois, je vais te faire une faveur alors. Je vais te sucer pour te montrer et après tu seras tout à moi, d’accord ?
Je ne savais pas dans quoi je m’embarquais mais j’étais beaucoup trop excité pour refuser une telle proposition. Je hoche alors la tête et m’allonge. Il se met rapidement entre mes jambes et n’hésite pas une seule seconde avant de gober mon petit sexe dans sa bouche. Quelles sensations ! Je sentais sa langue râpeuse tourner autour de mon gland pendant que ma queue était aspiré dans ce trou si chaud et si humide. Avec une de ces mains, il me triturait un téton et de l’autre, me malaxait les bourses. Je ne tarde pas à avoir envie de jouir mais je n’ai pas le temps de le prévenir. J’éjacule dans sa bouche et il me regarde en même temps, pas vraiment surpris que je jouisse aussi vite. Il m’aspire une dernière fois et je le vois avaler mon jus d’une seule traite.
-Eh bien, on voit que c’est ta première fois ! J’ai avalé juste pour te faire plaisir, sache que je ne le ferai plus.-Je... je suis désolé, je voulais te prévenir mais ça a été beaucoup trop vite.-J’ai cru voir oui, mais je suis content de constater que tu es vraiment vierge. Un petit puceau rien que pour moi... Je sens qu’on va bien s’amuser tous les deux... Maintenant, à ton tour !
Il s’allonge à côté de moi et redresse sa queue avec sa main. Je mets beaucoup plus de temps que lui pour venir entre ses jambes. Je venais de jouir et mon excitation était donc retombée. Mais une claque sur ma fesse de sa part accéléra mon action. Je me tenais devant lui à genoux et le dos courbé, je remplace sa main avec la mienne pour tenir son sexe et j’approche ma bouche de son gland. Il sentait la même odeur que j’avais pu percevoir hier soir mais en plus fort. Je ne sais pas si c’est mon imagination qui me joue des tours mais j’avais l’impression de saliver plus que d’habitude. Je sens sa main se déposer derrière ma tête et met une légère pression en avant, je comprends le message.
Je pose mes lèvres sur son gland proéminent et ouvre la bouche. Le goût de son bout de chair est un peu salé mais supportable voire même agréable. J’arrive à faire entrer la totalité de son champignon rose en moi, même si j’éprouve déjà quelques difficultés à respirer. Je fais de petits va-et-vient et lui titille le frein et l’urètre avec le bout de ma langue. Robert me caresse les cheveux, je l’entends murmurer quelques mots de douceur. J’essaye d’aller plus loin et gobe quelques centimètres en plus difficilement. Il faut dire qu’il avait vraiment un monstre entre les jambes ! Je prends alors sa queue en main et le branle en même temps que je le suce. Ça devient vraiment plaisant et je m’entends même émettre quelques gémissements. Je continue ce traitement pendant un temps avant que je sente deux mains prendre ma tête et exercer une pression plus forte. Je ne contrôle plus mes mouvements. Robert a pris possession de ma bouche et commence à faire lui même des aller-retour à l’intérieur de ma cavité buccale. De la salive coule au bord de mes lèvres. Elles dégoulinent le long de son membre. Mon oncle appuie de plus en plus fort et j’étouffe à chaque mouvement que fait son bassin. Son gland tape contre ma glotte. J’émets des glapissements et ça ne fait que l’exciter encore plus. Il tire de plus en plus sur mes cheveux jusqu’à me faire mal. Plus de la moitié de sa bite rentre dans mon orifice à chaque coup de rein et j’ai une envie de vomir qui commence à se faire sentir.
Il le voit et me libère la bouche. J’avale enfin une vraie bouffée d’air depuis que j’ai commencé à le sucer. Je halète un peu et de la bave coule le long de mon menton. Je sens que ma bouche est un peu ankylosée mais je n’ai pas le temps de me plaindre qu’il reprend ma tête et m’engouffre sa bite dans ma bouche. Il me pince le nez pour éviter les relents et me baise littéralement la bouche. J’ai de plus en plus de peine à respirer et j’ai à chaque fois un peu plus de sa bite dans la gorge. Il fait des mouvements rapides et ses couilles tapent contre mon menton. À un moment, il m’écrase le nez dans ses poils pubiens et j’ai la totalité de son sexe en moi. Je n’arrive plus à respirer, j’essaye de m’enlever mais Robert à une poigne de fer. Au bout d’un moment qui me parut durer une éternité, il me relâche et je respire péniblement. Il me reprend et répète l’action plusieurs fois, de plus en plus longtemps et avec moins de pauses. Il me libère une nouvelle fois et je sens qu’il veut passer à autre chose.
