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Oncle Robert

Chapitre 6

Gay
Voilà, le moment tant redouté était enfin arrivé. C’était le dernier jour que je passais avec mon oncle Robert avant que ma mère ne vienne me chercher. Évidemment, j’étais heureux de la revoir, après deux semaines passées sans elle. Mais du coup, je devais dire adieu aux parties de jambes en l’air avec mon oncle. Cependant, ce dernier m’avait réservé une surprise pour mon dernier jour et, c’est avec cette idée en tête, que je sortis du lit pour aller prendre mon petit-déjeuner.
Eric et Robert étaient déjà à table, comme à leur habitude. Ils mangeaient chacun un toast sur lequel était étalée de la confiture de fraise. Tous les deux étaient occupés à lire des feuilles dispersées aux quatre coins de la table mais quand ils me virent, ils s’empressèrent de ranger le tas de paperasse.
-Que faisiez-vous ?-On s’assurait que tout est en ordre.-C’est au sujet de la surprise ?-Exactement, encore quelques détails à régler et on pourra commencer. Mange quelque chose avant puis va te doucher... Ils ne devraient pas tarder à arriver.
Ils ? Parce qu’il y en avait plusieurs, cette fois ? Bien que l’idée de me faire mettre par plus d’une personne m’excitait un peu, j’appréhendais de plus en plus la surprise qu’ils m’avaient préparée. Mais je ne devais pas avoir peur, je pouvais faire confiance à Robert. Après tout, ma mère revenait demain et il fallait me garder en un seul morceau ! Je pris ma douche en repassant plusieurs fois sur mes parties intimes, aussi bien pour me détendre que pour m’exciter, avant de sortir de la salle de bain pour me préparer. Je ne savais pas si je devais m’habiller ou si je devais rester en tenue d’Adam. J’optai pour un short sans rien en dessous et un t-shirt ample. Au pire, je l’enlèverai si Robert me le demande. Je descendis jusqu’au salon et trouvai mon oncle et Eric en train de s’affairer à tout ranger.
-Tu arrives au bon moment, dit Robert avec enthousiasme. Viens avec moi !
Encore une fois, nous descendîmes à la cave et je ne pouvais m’empêcher de penser que je passais plus de temps dans cette pièce que dans n’importe quelle autre ! Les meubles avaient été repoussés contre les murs et il ne restait plus qu’un matelas simple, dépourvu de draps, au milieu de la salle. Je pouvais dire d’avance qui se retrouvera sur ce lit : moi. Robert confirma directement ma pensée en me demandant de m’y installer, à genoux. Je m’exécutai et attendis, sagement, la suite des instructions.
-Tu as sûrement une petite idée de ce qu’il va se passer mais je préfère garder la surprise jusqu’au dernier moment. Reste habillé pour l’instant, on aura tout le temps de te les enlever par la suite. Tu as des questions ?-Euh oui... Ça dure longtemps ?-Un peu, mon neveu ! Je ne sais pas exactement combien de temps cela va prendre mais, tu ne t’ennuieras pas, ça, tu peux me croire ! Autre chose ?-Je ne vais pas attraper quelque chose après, hein ? Genre une maladie ou je ne sais quoi ?-Ne t’en fais pas pour ça, mon Doudou ! On a tout vérifié, tu ne risques rien.-D’accord, c’est tout ce que je voulais savoir.
J’étais déjà un peu plus rassuré qu’il y a quelques minutes. Robert déposa un bandeau sur mes yeux, sûrement le même que celui que j’avais porté la veille, durant le massage, ainsi qu’une sorte de casque antibruit. Je ne voyais et n’entendais plus rien. Mon oncle était parti, à présent, et je perdis toute notion du temps. Après ce qui me parut durer une éternité, quelqu’un m’enleva enfin le bandeau et le casque. Mes yeux s’habituèrent peu à peu à cette soudaine clarté et quand ma vision fut complètement rétablie, je me demandai si ce que je voyais était vrai. Devant moi se trouvait une vingtaine de personnes, si ce n’est plus. Le groupe était entièrement composé d’hommes, tous nus, et avec un grand sourire. Chacun se touchait allègrement le sexe, certains ne bandaient pas encore mais beaucoup montraient fièrement leur membre en érection. Derrière eux, j’aperçus mon oncle avec un appareil photo, sûrement pour garder un souvenir de cette journée. Quelle bonne idée !