-Boudiou ! Je ne pensais pas que ta bouche serait si bonne !-Et moi je ne pensais pas que tu étais si endurant. Tu avais pourtant durer moins longtemps la nuit dernière...-Ça, c’est parce que je n’aime pas me branler et que je n’ai pas eu de visite depuis un bout de temps. Mais je suis très endurant d’habitude, tu verras. On passe à la suite maintenant.
Il me fait tourner sur moi-même de sorte à ce qu’on soit dans la position du 69. Il me présente sa bite et je la gobe avec empressement. De son côté, il m’écarte les fesses et se penche afin de me lécher la rondelle. Je n’avais jamais ressenti ça avant. Sa langue, qui tournait autour de mon trou, me procurait des sensations incroyables. Si grandes que j’en oubliais presque sa queue. Je suis rappelé à l’ordre par une main poussant ma tête et je m’applique à le sucer du mieux que je peux. Je sens sa langue tenter de rentrer à l’intérieur de mon orifice et elle y arrive sans difficulté. Elle me fouille la grotte de fond en comble et je gémis de plaisir. Pour le remercier, je bouffe sa queue comme si ma vie en dépendait. Il y a des bruits de succion dans toute la pièce et ça nous excite tous les deux. Il entre un premier doigt dans mon anus sans que je le sente avant qu’il en mette un deuxième. Celui-là, je le sens passer et je me contracte. Il le voit et les remplace par sa langue pendant un moment. Je suis de nouveau détendu et il remet ses deux doigts qui passent mieux. Il fait de légers mouvements afin de bien m’ouvrir avant d’en mettre un troisième. Là, je sens que je commence à être comblé. Il va en avant et en arrière avec sa main et appuie sur ce qui doit être ma prostate, vu le plaisir intense que j’éprouve. Il a beaucoup d’expérience, je dois le reconnaître. J’ai l’impression qu’il connaît chaque point sensible de mon corps. J’allais maintenant moi-même en arrière pour que ces doigts me pénètrent et j’en redemandais.
-Tu sembles prêt pour ta première sodomie. Continue de me sucer pendant que je prépare le reste.
Je le vois du coin l’œil fouiller dans sa table de nuit et en sortir du gel lubrifiant et un emballage. Je continue ma fellation et je malaxe même ses boules toutes velues. Sa queue est vraiment trop bonne. Robert en avait fini avec ma rondelle et me positionna à quatre pattes au bord du lit.
-Tu es sûr que c’est une bonne idée ? Ta queue est vraiment grosse et j’ai peur que tu me déchires le cul...-Tu sais que tu es totalement bandant quand tu dis ça ? Ne t’inquiète pas mon ange, je vais bien m’occuper de toi et tu me remercieras pour ce que je vais t’offrir cette nuit...
Peu rassuré, je ne dis rien et attends l’inévitable. Il m’écarte les fesses avec ses grosses paluches et applique du lubrifiant sur mon trou. Le contact est froid et provoque une contraction de mes sphincters. J’essaye de me détendre et me cambre un peu plus. Il étale le gel autour et un peu à l’intérieur pour bien lubrifier le tout. Je l’entends déchirer l’emballage et le vois par-dessus mon épaule dérouler le préservatif sur son sexe. Il finit de le mettre et place son gland à l’entrée de mon fondement. Il pousse un peu et je sens un léger picotement au niveau de la raie. Il continue son chemin et mon trou est de plus en plus dilaté. J’ai le souffle coupé, je n’arrive pas à parler ni même à penser. La douleur est fort présente mais mon oncle n’a pas l’air de s’en soucier. Il fait de petits mouvements de bassin afin d’agrandir mon orifice et la douleur s’atténue. Il continue son chemin dans mon rectum et je le sens taper contre ma prostate. Il appuie encore un peu et je sens bientôt son ventre toucher mes fesses et ses couilles toucher les miennes. Je pousse un soupir de soulagement. Le pire était passé.