Petit à petit, le cercle autour de moi se resserrait. Ils arrivèrent bientôt à ma hauteur et je ne pus m’empêcher de prendre deux queues dans mes mains et commencer à les branler. Les heureux élus se laissèrent faire tandis que les autres continuaient à se toucher de leur côté. Pendant que je masturbais les deux sexes présentés devant moi, je sentis des mains me caresser le dos, les fesses et même les cheveux. Je lâchai ce que j’avais en main et quelqu’un entreprit d’enlever mon t-shirt. Deux autres sexes se présentèrent à moi et un troisième se faufila entre mes lèvres. Je pouvais entendre plusieurs voix parler de moi, disant que j’étais une salope, une chienne. J’en entendis même une me traiter de trou à jus. Original !

La queue que j’avais en bouche ne tarda pas à se contracter et à cracher des jets de sperme, mais je n’avais pas envie d’avaler. À la place, je sortis le membre de ma bouche et reçus le foutre en pleine figure. Des hommes me félicitèrent en frottant leur bite sur mon corps. J’entendis le clic caractéristique de l’appareil photo de Robert mais j’essayai de ne pas trop y penser pour rester le plus naturel possible sur les photos. J’eus bientôt une nouvelle verge en bouche et deux autres en mains. Mes tétons se faisaient triturer dans tous les sens et quelqu’un, derrière moi, passa sa main dans mon short et me rentra un doigt dans le cul. Ce fut le déclic. Je me levai et me déshabillai complètement pour être dans la même tenue que mes assaillants avant de me remettre à genoux. Ils applaudirent et des mains vinrent directement caresser ma croupe. Des doigts s’insinuèrent dans mon anus mais j’étais beaucoup trop absorbé par les queues devant moi. D’ailleurs, une d’elles me cracha sa semence à la figure et une pluie d’insultes, plus salaces les unes que les autres, fusa dans ma direction.
Une langue commença à me lécher le fion mais elle fut rapidement remplacée par un membre viril qui rentra d’un coup dans mon fondement. Il me besogna violemment en me projetant en avant, pour le plus grand plaisir de celui dont j’avais la queue en bouche. Je ne pouvais rêver mieux. Les deux sexes écartaient mes parois en rythme, avant que celui de devant me lâche quelques jets dans le gosier, sans que je puisse le recracher. Cependant, il ne fit aucun geste pour se retirer et je continuai à le sucer, même s’il commençait à débander. Je profitai de ce bref moment de répit pour reposer ma bouche, sachant très bien que je n’aurai pas énormément d’occasions pour reprendre mon souffle.
Comme pour confirmer mes propos, l’homme, devant moi, se retira pour laisser passer un tout autre calibre, beaucoup plus gros et imposant. La personne à qui appartenait ce chibre devait avoir la même taille qu’Eric. Il avait de larges épaules et un torse couvert de poils. Son membre sortait d’une épaisse couche de poils pubiens qui dégageait une forte odeur de transpiration. Bizarrement, les effluves venant de son entrejambe embrumèrent mes pensées. Je salivais de plus en plus et j’étais comme hypnotisé par ce sexe qui se balançait lentement entre ses jambes. Tout comme Eric, il bandait mou. Et pourtant, il dépassait facilement la taille des autres membres qui se trouvaient dans la pièce.
Sans m’en rendre compte, l’homme poilu m’ouvrit la bouche avec ses doigts et fourra sa queue à l’intérieur, bien au chaud. Il m’attrapa les cheveux et attendit que j’avale entièrement sa verge, avant de me donner de profonds coups de reins. Il ne m’avait pas laissé le temps de m’habituer, et j’étais bien content d’avoir pris une pause, même si elle avait été de courte durée. Il me besognait si fort la bouche que celui qui me sodomisait avait beaucoup de mal à garder son sexe dans mon fondement. Je lâchais des glapissements à peine audibles, ma bave coulait le long de mon menton et des larmes ruisselaient sur mon visage. Mon nez s’écrasait dans ses poils à chaque mouvement de bassin et ses couilles tapaient contre mon menton.
Je sentis un vide dans mon cul quand mon enculeur se redressa pour venir éjaculer dans le creux de mon dos. L’énorme verge quitta enfin ma bouche à mon grand soulagement. Ma mâchoire inférieure pendait lamentablement dans le vide. En effet, j’étais incapable de la refermer. Deux jeunes queues vigoureuses se mirent devant moi, en attendant que je m’occupe d’elles. Voyant que je ne réagissais pas, l’une d’elle s’immisça entre mes lèvres tandis que l’autre personne se branlait entre mes doigts. Deux mains puissantes m’agrippèrent les hanches et je compris que le monstre, que j’avais eu quelques secondes plus tôt dans ma bouche, était maintenant à l’entrée de mon anus. J’avais arrêté de pomper le mec devant, appréhendant le moment où l’autre s’enfoncerait entre mes fesses. Ce dernier déposa son gland sur ma rosette, avant de pousser lentement pour se frayer un chemin dans mon cul. Je repris les deux sexes en bouche pour éviter de penser à la douleur qui se faisait de plus en plus sentir dans mon bas-ventre. Je les suçai à tour de rôle en mettant toute mon énergie si bien que quelques secondes de plus suffirent à les faire jouir tous les deux. Leur gland luisant de ma salive, ils me projetèrent des filets de sperme sur le visage et dans les yeux.
Derrière moi, je sentis enfin les poils pubiens toucher la peau de mes fesses. J’avais la même sensation que quand Eric m’avait sodomisé pour la première fois. Comme si un centimètre en plus dans mon cul aurait pu me faire exploser. Mais contrairement à l’ami de mon oncle, celui qui s’occupait de mon trou ne semblait pas disposé à attendre que je m’habitue à cette intrusion. Il commença directement à me ramoner le derrière, ses couilles s’entrechoquant contre les miennes. J’étais secoué dans tous les sens. Même le sexe que j’avais en bouche avait du mal à rester plus de quelques secondes en moi. Les grognements gutturaux du gaillard résonnaient dans toute la cave ainsi que mes pauvres gémissements. Malgré le fait qu’il était littéralement en train de me casser le cul, j’éprouvais beaucoup de plaisir à me faire baiser ainsi. Cela avait quelque chose d’animal voire bestial. J’avais l’impression d’être une chienne qui se faisait saillir par une meute de chiens assoiffés de sexe.
Je ne savais pas où donner de la tête, au sens propre comme au sens figuré. J’étais toujours en levrette, en train de me faire sodomiser sauvagement. L’homme devant moi avait définitivement abandonné l’idée de se faire sucer. Il rejoignit les autres qui formaient toujours un cercle autour de moi, se masturbant ou se caressant allègrement le sexe, excités par la vue que nous leur offrions, mon amant et moi. Celui-ci prit d’ailleurs l’initiative de placer mes mains dans mon dos, de sorte que ma tête soit écrasée contre le matelas. Ainsi, j’arrivai à me cambrer au maximum, ce qui lui permit de me pénétrer encore plus profondément. Certains applaudirent cette idée tandis que d’autres se concentrèrent pour ne pas jouir tout de suite.
Après ce qui me parut durer une éternité, je sentis mon assaillant commencer à faiblir. Ses coups de reins devenaient plus lents et je l’entendais souffler comme un bœuf. Des gouttes de sueur tombaient dans le creux de mon dos, se mélangeant au sperme qui séchait peu à peu. Il sortit son sexe en me jetant sur le matelas, comme on jetterait une capote remplie par terre, et s’avança vers moi. Je me mis à genoux tant bien que mal, épuisé après cet ébat, et tendis la langue. Il se masturba encore quelques secondes avant de déposer quelques perles de semence sur ma langue tendue. J’entendis quelques ricanements autour de moi, suite à cette éjaculation peu glorieuse. Je devais avouer que j’étais moi-même un peu déçu par celle-ci mais j’avais déjà eu largement ma dose de sperme pendant ces deux semaines et je n’allais sûrement me plaindre. Je vis la montagne de muscles prendre ses affaires et sortir de la pièce.