Il commence alors à donner des coups de bassin, d’abord lentement puis plus rapidement. Au début, c’est assez désagréable, j’ai l’impression qu’il y a un intrus dans mon cul et c’est le cas. Mais plus le temps passe, plus le malaise est remplacé par du plaisir. Et je m’entends bientôt gémir et en redemander. Ses couilles claquent contre mon cul et sa queue appuie fortement sur ma prostate. Je sens mon pénis bander lentement. Il me tire les cheveux d’une main et m’agrippe l’épaule de l’autre pour permettre d’entrer plus profondément en moi. Je geins de plus en plus fort et mes cris se répercutent contre les murs de la chambre. On entend le claquement de son corps contre le mien. Il ralentit la cadence et s’arrête pour sortir sa queue. En un coup, je sens un courant d’air entré à l’intérieur de mon cul et je frissonne de plaisir.
-Mets-toi en position du missionnaire.
Son ton est dur et clair. Je m’exécute sous ses ordres et me mets sur le dos dans le lit. Il attire mon bassin vers lui et place mes jambes en l’air. Il me regarde et me fourre sa bite d’un coup sec dans l’arrière-train. Je pousse un petit cri de douleur et de surprise et je le vois sourire. Il donne directement le rythme et je suis de nouveau secoué d’avant en arrière tandis qu’il me besogne. Il arrive plus facilement à me baiser qu’en levrette. Son sexe rentre et sort dans un mouvement flou. Il pose mes pieds sur ses épaules et se penche en avant pour me triturer les tétons. Des vagues de plaisir monte de mes pieds jusqu’à ma tête et je ferme les yeux pour en profiter un maximum. Il est littéralement en train de me casser le cul mais j’adorais ça. Il prend alors mon petit sexe entre ses doigts et me masturbe rapidement. Je sens mon désir monter de plus en plus et je tords dans tous les sens. Ses coups de reins se font plus lents mais beaucoup plus intenses. C’en est trop. Je hurle ma jouissance tandis que je reçois des jets de sperme, mon sperme, sur mon torse. Aidé par les contractions de mon anus, je sens que mon oncle est aussi sur le point de jouir. Je lui fais alors le même regard que celui de la travesti que j’ai vue dans le magazine. Je me mords la lèvre inférieure et le regarde avec des yeux de chien battu, un regard de chienne, un regard de salope. Il m’attrape les hanches et m’éclate la rondelle, je sens mon cul chauffer de plus en plus. Il me serre plus fort et donne des coups de bassin profonds. Je sens son chibre vibrer et tressauter dans mon intérieur et je comprends qu’il est en train d’éjaculer dans mon cul. Il fait encore quelques va-et-vient et sort son sexe avec la capote qui pend au bout, pleine de son jus. Je suis essoufflé après notre folle partie de jambe en l’air et lui aussi apparemment. Il s’approche de moi et me tend la capote pleine.
-Si tu as envie qu’on aille plus loin, avale-moi ça. Si tu bois mon sperme, je te promets que tu n’auras aucun regret après ton séjour passé ici.
Je le regarde dans les yeux et je comprends qu’il est sérieux. J’avais le choix entre refuser, ce qui était déconseillé vu que j’avais encore deux semaines à passer avec lui, et accepter, ce qui me permettra de découvrir le sexe entre hommes plus en profondeur. Vu comme ça, le choix était vite fait... Mais avais-je vraiment envie de devenir la salope de mon oncle ? J’hésite un long moment avant de prendre l’emballage rempli du jus de mon oncle. Je prends la base du préservatif en bouche et le retourne. J’aspire le liquide devenu tiède à présent. Je le presse pour qu’il sorte avant de jeter la capote à côté de moi. Je regarde une dernière fois Robert avant d’avaler son sperme. J’ouvre la bouche et tend la langue pour lui montrer que j’ai tout ingurgité et il me félicite. Il éteint la lumière et on s’allonge dans le lit en cuillère, moi devant, lui derrière. Je sens encore sa bite molle pressée contre mon cul et sa main se pose sur ma fesse.
-Oui, je sens qu’on va bien s’amuser tous les deux.
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