J’eus quelques secondes de répit après cette baise intense. Les garçons autour de moi me regardaient d’un air vicieux, les yeux remplis de perversité pendant qu’ils se malaxaient le paquet. C’était terriblement excitant. Deux d’entre eux s’approchèrent de moi et mes mains furent de nouveau occupées par deux beaux sexes gorgés de plaisir. Un troisième se plaça derrière moi et glissa sans effort son membre dans mon antre, mes sphincters se refermant petit à petit autour de ce bout de chair. Voyant qu’il y avait largement de la place pour deux, ce dernier fit signe à un de ces amis de le rejoindre. Je me levai pour le laisser s’installer sur le matelas avant de me placer juste au-dessus de lui et d’insérer son sexe dans mon cul. Comme je ne pesais pas énormément, je pus facilement m’allonger sur lui sans le gêner. Il m’embrassa dans le creux du cou et me donna la chair de poule. Que c’était bon… Mon pénis ne bandait même pas mais je pouvais voir qu’il avait déjà craché pas mal de jus depuis le début de la partouze.
La deuxième personne se positionna entre mes jambes et rentra, sans difficulté, son dard. Il faut dire qu’avec le passage du monstre de chair, il y a quelques minutes, mon anus avait fortement été dilaté ! Je vis Robert immortaliser ce début de double pénétration avec son appareil photo. Les deux complices commencèrent à me besogner en rythme et un troisième s’accroupit au-dessus de moi, son manche pendant à quelques centimètres de mon visage. Je pris son gland en bouche et le téta délicatement avant d’avaler entièrement sa queue. Je sentis quelqu’un caresser mon propre sexe qui, sans m’en rendre compte, s’était de nouveau tendu. J’avais l’impression d’être dans un rêve. Je me faisais sucer, j’avais une queue dans la bouche et deux autres dans le cul. Et tout ça, au même moment. C’était trop pour moi. J’explosai dans la bouche de mon suceur, qui cracha toute ma semence blanchâtre sur mon ventre. Aidé par les contractions de mon anus, un des deux mecs éjacula dans mon trou en criant sa jouissance dans toute la pièce.
J’étais à moitié dans les vapes, complètement affalé sur le matelas. Un des deux garçons qui me sodomisaient continuait ses doux va-et-vient en position du missionnaire. Tous les autres se branlaient autour de moi. Je n’aurais pas pu dire depuis combien de temps je m’étais assoupi, mais j’avais déjà des traces de jets blanchâtres sur le corps. Je repris mes esprits et essayai de paraitre le plus sexy possible. Je me caressai lentement la poitrine, tout en gémissant et en regardant chacun de mes assaillants droit dans les yeux. Certains éjaculèrent à ce moment et je reçus, encore une fois, du foutre sur le visage et sur le ventre. Je ramassai tant bien que mal ce nectar délicieux avec mes doigts pour l’avaler goulûment.
Il ne restait à présent que quelques personnes, ainsi que Robert, qui prenait toujours des photos. D’ailleurs, je vis une grosse bosse déformer son pantalon et cela me fit sourire. Le mec qui me sodomisait s’enleva tendrement de mon trou et jouit sur mon sexe débandé. Il se pencha pour lécher ma verge et récupérer le sperme qui restait entre mes jambes avant de s’approcher de moi et de m’embrasser. Il me donna le jus tiède récolté et je m’empressai de l’avaler. Il me sourit, se redressa et s’éloigna du groupe qui diminuait au fur et à mesure que les bourses se vidaient.
Bientôt, il ne resta plus que Robert et moi. Eric attendait près de la porte. Lui aussi avait une légère bosse au niveau de l’entrejambe. Au moment de me redresser, mon oncle interrompit mon geste.
-Attends ! Je vais prendre encore une photo de toi, allongé sur le matelas. Tu ne sais pas à quel point tu es bandant dans cette position.
Je m’allongeai sur le matelas et laissai Robert me photographier sous différents angles. Je pus enfin me relever et Eric me tendit une serviette.
-Je pense que tu en as besoin, vu la quantité de foutre qui a été déchargé sur toi aujourd’hui !-Effectivement, j’en ai bien besoin. Merci Eric !
Tant bien que mal, j’essayai d’enlever un maximum de sperme de mon visage, le reste du corps pouvant attendre. Ayant la tête dans la serviette, je n’avais pas remarqué que mon oncle et son ami s’étaient mis dans leur tenue d’Adam.
-Nous avons encore une petite faveur à te demander… dit Robert.-Tout ce que vous voudrez, murmurai-je avec un sourire.
Je me remis à genoux et ils s’avancèrent, leur braquemart à la main. Je les pris tous les deux entre mes doigts, avant d’entreprendre une série de petites léchouilles sur leur gland turgescent. Je les entendis pousser des gémissements de plaisir et je ne pus m’empêcher d’en pousser aussi. Ils me caressaient les cheveux et me donnaient quelques tapes sur les joues. Eric me donna même une biffle, qui faillit me faire tomber et qui les fit rire aux éclats. Il faut me comprendre aussi, j’étais tellement fatigué !
Aucun des deux n’essaya de me brusquer, ni tenta de me sodomiser, à mon grand soulagement. Ils restèrent debout, tandis que je leur taillais la meilleure pipe possible. Étonnamment, ce fut Eric qui éjacula en premier. Mais il fut rapidement rejoint par Robert et tous les deux m’envoyèrent sur le visage, les derniers jets de sperme de la journée. Mon oncle en profita pour prendre encore quelques clichés avant d’éteindre définitivement son appareil.
Je mis quelques minutes avant de me relever et de suivre les deux complices dans l’escalier. Il y avait plusieurs endroits dans la cave où la moquette était encore humide à cause du sperme, un vrai champ de bataille. Cette vision me fit sourire et je sortis de la pièce. Une fois arrivé dans le salon, je m’affalai sur une chaise. Mon oncle et Eric s’installèrent à côté de moi. Le grand noir me tapa doucement sur l’épaule.
-Félicitations ! Tu as participé à ta première partouze !-Merci ! Mais c’est grâce à vous que j’ai pu réaliser cela. Je ne sais pas comment vous remercier…-Oh, je pense que tu nous as suffisamment remerciés ces derniers jours ! s’esclaffa Robert. Dis-nous plutôt ce que tu as pensé de cette surprise.-C’était génial. Jamais je n’aurais pensé faire une chose pareille. Mon plaisir était décuplé et je ne savais vraiment pas où donner de la tête !-Ça, on avait remarqué ! Je peux te dire que tu étais fantastique et que certains ont même laissé leur numéro de téléphone, si tu veux les revoir.-À ce point-là ?-Bien sûr ! Je n’avais jamais vu une scène aussi excitante. J’ai eu du mal à ne pas participer. Tu étais tellement bandant !-C’est gentil, dis-je en rougissant légèrement.-Tu n’es pas trop fatigué ?-J’avoue que je ne dirais pas non à quelques heures de sommeil…-Tu les as bien méritées, dit Eric. Va prendre une douche bien chaude, on s’occupe du dîner et après, tu iras dormir !-Quelle bonne idée…
Sans dire un mot de plus, je me levai et partis lentement en direction dans la salle de bain. Les muscles de mes jambes me faisaient souffrir, comme si j’avais fait un marathon. Maman ne pourra pas me reprocher de ne pas avoir fait du sport ! Cette pensée me fit rire et je montai les marches avec difficulté avant d’arriver dans la salle bain. Je fis rapidement couler l’eau dans la douche et, le temps qu’elle soit à bonne température, je me regardai dans le miroir. Bien que j’eus enlevé le plus de sperme possible, une grande partie était encore présente, à moitié séchée, dans mes cheveux. J’en avais aussi sur le reste du corps. J’eus l’impression de sortir tout droit d’un des magazines pornos de mon oncle. D’ailleurs, j’avais hâte de voir les photos qu’il avait prises pendant cette orgie bestiale, elles devaient vraiment être magnifiques…
Une fois l’eau assez chaude, je rentrai dans la douche et me lavai minutieusement toutes les parties du corps. J’avais du foutre collé sous les aisselles, dans le creux du dos, entre les fesses et même dans les oreilles. Tout ce sperme inutilement gâché que j’aurais pu avoir dans mon estomac… Tant pis. La partie la plus compliquée fut évidemment mes cheveux. Mais, à force de passer le jet du pommeau de douche et de vider presque entièrement le flacon de shampooing, je réussis finalement à enlever la totalité de cette substance visqueuse. Je restai, quand même, un bon moment sous la douche, pensant à ces deux dernières semaines qui n’avaient pas été de tout repos. Qu’allais-je faire pendant le reste des vacances ? Je m’ennuierai sûrement dans ma chambre, vu que tous mes amis étaient partis en dehors du pays…
Un toc à la porte me sortit de ma rêverie.
-Alex ? Je ne veux pas t’ennuyer mais ça fait un petit bout de temps que tu es sous la douche et je voulais savoir si tout allait bien…-Oui oui Popi ! Désolé, je rêvassais. J’ai bientôt fini, j’arrive.-À ton aise, ma chérie.
Ma chérie ? Il ne m’avait jamais appelé comme ça auparavant… Et pourquoi pas après tout, ça changeait des insultes comme salope et petite chienne que j’ai entendues, beaucoup trop souvent, ces derniers jours. Je terminai rapidement de me rincer avant de sortir de la douche. Je m’essuyai en repassant bien sur mes parties intimes, surtout au niveau de l’anus qui avait été malmené pendant cette baise intense. Mon trou ne s’était pas totalement refermé et je réussis facilement à entrer deux doigts en faisant quelques va-et-vient. Mais je n’avais plus envie de me faire plaisir pour le moment. Je sortis de la salle de bain et passai en coup de vent dans la chambre pour prendre de quoi m’habiller. Je rejoignis Eric et Robert dans le salon et je les vis tous les deux déjà attablés.
-La douche t’a fait du bien ? demanda Eric.-Beaucoup ! Je me sens tout propre, maintenant que j’ai enlevé toutes les crasses.-Y avait du boulot, hein ?-Oh oui !
Nous rîmes tous les trois et Robert servit un délicieux rôti de porc. Durant tout le repas, nous parlâmes de cette partouze qui allait sûrement rester dans la mémoire de tous les participants. Une fois le repas terminé, nous montâmes tous les trois nous coucher, trop fatigués pour faire quoi que ce soit cette nuit.
Le lendemain matin fut moins éprouvant que je ne le pensais. Avant de dormir, je m’étais appliqué de la vaseline autour du trou, pour éviter tout désagrément. J’eus juste les jambes un peu ankylosées mais rien de grave. Mes deux amants étaient déjà en train de préparer le petit-déjeuner.
-Alors, comment va la Belle au Bois Dormant ? dit Eric en souriant.-La belle a très bien dormi. Et toi ?-Très bien. J’ai rêvé de toi cette nuit, un très beau rêve…-J’espère au moins que, dans ce rêve, je te soulageais ?-Je me suis réveillé trop vite malheureusement…-Je vais régler ça.
Je m’approchai de lui et me mis à genoux en lui baissant lentement son short. Il n’avait rien en dessous, le coquin ! Je lui fis rapidement une fellation et il ne mit pas longtemps avant de jouir. Décidément, c’était vraiment un très beau rêve qu’il avait fait ! Il éjacula sur un toast et étala le jus sur toute la surface avec un couteau qu’il me fit lécher par la suite. Sans dire un mot, je me tournai vers Robert, qui regardait notre scène avec une certaine envie, et baissai son pantalon avant de fourrer sa queue dans ma bouche. Il ne bandait pas vraiment et ce n’était pas plus mal, ma mâchoire me faisant encore légèrement souffrir. Lui non plus ne tarda pas à lâcher la sauce mais, contrairement à Eric, je gardai sa bite au fond de la gorge. Je sentis son sexe tressauter et expulser de longs jets crémeux directement dans mon œsophage.
-Tes pipes vont terriblement me manquer !-Ne t’inquiète pas, je reviendrai vite. D’ailleurs, sais-tu dans combien de temps Maman arrive ?-Elle ne devrait pas trop tarder. Mange vite ton petit-dej, tu dois encore faire ta valise.
Je pris rapidement le toast avec le foutre d’Eric et ajoutai dessus un peu d’œufs brouillés ainsi que du lard. Un parfait mélange ! Je bus un peu de jus d’orange avant de filer dans la chambre pour récupérer mes affaires. Après avoir rangé tous mes vêtements dans ma valise, Robert toqua à la porte.
-Tiens, tu as oublié certaines choses.
Il me tendit un petit sac dans lequel se trouvaient ses magazines ainsi que le vibromasseur et une grosse enveloppe.
-Merci mais, qu’est-ce qu’il y a dans l’enveloppe ?-Ce sont les photos que j’ai prises hier. Je les ai développées tôt ce matin, dans le village d’à côté. J’en ai regardé quelques-unes, je pense que ça va vraiment te plaire.-Oh merci mille fois ! Je les regarderai en rentrant.-Cache-les bien, nous savons tous les deux que ta mère aime bien fureter partout.-Promis !
Robert me tapota l’épaule et sortit de la chambre. Je ne savais pas combien il avait pris de clichés mais l’enveloppe semblait remplie à ras bord. Je cachai le sac au fond de ma valise et posai quelques vêtements au-dessus. Popi m’avait même donné le vibromasseur, j’aurai au moins quelque chose à me mettre dans le fion, une fois rentré à la maison. Je regardai autour de moi, pour être sûr de ne rien avoir oublié, avant de fermer définitivement ma valise. C’est à ce moment que j’entendis le moteur de la voiture de Maman. Pile à l’heure !
Je descendis les escaliers aussi vite que me permettaient mes pauvres jambes fatiguées. Eric et Robert étaient déjà à la porte d’entrée pour accueillir ma mère. Elle était beaucoup plus bronzée et elle avait l’air de rayonner.
-Ma sœur adorée, comment vas-tu ? Tu as passé de bonnes vacances ? dit Robert, en prenant Nathalie dans ces bras.-Mais quel accueil ! Je vais très bien, j’ai passé deux magnifiques semaines et on s’est bien amusées entre filles. Et vous ?-Nous aussi et pas qu’un peu, tu peux me croire ! dit-il en faisant un clin d’œil à Eric.-Tu fais les présentations ?-Oh oui, excusez-moi. Je te présente Eric, un ami de longue date. Eric, voici ma petite sœur, Nathalie.-Enchanté, madame ! dit Eric en lui claquant une grosse bise sur les deux joues.-Oh, vous êtes assez direct, bafouilla-t-elle en rougissant.-Il l’a toujours été ! criai-je en descendant les dernières marches de l’escalier.
Je laissai ma valise à côté et me précipitai vers ma mère en la serrant dans mes bras. Ça ne faisait que deux semaines qu’on ne s’était pas vu mais je devais avouer qu’elle m’avait manqué.
-Eh bien ! Moi aussi, tu m’as manqué Alex ! Regarde-toi, tu as pris de belles couleurs ! Apparemment, vous avez bien travaillé dans le jardin !
Les trois garçons tentèrent tant bien que mal de cacher leur fou rire. Nous avions bien été dans le jardin, mais pas pour travailler. En tout cas, pas dans ce sens-là !
-Je vois qu’il y a des choses que je ne sais pas. Des histoires d’hommes, j’imagine !-Exactement Nath ! Mais ne t’inquiète pas, nous avons quand même travaillé un petit peu !-Je l’espère ! dit-elle en souriant et en regardant sa montre. Houla ! Je n’avais pas vu l’heure ! Je suis vraiment désolé Robert mais, il faut qu’on y aille. J’ai entendu à la radio qu’il y a eu un accident sur l’autoroute et que ça a formé un embouteillage monstrueux ! J’aimerais bien être à la maison avant ce soir, donc…-Pas de problème ! Alex, tu as toutes tes affaires ?-J’ai tout ! dis-je en allant chercher ma valise.-Eh bien, je pense que c’est l’heure des au revoir, murmura Robert.-Je pense aussi, dis-je timidement.-Prends soin de toi, fiston !-Toi aussi Popi !
Il m’embrassa juste au coin de la bouche et me prit dans ses bras. Maman fit timidement la bise à Eric et serra son frère contre elle. J’en profitai pour me blottir rapidement contre Eric et celui-ci me pelota discrètement les fesses.
-À bientôt ma belle, j’ai glissé mon numéro de téléphone dans le sac que Robert t’a donné. N’hésite pas à m’appeler !
Il me fit un clin d’œil et je partis en direction de la voiture. Eric posa, sans difficulté, la valise dans le coffre de la voiture et rejoignit mon oncle sur le pas de la porte. Ma mère et moi les saluâmes une dernière fois avant qu’ils ne sortent de notre champ de vision.
-Alors, dit ma mère après plusieurs minutes de route, tu t’es bien amusé ?-Oui, vraiment !-Tant mieux, ça me fait plaisir. J’ai l’impression que ça t’a fait du bien de le revoir.-Tu ne peux pas imaginer à quel point…
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